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15/04/2011

Japon : Poème d'une élève de Fukushima

Merci de diffuser ce message poignant autour de vous, émanant d'une élève de Fukushima (Japon) qui est âgée seulement de 16 ans et qui est très lucide sur la situation que les Japonais vivent en ce moment, et sûrement pour de longues années encore. Elle dénonce les mensonges des médias, des experts et des politiques japonais.

Nous ne serons pas non plus épargnés par les radiations nucléaires, et nos politiques et nos experts ne valent pas mieux !

Le message sous la vidéo.

Chers amis, je voudrais publier ce poème poignant d'une élève de Fukushima (Japon), parce que c'est la vérité. La catastrophe japonaise dépasse l'imagination mais malheureusement elle est réelle. Elle touche nos familles, nos proches, nos amis mais elle touche aussi le monde entier.

Nous ne supportons plus les mensonges et l'aveuglement des hommes politiques et des pro-nucléaires! Nous voulons un monde viable pour nos enfants et leur descendance, un monde où la nature est respectée et où les valeurs humaines et l'honnêteté jouent le rôle le plus important.

Poème d'une élève de Fukushima
http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&am...


Calendrier Maya et la vague universelle de l'année 2011

 Pour vous aider à suivre les différentes étapes de la vague universelle que nous traverserons au cours de l'année 2011 pour arriver à la date du 28 octobre 2011, vous pourrez télécharger le tableau des dates clés, ci-dessous.

Pour vous remémorer l'article en entier portant sur le Calendrier Maya, le 9 mars 2011, l'aube de l'onde d'unité d'après Carl Johan Calleman, cliquez ICI.

 

Image1.JPG

 


14/04/2011

Un Ovni sur la ville de Kesennuma durant le tsunami qui engloutit la ville ?

Nous revenons sur notre article précédent, ICI, car l'un de nos lecteurs canadiens, nous signale avoir vu sur la vidéo ci-dessous, le passage étrange d'un objet s'agitant dans le ciel, au-dessus de l'immeuble en feu que l'on peut appercevoir à partir de 1 mn 40 de la vidéo.

Vérification faite, effectivement, nous constatons qu'il y a bien un objet qui s'agite dans le ciel au-dessus de l'immeuble en feu !

Regardez la vidéo ci-dessous et soyez attentifs à partir de 1 mn 40 jusqu'à 1 mn 50.

Ensuite vous regarderez l'image qui a été extraite de la vidéo.

Merci à Myck de nous l'avoir signalé pour que tout le monde puisse en profiter.

 

 Vidéo impressionnante du Tsunami au Japon

Une vidéo spectaculaire de la force de la nature : la ville de Kesennuma en train de se faire engloutir par le Tsunami. La rapidité du phénomène est impressionnante.



Voici l'image extraite de la vidéo
Cliquez sur l'image pour zoomer

ovni_japon.JPG


EISCAT SVALBARD RADAR : Un radar pour étudier l'atmosphère et l'ionosphère terrestre en zone polaire

Ben voyons !

Pour revenir sur l'article précédent, pour vous présenter ve copain du réseau Haarp, l'EISCAT qui a été cofinancé par le CNRS. Et où l'ont-ils construit ? Sur l'ile Svalbard, en Norvège !

Et que trouvons-nous déjà à Svalbard ?

Le coffre-fort de l'humanité - Pourquoi Bill Gates, Monsanto et Rockefeller ont-ils peur ?

Intéressant non ?

Il s'en passe des choses en Norvège, surtout lorsque l'on sait qu'un homme politique Norvégien a révélé l'existence de bases sous-terraines en Norvège pour mettre à l'abri les élites en prévision de l'arrivée de Nibiru  !

Planète X : La Norvège craint l'apocalypse

Les révélations d'un homme politique Norvégien
planete X.PDF

 

EISCAT SVALBARD RADAR : Un radar pour étudier l'atmosphère et l'ionosphère terrestre en zone polaire

5/7/96
Pour des informations complémentaires,
contacter les chercheurs, en cliquant ici


