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19/10/2012

Ascension et expansion de la conscience humaine, les symptômes actuels

Une bonne explication pour comprendre ce qui se passe en nous, durant la parcours de l'ascension et de l'expansion de conscience de l'humanité.

Soyez attentifs aux enfants Indigo qui sont nés pour venir nous éveiller à une nouvelle conscience cosmique.

Regardez-vous avec d'autres yeux et voyez-vous tels que vous êtes vraiment, avec votre coeur, en écoutant votre petite voie intérieure et  votre âme. Vous êtes venus pour éclairer le monde des ténèbres et entraîner l'humanité vers son expansion de conscience et vers son évolution neurologique et spirituelle. Chacun de nous doit participer au processus ascensionnel et chacun de nous a toute sa place dans ce processus.

Nous sommes en voie de quitter définitivement, l'ère du poisson, qui était l'ère des fausses croyances et des religions pour entrer dans l'ère du Verseau, l'ère de la vérité, de la lumière magnifiée, de la spiritualitié et de la communication télépathique.

 

Et hop, encore une petite croyance à faire sauter…

 

cycliste_montagneNotre vie, notre vision de la vie, n’est en fait que la projection du Divin à travers un cristal rempli uniquement de croyances. Le rayon qui vient le frapper est ce qui EST, et ce qui est projeté EST ce qui en découle. Ainsi, notre vie et ce que nous en comprenons ne sont que les ombres chinoises sur l’écran de notre conscience.

Changer nos croyances influence donc la qualité de la projection sur l’écran. Si c’est une croyance sombre, l’écran s’obscurcira, et si c’est une croyance plus lumineuse (c’est-à-dire plus transparente à ce qui EST véritablement), l’écran deviendra plus clair tout en mettant en avant des sombritudes dont nous n’avions pas vraiment conscience préalablement.

C’est ainsi que tout marcheur sur la voie se voit contraint de remettre en cause les bases mêmes de ce qui était ses références. Ses vérités sont ainsi remises en cause au fur et à mesure de sa capacité à écouter son cœur. Il découvre que ses vérités n’étaient, en fait, que les vérités d’un système qui lui fut imposé dès sa naissance.

Ainsi untel se croit musulman, bouddhiste ou chrétien, homme esclave ou femme asservie, victime ou possédant un pouvoir quelconque afin de dominer les autres. Son intellect, ses connaissances sont directement issus d’un formatage en règle, et comme un mouton-perroquet, il répète une vérité qu’il croit sienne mais qui, en réalité, ne l’est pas du tout. Il s’est fait bluffer jusqu’au jour où une certaine petite voix est arrivée à se faire entendre…

C’est alors qu’il découvre que nombre de ses problèmes viennent tout simplement de cette éducation mentale et religieuse, qui a fabriqué ce mur de croyances devenu invisible tellement il était présent en son quotidien. Et puis, parce que tout le monde baignait dans la même ambiance, il se convainquait lui-même que tout cela était réel puisque vécu par tous ses pairs.

Il se mit donc à croire que la mort est inéluctable, que la maladie est normale, et que les gros chagrins et souffrances sont le lot inévitable de tout préhumain qui essaie de faire sa vie en ce monde impitoyable pour les faibles. Tout semble prouver qu’il faut se battre pour réussir, et qu’il est nécessaire de suivre des textes religieux pour sauver son âme. C’est écrit, et des milliards d’individus ont suivi ce chemin depuis l’aube de l’humanité !

Alors, pourquoi cela serait-il faux ? Pourquoi cela serait-il une illusion, comme quelques sages sur la montagne le susurrent ? Pourtant quand tu as faim, quand tu n’as plus de maison où dormir, quand la mort t’arrache tes proches, tu ne peux donner raison à ces personnes épaisses comme des évadés de Treblinka… Ils parlent de maya (d’illusion) comme si c’était un fait avéré.

Non, la Vie, celle que nous voyons à travers nos yeux, ne peut être cette illusion indiquant que nous sommes des ombres au pays de la projection… Notre mental-égo s’y refuse de toutes ses forces, jusqu’au moment où nous commençons à voir des anormalités sur l’écran. Dans les débuts, on ne veut pas y prêter attention car cela nous arrange, mais plus nous les observons, et plus nous découvrons qu’il y en a en fait un nombre suffisamment grand pour commencer à y regarder de près…

C’est ainsi que nous découvrons que tout n’est que projection, et donc qu’il existe un projecteur dans notre dos, dans le dos de la conscience de veille. On savait bien qu’il y avait un inconscient. On savait bien que, régulièrement, il nous faisait un coup de Trafalgar, mais nous nous sentions impuissants à prévenir ses mauvais coups, même si quelquefois cela devenait un bon coup…

Ce qui est surprenant maintenant, c’est que le rayon de la lampe devient si fort que la pellicule de 3D falsifiée commence à perdre de sa consistance au point que de plus en plus de spectateurs commencent à voir de plus en plus d’anomalies à l’écran. C’est alors que mécaniquement ils arrivent à se déhypnotiser suffisamment longtemps de l’écran et à regarder comment se comportent les autres spectateurs.

