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08/02/2009

Ovnis : Les ufologues s'inquiètent, on veut les empêcher de parler

Écrit par Bourdet Pierre
02-02-2009
Le Centre National d’Etudes Spatiales (CNES) a créé un service qui s’occupe de rassembler et d’étudier les rapports d’observations en provenance de la Gendarmerie, le Groupe d’Etudes et d’Informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (GEIPAN). Cet organisme a créé il y a neuf mois une section particulière, les Intervenants de Premier Niveau (IPN), qui fait appel aux ufologues privés, qui acceptent, après avoir été missionnés par le Geipan, d’enquêter sur des observations d’OVNI. Un règlement trop imprécis les oblige à ne rien dévoiler sur leur mission. Plusieurs d’entre eux, après de bons et loyaux services, non rémunérés, viennent d’être évincés de cette section, sans avoir été entendus au préalable, n’ayant rien dévoiler de leurs missions, ce qui est injustifié selon eux.

Le 7 avril 2008, sous en-tête du CNES, le GEIPAN lance publiquement une procédure d’analyse des cas d’observations de phénomènes aérospatiaux non identifiés (PAN) – via des Intervenants de premier niveau (IPN). Le document est signé par Jacques Patenet, directeur de cette entité. Cette proposition intéresse en premier ordre, toutes les personnes passionnées par ce phénomène, qui déjà font des enquêtes, animent des associations ufologiques ou qui s’intéressent de près à ce phénomène. Immédiatement, les plus actifs d’entre eux y adhèrent. Ils font confiance à cet organisme qui annonce régulièrement s’ouvrir vers les ufologues privés et mettre à la disposition du public toutes ses archives. Les secrets, jalousement conservés jusqu’alors par l’Etat, les armées et tous les services officiels concernés par ce problème, vont enfin s’ouvrir au grand public. On va tout savoir !

Ces nouveaux collaborateurs du Cnes et du Geipan, (bien que le contrat mentionne qu’ils n’en font pas partie … tout en étant des collaborateurs ponctuels ! Alors, pourquoi le Cnes - Geipan a-t-il établi officiellement ce document, d’autre part si peu explicite, s’étonnent les ufologues !) forts de leur qualité d’IPN se mettent au travail. Le contrat est dûment signé par leurs soins et accepté par le Geipan, ils ne touchent aucune rémunération, ni défraiement, pas d’assurance et certains œuvres bénévolement sous ce statut pendant plusieurs mois, sans être l’objet de reproche. Soudainement et sans préavis, ni avertissement, arrive dans la boîte mail de certains d’entre eux un courriel qui les informe que le Cnes – Geipan met fin à leurs fonctions. Les motifs évoqués font état de faits qui selon eux sont injustifiés. La base de cette décision, un article du contrat notifiant : « Dans le cadre de ses interventions pour le compte du GEIPAN, l’IPN évitera tout contact avec les médias. Si malgré tout il est amené à intervenir dans les médias, il ne peut parler qu’en son nom propre et n’est pas autorisé à s’exprimer au nom du GEIPAN. »

Les IPN, concernés par cet « oukase », soutenus par la grande majorité des ufologues, contestent cette décision unilatérale, alors qu’ils n’ont pas été en mesure de s’expliquer au préalable. Le premier argumente qu’il n’a jamais été missionné par le Geipan et qu’il s’est toujours exprimé dans les média à titre personnel. ( Dans un long article de « La Dépêche en date du 31 décembre 2008 » Il n’a à aucun moment utilisé ses qualités d’IPN pour obtenir cet article, motivé uniquement par ses recherches personnelles sur l’observation d’un ovni le 5 novembre 1990. Cet ovni observé par des centaines de témoins est, selon le Cnes, une rentrée atmosphérique d’un étage d’une fusée russe. Des études menées par des chercheurs indépendants démontrent que cette explication ne peut s’appliquer à tous les témoignages, certains faisant état de directions différentes, de l’immobilité de l’objet à certains moments ou encore qu’il a pris une autre direction au cours de l’observation. Il fait remarquer également, qu’il avait préalablement tenu informé le Geipan de cette action, lequel s’était montré intéressé.

Le second prétend que son contrat était modifié de fait car, durant plus de 8 mois, il a enquêté sur de nombreuses observations, sur information du Geipan ou issues de ses propres investigations et qu’il a toujours été soutenu dans ses actions. Le responsable du Geipan, à plusieurs reprises, s’est déplacé dans sa région et en sa compagnie, il a répondu aux interviews de nombreux médias télévisuels, radiophoniques ou écrits, en utilisant ouvertement et sans modération ses fonctions d’IPN et de collaborateur de cet organisme. Ce fait n’a jamais été contesté par son « patron » qui ne lui a jamais fait de reproche à ce niveau. Cette situation, approuvée par le responsable du Geipan, que l’on retrouve en photo dans les médias en sa compagnie, est devenue selon cet IPN un fait acquis, indispensable pour mener à bien sa mission.

