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23/10/2015

Les Etats-Unis auront un « Monsieur Terrorisme domestique » - contre les conservateurs et les chrétiens

La nouvelle liberté d'expression et de culte aux USA selon Obama !

Vous serez considérés comme étant des terroristes si vous êtes catholiques, juifs orthodoxes, chrétiens évangéliques  qui doivent être considérés comme des « extrémistes religieux » au même titre qu’Al-Qaeda, le Ku Klux Klan ou le Hamas…

Les Etats-Unis auront un « Monsieur Terrorisme domestique » – contre les conservateurs et les chrétiens

20 octobre 2015 14 h 30 min·

 

Etats-Unis Monsieur Terrorisme domestique conservateurs chrétiens

 

Aux Etats-Unis, on appelle cela un « czar » : un expert, un chargé de mission spécialement désigné par l’exécutif pour une tâche précise. Un nouveau « czar » va donc être nommé prochainement à l’initiative du Département de la Justice de l’administration Obama : un « Monsieur Terrorisme domestique », chargé de coordonner la lutte contre les affaires de terrorisme à l’intérieur du territoire des Etats-Unis. Cela peut sembler une bonne idée à l’heure où la menace du terrorisme est réelle et d’ailleurs aggravée par le jeu politique des Américains. Mais la presse conservatrice y voit aussi un outil pour la surveillance et la mise au pas des opposants politiques, les conservateurs et les chrétiens.
 
Il ne s’agit pas là d’un épouvantail agité pour discréditer la juste lutte contre le terrorisme. En effet, pour nommer son « Monsieur Terrorisme domestique », le ministère de la Justice américain et son « Attorney general » Loretta Lynch sont en partenariat avec le Southern Poverty Law Center (SPLC), une organisation « antiraciste » qui cultive la haine à l’égard du christianisme et de ses positions traditionnelles contre l’avortement, les droits LGBT : en un mot, sa lutte contre la culture de mort.

 

Le « Monsieur Terrorisme domestique » des Etats-Unis mis en place par l’administration Obama


Ce n’est donc pas le terrorisme islamique qui est visé, mais très expressément « la violence et le terrorisme motivé par l’extrémisme de droite », comme le souligne le site du SPLC. Il précise même que les attentats du 11-septembre ont « focalisé » l’attention sur des groupes étrangers comme Al-Qaeda, « laissant largement de côté le terrorisme domestique ». « Depuis lors, nous avons assisté à une forte résurgence de la droite radicale. Et ainsi que nous l’avons vu ces dernières années – dans le Wisconsin, à Kansas, et particulièrement à Charleston cet été – cette résurgence a donné lieu à une montée significative de la violence et des plans terroristes. »


Parmi les « points de vue répugnants » qu’il s’agit de traquer et de combattre, il y a « les positions anti-gouvernement, le racisme, le sectarisme (
bigotry), l’anarchie », comme l’a déclaré John P. Carlin, chargé de la sécurité par Obama au Département de la Justice lors d’une réunion sponsorisée notamment par le SPLC… « Bigotry », c’est le mot que l’on emploie aux Etats-Unis pour les partisans de toutes formes de « discrimination » selon sa définition moderne.


Rappelant que la parole est libre aux Etats-Unis, il a déclaré que « l’on traverse trop souvent la ligne entre paroles et actes », déplorant la montée du « suprémacisme blanc » ou de « l’idéologie du citoyen souverain » qui se croit au-dessus de la loi  (et des impôts).


Partenariat avec le Southern Poverty Law Center, notoirement hostile aux conservateurs et aux chrétiens

 
Dans la ligne de mire : Internet, les réseaux sociaux, les communications cryptées. Il s’agira donc d’abord de « rendre responsables » les fournisseurs d’Internet des abus de leurs systèmes de communications qui diffusent ces appels à la haine et à la violence, et d’impliquer les communautés locales qui sont souvent les premiers témoins de la « radicalisation », et de se servir des médias sociaux pour donner aux jeunes une « vision positive » – ces jeunes qu’il s’agit de « désengager et de réhabiliter ».
 
L’ennui avec ces nobles objectifs est bien de s’en saisir pour dénoncer la « haine » et la « violence » selon leur définition modifiée : celle qui voit dans l’affirmation d’une morale traditionnelle le début du terrorisme. Cela permet de rejeter dans une même opprobre des vrais partisans de la violence raciste et les tenants d’une vision chrétienne de la société, voire ceux qui critiquent l’islam.
 