C’est alors qu’ils découvrent que certains se sont déjà à moitié sortis du siège des habitudes, et qu’ils regardent dans la direction opposée à l’écran. Leurs visages semblent illuminés par une lumière plus puissante que celle de l’écran. Ce constat les amènera, tôt ou tard, à regarder à leur tour dans cette même direction, et que verront-ils ?

Ils y verront un faisceau de lumière intense mettant en avant toutes les poussières et les volutes de cigarette qui osent le traverser. Hé oui, ils pensaient que leur pensées étaient invisibles au même titre que leurs émotions, mais en voyant chaque spectateur, ils découvrirent que chacun émanait des vapeurs, des odeurs et des musiques peu propices à une bonne respiration angélique.

C’est ainsi qu’ils purent découvrir qu’ils avaient été bluffés comme des débutants, et qu’ils en payaient le prix cash… Cette révélation ne leur sauta pas aux yeux en une seule fois, car leur fierté ne pouvait l’accepter, mais à la longue il n’était plus possible de faire l’autruche et de continuer à mettre la tête dans le sable au moindre crépitement-larsen des hauts-parleurs officiels.

La prise de conscience fut plus ou moins longue selon le courage de chacun, et, ce qui mit le feu au poudre, c’est que quelques-uns commencèrent à se lever, non pas pour quitter la salle mais pour tout simplement se rapprocher dans un premier temps du projecteur. Pris pour des illuminés graves (normal puisqu’ils se rapprochaient du projecteur), on les critiquait ouvertement en les traitant de tous les noms et en disant qu’ils étaient possédés par des entités malveillantes.

Bref, on les a mis en internat psychiatrique et bourrés de drogues pour qu’ils se taisent et deviennent des zombies à la charge de la société. Cependant, certains furent beaucoup plus prudents et n’essayèrent pas de faire le mariole en ouvrant leur caquet, mais progressivement ils s’organisèrent afin de se rencontrer au gré de stages ou de conférences officiellement orientées.

Cette notion de faire gaffe à ses arrières développa chez certains une sorte de paranoïa, au point qu’à chaque fois qu’ils se sentaient un brin patraque c’est que c’était forcément une entité de l’ombre qui les suçait…. En clair, le simple fait d’y croire installait dans leur vie la peur permanente d’être la victime d’un cambriolage en règle.

Il faut dire que cela fait vivre nombre de thérapeutes possédant plus les uns que les autres le remède miracle permettant un rétablissement de son étanchéité aurique. Tous les moyens sont bons quand on se bat contre des entités maléfiques, n’est-ce pas ? Si cela fut vrai dans les périodes noires et glauques de l’histoire de l’humanité, il est temps de corriger le tir en remettant en cause cette croyance si profondément enfouie dans l’inconscient collectif.

En effet, par le simple fait de l’intensification des énergies féminines pour le processus ascensionnel actuel, nos différents corps sont mis à rude épreuve afin de s’adapter aux nouvelles fréquences. Ces transformations demandent beaucoup d’énergie et cela, selon des cycles que nous ne pouvons pas toujours prédire à l’avance.

Hé oui, je le répète depuis si longtemps que je me demande parfois si je prêche dans un désert ou pas. Aujourd’hui, nous ne sommes plus du tout maitre en quoi que ce soit concernant notre consommation énergétique intérieure. Vous pouvez faire tous les stages ou retraites que vous voulez, cela ne changera rien au fait, car notre Soi Supérieur pousse à fond la machine qu’est notre corps physique.

Plus le temps de faire des pauses pour se reposer. Plus le temps de glander au nom de trucs qui nous semblent importants. Plus le temps d’attendre selon des horaires fixés d’avance par le système en place. Votre Soi Supérieur se fout de vos petites affaires terriennes, la voiture doit avancer coute que coute, car bientôt la fin de la course sera officialisée.

Sachant cela, votre Soi supérieur pousse les manettes à fond, entrainant des fatigues lourdes ainsi que moult désordres physiques dus à l’exercice lui-même. Les mécaniciens bossent à fond afin que ça roule encore, mais, comme on dit, on est limite car en permanence sur le fil du rasoir. Je tiens donc à vous préciser de nouveau que vous n’avez plus du tout en main les commandes de votre agenda. Il est donc inutile de vous révolter, car cela ne ferait qu’amplifier votre manque énergétique.