Un certain nombre d’ufologues s’inquiètent car cette politique les oblige à ne plus s’exprimer dans les médias, du sujet qui les préoccupe, s’ils souhaitent contribuer à la recherche officielle sur ce phénomène. Le Geipan promettait une ouverture vers les ufologues privés, celle-ci se retourne contre eux. On voudrait « bâillonner » les ufologues prétendent certains. Cette politique du « secret » ne contribue pas à faire la lumière sur ce dossier brûlant ou l’Etat se trouve constamment accusé de nous cacher la vérité sur les ovnis. Les enquêteurs trouvent également anormal que de nombreuses observations, dont ils ont transmis les rapports au Geipan, ne soient pas rendues publiques. Le site du Geipan reprend seulement, après un tri sévère fait selon ses critères, un nombre limité de rapports issus de la gendarmerie, généralement inexploitables, car expurgés de certains éléments, nous font-ils remarquer. Impossible de faire avec cet extrait une quelconque analyse statistique, trop d’observations issues de témoins qui les informent, des enquêteurs, des armées ou d’autres sources manquent à l’inventaire.

Les ufologues privés semblent donc n’être que de « petites mains » pour ces scientifiques du Cnes, qui ne parviennent toujours pas au bout de trente ans à statuer sur la réalité ou non du phénomène ovni. Pourtant, ils nous font remarquer que la totalité des dirigeants qui se sont succédés à la direction de ce service, ont tous, et sans exception, après avoir quitté leurs fonctions, affirmé la réalité du phénomène ovni. On peut donc s’interroger sur les véritables intentions de ce service lié à une institution officielle représentant notre pays.

Collectif Ufo France

Source : http://www.categorynet.com/v2/communiques-de-presse/infos...

05/02/2009

Vie extraterrestre : 40 000 planètes pourraient être habitées

40.000 planètes pourraient être habitées par des aliens

Article du Telegraph

Plus de 40.000 planètes pourraient abriter des formes de vie extraterrestres selon des scientifiques de l'Université d'Edinburgh

Les chercheurs ont calculé que plus de 37.964 planètes dans notre galaxie sont suffisamment hospitalières pour abriter des créatures au moins aussi intelligentes que notre espèce.

L'astrophysicien Duncan Forgan a créé un programme informatique qui a collecté toutes les données des quelques 330 planètes connues de l'Homme et a calculé quelle proportion aurait les conditions adéquates pour que la vie s'y épanouisse.

Cette estimation, qui prend en compte de nombreux facteurs tels que la température, la présence d'eau et de minéraux, a ensuite été appliquée à la Voie lactée.

Mr Forgan pense que les formes de vie concernées ne seraient pas de simples amibes que l'on pourrait observer sous un microscope, mais des espèces au moins aussi avancées que l'espèce humaine.

Mr Forgan, qui évalue le temps nécessaire pour établir un contact avec nos voisins entre 300 et 400 ans, a déclaré : "Je pense que l'estimation de 361 civilisations intelligentes est la plus juste".

"Celles-ci seraient les plus ressemblantes à notre civilisation terrestre, mais de plus grands chiffres sont certainement envisageables. Nous ne pouvons pas les exclure".

"La plupart des autres planètes que nous avons examinées sont plus vieilles que la notre. Donc j'aurais tendance à dire que des civilisations plus avancées existent bel et bien".


Article original en anglais : 40,000 planets could be home to aliens

Source : http://www.telegraph.co.uk/scienceandtechnology/science/s...

La page des travaux en cours de Duncan Forgan pour l'obtention de son Ph. D :
Lien : http://www.roe.ac.uk/~dhf/Research_Page/Research_Interests.html
 
Commentaires : Pour ceux qui croyaient être seuls dans notre Galaxie, c'est râpé ! A quand la levée du secret sur les ET et les OVNIS ?

 Les publications de Forgan : http://www.roe.ac.uk/~dhf/Research_Page/Publications.html

 

Vie extraterrestre dans notre Galaxie

Entre 360 et 38.000 civilisations intelligentes dans notre galaxie
 
Les extraterrestres existent et il pourrait y en avoir des milliers d'espèces à travers la galaxie, à en croire les recherches de Duncan Forgan, scientifique de l'Université d'Edimbourg, parues dans l'International Journal of Astrobiology (publié par l'Université de Cambridge) et évoquées par la BBC. Se basant sur trois scénarios possibles étudiés, M. Forgan avance un nombre de civilisations intelligentes compris entre 360 et 38.000.

Duncan Forgan a imaginé et simulé une galaxie très similaire à la nôtre puis a soumis son système à différents scénarios. Le premier, présumant qu'il est difficile pour la vie de se créer mais qu'elle évolue facilement, suggère qu'il existe 361 civilisations dans la galaxie. Le deuxième, supposant que la vie se crée facilement mais doit lutter pour développer l'intelligence, a mené à une estimation de 31.513 formes de vie existantes. Enfin, le troisième scénario, examinant la possibilité que la vie puisse passer d'une planète à une autre lors de collisions d'astéroïdes (une théorie répandue pour expliquer l'apparition de la vie sur notre Terre), a donné un résultat de 37.964 civilisations à travers la galaxie.