Le 22 août 1996, l'un des Très Grands Equipements cofinancé par le CNRS, le radar à diffusion incohérente " Eiscat Svalbard Radar" (ESR), sera inauguré sur l'île Svalbard, à 80¡ de latitude Nord. ESR est consacré à l'étude de la haute atmosphère et de l'ionosphère, et au couplage entre le Soleil et la Terre (interaction vent solaire/ magnétosphère terrestre). Les premiers tests d'observation de l'Eiscat Svalbard Radar ont eu lieu le 16 et le 17 mars 1996 et ont été concluants. Ce radar a été construit grâce à une collaboration entre l'Allemagne, la France, la Grande Bretagne, la Finlande, la Norvège et la Suède dans le cadre de l'association scientifique EISCAT (European Incoherent Scatter Scientific Association). Outre le radar de Svalbard, EISCAT est composé de deux antennes radar réceptrices situées à Kiruna en Suède et à SodankylŠ en Finlande et de deux antennes émettrices, réceptrices situées à Troms¿ en Norvège. En novembre 1995, le Japon avec le National Institute of Polar Research of Japan est devenu le septième membre de la Société EISCAT, ouvrant la perspective d'une seconde antenne sur l'île de Svalbard.

Le Soleil émet de la lumière dans une large gamme spectrale. Dans l'extrême ultraviolet, son rayonnement électromagnétique est assez énergétique pour arracher des électrons à l'oxygène et à l'azote de l'atmosphère, au-dessus de 80 km, créant ainsi l'ionosphère. Celle-ci sert à la fois de bouclier à la planète, et de réflecteur pour les communications radio entre les pays. Dans l'ionosphère naviguent en outre les satellites. Enfin, l'ionosphère constitue un laboratoire naturel de plasma (c'est-à-dire un mélange de gaz neutre et de gaz ionisé) difficile à étudier en laboratoire et qui constitue plus de 99 % de l'Univers.

En outre, le Soleil perd en permanence des électrons et des ions dans un flux appelé le " vent solaire ". En l'absence du vent solaire, le champ magnétique terrestre serait en première approximation celui du dipôle magnétique. L'impact du vent solaire avec le champ magnétique de la Terre produit un phénomène comparable au vent d'une soufflerie sur un obstacle : une onde de choc à l'avant, qui conduit les particules solaires à contourner la Terre à environ quinze rayons terrestres (96 000 km) de son centre. Notre planète se trouve donc confinée dans une cavité : la magnétosphère. Ecrasée sur la Terre par le vent solaire côté jour, cette magnétosphère s'étend en une longue queue magnétique de plusieurs dizaines de rayons terrestres côté nuit, où à environ trente rayons terrestres, les particules d'origine solaire se retrouvent en une zone encore mal connue. Une partie de ces particules est expulsée vers l'espace, le reste retournant vers la Terre. C'est par cette brèche que des électrons et des ions du vent solaire peuvent pénétrer dans la cavité magnétosphérique. Ils se rapprochent de la Terre jusqu'à ce que le champ géomagnétique devienne assez intense pour les piéger. Ils " spiralent " alors autour des lignes de force du champ et vont se précipiter dans l'atmosphère au niveau des pôles, sur un ovale situé typiquement entre 65 et 75 degrés de latitude. Au cours de ce retour vers la Terre, sous l'action conjointe (encore mal comprise) du champ magnétique et du champ électrique présents dans ces régions, ces électrons sont accélérés jusqu'à une dizaine de milliers de km/s. En s'engouffrant dans l'atmosphère, les particules entrent en collision avec celle-ci. Certaines collisions ionisent les atomes et les molécules, d'autres collisions réfléchissent les électrons et les ions vers l'autre hémisphère. Le troisième type de collisions, qui est le plus important quantitativement, concerne celles qui excitent le gaz neutre. Enfin, les électrons précipités et cascadés vont chauffer les électrons ambiants par friction dans des proportions considérables. Les ions, atomes et molécules excités reviennent à leur état d'équilibre en émettant du rayonnement, entre autres dans le visible. C'est le phénomène d'aurore polaire : boréale au nord, australe au sud.

Cependant, entre le côté jour et le côté nuit, les lignes de force du champ magnétique terrestre sont ouvertes sur l'espace interplanétaire. Les particules du vent solaire peuvent s'engouffrer dans ces " cornets polaires " et se précipiter vers l'atmosphère. C'est la seconde brèche dans la carapace magnétique terrestre. En outre, dans ces régions, des ions de la haute atmosphère peuvent s'échapper de la magnétosphère. Cette région reste jusqu'à ce jour relativement mal connue.

Un effort sans précédent a été engagé pour comprendre ces phénomènes physiques et les mécanismes qui en sont à l'origine, EISCAT et l'Eiscat Svalbard Radar (ESR) étant une composante indispensable de cet effort international.

