12/07/2014
France propagande raciste : un attentat sous fausse bannière en préparation ?
Bon, le lobby sioniste ne serait-il pas en voie de nous préparer un nouvel attentat sous fausse bannière en France ?
Une bonne excuse pour charger et diffamer tous les arabes présentés systématiquement comme étant l'axe du mal, pour nous priver de nos libertés fondamentales et nous instaurer la Loi martiale, prévue dans le traité liberticide de Lisbonne par SARKOZY, en cas de débordement du peuple qui aura été poussé volontairement à la guerre civile et aux conflits racistes !
Heureusement que les arabes existent pour le lobby sioniste, parce qu'autrement il aurait fallu les inventer.
Un petit rappel de la propagande sioniste dirigée contre les Arabes pour faire monter le racisme en France et la peur de l'Arabe !
Et maintenant la loi antiterrorisme qui vise les arabes et pas seulement, une atteinte aussi à nos libertés fondamentales.
Tout ce climat ne nous dit rien qui vaille et il se pourrait que nous ayons droit à un attentat sous fausse bannière en France pour nous paralyser complètement et pour masquer les corrompus divers du Gouvernement.
Antiterrorisme : le double jeu du gouvernement
Le gouvernement a décidé d’alourdir une nouvelle fois l’arsenal antiterroriste, arguant de la menace djihadiste. Mercredi 9 juillet, Bernard Cazeneuve a présenté en Conseil des ministres un projet de loi « renforçant les dispositions relatives à la lutte contre le terrorisme » qui doit être examiné par les députés de la commission des lois avant la fin juillet.
« Le texte vise à répondre à l’évolution de la menace en intensité, car le creuset syrien alimente une menace sans commune mesure avec ce qu’on a connu, par le nombre, par la façon d’agir diffuse et par la prégnance du numérique », explique-t-on au ministère de l’intérieur. Selon la Place Beauvau, 800 Français et résidents français seraient en Syrie, en seraient revenus ou souhaiteraient y aller, dont 300 au combat. La raison avancée peut surprendre quand on connaît par ailleurs le soutien politique et l’aide militaire que le gouvernement français apporte en sous-main aux rebelles combattant le régime de Damas, véritables alliés diplomatiques de la France. La cible djihadiste semble bien n’être qu’un simple prétexte pour renforcer à nouveau les dispositifs sécuritaires en vigueur dans un contexte d’aggravation de la crise et de montée en force de la contestation sociale. En effet, si les lois antiterroristes déjà promulguées ont fait la preuve de leur inefficacité pour combattre le terrorisme, elles ont en revanche permis aux différents gouvernements de renforcer leur contrôle sur les populations en leur donnant des moyens de combattre plus efficacement les résistances à leurs politiques.
Les djihadistes au service du gouvernement français
La propagande du gouvernement et des médias français contre Bachar el-Assad a suscité de nombreuses vocations de djihadistes parmi les musulmans vivant en France. En restant passif face aux candidats au départ, le gouvernement a fait d’une pierre deux coups. Tout en continuant d’armer les insurgés syriens, il a laissé nos terroristes déstabiliser encore un peu plus la Syrie pour in fine provoquer la chute de Bachar el-Assad et la liquidation du dernier État laïque au Moyen Orient, conformément aux intérêts d’Israël et de ses alliés saoudiens. Et il s’est débarrassé de fanatiques, bien encombrants en France, en les envoyant ailleurs et en espérant ne jamais les revoir. Si le gouvernement s’inquiète aujourd’hui, c’est en effet surtout du retour de ces terroristes. Pour l’instant, les services de renseignement ne sont pas encore en alerte rouge car la plupart des djihadistes français sont encore dans le sens du départ et seulement un peu moins d’une centaine sont déjà revenus. Mais la menace est déjà présente. Un projet imminent d’attentat sur la Côte d’Azur, préparé par un homme de retour du djihad en Syrie, a heureusement été déjoué fin mars par les services antiterroristes français. Mais on ne peut en dire autant de la fusillade de Bruxelles qui a fait de nombreuses victimes, montrant l’impossibilité de surveiller efficacement les terroristes. Et cette nouvelle loi ne résoudra pas ce problème, loin des ambitions affichées.