Toute résistance de votre part ne fera qu’accroitre vos difficultés, alors lâchez prise à fond et virez de la caisse tout ce que vous pouvez. C’est la dernière ligne droite, le sprint final, alors virez promptement tout ce qui est inutile et donc en l’occurrence votre croyance qu’une entité malsaine vous suce. Non, vous n’avez pas fait d’erreur et vous n’avez pas à vous protéger !

Bien au contraire, ce n’est pas le moment de vouloir un surplus de protection. Pour décoller, il faut s’alléger et non s’alourdir… Ne perdez donc plus le temps dans des réflexes de survie mus par la peur. Soyez plutôt mû par la joie de l’êtreté, par la joie du retour au bercail. C’est connu que, pour décoller du plancher des vaches, il faut sprinter sur la piste d’envol plutôt que freiner pour cause de fatigue.

Notre Soi Supérieur est bien plus au courant de vos réelles capacités d’adaptation que votre simple réflexion faite par un mental-égo  peu enclin aux vols aériens. Dans l’affaire, c’est lui qui a le vertige et le mal de mer, alors que votre cœur se sent au contraire porté par les vents de la joie retrouvée. Arrêtez donc de faire la gueule à chaque fois que vous avez un coup de mou, car ça porte sur le moral à la longue !

Je vais donc vous démontrer par une petite vidéo que ce qui a été une règle auparavant n’est plus d’actualité aujourd’hui. Vous y découvrirez avec simplicité pourquoi vous traversez ces périodes d’euphorie avec des périodes de lassitude et de baisse d’énergie. L’un va avec l’autre. Ils ne sont donc pas opposés (encore la putain de dualité !) mais totalement complémentaires… Attachez vos ceintures, c’est parti…

Altitude

Télécharger la vidéo (fichier mp4) 

  La vidéo à visionner dans votre navigateur Durée 26 mn

Alors, vous sera-t-il difficile maintenant d’arrêter vos pleurnicheries parce que vous croyez que vous avez loupé le coche, parce que vous êtes en baisse d’énergie ? Bien au contraire, prenez cela comme une aubaine, car c’est justement pendant ces périodes de baisse d’énergie que vous démontrez votre rage à vouloir avancer face à un mental-égo qui veut reprendre la main en vous replongeant prestement dans le rôle de victime con comme un balai.

Non, vous êtes plus fort que cela, et maintenant que vous savez, sachez que plus vous vous prodiguerez des petits mamours inconditionnels dans ces périodes creuses, et plus vous vous rapprocherez du prochain haut de la colline où la descente vous fera vivre cette euphorie si bienfaisante, tout en vous permettant de regonfler les batteries pour la prochaine côte qui vous attend.

Aujourd’hui, on nous demande d’être grimpeur quand il le faut, tout comme être un sprinteur en bas de côte pour prendre de l’élan. Cela n’empêche d’être en plein dans un « contre la montre » permettant aussi de découvrir que l’on est probablement un super descendeur. Certes, l’image du long fleuve tranquille prôné par les moines en plaine n’est plus d’actualité, même s’il y avait quelques faux plats…

Maintenant, nous sommes en train de se prendre un chaine montagneuse, d’où le nom d’Ascension. On parle donc bien d’altitude et de cols à franchir. En montée, on n’a pas le temps de regarder le paysage (même s’il est magnifique), car c’est incompatible avec l’effort à maintenir pour conserver une vitesse minimale.

D’ailleurs si vous regardez bien, les coureurs fatigués montent en danseuse en regardant le bitume, tandis que ceux qui arrivent à rester sur leur selle évitent de perdre leur concentration en regardant juste quelques mètres devant. En termes actuels, cela veut dire vivre son icité, soit voir pas plus loin que le bout de son nez, d’où l’expression avoir le nez dans le guidon…

En descente c’est différent, car c’est plutôt la vitesse excessive qui fait que si tu regardes le paysage, tu louperas forcément le prochain virage… Bref, vous avez compris qu’attaquer la montagne n’a rien à voir avec le tourisme et l’arrêt dans les bonnes auberges à côté des monuments historiques.

Mieux vaut donc vivre son icité à fond en ne regardant que les quelques cms ou mètres nécessaires afin de rester centré sur l’essentiel : tracer aussi vite que possible tout en consommant le moins possible, d’où l’utilité de virer tout l’inutile (remorques, sacoches, etc.) ainsi que tous les élastiques de l’attachement à ceux qui pédalent moins vite (ceux restés encore dans la mentalité de la plaine).

