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28/06/2009

Next-up News Nr 1009 Iphone et Religion catholique: Appel aux Catholiques de France

Iphone : Religion et pornographie : appel aux Catholiques de France.

 

- " Religion et pornographie : Appel aux Catholiques de France"
- 20 Minutes: La première application «adulte» de l'Iphone n'est plus disponible.

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27/06/2009

Système monétaire mondial – Crise du dollar

Qui mène le monde ? Les Banques privées US.... dont la FED qui n'a de fédérale que le nom !

Système monétaire mondial – Crise du dollar

Les manipulations du système monétaire et du système des changes provoquent le scandale le plus important de notre époque. Pour la première fois, l’escroquerie monétaire atteint des dimensions mondiales, parce qu’elle a lieu effectivement dans le monde entier, qu’aucun gouvernement ne peut plus la contrôler ni la stopper ou l’empêcher et que, formellement, elle a même lieu légalement en raison de lois désuètes.


L’étape décisive dans la rupture avec la monnaie d’Etat a été la fondation, en 1913, du Système fédéral de réserve des Etats-Unis. Dès la fin du XIXe siècle, les banques sous la coupe de l’empire Rotschild ont lancé une grande campagne pour prendre le contrôle de l’économie des Etats-Unis. Venant d’Europe, les Rotschild ont financé la Banque J.P. Morgan & Co., la Banque Kuhn Loeb & Co., John D. Rockefellers Standard Oil Co., les chemins de fer d’Edward Harriman et les aciéries ­d’Andrew Carnegie.


Aux environs de l’an 1900, les Rotschild ont envoyé aux Etats-Unis un de leurs agents, Paul Warburg, pour coopérer avec la Banque Kühn Loeb & Co. Jacob Schiff et Paul Warburg ont lancé une campagne visant à instaurer des «Federal Reserve Banks» (FED), instituts privés d’émission. Appuyés par les deux grands groupes financiers Rotschild et Rockefeller, ils sont parvenus à fonder une banque centrale privée ayant le droit d’émettre sa propre monnaie, moyen légal de paiement garanti à l’origine par l’Etat. L’instauration de la FED en 1913 a permis aux banquiers internationaux de raffermir leur puissance financière aux Etats-Unis. Paul Warburg a été le premier président de la FED.


Le XVIe amendement de la Constitution américaine, qui a permis au gouvernement de prélever un impôt sur le revenu, a suivi la fondation de la FED. Telle était la conséquence du fait que le gouvernement ne pouvait plus émettre sa propre monnaie. Ainsi, les banquiers internationaux faisaient indirectement main basse sur le patrimoine privé des citoyens américains. A l’époque, les plus importants actionnaires de la FED étaient:


  1. Les banques Rothschild de Paris et de Londres
  2. La Banque Lazard frères de Paris
  3. La Banque Israel Moses Seif en Italie
  4. La Banque Warburg à Amsterdam et à     Hambourg
  5. La Banque Lehmann à New York
  6. La Banque Kuhn Loeb & Co. à New York
  7. La Banque Rockefeller Chase Manhatten à New York
  8. La Banque Goldman Sachs à New York.

Après la Première Guerre mondiale, les réserves d’or mondiales ont été accumulées dans cette banque privée qu’était la FED, de sorte que de nombreuses banques centrales n’ont plus pu maintenir l’étalon-or et que leur pays a sombré dans la déflation – la première crise économique mondiale. Même pendant la Guerre mondiale, les Etats-Unis ont exigé des pays en guerre qu’ils paient les armements livrés en or. Après la fin de la guerre, l’or de l’Allemagne a dû aussi être cédé comme butin de guerre. A elles seules, plus de 30 000 tonnes d’or du monde se sont ainsi accumulées aux Etats-Unis. Cet or a servi de couverture au dollar. Toutefois, comme une grande partie des dollars étaient détenus dans les banques centrales étrangères comme réserves monétaires, les Etats-Unis ont pu imprimer et dépenser davantage de dollars qu’ils n’avaient d’or. En effet, les autres pays avaient besoin de dollars pour acheter des matières premières, traitées uniquement en cette monnaie. Outre l’or, le dollar est donc devenu de plus en plus une des réserves monétaires principales des banques centrales étrangères. Le règne du dollar dans le monde avait commencé.