Une des mesures du projet de loi a pour finalité d’empêcher les départs de dijihadistes de la France pour la Syrie. Le ministère de l’intérieur pourra interdire la sortie du territoire à un Français pour lequel il a « des raisons de croire qu’il projette des déplacements à l’étranger (…) dans des conditions susceptibles de le conduire à porter atteinte à la sécurité publique lors de son retour sur le territoire français ». Environ 200 personnes pourraient être concernées. Plusieurs obstacles peuvent cependant apparaître. Comment prouver, avant même le départ, que la personne sera un danger au retour ? Comment contrôler le déplacement des ressortissants français à l’intérieur de l’espace Schengen ? L’escapade est facile : il suffit de prendre un bus à la porte de Bagnolet à destination d’Istanbul, où les Européens ne sont pas astreints à visas, avant de rejoindre la frontière syro-turque et les nombreuses infrastructures mises en place par les rebelles. Et si l’apprenti-djihadiste est surveillé, il pourra toujours éviter les transports en commun en prenant la route. Rien donc qui puisse freiner les déplacements de djihadistes vers la Syrie. Et pour ce qui est du retour en France, la situation est aussi à l’avantage des djihadistes : considérant qu’il faut mobiliser quinze personnes pour suivre un suspect 24 heures sur 24, les 3000 fonctionnaires français du contre-espionnage y suffiraient à peine. Les défaillances policières dans le suivi de Merah avant les tueries de Toulouse et Montauban rappellent à quel point la surveillance des djihadistes est de toute façon délicate.
Flicage d’Internet et surveillance accrue
Le projet de loi est en revanche beaucoup plus efficace pour ce qui est de la surveillance sur Internet en permettant sans décision d’un juge le blocage administratif des sites faisant l’apologie du terrorisme ou incitant à commettre des actes terroristes. L’apologie du terrorisme, comme l’apologie des crimes de guerre, est aujourd’hui réprimée par la loi sur la presse de 1881 qui encadre la liberté d’expression en France. Le texte prévoit de sortir de ce périmètre législatif les délits de « provocation aux actes de terrorisme » et d’« apologie du terrorisme », pour les intégrer dans un article spécifique du code pénal, considérant qu’il ne s’agit pas « d’abus de la liberté d’expression (…) mais de faits qui sont directement à l’origine d’actes terroristes », afin de donner davantage de pouvoirs aux enquêteurs travaillant sur ces dossiers notamment pour infiltrer des réseaux et avoir recours à des écoutes et des sonorisations. Le texte prévoit aussi la possibilité d’un blocage administratif – imposé aux fournisseurs d’accès à Internet – des sites faisant l’apologie du terrorisme. Une mesure qui s’inspire des dispositions prévues pour les sites pédopornographiques et qui, à défaut d’être efficace, constituerait une entrave de plus à la liberté d’expression. Les sanctions seraient également renforcées en particulier quand les faits sont commis sur Internet pour tenir compte de son effet démultiplicateur. Mais elles s’appliqueraient à une infraction dont les contours sont toujours aussi flous : la définition du groupe terroriste donnée par L’Union Européenne est en effet assez large pour permettre la répression d’actions syndicales ou politiques non-violentes (grève illégale, blocage de systèmes informatiques, occupation de routes, de bâtiments publics ou privés pour manifester) : « association structurée, de plus de deux personnes, établie dans le temps et agissant de façon concertée en vue de commettre des infractions terroristes (…) visant à menacer un ou plusieurs pays, leurs institutions ou leur population avec l’intention d’intimider ces derniers et de modifier ou détruire les structures politiques, sociales et économiques de ces pays ». Reposant sur la notion d’intentionnalité (visant à), elle permet en outre une répression préventive, en l’absence de toute commission d’actes, sur la seule base de l’appartenance à un groupe contestataire.