Eiscat Svalbard Radar consiste en une antenne de 32 m de diamètre et en un émetteur/récepteur à environ 500 MHz, qui permettra d'étudier l'ionosphère entre 70 et 2000 km d'altitude sur une bande de dix degrés de latitude. Il délivrera une puissance de 500 kW en des impulsions de quelques dizaines de micro secondes. Cette onde électromagnétique, en traversant le plasma ionosphérique, met en mouvement les électrons, qui réémettent une onde (onde diffusée). La connaissance de la distribution en fréquence de la puissance (le spectre en fréquence) de l'onde diffusée, permet de déduire les paramètres du plasma ionosphérique tels que :

- les températures (énergie) des ions et des électrons ;
- la densité des électrons ;
- la vitesse d'ensemble des ions ;
- la fréquence de collisions entre les ions et les particules neutres et la composition ionique.

Pour obtenir de telles informations il est indispensable d'avoir une très forte puissance d'émission, un bon rapport signal sur bruit nécessitant des récepteurs refroidis et un traitement du signal très sophistiqué. Le radar ESR prend en compte toute ces spécificités.

Les recherches autour de EISCAT et ESR sont essentiellement fondamentales. Le radar a été conçu et construit pour étudier l'atmosphère et l'ionosphère polaires. L'étude du couplage magnétosphère - ionosphère - thermosphère avec son système de courants, son champ de convection et la dynamique des neutres est un des objectifs prioritaires. L'échappement des ions de l'ionosphère vers la magnétosphère, le bilan de l'énergie déposée par le champ électrique, par les précipitations dans l'atmosphère terrestre et l'apport au niveau de la Terre que ceci représente est toujours un sujet ouvert. En outre grâce à ESR, on espère découvrir à quoi ressemble la reconnection transitoire entre le champ magnétique interplanétaire et le champ magnétique terrestre, comment est composée l'ionosphère polaire, aussi bien en terme de composition ionique que de températures, ou encore cartographier la circulation ionosphérique globale au dessus de la calotte polaire

La compréhension de tous ces phénomènes a aussi son importance pratique dans les possi-bilités de prédiction de l'activité aurorale. Celle-ci - aurores discrètes ou diffuses - perturbe la propagation des ondes électromagnétiques. La prédiction de cette activité est très importante pour les transmissions d'images de télévision dans les régions polaires, pour les communications radio utilisant les fréquences HF et enfin pour des raisons purement militaires telles que la surveillance de la zone polaire.

(D'après CNRS-Info numéro 326 (1/07/96)

 

http://www.cnrs.fr/Cnrspresse/n26a2.html

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13/04/2011

Sur les traces d’Hyperborée : Le pôle nord n’est pas comme on le pense !

Auteur : Jean-Claude Bernard

Depuis près d’un mois, je capture des images satellites de la terre, à l’aide du site ruwenzori.net (http://www.ruwenzori.net/earth/). Sur ce site, on peut voir l’aspect de toute l’hémisphère nord presque en temps réel, avec l’évolution permanente des nuages sur nos continents, ainsi que la rotation terrestre qui fait alterner les jours et les nuits.

Or en regardant de près les vues de notre continent l’Europe, j’ai constaté deux anomalies. La première ce sont ces formations très étranges de nuages au large de la Norvège en mer de Barents. Presque quotidiennement, nous y voyons apparaître des formes en « sapin blanc » et des stries dans les couches nuageuses environnantes, voire des courbes ondulées. Ces formations ne sont pas naturelles, elles sont le signe d’une manipulation magnétique artificielle. C’est alors qu’en m’intéressant au sujet, j’ai appris qu’il existait une base au nord de la Norvège non loin de Tromso, qui s’appelle EISCAT et qui possède les mêmes aptitudes que la fameuse base HAARP en Alaska. Cette base a été mise en service vers l’an 2000 avec la complicité de nos gouvernements, à l’insu des populations.

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Image prise le 11 Mars en matinée 

 

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Image prise le 14 Mars en matinée

 

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Image prise le 22 Mars vers midi

Je reviendrai plus en détail sur EISCAT dans un article futur, mais je peux d’ores et déjà dire que la puissance électrique générée par cette base est considérable. D’ailleurs, beaucoup d’entre nous se souviennent d’une sorte de spirale bleue qui est apparue en décembre 2009, dans le ciel des alentours de Tromso, cette apparition est certainement directement liée à cette base. D’après certains rapports, ce jour, avait été prévue une opération baptisée « Tequila Sunrise » qui devait servir d’expérimentation à l’interception de missiles (russes ?). Les pistes ont été brouillées probablement par « secret défense », mais il est certain que des militaires et gouvernants sont en train de faire des expérimentations sur de nouvelles armes (scalaires entre autres) et que certaines anomalies magnétiques de notre monde sont d’origine artificielle.