En 1971, Richard Nixon (37e président des Etats-Unis de 1969 à 1974) a résilié l’obligation de convertir le dollar en or (l’étalon de change-or) et, simultanément, la garantie de l’Etat à propos du dollar. Depuis lors, le billet vert n’est couvert ni par l’or ni par une garantie de l’Etat; il s’agit donc de la monnaie privée libre de la FED.
Or la masse monétaire de dollars en circulation déterminée par la FED (depuis mars 2006, celle-ci ne publie plus le chiffre de la masse monétaire M3) est devenue un problème insoluble: pendant que la masse mondiale de biens quadruplait au cours des 30 dernières années, la masse monétaire s’est multipliée par quarante.


Comment fonctionne cette banque privée qui a le droit d’imprimer des dollars? La FED produit des dollars. Ceux-ci sont prêtés au gouvernement des Etats-Unis contre des obligations qui servent de «sûretés» à la FED. Les banques de la FED qui détiennent ces titres perçoivent des intérêts annuels. Astucieux, n’est-il pas vrai? Dès 1992, les obligations détenues par la FED avaient une valeur de quelque 5 trillions de dollars, et les intérêts payés par les contribuables américains augmentent constamment. La FED s’est appropriée ce patrimoine incroyable en prêtant de l’argent au gouvernement américain et en encaissant alors des intérêts. La contre-valeur: du papier de couleur, nommé dollar.


Répétons-le: le dollar est émis non pas par le gouvernement des Etats-Unis, mais par la FED, qui est contrôlée par des banques privées et met à disposition du gouvernement de l’argent et, en contre-partie, encaisse largement des intérêts et prélève des impôts. Personne ne remarque cette duperie. De plus, les obligations émises par le gouvernement donnent à la FED un droit de gage, public et privé, sur l’ensemble des biens-fonds des Etats-Unis.
De nombreuses actions en justice se sont efforcées de faire annuler la loi sur la FED, mais sans succès jusqu’à maintenant. Le président John F. Kennedy a été le premier à tenter de transformer la FED en édictant un décret présidentiel («executive order number 11110»). Peu après, il a été assassiné, probablement par son propre service de renseignements. Le premier acte de son successeur, Lyndon B. Johnson, a été d’annuler le décret de son prédécesseur dès son retour de Dallas à Washington, dans l’avion présidentiel.

Et aujourd’hui ? Les banques privées tentent par tous les moyens de maintenir et d’assurer leur gigantesque source de revenu qu’est le dollar. Les Etats qui veulent nouer leurs relations commerciales internationales sur la base de l’euro, tels l’Irak, l’Iran ou le Venezuela, sont déclarés terroristes. Les gouvernements sont forcés de livrer des produits aux Etats-Unis contre des dollars sans valeur, et l’augmentation effrénée de la liquidité fournit à la haute finance les liquidités illimitées avec lesquelles elle peut acheter dans le monde entier. Les banques centrales du monde entier sont forcées de détenir des dollars sans valeur comme «réserves monétaires». Le dollar des Etats-Unis est la monnaie privée de la haute finance, garantie par personne si ce n’est par elle-même, utilisée pour maximiser le profit, accrue sans vergogne, employée comme moyen de domination mondiale et pour accaparer toutes les ma­tières premières et autres valeurs au monde.     •

Source: Internationaler Hintergrundinformationsdienst für Politik, Wirtschaft und Wehrwesen, inter info, suite 344, juillet et août 2007
(Traduction Horizons et débats)

Source : http://www.horizons-et-debats.ch/index.php?id=462

 

Vaccin Hépatite B : Le labo GSK reconnu responsable d'une sclérose en plaques

Société 25/06/2009 à 17h54

Le labo GSK reconnu responsable d'une sclérose en plaques

INFO LIBÉ

Le laboratoire pharmaceutique a été reconnu responsable de la sclérose en plaques d'une adolescente, survenue après sa vaccination contre l'hépatite B.

FLORENT LATRIVE

Vaccination (ici contre la grippe).