On retrouve cette dimension préventive dans l’article 5 du projet de loi qui crée la notion d’« entreprise individuelle terroriste ». Avec, en filigrane, la peur du « loup solitaire » capable de planifier des attentats terroristes et qui devra être arrêté avant même la commission des actes. L’article 12 du texte renforce l’arsenal anti-contestation en modifiant la loi qui réprime « l’accès frauduleux à un système de données automatisées » – en clair, les piratages et tentatives de piratage. Ces faits pourront désormais être considérés comme commis « en bande organisée », ce qui met à la disposition des enquêteurs l’ensemble des moyens de la lutte contre le crime organisé. Rappelons qu’en France, l’une des rares « attaques » informatiques qui auraient pu entrer dans le champ de cet article a eu lieu début 2012, lorsque quelques dizaines de personnes avaient participé à une action de blocage de sites Internet d’EDF pour protester contre l’utilisation d’énergie nucléaire, sous la bannière du mouvement informel Anonymous…
Ce nouveau projet de loi s’ajoute à une montagne de textes qui ont successivement criminalisé la contestation sociale tout en rabotant les libertés publiques et la protection du citoyen contre l’intrusion de l’État. Rappelons que l’actuel gouvernement, après avoir promulgué une énième loi antiterroriste dans le sillage de l’affaire Merah pénalisant le simple séjour dans un camp d’entraînement jihadiste ou la consultation de certains sites Internet, a autorisé par le projet de loi de programmation militaire la captation des données numériques de dizaines de milliers de personnes par an, en dehors de toute action judiciaire et sans aucune autorisation auprès de la CNCIS (Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité), sous le prétexte de guerre contre "le terrorisme". Peuvent être mobilisées à cette fin, non seulement les forces de l’ordre mais également toute la «communauté du renseignement», de l’Intérieur à la Défense, en passant par Bercy, pour éplucher tout ce que conservent et traitent les opérateurs d’Internet et de téléphonie « y compris les données techniques relatives à l’identification des numéros d’abonnement , mais aussi « à la localisation des équipements terminaux utilisés », sans parler bien sûr de « la liste des numéros appelés et appelant, la durée et la date des communications », les fameuses « fadettes » (factures détaillées). Bref, les traces des appels, des SMS, des mails… Rappelons que l’adoption du projet par le Sénat s’est faite malgré une forte mobilisation des acteurs du numérique et sans consultation de la CNIL.
La finalité de cette nouvelle loi antiterroriste comme des précédentes est de renforcer la surveillance des communications et des déplacements et de réduire les garanties du justiciable face à l’appareil d’État. La cible djihadiste n’est encore qu’un prétexte pour alourdir un arsenal législatif déjà considérable qui, loin de réduire la menace terroriste, servira à museler la contestation sociale et politique croissante face aux politiques d’austérité menées par le gouvernement.
http://bourgoinblog.wordpress.com/2014/07/09/antiterroris...
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11/07/2014
France propagande raciste : Des terroristes ont essayé de faire exploser la tour Eiffel et le Louvre
Que vient faire cet article dans la presse aujourd'hui, alors que les faits remonteraient à 2013 ?
Les banskters qui gouvernent la France se prépareraient-ils à nous organiser un attentat sous fausse bannière pour nous occuper l'esprit, faire monter le racisme en France et provoquer la guerre civile pour masquer leur corruption et la ruine de la France par les banksters y compris européens?
Comme par hasard ce serait toujours des terroristes musulmans qui seraient liés à ces supposées affaires de terrorisme.
Nul besoin d'aller chercher les terroristes parmi les gens du peuple, car les premiers terroristes corrompus, nous les avons parmi les Banksters , au sein de certains gouvernements, et en France particulièrement auprès des Rothschild, du CRIF, des lobbies sionistes, parmi les députés avec le sioniste Mayer Habib qui a appelé sur Facebook au génocide du Peuple Palestinien et qui a reçu 5000 j'aime !
Source : Islamic-Intelligence : Appels au génocide de la population Palestinienne et à l'épuration ethnique dans l'entité sioniste. Là, il faut faire le lien également avec les provocations racistes en France ou le CRIF-likud a donne l'ordre aux flicailles et autres identitaires, le FN d'Aliot d'allumer une guerre civile anti-Arabe et anti-Algerienne. Ceci afin d'obtenir les suffrages et le soutien des 'populations occidentales' durant le nettoyage ethnique. Lisez cela et faites le tourner, c'est le travail de Habib Meyer, Netanyahu, Cukierman, Sarkozy et Hollande.. Voir le lien ci-dessous :
Israeli Lawmaker Ayelet Shaked Calls for Genocide of Palestinians, Gets 5,000 Facebook ‘Likes’
http://morallowground.com/2014/07/10/israeli-lawmaker-aye.../
Des terroristes ont essayé de faire exploser la tour Eiffel et le Louvre
Les forces de l’ordre ont pu intercepter une correspondance entre un malfaiteur algérien âgé de 29 ans, connu sous le surnom d’Ali M avec un membre d’Al Qaïda concernant l’organisation des explosions.