C’est vrai que, dans ma description, ça fait un peu compétition. En effet, le but n’est pas de gagner une médaille mais de franchir une ligne d’arrivée pour un nouveau départ. Si votre Soi supérieur y croit, c’est qu’il a de bonnes raisons, sinon il vous laisserait tranquille en attendant la prochaine réincarnation…

N’essayez donc pas de convaincre qui ce soit à vouloir affronter le montagne, car tout est parfait. Seuls ceux et celles qui ont du mollet (et qui peuvent le faire) sont en train de dandiner du derrière, fermement accrochés au guidon de la foi. De plus, il est fortement conseillé de rester ancré, c’est-à-dire de rester collé à l’asphalte sous peine de décoller et d’aller valdinguer comme une fille de l’air dans les précipices spirituels qui vous attendent les bras ouverts…

La chute sera d’autant plus difficile que l’impatience aura été grande. Dit autrement pédale sans jamais t’arrêter avec calme et constance, tout en t’assurant que tu restes collé à la réalité dictée par ta petite voix. En effet, c’est toujours bien d’avoir un coach qui te tient la causante, surtout quand ton mental-égo te donne toutes les bonnes raisons de descendre de vélo et de le balancer le plus loin possible…

Alors, ne fais plus la gueule, et arrête de penser que tu as loupé le coche quand tu sens ta vibration descendre pour cause de fatigue excessive. Le mental-égo aime la plaine de la facilité, et c’est la raison pour laquelle il est préférable de l’envoyer paitre dès qu’il se manifeste. Lui, il veut la sécurité, chose qui n’existe pas en montagne.

Il cherche le moindre effort et quand même recevoir le 1er prix. Cependant, dans les montagnes russes de l’Ascension, ce n’est qu’effort et quasiment aucun prix, sinon celui de savoir que plus on pédale et plus on s’éloigne du bourbier nauséabond de la vallée de 3D. Alors si tu sens que ta fréquence mollit, ne commets surtout pas l’erreur de croire ton mental-égo, car, lui, il ne peut pas faire ses magouilles en altitude.

Appuie donc sur les pédales de tout ton cœur, et fais confiance à ton coach, car le reste ne peut que te freiner. L’obstination et la ténacité ont du bon quand il s’agit de retourner vers La Source, et donc quitter l’obscurantisme et l’ignorance d’une vallée à peine éclairée tellement qu’elle est enfoncée dans ses certitudes.

Plus tu monteras et plus le soleil sera présent, au même titre que l’air frais est rafraichissant. Pédale Forest, pédale Forest et te pose pas de question, car la vie est simplicité pour celui qui s’adonne à l’icité. C’est alors que tu verras qu’à partir d’une certaine altitude, tu seras au-dessus des nuages, bien que toujours assis sur ton vélo, alors quoi demander de plus ?

Laurent DUREAU

http://5d6d.fr/et-hop-encore-une-petite-croyance-a-faire-...

18/10/2012

La vie après la mort : "Faux Départ" de Sonia Barkallah

"Faux Départ" de Sonia Barkallah

Synopsis:

Trente années se sont écoulées depuis que le Dr Raymond Moody a recueilli les premiers témoignages de ceux qui ont frôlé la mort. Ils sont des millions à travers le monde à nous raconter la même histoire troublante, comme la sensation de se détacher de son corps, assister à sa propre réanimation, entendre les chirurgiens parler entre eux, puis traverser un tunnel au bout duquel se trouve une extraordinaire lumière. Cette expérience a bouleversé leur vie, au point qu’'ils ne craignent plus la mort.

Longtemps considéré comme obscur et assujetti aux railleries, le phénomène intéresse aujourd’hui de nombreux scientifiques, qui s'’interrogent : Comment ces personnes ont-elles pu percevoir et mémoriser des scènes de leur réanimation alors qu’'elles étaient inconscientes, dans le coma et parfois déclarées morte cliniquement ?

Ils sont Cardiologues, Neurologues, Anesthésistes-Réanimateurs, Médecins ou Psychologues, certains conduisent une étude, d’autres ont vécu eux-mêmes une expérience de mort imminente. Ils témoignent sans complexe pour lever un tabou qui se révèle être une mine de connaissance pour la science et pour l'’Homme. Le colloque sur les EMI organisé en juin 2006 à Martigues a permis de franchir un nouveau pas. Pour la première fois en France, deux centres hospitaliers ont débuté une recherche.

Une nouvelle page de l’'histoire des sciences s’'écrit depuis une dizaine d’'années suite à de nombreuses études menées à l’'étranger et qui abandonnent définitivement l'’hypothèse de l’'hallucination pour s’'orienter vers une possible délocalisation de notre conscience : l'’ombre d'’un nouveau paradigme se profile. Source

BANDE ANNONCE "Faux Départ" Sonia Barkallah
http://www.youtube.com/watch?v=_ZegH1jznEY

 


Film disponible en DVD. Source
Différentes dates de projection du film à venir ici ainsi que des dates de conférence de Sonia BARKALLAH .

"Au-delà : Quand nos croyances basculent" !