Vaccination (ici contre la grippe). (Alix Guigon / AFP)

C'est une victoire pour tous ceux qui cherchent à faire établir en justice le lien entre la vaccination contre l'hépatite B et la sclérose en plaques. Après plus de dix ans de procédure, le laboratoire pharmaceutique GlaxoSmithKline (GSK) vient d'être reconnu «entièrement responsable» pour la sclérose en plaques diagnostiquée chez une adolescente en 1998, quelques mois après sa dernière injection du vaccin Engerix B contre l'hépatite B.

La décision du Tribunal de Grande Instance de Nanterre, en date du 12 juin et révélée aujourd'hui par Libération, condamne GSK a verser 396.000 euros de dommages-intérêts à la jeune femme, aujourd'hui âgée de 27 ans.

Cette décision est une première depuis un arrêt de la Cour de Cassation de 2003 indiquant que le lien entre la vaccination et la sclérose en plaques ne pouvait être établi.

L'histoire débute en 1994, quand Camille (1), alors âgée de 12 ans, reçoit une première injection d'un vaccin contre l'hépatite B. Nous sommes alors en pleine campagne nationale: les pouvoirs publics incitent la population à se vacciner contre une maladie susceptible de déclencher des hépatites aigües et des cancers du foie. Entre 1994 et 1998, 20 millions de Français sont vaccinés, le tiers de la population.

En février 1997, Camille subit son rappel du vaccin. Dès avril, elle est hospitalisée pour des troubles de l'équilibre et de la vision, constatées lors d'une compétition de gymnastique rythmique. En janvier 1998, le diagnostic formel tombe: c'est la sclérose en plaques. L'adolescente est alors âgée de 15 ans. Sa mère dépose plainte contre GSK en février 1999.

Des centaines de plaintes similaires ont été déposées devant les tribunaux civils, mais aussi au pénal: la juge Marie-Odile Bertella-Geoffroy, qui dirige le pôle de santé publique à Paris, a mis en examen GSK et le français Sanofi Pasteur MSD l'an dernier pour «tromperie aggravée». L'affaire est toujours en cours d'instruction.

Comme bien souvent dans les affaires de santé publique, il est très difficile d'établir la preuve avec certitude. Les études scientifiques tentant de prouver le lien entre la vaccination contre l'hépatite B et la sclérose en plaques peinent à prendre en compte des accidents qui, en tout état de cause, demeurent rares. En septembre 2008, une étude menée par une équipe de l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris concluait ainsi à un risque non-nul, mais faible sur les enfants.

Pour le Tribunal de Nanterre, nul besoin d'attendre une preuve définitive, qui ne viendra sans doute jamais. La responsabilité du laboratoire est engagée s'il existe des «présomptions précises, graves et concordantes», ce qui est le cas pour Camille. Contacté par Libération, GSK refusait jeudi en fin d'après-midi de commenter cette décision ou dire s'il comptait faire ou non appel.

(1) Le prénom a été modifié

Source :  Libération

 

Santé : L'antidouleur Di-Antalvic va être retiré de la vente

SANTE

L'antidouleur Di-Antalvic va être retiré de la vente

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NOUVELOBS.COM | 26.06.2009 | 17:16

L'agence européenne du médicament recommande le retrait dans toute l'Europe d'un médicament antidouleur controversé, le DXP, présent notamment dans le Di-Antalvic, et à l'origine de surdoses fatales depuis plusieurs années.


L'agence européenne du médicament (EMEA) a recommandé jeudi 25 juin le retrait dans toute l'Europe d'un médicament antidouleur controversé, le dextropropoxyphène (DXP), présent notamment dans le Di-Antalvic en France et à l'origine de surdoses fatales depuis plusieurs années.

Le comité de l'EMEA pour les médicaments à usage humain, réuni à Londres, a conclu que le risque présenté par ces produits, "particulièrement le risque de surdose mortelle", était plus élevé que leurs avantages, tandis qu'il n'y avait "pas de preuve que ces (produits) soient plus efficaces" que d'autres.