Ali M proposait d'organiser des explosions sur la tour Eiffel, et au musée du Louvre, prévoyant également une attaque terroriste au Festival d'Avignon, « où des milliers de chrétiens se rassemblent au cours du mois » . Le terroriste indiquait dans la correspondance avec le membre d’Al Qaïda qu’un « lance-grenade suffira pour faire des dizaines de milliers de victimes ».
Les forces de l'ordre ont arrêté Ali M en juin 2013, un mois avant son départ pour l'Algérie, où il a devait suivre un entraînement terroriste.
Lire la suite: http://french.ruvr.ru/news/2014_07_10/Des-terroristes-ont...
03:21 Publié dans Arnaques, Mensonges, Propagande, Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, France/Israël/Elections, Sionisme, Oligarchie, LDJ | Lien permanent | | del.icio.us | | Imprimer | Digg | Facebook | | |
09/07/2014
L’UMP en faillite ? La blague…
Effectivement la bonne blague, lorsque l'on sait que ce sont la FED, les lobbies des banksters et autres multinationales qui financent les partis politiques, les associations dites caritatives, les syndicats, les fondations, la Franc-maçonnerie sioniste, etc... pour mieux pouvoir choisir et placer leurs pions VRP.
Voir extrait ci-dessous du livre : La créature de Jekyll Island: Tout sur l’histoire des banques - Edward Griffin à télécharger en PDF : ICI
"Lorsque l’on possède tout l’argent nécessaire pour s’offrir tous les petits plaisirs de la vie, que reste-t-il à acquérir ? Le pouvoir ! Les membres du cartel bancaire utilisent cette rivière de richesses pour se procurer le pouvoir à nos dépens. Ils achètent le monde avec ces argents. Ils contrôlent les sociétés et les institutions qui offrent leurs directions et leurs orientations à des gens qui dépendent, vivent et agissent en fonction de ces dernières. Sur le plan technique et en termes sociologiques, on les appelle des centres de pouvoirs. Ils achètent l’influence et le contrôle de leurs dirigeants. Ce qui signifie qu’ils achètent des politiciens, des partis politiques, des réseaux de télévision, des réseaux câblés, des journaux, des magazines, des agences de publicité, des agences de presse, des studios cinématographiques, des universités, des syndicats de travailleurs, des organismes religieux, des associations commerciales, des institutions à but non lucratif, des sociétés multinationales, des mouvements de scoutisme pour garçons et filles, et ainsi de suite. N’importe quel groupe qui exerce une influence constitue une cible parfaite pour accroître ce contrôle. Et plus précisément ceux qui s’opposent à eux. Ce phénomène existe dans la plupart des pays industrialisés. Il est absolu dans plusieurs pays en voie de développement. Ils ont acheté ces pays.
Ne vous est-il jamais arrivé de vous questionner ce qui se passe dans les bureaux de la World Bank et des Fonds monétaires internationaux ? Vous constaterez que le Congrès autorise de temps en temps un autre prêt ou un don de 100 milliards de dollars à un petit pays. Il affirme qu’il agit ainsi pour accroître le niveau de vie de ce dernier. Pouvez-vous le croire ? Si vous observez toutes les nations qui, au cours des dernières décennies, ont reçu de l’aide, pouvez-vous en trouver une seule dont le niveau de vie de ses citoyens a augmenté. Dans la plupart des cas, c’est tout le contraire. La raison est simple. L’argent ne servait pas à cela. On ne remet pas l’argent aux gens ni aux entreprises. On le donne plutôt aux politiciens et aux gouvernements pour consolider leurs mécanismes de contrôle des gens. Ils n’ont rien à faire du bien-être de leurs gens. Leur propre confort prime. L’idéologie ne veut rien dire pour eux. Le socialisme, le capitalisme, le communisme, le fascisme, n’ont aucune signification. Tout ce qu’ils désirent c’est l’argent. Il est choquant de constater qu’en Amérique du Nord nous devons traiter avec les 2e et 3e générations de familles sur l’aide sociale. En plus, le système actuel a créé parmi les gouvernements du tiers monde, une deuxième et troisième génération d’assistés sociaux. Ils sont dépendants. Ils ne sauraient que faire sans cet argent. Ils sont maintenant en place dans l’ordre mondial."