 

 
Afterlife, La Vie après la Vie,
Réalisé par Paul Perry
Jupiter Communications (Octobre 2012)
 
 
 
 
 
Au-delà :

Quand nos croyances basculent
 
Pourquoi certaines personnes ayant frôlé la mort parlent aussi assurément d'un « Au-delà » ? Qu’en pense le corps médical ? Deux spécialistes dans ce domaine apportent des réponses à ces questions dans le documentaire « After Life ».
 
© Jupiter-Films
Dans notre société, parler de la mort n’'est pas facile. Envisager qu(’il puisse y avoir une fin, se préparer à « perdre » un être cher et à vivre « sans » sont autant d'’éventualités effrayantes auxquelles la plupart d’'entre nous refusent de penser. Pourtant, une question, vieille comme le monde, nous a tous traversé l’'esprit un jour : que se passe t'’il une fois que l’'on meurt ? « Je crois que quand on meurt, c'’est comme une bougie qui s’'éteint, les gens décèdent et l'’esprit ne peut survivre hors du corps. » Interrogées au hasard dans la rue au sujet de la mort et de l’'au-delà, plusieurs personnes témoignent dans le documentaire « After Life » et font part de leurs croyances personnelles. Il y a celles pour qui ne rien pouvoir envisager après la vie est difficilement concevable : « Je pense que notre âme est une force puissante, chargée d’'émotions, et je ne peux pas croire que quand nous mourons, tout est terminé. » Pour d'’autres personnes, en revanche, l'’idée même d'’un au-delà semble inimaginable : « Je crois qu'’il n’'y a rien. Les gens meurent et après c'’est fini. Je ne pense pas qu'’il y ait d’ascension mystique... ». Comment savoir ce qui nous attend ?


L’'au-delà, la preuve par l’'expérience ?


Si les nombreuses références religieuses évoquant les notions de Paradis et de réincarnation font partie de notre culture et de notre système de croyances, d’'autres éléments beaucoup plus troublants persuadent définitivement certaines personnes de l'’existence d'un au-delà, comme les expériences de mort imminente (EMI). Ce phénomène peut survenir lorsqu’'une personne frôle la mort comme lors d'’un accident de voiture, d'’une opération, d'’une maladie grave, d’'un arrêt cardiaque, mais pas seulement. Un danger psychique ou physique, une chute ou une peur conséquente n’'entraînant pas de conséquence physique peuvent également déclencher une EMI.

Pendant quelques instants, ces personnes accèdent à un autre monde, une autre réalité. C'’est ce qui est arrivé à Martha. En 1974, au cours d’'une sortie en ski nautique, s'’étant accroché le bras à la corde, Martha a été traînée sous l'’eau et a bien failli se noyer « Je me suis retrouvée dans un tunnel obscur. Il y avait des fleurs magnifiques et des couleurs que l’'on ne voit pas sur Terre. J’'avais toujours un corps, mais ce n’'était pas mon corps physique. C’'était comme un corps de lumière. Je me suis retrouvée dans l’'Univers au milieu des étoiles et des galaxies et cela m’'a paru normal, comme si j’'étais chez moi. Et puis, je me suis retrouvée dans mon corps. Je n'’ai pas eu de discussion, ni d'’argument avec qui que ce soit. Je n’'ai pas eu le choix. Je ne savais pas du tout comment réagir à cette expérience. Cela s'’est passé un an avant que ne soient publiés les premiers ouvrages sur les EMI. Je ne savais pas ce que c'’était et quand je l’'ai dit à ma famille, ils ont refusé de croire que j'’avais vécu ça. Ça leur faisait peur et ils ne voulaient pas l’'entendre. » Cette expérience, profondément marquante, modifie souvent la façon de percevoir la mort et les croyances à son sujet. Comme l'’explique Martha : « Ce qui ressort de mon expérience d’'EMI, c'’est que, depuis, je me sens beaucoup plus en phase avec ce qu'’il y a de l’'autre côté, avec le ciel, avec cette énergie là. Je n'’ai absolument plus peur de la mort. » Plusieurs études indiquent qu’'en moyenne, 4% de la population vivrait ce genre d’'expériences. Pour la France, cela concernerait environ 2, 5 millions de personnes. Qui sont-elles ? Comment les croire et surtout quels éléments permettent de penser que ces expériences ne sont pas le fruit d’'hallucinations ?