The New Americanrappelle à cet égard que le Département de la Défense de l’administration Obama s’est fait prendre il y a deux ans alors qu’il organisait des sessions où des soldats américains apprenaient que les catholiques, les juifs orthodoxes et les chrétiens évangéliques doivent être considérés comme des « extrémistes religieux » au même titre qu’Al-Qaeda, le Ku Klux Klan ou le Hamas…
 
Ironie de l’histoire, le SPLC a lui-même été impliqué dans une affaire de « terrorisme domestique » avéré – l’un des rares qui ait été effectivement répertorié ces dernières années – avec l’attaque d’un activiste homosexuel qui a invoqué les positions du centre « antiraciste » pour expliquer son irruption dans le Family Research Center (organisme conservateur de promotion de la famille) à Washington avec l’intention de massacrer des employés.


Anne Dolhein

 

L'Islande, ce pays qui n'a pas peur d'envoyer les banquiers en prison

Aux USA et en Europe, ce sont les Banksters qui choisissent leurs représentants politiques pour placer leurs pions aux gouvernements !

Ils ne risquent pas d'être délogés de leurs postes, ni les uns et ni les autres !

 

L’Islande, ce pays qui n’a pas peur d’envoyer les banquiers en prison

22 oct. 2015, 21:07

Le pays fait figure d'exemple dans la lutte contre la délinquance financière.

Source: Reuters

Le pays fait figure d'exemple dans la lutte contre la délinquance financière.

La petite île de l’Atlantique-nord a condamné vingt-six banquiers à des peines de prison fermes pour leurs rôles dans la crise financière.

C’est un contraste saisissant entre d’un côté des responsables américains et européens peu inquiétés après la crise et la manière dont l’Islande traite ses propres cas. Vingt-six «banksters» verront les portes des pénitenciers de l’île. Pour la majorité des cas, les peines vont de deux à cinq ans. En Islande, la sentence maximum pour délit financier est de six ans.

Manipulations et … condamnations

Les délinquants en col blanc ont été jugés pour des manipulations du marché financier islandais. Le pays avait dérégulé son secteur financier en 2001. Une accumulation de dettes étrangères aggravée par la crise a conduit à une fusion de l'entièreté du secteur bancaire en 2008.

A propos de cette affaire, l’Iceland Magazine écrit : «Dans deux décisions séparées la semaine dernière, la Cour suprême d’Islande et la Cour fédérale de Reykjavik ont condamné trois cadres supérieurs de Landsbankinn et deux top managers de Kaup þ Ing pour des crimes commis peu avant le krach financier de 2008. Avec ces décisions, le nombre d’acteurs de la finance impliqués dans la crise et punis par la justice se montent à 26 pour des peines accumulées portant à 74 ans de prison.»

Des dettes massives ont été souscrites au nom du peuple islandais afin de permettre au pays de continuer à tourner. Il vient tout juste de rendre son argent au FMI. Certaines dettes sont en cours de remboursement à d’autres nations, huit ans après la terrible crise économique qui a frappé le pays. A l’inverse de la très grande majorité des pays occidentaux, la petite île a tenu à respecter la loi et à chatier ceux qui ont manipulé son système financier.

Les Etats-Unis souffrent grandement de la comparaison

Du côté de l’Oncle Sam, presque aucun des responsables de la crise financière de 2008 n’a été jugé coupable. Un comble lorsque l’on sait que les plus grandes fraudes financières ont été commises outre-Atlantique, fraudes qui ont participé grandement à l’effondrement économique mondial.

Au contraire, le Congrès a soutenu les banques en difficulté à hauteur de 700 milliards de dollars en faisant participer les contribuables américains.

Lorsque l’on demande au président islandais, Olafur Ragnar Grimmson, comment son pays se remet de l’hécatombe, voici sa réponse : «Nous avons été assez sages pour ne pas suivre l’exemple du monde financier occidental ces trente dernières années. Nous avons introduit le contrôle de notre monnaie, fourni de l’aide aux gens et n’avons pas mis en place de mesures d’austérité comme vous le voyez en Europe.»

 

La Chine aide la Russie à débloquer la Crimée

Bravo à la Chine et à la Russie !