Donc pas de souci à se faire, Rothschild et la FED allongeront la monnaie pour maintenir en place aussi longtemps que possible leurs pions/VRP du Nouvel Ordre Mondial !
L’UMP en faillite ? La blague…
Les grands donneurs de leçons sur l’économie que sont mes excellents confrères Copé et Sarko n’ont pas fini de nous faire rire avec leurs savantes explications sur la lutte contre la dette, ou le respect du patron maître dans son entreprise. Leur gestion de l’UMP ou de la campagne électorale de 2012 est un véritable chef d’œuvre de gabegie, d’amateurisme et de copinage. Ils sont nuls. Oki.
Mais l’UMP n’est pas en faillite et loin de là. Fin 2013, l’endettement était de 79,1 millions d’euros fin 2013, et au premier juillet, le chiffre a été ramené à 74,5 millions d’euros. Donc dans le bon sens. La somme est considérable, car elle correspond sensiblement à deux années de budget, mais tout va mieux dès qu’on arrête le délire dépensier. Les chiffres que publie la presse sur le train de vie de ces messieurs dames sont assez hallus…
L’UMP est propriétaire de ses locaux, une garantie de premier ordre, même si le remboursement n’est pas achevé. Elle perçoit chaque année 20 millions de l’Etat, au titre du financement public, et en se constituant partie civile dans l’affaire Bygmalion, elle va pouvoir réclamer les 15 (ou 17) millions que le Parti n’aurait jamais du payer car il s’agissait de dépenses de la campagne électorale de Sarko. C’est donc de bon ton de crier à la panique, mais c’est de la fumée, et une belle occasion de virer les réseaux Copé-Sarko.
Et puis l’UMP a tout intérêt à tenir, car elle a un carnet de commandes prometteur pour les trois ans qui viennent, dès lors que le parti redevient un minimum raisonnable : régions, département, Séant, présidence et Assemblée.
Le seul obstacle à ces victoires n’est pas le PS, embourbé, ni le FN, de gag de la gonflette, mais Sarko, qui veut redevenir Président de la République. Politiquement, celui qui a fait perde toutes les élections à la Droite depuis 2012, perd inexorablement des points dans les sondages, et se reprend en pleine face le contrecoup judicaire de ses méthodes de despérados…
L’UMP finie et en faillite ? On en reparle en 2017…
http://lesactualitesdudroit.com/2014/07/08/lump-en-failli...
10:16 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Arnaques, Mensonges, Propagande, Banques, Banksters, Paradis fiscaux, Dollar, Bours, Bildenberg Group, Grand Reset Mondial, Davos, Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, France/Israël/Elections, Les Illuminati-Reptiliens, Les Lobbies et la Politique, Les Maîtres du Monde, Les Sociétés Secrètes, Rockfeller, Rothschild, Mafia Kazhar, Sionisme, Oligarchie, LDJ | Lien permanent | | del.icio.us | | Imprimer | Digg | Facebook | | |
08/07/2014
La partition de l'Irak et la prise de la Palestine occidentale sont la réalisation d'un complot sioniste datant des années 80
On comprend mieux le false-flag organisé par les sionistes lors des attentats du 11 septembre 2001 aux USA ? Il fallait aussi un prétexte pour aller attaquer l'Irak et lui enlever toutes ses richesses y compris toutes les traces de la civilisation sumérienne qui aurait pu compromettre l'origine véritable des reptiliens-sionistes, tant il est vrai que les musées et les sites archéologiques ont été détruits durant la période d'occupation.