Quand le corps médical se confronte à la question


Des médecins s'’intéressent au sujet depuis de nombreuses années, à l’'image du Dr Jeffrey Long, co-auteur du livre « preuve d’'une vie après la mort » et à l’'initiative de la création de la fondation sur les expériences de mort imminente. Il a recueilli des milliers de témoignages à travers le monde et dans toutes cultures afin de les analyser et de noter leurs similitudes. Les personnes qui vivent une expérience de mort imminente évoquent généralement les mêmes souvenirs : le tunnel, la lumière, le sentiment de calme et de paix, la rencontre avec des êtres chers décédés et/ou avec des guides spirituels, la sensation de baigner dans un amour absolu, la vision de paysages magnifiques, le passage en revue de la vie. Chaque expérience est différente et ne comporte pas forcément l’'ensemble de ces éléments. Pour le Dr Jeffrey Long « Depuis des milliers d'’années, les grandes religions, ou d'’autres cultes ou philosophies nous ont dit d'’avoir foi en la vie éternelle, de croire qu'’il y a autre chose que ce que l'’on voit et que ce que l’'on vit durant notre expérience terrestre, que l’'on est plus que cela, que l’'on est des êtres magnifiques, que l’'on continue à vivre après la mort. Le plus incroyable, c’'est que ce message de foi spirituelle, affirmé dans d’'innombrables cultures depuis des milliers d’années peut être prouvé.»

D'’après ce médecin, l’'un des éléments les plus flagrant prouvant qu'’il existe une vie après la mort, est la sortie hors du corps vécue par près de la moitié de ceux et celles qui vivent un expérience de mort imminente. Alors qu'’ils sont entre la vie et la mort, ils voient et entendent tout ce qu’'il se passe au-dessus de leur corps et sont capables, une fois revenus à la vie, de restituer chaque parole prononcée par les chirurgiens et infirmières. C'’est ce qui est arrivé à Lupita Kirckland. Après avoir traversé une baie vitrée qu’'elle n’avait pas vu, elle s'’est retrouvée avec de multiples coupures sur tout le corps et avec de nombreuses veines sectionnées : « J'’ai compris que j’allais mourir. J'’ai vu mon corps de loin, je flottais dans la pièce et j'’ai vu ma mère aller chercher le médecin. Elle hurlait, elle pleurait et elle m’'a fait de la peine. Je voulais la consoler, lui dire que j’'allais bien. Même si j’'ai eu peur au début quand je me suis détachée de mon corps, une sensation incroyable de paix m'’a envahi. Et j'’ai su que tout irait bien et que je retournais dans un endroit qui était chez moi. Je voulais partager tout cela avec mes parents, leur dire que tout allait bien, mais je ne pouvais plus leur parler et je voyais mon cadavre sur le lit. C'’est là que le médecin est arrivé, je me souviens qu'’il a dit Oh mon Dieu, elle va y passer. J’'ai vu le tunnel, il semblait être fait de nuages sombres. Au bout du tunnel, il y avait de la lumière et dans cette lumière, j'’ai vu l'’image de ce que j’'ai pensé être la Vierge Marie. J’'ai revu ma vie avec elle. On a parlé de ma mission dans cette vie. Ensuite, on a décidé qu'’il fallait que je revienne. J’'ai compris que je n'’avais pas rempli ma mission. J'’ai été aspirée comme ça. En tout cas, j’'ai senti que mon âme rentrait dans mon corps avec force. J'’ai compris que le médecin m'’opérait. J'’ai senti une douleur intense dans la poitrine. Toute cette douleur physique est revenue dans mon corps. J'’essayais d’'aspirer le plus d’'air possible dans mes poumons. Il me fallait de plus en plus d'’air. Puis le médecin a dit Elle est sauvée ! Elle est sauvée !

Le Dr Raymond Moody, médecin et docteur en philosophie est mondialement connu pour être le premier à avoir étudié en détail les témoignages de personnes ayant vécu une expérience de mort imminente. Dans le documentaire « After Life », il aborde une des autres similitudes fréquemment citées : « Bon nombre de personnes qui sont passées par ces expériences en reviennent profondément transformées, le changement le plus flagrant s'’observe chez ceux qui ont recherché toute leur vie la connaissance, la célébrité, le pouvoir ou l'’argent et tout ce genre de choses. Lorsqu'’ils reviennent, ils déclarent qu'’à leurs yeux, la chose la plus importante est d'’apprendre à aimer. » Lupita Kirckland, déclare par exemple : « Quand je suis revenue, je n’'étais plus la même. J’'étais quelqu'’un d’'autre, plus spirituelle, avec plus de compassion pour les autres. J'’étais plus à l’'écoute des autres et j’'avais plus d’'amour à donner. » Lorsqu'’elle était adolescente, Jenny Somers a fait une chute de quatre mètres. Son expérience de mort imminente a profondément modifié sa façon de voir la vie « Il s'’agit de se reconnecter avec la personne que l’'on est vraiment. Il faut se reconnecter à un esprit universel qui est là. Mais nous sommes souvent séparés de notre source. Alors on essaie de se connecter à d'’autres gens, aux objets. Cette personne là va me rendre heureuse, cette voiture là va me combler. Nous essayons de nous ressourcer auprès des autres dans cette dimension ci. Mais si, on se reconnecte à la source, là on est épanoui. Maintenant, je réalise que je n’'avais pas besoin de toutes ces choses extérieures, mais que je peux être cette lumière, cette mémoire, cette énergie qui nous rappelle de ne pas nous connecter entre nous, mais à la source elle-même. »