L'EMEA n'a pas non plus "identifié de mesure adéquate pour minimiser suffisamment les risques", comme un avertissement ou une limitation de la taille des boîtes. La commission européenne a 67 jours ouvrables pour donner son avis. Dans la plupart des cas, elle suit celui de l'EMEA.

Retrait progressif


En 2005, la Suède et le Royaume-Uni avaient retiré de leurs marchés nationaux l'alliance du DXP, un opiacé faible créé dans les années 60, et du paracétamol, après un nombre très important de décès par intoxications, volontaires ou non : 200 par an en Suède pour 9 millions d'habitants et entre 300 et 400 par an au Royaume-Uni pour 60 millions d'habitants.

Dans d'autres pays, comme la France, le nombre de décès s'était avéré bien inférieur. Une enquête menée au niveau national avait même montré que d'autres médicaments antidouleur dits de "palier II", comme le tramadol, avaient une toxicité supérieure à celle du DXP associé au paracétamol.

Devant ces différents résultats, la Commission européenne avait demandé en novembre 2007 à l'EMEA d'évaluer une fois pour toutes les risques et bénéfices de l'alliance DXP-paracétamol. En mars 2009, l'étude avait été étendue à tous les médicaments contenant du DXP.

Utilisé seul, le DXP est actuellement autorisé dans dix pays membres de l'Union européenne (la Belgique, le Danemark, l'Espagne, la Finlande, la France, la Grèce, l'Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, et la Suède). L'alliance DXP et paracétamol (parfois aussi avec de la caféine) est autorisée en Belgique, à Chypre, en France, au Luxembourg, à Malte et au Portugal.
L'EMEA a recommandé jeudi à ces Etats de retirer "progressivement" ces produits du marché, "pour permettre le transfert en toute sécurité des patients vers des thérapies alternatives appropriées".

"Conditions normales d'utilisation"
Pour sa part, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a annoncé aussitôt que le retrait se ferait "dans un délai de l'ordre d'un an" en France.

Sans ouvertement regretter la décision de l'EMEA, elle a rappelé que, pour sa part, elle avait demandé à l'EMEA de maintenir l'association DXP-paracétamol, estimant que celle-ci avait "un profil de sécurité d'emploi satisfaisant dans des conditions normales d'utilisation".
Elle a noté en substance qu'en France, on ne se suicide guère au DXP. Il existe selon elle en effet "des pratiques différentes en France dans le choix des médicaments en cas d'intoxication médicamenteuse volontaire, mais aussi dans le mode de conditionnement de ces produits et leurs conditions de délivrance".

En revanche, le CHU de Toulouse avait décidé dès juin 2005 de bannir l'association DXP-paracétamol. L'une des conséquences de cette mesure, étudiée par la revue Prescrire dans son numéro de juillet, avait été une augmentation de 19% en 2006 de la consommation d'antalgiques de palier I (paracétamol seul, aspirine, ibuprofène), moins forts que ceux de palier II (et encore moins que ceux de palier III, morphine etc...) et une diminution de 22% des antalgiques de palier II, sans que les patients s'en soient plaints, selon la revue. (Nouvelobs.com)

Source : NouvelObs

Les USA dénoncent une fraude en Iran !

Ils ont tous juré qu'ils ne frauderont pas et sont prêts à dénoncer toute fraude électorale dans le monde...
Y compris chez eux...pour commencer.....


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Sérieux !!!  Juré !!!

Nous allons les croire n'est-ce pas ?
Ils ont la mémoire courte avec les élections de BUSH et des autres.......!!!

Nous ne sommes pas mieux servis chez nous, avec la dictature européenne que l'on nous impose.....!!!!!

Avez-vous voté Oui, vous, à la constitution européenne ?????????????? NON .......????

Eh bien, on se fiche pas mal de votre avis, elle est passée quand même en force sans vous, NON....???? !!

Et vous avez fait quoi pour défendre vos droits constitutionnels ???? Rien ....???????

VIVE LES DICTATURES FRANCAISE ET EUROPEENNE..!!!

Allez, allez n'allons pas chercher des dictatures aussi loin de chez nous, car nous y sommes déjà sous le régime dictatorial et nous pourrions devenir la risée du Monde, si ce n'est pas déjà fait.........!!!!!!