Voir le précédent article ci-dessous :
Lundi 30 juin 2014
La partition de l'Irak est la réalisation d'un complot sioniste datant des années 80
Son auteur, Oded Yinon travailla au ministère des Affaires étrangères d'Israël. Le texte fut révélé au monde par Israel Shahak qui fut le président de la ligue israélienne des droits de l’homme.
Le texte entier par ce lien en Anglais : http://cosmos.ucc.ie/cs1064/jabowen/IPSC/articles/article0005345.html et ICI http://antiisgood.wordpress.com/tag/syria/
Extrait : "Je me souviens très bien (avant j'étais «en opposition»), la nécessité de la guerre que l'on m'avait expliquée à moi et à d'autres, un an avant la guerre de 1956, et la nécessité de conquérir "le reste de la Palestine occidentale quand nous en aurons l'occasion" cela a été expliqué dans les années 1965-1967."
« La reconquête du Sinaï, avec ses ressources actuelles, est un objectif prioritaire que les accords de Camp David et les accords de paix empêchaient jusqu’ici d’atteindre (…) Privés de pétrole et des revenus qui en découlent, condamnés à d’énormes dépenses en ce domaine, il nous faut impérativement agir pour retrouver la situation qui prévalait dans le Sinaï avant la visite de Sadate et le malheureux accord signé avec lui en 1979.
La situation économique de l’Égypte, la nature de son régime, et sa politique panarabe, vont déboucher sur une conjoncture telle qu’Israël devra intervenir…
L’Égypte, du fait de ses conflits internes, ne représente plus pour nous un problème stratégique, et il serait possible, en moins de 24 heures, de la faire revenir à l’état où elle se trouvait après la guerre de juin 1967. Le mythe de l’Égypte « leader du monde arabe » est bien mort (…) et, face à Israël et au reste du monde arabe, elle a perdu 50% de sa puissance. À court terme, elle pourra tirer avantage de la restitution du Sinaï, mais cela ne changera pas fondamentalement le rapport de force. En tant que corps centralisé, l’Égypte est déjà un cadavre, surtout si l’on tient compte de l’affrontement de plus en plus dur entre musulmans et chrétiens. Sa division en provinces géographiques distinctes doit être notre objectif politique pour les années 1990, sur le front occidental.
Une fois l’Égypte ainsi disloquée et privée de pouvoir central, des pays comme la Libye, le Soudan, et d’autres plus éloignés, connaîtront la même dissolution. La formation d’un État copte en Haute-Égypte, et celle de petites entités régionales de faible importance, est la clef d’un développement historique actuellement retardé par l’accord de paix, mais inéluctable à long terme.
En dépit des apparences, le front Ouest présente moins de problèmes que celui de l’Est. La partition du Liban en cinq provinces (…) préfigure ce qui se passera dans l’ensemble du monde arabe. L’éclatement de la Syrie et de l’Irak en régions déterminées sur la base de critères ethniques ou religieux, doit être, à long terme, un but prioritaire pour Israël, la première étape étant la destruction de la puissance militaire de ces États.
Les structures ethniques de la Syrie l’exposent à un démantèlement qui pourrait aboutir à la création d’un État chiite le long de la côte, d’un État sunnite dans la région d’Alep, d’un autre à Damas, et d’une entité druze qui pourrait souhaiter constituer son propre État —peut-être sur notre Golan— en tout cas avec l’Houran et le Nord de la Jordanie. (…) Un tel État serait, à long terme, une garantie de paix et de sécurité pour la région. C’est un objectif qui est déjà à notre portée.
Riche en pétrole, et en proie à des luttes intestines, l’Irak est dans la ligne de mire israélienne. Sa dissolution serait, pour nous, plus importante que celle de la Syrie, car c’est lui qui représente, à court terme, la plus sérieuse menace pour Israël. Une guerre syro-irakienne favoriserait son effondrement de l’intérieur, avant qu’il ne soit en mesure de se lancer dans un conflit d’envergure contre nous. Toute forme de confrontations inter-arabe nous sera utile et hâtera l’heure de cet éclatement. (…) Il est possible que la guerre actuelle contre l’Iran précipite ce phénomène de polarisation.