Enfin la plupart des personnes témoignant de leur expérience évoquent également le fait de ne plus avoir peur de la mort. Pour le Dr Raymond Moody : « Nous pouvons affirmer aux gens qu'’ils n’ont plus de raison d'’avoir peur de la mort. Nous pouvons travailler sur cette peur grâce aux informations solides dont nous disposons, qui sont porteuses d'’espoir pour les gens qui ont perdu des proches. Perdre un être aimé est l’'une des expériences les plus douloureuses de la vie terrestre, et c'’est un réconfort de savoir qu’'il y a un autre monde dans l'’au-delà, dans lequel nous retrouvons les êtres aimés et continuons la relation avec eux. »

S'’il est difficile de prouver scientifiquement qu’'il existe une vie après la mort, ces personnes ayant vécu une expérience de mort imminente nous interrogent sur nos modèles de croyance. Et si ces questions sur la mort et sur l'au-delà nous invitaient finalement à vivre différemment, ici et maintenant ?


Le DVD du documentaire After Life est disponible sur le site Jupiter-Films »
et sera également en vente dans les réseaux de distribution classiques dès le 5 février 2013.
 
 
Afterlife, La Vie après la Vie,
Réalisé par Paul Perry
Jupiter Communications (Octobre 2012)
 
 
 
 
 
 
 

http://www.inrees.com/articles/Au-dela-Quand-nos-croyances-basculent/

La vie après la mort : quand les scientifiques s'en mêlent ! Le Programme des 2ème rencontres internationl as sur les expériences de mort imminente à Marseille.

De quoi nous débarrasser de la peur de la mort et de mettre le haut-là aux élites qui instrumentalisent la peur contre nous depuis des millénaires.

 

Curieuses toutes ces révélations des scientifiques dans la période de l'expansion de conscience de l'Humanité ?

 
LE PROGRAMME DES 2EMES RENCONTRES INTERNATIONALES SUR LES EXPÉRIENCES DE MORT IMMINENTES A MARSEILLE
 

LE PROGRAMME DES 2EMES RENCONTRES INTERNATIONALES SUR LES EXP

 

La preuve du paradis ? Le récit du neurochirurgien qui ne croyait pas à la vie après la mort avant d'en fair e l'expérience

Encore un témoignage scientifique de l'existence de la vie après la mort et témoignage donné par un neurochirurgien.

Paradis

Publié le 11 octobre 2012
 
Le magazine Newsweek évoque le cas d'Eben Alexander, ce neurochirurgien qui ne croyait pas à la vie après la mort avant d'en faire l'expérience.

Le magazine Newsweek évoque le cas d'Eben Alexander, ce neurochirurgien qui ne croyait pas à la vie après la mort avant d'en faire l'expérience. Crédit DR

Il a vu la lumière, et bien plus… C'est l'histoire incroyable d'un grand neurochirurgien américain, Eben Alexander, pour qui tous les récits de vie après la mort racontés par des personnes sorties d'un coma plus ou moins long ne sont que des bêtises, des balivernes.  Mais son monde bascule un jour de novembre 2008 comme il l'explique dans son livre Proof of Heaven ("Preuve du paradis") mais également dans un article publié dans l'hebdomadaire américain Newsweek.

Alors qu'il se lève comme tous les matins à 4 heures 30 pour se préparer à aller au travail, Eben Alexander, qui a passé quinze ans à enseigner la neurologie à la prestigieuse université d'Harvard mais aussi à l'Université de Virginie, est pris soudainement d'une intense douleur au bas du dos. A peine une quinzaine de minutes plus tard, il est paralysé de douleur et a du mal à se mouvoir.  Sa femme accourt à son secours puis appelle les urgences alors que son mari est pris de convulsion. Et là, le trou noir.

Victime d'une forme très rare de méningite foudroyante, Eben Alexander se retrouve en effet dans le coma. Après une semaine passée dans cet état, le neurochirurgien âgé de 58 ans se réveille finalement à l'hôpital. Si sa femme et ses enfants n'ont pas changé, lui, en revanche n'est plus du tout le même.