On peut ouvrir une parenthèse sur l’épandage presque universel de chemtrails qui contiennent, on le sait, beaucoup d’aluminium et de baryum et que ceux-ci pourrait favoriser des opérations de guerre magnétique sur la terre… Mais revenons à notre deuxième découverte encore plus frappante que la première.

La deuxième anomalie consistait à voir ce qu’il en était réellement du pôle nord. Est-il tout à fait normal et conforme à nos cartes et globes terrestres ? La réponse est NON ! Je connaissais depuis un certain temps, les mythes de l’Agartha, de Shamballa, de la terre creuse, auxquels dans un premier temps, je n’attachais pas beaucoup plus d’importance qu’à celui de la survie d’Elvis Presley. Or j’étais quand même surpris que ceux qui défendaient ces théories ne m’avaient pas l’air d’illuminés ou de complètement stupides. De même que je partageais l’opinion des amoureux de Jules Verne que presque la totalité de ses romans se sont accomplis et avérés, excepté l’un de ses premiers et plus célèbres : le voyage au centre de la terre !

Je connaissais également toutes ces recherches allemandes par les sociétés secrètes entourant Hitler et à force de témoignages, je finissais par admettre qu’il devait y avoir quelque chose de vrai dans ce mythe. Plus récemment, nous avons des récits comme ceux de l’amiral Byrd, des photos des missions Appolo qui montrent clairement des sortes de cavités sur notre monde. Mais je notais aussi que souvent ces cavités ne correspondaient pas au vrai pôle nord et depuis l’ère Photoshop, j’ai appris à me méfier de certains clichés. Pourtant, je voulais en avoir le cœur net et grâce au site Ruwenzori, j’ai capturé des images d’une grande fiabilité de notre planète en temps réel. Nous venons de franchir l’équinoxe de printemps et petit à petit, le pôle nord se dégage de l’obscurité. De jour en jour le cercle de lumière (solaire) s’agrandit autour du pôle, et certains clichés révèlent de plus en plus une anomalie sur la courbure terrestre à cet endroit !

 

troupolenord30-3.jpg

(image satellite de la région boréale capturée la nuit du 30 Mars 2011 vers minuit, heure de Paris).

Le matin du 30 Mars 2011 vers minuit, j’ai capturé ce cliché où j’ai agrandi la zone polaire et légèrement augmenté la luminosité pour mieux distinguer ces zones grisâtres. Il apparaît clairement que le pôle nord est incurvé ! Les nuages qui pointent vers le pôle nord, ne sont pas en ligne droite, mais ils s’incurvent nettement vers une cavité. Le cliché est pourtant très précis car les zones au-delà du pôle sont tout à fait nettes. Il ne peut pas s’agir d’une illusion d’optique, force est de constater que la terre a plus l’aspect d’une pomme que celui d’un ballon ! J’essaierai de prendre d’autres clichés dans les jours à venir, peut-être même un qui délimitera assez clairement le contour de ce trou polaire. D’après certains spécialistes, il aurait un rayon d’environ 4° de latitude, ce qui fait à peu près 400 km ou 800 km de diamètre. Le nord du Groenland atteint le 83° de latitude, cela voudrait dire que le bord de la cavité est à peu près à mi-distance entre le nord du Groenland et le pôle exact.

Autre anomalie, depuis de jours, j’observe le pôle et j’étais surpris de voir que cette zone est extrêmement sombre, alors que je l’imaginais plus claire et couverte de banquise. On voit notamment au Groenland ou au Canada du Nord, que les parties gelées sont plus claires, presque blanches alors que le pôle qui devait être glacial, est très sombre. On peut ajouter cet argument que les lignes aériennes intercontinentales choisissent systématiquement de contourner le pôle nord (environ d’un millier de kilomètres), peut-être qu’un pilote de ligne pourra un jour témoigner d’une directive l’invitant à ne pas survoler le vrai pôle.

Après ces découvertes qui se confirment de jour en jour, beaucoup de questions se posent. Pourquoi nous a-t-on caché cela ? Si la terre est creuse, est-elle habitable à l’intérieur ? Si oui, est-elle déjà habitée ? S’agit-il directement de l’Hyperborée ? Qui sont ces gens ? Sont-ils pacifiques ? Bref, peut-être que la raison la plus vraisemblable de ce secret, est celui que si nous recherchons les réponses à ces questions, nous ouvrons une véritable boîte de Pandore remplie de surprises plus inattendues les unes que les autres. Malgré tout, le moment est peut-être venu de révéler ce secret, la terre devient de plus en plus hostile et peut-être même radioactive; 2012 et son changement radical est imminent, cette découverte fait peut-être partie de ces révélations qui nous sont promises maintenant.