« La reconquête du Sinaï, avec ses ressources actuelles, est un objectif prioritaire que les accords de Camp David et les accords de paix empêchaient jusqu’ici d’atteindre (…) Privés de pétrole et des revenus qui en découlent, condamnés à d’énormes dépenses en ce domaine, il nous faut impérativement agir pour retrouver la situation qui prévalait dans le Sinaï avant la visite de Sadate et le malheureux accord signé avec lui en 1979.
La situation économique de l’Égypte, la nature de son régime, et sa politique panarabe, vont déboucher sur une conjoncture telle qu’Israël devra intervenir…
L’Égypte, du fait de ses conflits internes, ne représente plus pour nous un problème stratégique, et il serait possible, en moins de 24 heures, de la faire revenir à l’état où elle se trouvait après la guerre de juin 1967. Le mythe de l’Égypte « leader du monde arabe » est bien mort (…) et, face à Israël et au reste du monde arabe, elle a perdu 50% de sa puissance. À court terme, elle pourra tirer avantage de la restitution du Sinaï, mais cela ne changera pas fondamentalement le rapport de force. En tant que corps centralisé, l’Égypte est déjà un cadavre, surtout si l’on tient compte de l’affrontement de plus en plus dur entre musulmans et chrétiens. Sa division en provinces géographiques distinctes doit être notre objectif politique pour les années 1990, sur le front occidental.
Une fois l’Égypte ainsi disloquée et privée de pouvoir central, des pays comme la Libye, le Soudan, et d’autres plus éloignés, connaîtront la même dissolution. La formation d’un État copte en Haute-Égypte, et celle de petites entités régionales de faible importance, est la clef d’un développement historique actuellement retardé par l’accord de paix, mais inéluctable à long terme.
En dépit des apparences, le front Ouest présente moins de problèmes que celui de l’Est. La partition du Liban en cinq provinces (…) préfigure ce qui se passera dans l’ensemble du monde arabe. L’éclatement de la Syrie et de l’Irak en régions déterminées sur la base de critères ethniques ou religieux, doit être, à long terme, un but prioritaire pour Israël, la première étape étant la destruction de la puissance militaire de ces États.
Les structures ethniques de la Syrie l’exposent à un démantèlement qui pourrait aboutir à la création d’un État chiite le long de la côte, d’un État sunnite dans la région d’Alep, d’un autre à Damas, et d’une entité druze qui pourrait souhaiter constituer son propre État —peut-être sur notre Golan— en tout cas avec l’Houran et le Nord de la Jordanie. (…) Un tel État serait, à long terme, une garantie de paix et de sécurité pour la région. C’est un objectif qui est déjà à notre portée.
Riche en pétrole, et en proie à des luttes intestines, l’Irak est dans la ligne de mire israélienne. Sa dissolution serait, pour nous, plus importante que celle de la Syrie, car c’est lui qui représente, à court terme, la plus sérieuse menace pour Israël. Une guerre syro-irakienne favoriserait son effondrement de l’intérieur, avant qu’il ne soit en mesure de se lancer dans un conflit d’envergure contre nous. Toute forme de confrontations inter-arabe nous sera utile et hâtera l’heure de cet éclatement. (…) Il est possible que la guerre actuelle contre l’Iran précipite ce phénomène de polarisation.
La Péninsule arabique toute entière est vouée à une dissolution du même genre, sous des pressions internes. C’est le cas en particulier de l’Arabie saoudite : l’aggravation des conflits intérieurs et la chute du régime sont dans la logique de ses structures politiques actuelles.
La Jordanie est un objectif stratégique dans l’immédiat. À long terme, elle ne constituera plus une menace pour nous après sa dissolution, la fin du règne de Hussein, et le transfert du pouvoir aux mains de la majorité palestinienne.
C’est à quoi doit tendre la politique israélienne. Ce changement signifiera la solution du problème de la rive occidentale, à forte densité de population arabe.
L’émigration de ces Arabes à l’Est —dans des conditions pacifiques ou à la suite d’une guerre— et le gel de leur croissance économique et démographique, sont les garanties des transformations à venir. Nous devons tout faire pour hâter ce processus. Il faut rejeter le plan d’autonomie, et tout autre qui impliquerait un compromis ou une participation des territoires, et ferait obstacle à la séparation des deux nations : conditions indispensables d’une véritable coexistence pacifique.