Bien évidemment, les pourfendeurs des droits de l'Homme ONU/US/UE et Cie, trouvent normal après le coup d'état orchestré à KIEV par leurs bons soins, et l'adhésion légitime de la Crimée à la Fédération de Russie, de faire supporter les sanctions à la Russie et de priver la Crimée de moyens financiers et de l'énergie électrique pour se chauffer et s'éclairer, tout en autorisant KIEV à continuer à exercer ses menaces sur la Crimée. 

Par contre les USA continuent à aider le régime Nazi de KIEV !

Ambassade ukrainienne aux USA: Washington poursuivra son soutien à Kiev
10:51 23.10.2015

  • Président de l'Ukraine Petro Porochenko a rencontré US Air Force

Malgré le veto que Barack Obama a mis au projet de budget de la Défense américain, l'aide des Etats-Unis à Kiev, notamment militaire, se poursuivra, affirme l'ambassade d'Ukraine à Washington.

Livraison d'armes à l'Ukraine

Le pont entre la Russie et la Crimée bientôt mis en service ?

Le pont du "chemin de la vie" qui reliera bientôt, la Russie à la Crimée pour éviter les sanctions et les représailles de Kiev !

La Chine aide la Russie à débloquer la Crimée

Tandis que la Russie est en train de construire le pont du détroit de Kertch pour assurer la communication terrestre (routière et ferroviaire) entre la Crimée et la Russie continentale, la Chine débloque les systèmes financier et énergétique de la péninsule, et tout ceci sans mot dire !

 

http://img.agoravox.fr/local/cache-vignettes/L300xH167/pont_fragment-2-7d5cb.jpg

http://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_du_d%C3%A9troit_de_Kertch

http://ru.wikipedia.org/wiki/Мост_через_Керченский_пролив (en russe, beaucoup plus détaillé)

La présentation vidéo du futur pont du détroit de Kertch :

 

Cartes de paiement

La Chine aide la Russie à débloquer la Crimée

Bien que l’économie de la République de Crimée soit parfaitement intégrée dans celle de la Russie, les habitants de la péninsule et surtout les touristes qui y arrivent ont des problèmes : dès fin décembre 2014 leurs cartes Visa et MasterCard ne sont pas valables sur ce territoire, grâce aux sanctions des États-Unis contre la Crimée.

http://www.bbc.com/russian/international/2014/12/141226_visa_mastercard_crimea

Le système national des cartes de paiement (NSPK) qui vient d’être adopté en Russie, ne peut pas résoudre ce problème, car n’importe quelle banque russe connectée à Visa ou à MasterCard, une fois qu’elle effectuerait une seule opération de paiement en Crimée, même moyennant NSPK, en serait instantanément déconnectée.

https://ru.wikipedia.org/wiki/Национальная_система_платёжных_карт

http://d-russia.ru/nspk-krymu-poka-ne-pomozhet.html

Mais voici une nouvelle toute chaude, de ce 20 octobre : le système chinois de cartes bancaires China UnionPay (CUP), accepté en Russie depuis septembre 2013 (et en France depuis 2006), se met à fonctionner sur la péninsule !

http://www.politnavigator.net/kitajj-prorval-zapadnuyu-blokadu-kryma.html

https://fr.wikipedia.org/wiki/China_UnionPay

http://ru.wikipedia.org/wiki/China_UnionPay

Vers le début 2015 ce système CUP qui a émis dans le monde entier 4 milliards de cartes bancaires, est parvenu au premier rang mondial en volume brut de transactions, ayant dépassé le Visa. Donc désormais pour les Criméens il prend la place de Visa et de MasterCard bannis de la péninsule.

Alimentation en énergie

Le projet d’indépendance énergétique de la Crimée comprend, entre autre, le mouillage sous le détroit de Kertch. Mais la Russie ne produit pas de câble sous-marin à 220 kV qui est nécessaire pour ce pont énergétique, et elle ne peut acheter non plus ce câble en Europe ou en États-Unis grâce aux sanctions imposées.

En mars 2015 la Russie a trouvé le fournisseur du câble en Chine : ce fut Jiangsu Hengtong HV Power System (HTGD). Le contrat de 5 milliards roubles a été conclu.

http://www.kommersant.ru/doc/2718391

Le 11 octobre le navire-dérouleur chinois JIAN JI 3001 est entré à un des ports de Kertch. La société propriétaire du navire est Shanghai Foundation Engineering Group Co., Ltd, spécialiste en construction des ponts, des tunnels et des voies ferrées. De fait c’est une subdivision de la Shanghai Urban Construction Corporation (SCG) qui a érigé presque tous les bâtiments de la ville Shanghai, l’une des plus grandes mégapoles du monde.