L’hyperborée:

Quand on évoque l’Hyperborée, on pense essentiellement à deux thèmes, les grecs et les nazis ! En effet, ce sont les grecs qui ont les premiers, évoqué ce thème d’une région aux fins fonds du Nord avec des habitants qui feraient partie de l’origine des habitants primitifs d’Europe. Si la théorie de la terre creuse se confirme, l’expression hyperboréen trouve un sens. En effet, on a toujours pensé qu’au-delà de la Norvège et du Spitzberg, il n’y avait qu’un océan glacial, appelé océan arctique. Certains ont même pensé que l’Hyperborée (notamment Jimmy Guieu), concernait le ciel et la petite ourse. Mais en réalité, ils n’envisageaient pas que les théories de la terre creuse puissent être aussi manifestes. Si l’on part, disons du nord du Groenland, en bateau, il est très probable qu’à un moment donné, nous entrions dans une mer qui n’est plus du tout glaciale et que petit à petit l’horizon se modifie sensiblement. Le ciel devrait apparaître plus restreint, au fur et à mesure que l’on entre vers la cavité. Toutes ces choses seront à confirmer, mais si on imagine que la terre est creuse et habitable, ce monde intérieur répond tout à fait à la description de l’Hyperborée.

L’hyperborée par définition est un monde au delà du Nord (du vent du Nord appelé la borée), effectivement si l’on poursuit sa route (dans la cavité), on rentre vers la terre et on y accède… Les grecs affirmaient aussi que le soleil y brille constamment ! Il n’y a donc pas jour et de nuit, le « soleil » serait le centre de la terre, probablement aussi lumineux que l’astre du jour ! Les grecs disaient qu’Apollon (divinité solaire) y passait ses hivers et que sa mère Léto est née en Hyperborée. Ces descriptions se corroborent avec l’Agartha. Rappelons au passage que Jules Verne dans son roman voyage vers le centre de la terre, parle de vestiges atlantes.

Dans un temps plus proche de nous, ce sont les occultistes allemands qui se sont intéressés de près à Thulé et l’Hyperborée. Ils ont voulu démontrer que nous avions une sorte d’héritage de ce peuple « nordique » souvent décrit comme « les grands blonds ». Himmler qui s’intéressait particulièrement à ce sujet avait fait construire un château spécialement dédié au « soleil noir » à Wewelsburg, près de Paderborn en Allemagne.

Beaucoup ont imaginé que les allemands nazis avaient des relations très étroites avec ce monde intra-terrestre et que vers la fin de la guerre, certains témoignent de sous-marins allemands qui seraient allés se réfugier aux deux pôles (Nord et surtout Sud).

Les hyperboréens sont généralement décrits comme des grands blonds, cette théorie pourrait s’avérer si l’on considère que la lumière intérieure de la terre n’a pas les mêmes vertus que l’astre solaire ! Il s’agirait d’une sorte de dépigmentation naturelle, allant jusqu’à générer des êtres presque albinos.

Qui sont ces gens et que veulent-ils ? Il n’y a bien sûr pas de témoignage officiel, mais ceux qui en ont parlé, les décrivent comme des êtres avec une grande sagesse, une expérience de la vie bien plus profonde que la nôtre. Comme les civilisations extraterrestres plus évoluées que nous, ils ne souhaitent pas interférer dans notre monde, mais depuis l’invention de l’arme atomique, la donne a peut-être un peu changé. Si notre monde périclite, le leur est également en danger, c’est pourquoi, il n’est pas tout à fait absurde de penser qu’ils pourraient se manifester ouvertement, quand la situation deviendra trop dangereuse.

Il est vrai que si nous avons beaucoup progressé au niveau médical et technologique, les instincts destructifs humains n’ont pas disparu non plus et d’années en années, les moyens de destruction de la nature et des êtres vivants deviennent de plus en plus monstrueux. L’homme n’est peut-être pas uniquement responsable de ces destructions, le combat pourrait se faire à une « échelle plus haute », mais on sent intimement que nous nous approchons d’une échéance au-delà de laquelle, plus rien ne sera comme avant !

Si ces êtres ont plus de maturité que nous, ils seront presque contraints de se manifester et ils ne seront peut-être pas les seuls…

 

Auteur : Jean-Claude Bernard

http://www.historel.net/hyperboree/index.html