Pendant que son cerveau ne montrait quasiment aucun signe d'activité, l'homme qui n'avait jamais cru à la vie après la mort, a en effet vécu une "odyssée lumineuse et parfaitement cohérente" comme il l'explique. Et le neurochirurgien de décrire un monde qui ressemble beaucoup aux clichés du paradis véhiculés par les livres et les films. "Au début de mon odyssée, je me suis retrouvé dans un endroit rempli de gros nuages roses et blancs […]. Bien au-dessus de ces nuages, des êtres chatoyants se déplaçaient en arc de cercle dans le ciel, laissant de longues trainées derrière eux. Des oiseaux ? Des anges ? […] Aucun de ces termes ne fait vraiment justice à ces êtres qui étaient différents de tous ce que j'avais pu voir sur terre. Ils étaient plus avancés. Des êtres supérieurs".

Eben Alexander se rappelle également avoir entendu "un son, en plein essor comme un chant céleste qui venait d'au-dessus" qui lui a procuré beaucoup de joie, et avoir ensuite été accompagné dans son aventure par une femme. "Elle était jeune, je me souviens d'elle dans les moindres détails. Elle avait des pommettes hautes, et des yeux incroyablement bleus ainsi que des tresses châtains qui encadraient son beau visage" explique-t-il  avant d'ajouter qu'ils se déplaçaient tous les deux sur les ailes d'un papillon. "En fait, des millions de papillons nous entouraient […]. C'était comme une rivière de vie et de couleur se mouvant dans les airs".

Un coup de folie ? Trop de morphine ? Eben Alexander se rend bien compte que beaucoup ne le croiront pas. Mais il assure que tout était bien réel et qu'il ne s'agissait pas "d'une fantaisie, éphémère et inconsistante". Difficile pourtant de démêler le vrai du faux. Le pourra-t-on d'ailleurs un jour ? Le neurochirurgien y compte bien puisque il a annoncé vouloir "passer le reste de sa vie à enquêter sur la nature véritable de la conscience, et prouver à ses pairs scientifiques mais aussi au reste du monde que nous sommes bien plus que seulement nos cerveaux". Toujours est-il que l'histoire de ce neurochirurgien qui ne croyait pas à la vie avant la mort avant d'en devenir lui-même témoin a interpellé Newsweek qui en a fait sa une : "Le paradis est bien réel".

http://www.atlantico.fr/decryptage/preuve-paradis-recit-n...


La vie après la mort existe, selon un des meilleurs neurochirurgiens

Dr Eben Alexander, un neurochirurgien ayant étudié à Harvard, est tombé dans le coma pendant sept jours en 2008, suite à une méningite.

Pendant sa maladie, le Dr Alexander raconte que la partie de son cerveau qui contrôle la pensée humaine et les émotions s'est "éteinte" [ndt: "shut down"] et qu'il a expérimenté "quelque chose de profond qui m'a donné une raison scientifique de croire à la conscience après la mort.

Dans un dossier pour le magazine américain Newsweek, pour la promotion de son livre "La Preuve du Paradis" [ndt: "Proof of Heaven"], le Dr Alexander affirme qu'il a rencontré une belle femme aux yeux bleus dans un "lieu fait de gros nuages roses et blancs" et "d'êtres scintillants"

Il continue: "Des oiseaux? des anges? ces mots sont venus plus tard, quand j'écrivais mes souvenirs. Mais aucun de ces mots ne rend justice à ces êtres eux-mêmes. Ils étaient plus avancés; des formes supérieures" [ndt: "Higher forms"]. Le Docteur ajoute: "un glorieux chant tonitruant et immense est descendu d'en haut et je me suis demandé si ces êtres ailés le produisait. Le son était palpable, presque matériel, comme une pluie que vous sentez sur votre peau mais qui ne vous mouille pas".

Le Dr. Alexander raconte qu'il a entendu des histoires de patients qui parlaient d’expériences hors du corps, qu'il les discréditait en parlant "d'espoir secret"[ndt:"Wishful Thinking"] mais qu'aujourd'hui il reconsidère suite à son expérience.

Il ajoute: "Je sais très bien que cela a l'air extraordinaire, et complètement incroyable. Si quelqu'un, même un docteur, m'avait raconté une histoire de ce genre à l'époque, j'aurai été sûr qu'il était sous le coup d'une hallucination. Mais ce qui m'est arrivé, loin d'être hallucinatoire, était réel, plus réel que tous les évènements de ma vie. Y compris mon mariage et la naissance de mes enfants".

"J'ai passé des années en tant que neurochirurgien dans les institutions médicales les plus prestigieuses de notre pays [ndt:la Grande-Bretagne]" poursuit-il "Je sais que de nombreux confrères (dont je faisais partie, avant mon experience), soutiennent la théorie que le cerveau, le cortex en particulier, génère la conscience et que nous vivons dans un univers dépourvu de toute émotion, surtout pas l'amour inconditionnel que Dieu et l'univers nous porte, dont je sais désormais qu'il existe."

"Mais cette théorie, cette croyance, gît désormais à nos pieds. Ce qui m'est arrivé l'a détruite"