Le navire a pris soin d’atteindre le port de Kertch en cachette, pour ne pas produire d’esclandre, ayant légèrement changé (par mégarde, bien sûr) son numéro de bord, de sorte qu’il a été pris pour un bateau de pêche. De plus, son système d’identification automatique (SIA) s’est avéré débranché (suite à un endommagement, sans doute). Quoi qu’il en soit, en dehors du personnel à bord il a amené 60 spécialistes en déroulage et mouillage, tout aussi chinois, qui ont déjà reçu (par pure coïncidence) l’autorisation de la part du Service fédéral russe de migration de travailler en Russie. Le câble, lui, est arrivé par le chemin de fer.

Moyennant ce câble sous-marin, vers décembre 2015 la Crimée recevrait de la part de la Russie continentale de 300 à 400 MW, vers l’été 2016 - environ 850 MW, ce qui égalerait l’énergie provenant actuellement de l’Ukraine (qui n’en finit pas de menacer d’effectuer le blocus énergétique de la Crimée).

http://antifashist.com/item/kitajcy-rvut-energeticheskuyu-blokadu-kryma-ukraina-protestuet.html

Documents joints à cet article

La Chine aide la Russie à débloquer la CriméeLa Chine aide la Russie à débloquer la Crimée

 

Le 3ème Reich : Le Pacte avec le Diable. (Vidéo)

Le 3ème Reich : Le Pacte avec le Diable
Documentaire Choc !

Interdit au - de 10 ans

 

Chine: un pas important vers l'internationalisation du yuan. La fin du dollar ?

La fin du dollar dans les transactions internationales, approche !

Chine: un pas important vers l'internationalisation du yuan

17:53 22.10.2015

Yuan

 

Selon la directrice de l'Institut de l'économie mondiale de l'Académie chinoise des relations internationales contemporaines, le renminbi pourrait devenir une monnaie de réserve.

La Banque populaire de Chine (BPC) a lancé officiellement son propre centre opérationnel à Londres, et a mené simultanément à Pékin, à Londres et à Singapour une cérémonie d’émissions obligataires en yuan.

Pour la première fois, la bourse de Londres a vu des obligations libellées en yuan à l’automne 2013. Par la suite, la Banque industrielle et commerciale de Chine a levé 2 milliards de yuans à Londres qui pourraient être utilisés pour des opérations de crédit à l'étranger.

Un peu plus tard, un autre milliard a été investi dans la China Construction Bank.

Toutefois, ce n'est pas spécialement le montant qui impressionne, mais plutôt le fait que pendant chaque période de levée de fonds à la bourse de Londres, les demandes des investisseurs ont tout de suite surpassé les propositions des émetteurs.

Un tel intérêt est lié à plusieurs facteurs. Premièrement, cela est dû à la réussite de la Chine en tant que puissance commerciale mondiale. Deuxièmement, les actifs en yuan commencent à être attractifs face aux problèmes économiques dans la zone euro et aux Etats-Unis. Finalement, il faut noter la politique des autorités financières chinoises qui ont érigé le yuan en tant que l'une des plus importantes valeurs mondiales.

"L'internationalisation du yuan est une tendance qui se consolide petit à petit. Il y a également des accords entre la Chine et les Etats-Unis, et il est probable que les Etats-Unis examineront la question sur l'ouverture d’un centre de règlements en renminbi. Il est possible qu'un tel centre apparaisse à New York", a déclaré la directrice de l'Institut de l'économie mondiale de l'Académie chinoise des relations internationales contemporaines, Chen Fengyin, à Sputnik.

De même, selon elle, il n'y a plus de problème de décalage horaire, "auparavant, il existait ce problème dans le commerce offshore à cause du décalage horaire entre l'Asie et l'Europe. Actuellement, cette question n’est plus  — il n'y a pas de décalage horaire, cela a résolu un des problèmes liés à l'internationalisation du yuan. Cela permettra au yuan de devenir une monnaie de règlement."

En outre, Mme Chen a indiqué que la Chine avait émis à Londres des obligations souveraines pour un montant de 5 milliards de yuans et que cette monnaie était maintenant une composante des réserves de change du Royaume-Uni. Donc, selon la directrice, ceci est un grand pas pour transformer le yuan en monnaie de réserve.