Les Arabes israéliens doivent comprendre qu’ils ne pourront avoir de patrie qu’en Jordanie (…) et ne connaîtront de sécurité qu’en reconnaissant la souveraineté juive entre la mer et le Jourdain. (…) Il n’est plus possible, en cette entrée dans l’ère nucléaire, d’accepter que les trois quarts de la population juive se trouve concentrée sur un littoral surpeuplé et naturellement exposé ; la dispersion de cette population est un impératif majeur de notre politique intérieure. La Judée, la Samarie, et la Galilée, sont les seules garanties de notre survie nationale. Si nous ne devenons pas majoritaires dans les régions montagneuses, nous risquons de connaître le sort des Croisés, qui ont perdu ce pays.
Rééquilibrer la région sur le plan démographique, stratégique et économique, doit être notre principale ambition ; ceci comporte le contrôle des ressources en eau de la région qui va de Beer Sheba à la Haute-Galilée et qui est pratiquement vide de juifs aujourd’hui. »
Références :
« This essay originally appeared in hebrew in KIVUNIM (Directions), A journal for Judaism and Zionism ; Issue N°14 – Winter, 5742, February 1982. Editor : Yoram Beck. Editorial Committee : Eli Eyal, Yoram Beck, Amnon Hadari, Yohanan Manor, Elieser Schweid. Published by the Department of Publicity/The World Zionist Organization, Jerusalem. »
http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2014/06/la-pa...
16:47 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Arnaques, Mensonges, Propagande, Conspiration mondiale, Conspiration, Complot, Corruption, Franc-Maçonnerie & Jésuites Lucifériens, Irak, Les Projets des Maîtres du Monde, Propagande raciste, Rothschild, Mafia Kazhar, Sionisme, Oligarchie, LDJ, USA, Israël | Lien permanent | | del.icio.us | | Imprimer | Digg | Facebook | | |
Gaza : le gouvernement israélien autorise le rappel de 40.000 soldats réservistes
Et ils vont nous faire quoi ? Que tout ce tremblement de terre organisé avec un contingent supplémentaire de 40 000 réservistes serait simplement rassemblé pour aller donner une leçon de morale aux Palestiniens pour avoir soi-disant enlevé et tué 3 israéliens dans le cadre du false-flag orchestré par le Mossad lui-même ? Ou c'est pour aller s'accaparer les réserves de GAZ à GAZA ?
GAZ/A le gouvernement israélien autorise le rappel de 40.000 réservistes
Israël a autorisé le rappel de 40.000 réservistes en prévision d’une possible offensive terrestre contre la bande de Gaza, ont rapporté mardi des médias israéliens.
Cette décision a été prise par le cabinet de sécurité dirigé par Benjamin Netanyahu quelques heures après que l’armée a lancé une vaste attaque aérienne contre le Hamas palestinien à Gaza pour faire cesser les tirs de roquettes visant le territoire israélien.
Un haut responsable israélien a indiqué mardi à l’AFP que l’armée était prête à toutes les options, y compris une offensive terrestre pour stopper ces tirs.
«L’armée prépare une série d’options, y compris une invasion ou une offensive terrestre», contre l’enclave palestinienne contrôlée sur le plan sécuritaire par le mouvement islamiste Hamas, a-t-il ajouté sous le couvert de l’anonymat.
Un autre responsable a déclaré que l’armée avait reçu des instructions «pour préparer les différentes alternatives militaires pour être prête le cas échéant».
«Les attaques aériennes que nous avons menées ne constituent qu’une étape. L’opération n’a pas de limite de temps», a prévenu un porte-parole de l’armée, Peter Lerner.
L’armée israélienne a lancé depuis 2006 plusieurs offensives dans la bande de Gaza. La dernière a duré du 14 au 21 novembre 2012 et fait 177 morts Palestiniens, en majorité des civils.
http://www.liberation.fr/monde/2014/07/08/gaza-le-gouvern...
16:10 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Arnaques, Mensonges, Propagande, Crimes contre l'humanité, Eugénisme, Israël, Palestine, Colonisation, Rothschild, Mafia Kazhar, Sionisme, Oligarchie, LDJ, USA, Israël | Lien permanent | | del.icio.us | | Imprimer | Digg | Facebook | | |