"Il est important de se rendre compte que l'image que nous avons créée est encore incomplète", a commenté M. Forgan, vu le nombre de variables inconnues et donc hypothétiques. "Même si la vie extraterrestre existe, nous ne pourrons pas nécessairement entrer en contact avec elle et nous n'avons pas la moindre idée de la forme qu'elle présente. La vie sur d'autres planètes pourrait être aussi variée que la vie sur Terre et nous ne pouvons prédire ni à quoi elle ressemblerait, ni comment ces êtres se comporteraient", a-t-il ajouté. (SC)
 

02/02/2009

Davos s'achève dans le désarroi face à la crise de la mondialisation

Ils veulent vraiment nous imposer le Nouvel Ordre Mondial à tout prix !
Cette phrase lancée par Angela Merkel est très significative et rentre encore une fois dans leur logique de domination mondiale.
Angela Merkel a évoqué une charte pour "un nouvel ordre économique mondial" et la possibilité de la confier aux Nations unies via un Conseil économique à l'image du Conseil de sécurité.

Ils ont beau jeu de craindre les révoltes des peuples après avoir créé de toutes pièces la crise financière et économique mondiale qui n'a que pour seul objectif en finalité d'instaurer le Nouvel Ordre Mondial.

Pour ceux qui connaissent les projets des Maîtres du Monde, leur objectif est celui de créer un unique Gouvernement Mondial de Dictature dont le président serait le Président de l'ONU et dont le siège serait déplacé en Israël.

Vous remarquerez que l'on ne parle plus des sanctions dirigées contre les banques mondiales ni de réformer le système financier mondial.

A quand le puçage électronique imposé à tous les citoyens du monde ?
 


Davos s'achève dans le désarroi face à la crise de la mondialisation

DAVOS, Suisse (AFP) — Présidents, ministres et patrons ont eu du mal à cacher leur désarroi au Forum économique mondial qui s'est achevé samedi à Davos, face à une crise qui menace la mondialisation tant célébrée année après année dans la station de sports d'hiver suisse.

Contexte oblige, l'ambiance du rendez-vous de l'élite mondiale de la politique et des affaires a été cette année plus sobre, avec des soirées moins fastueuses et des buffets revus à l'économie.

Sans rapport avec la crise financière, l'image qui risque de rester de ce Forum est celle du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, quittant en colère, devant des centaines de personnes, un débat houleux avec le président israélien Shimon Peres sur le conflit de Gaza.

Tandis que les mauvaises nouvelles économiques tombaient du monde entier, le retour du protectionnisme a été le thème majeur, dénoncé à l'unisson par le Premier ministre russe Vladimir Poutine comme par ses homologues chinois Wen Jiabao, allemande Angela Merkel ou britannique Gordon Brown.

Le projet de Washington de protéger encore davantage ses sidérurgistes a confirmé cette crainte de voir le commerce mondial subir un coup d'arrêt sous le double effet de la récession et des barrières dressées par les Etats.

La nouvelle administration américaine a été la grande absente de ce Forum, le président Barack Obama se contentant d'envoyer une conseillère.

En période de crise, "l'instinct n'est pas en faveur du libre-échange mais du protectionnisme", a déclaré le ministre brésilien des Affaires étrangères Celso Amorim, fervent partisan d'une plus grande libéralisation du commerce.

Comme à l'habitude Davos a été l'occasion d'une réunion des ministres du Commerce dans l'espoir de relancer les négociations à l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Une vingtaine d'entre eux ont fait une déclaration estimant possible une conclusion en 2009 après les échecs de 2008.

"La situation actuelle comporte deux risques majeurs: des troubles sociaux et le protectionnisme", a déclaré la ministre française de l'Economie Christine Lagarde après la journée de grève et de manifestations jeudi en France.

Prenant l'exemple de la France, l'ancien secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan a mis en garde les gouvernements: "Il y a de la peur, il y a de la colère", a-t-il dit.

Concernant le volet financier de la crise, les responsables publics ont placé leurs espoirs dans la réunion du G20 du 2 avril à Londres sans avancer de solution concrète pour la réforme du système financier international.

Angela Merkel a évoqué une charte pour "un nouvel ordre économique mondial" et la possibilité de la confier aux Nations unies via un Conseil économique à l'image du Conseil de sécurité.

Les pays du Sud ont craint un repli sur eux-mêmes des pays riches non seulement sur le plan commercial, mais aussi sur le plan de l'aide.

"Ce n'est pas le moment de réduire le flux de capitaux vers l'Afrique", a souligné le Premier ministre du Kenya, Raila Odinga.

Le président colombien Alvaro Uribe a émis le même souhait pour l'Amérique latine où "200 millions de personnes" sont concernées par la lutte contre la pauvreté.

Le milliardaire et philanthrope américain Bill Gates, habitué de Davos, a lancé un appel aux gouvernements "à ne pas réduire l'aide aux pays en développement en cette période de difficultés économiques".

De brèves échauffourées ont eu lieu samedi à Genève entre policiers et manifestants altermondialistes qui souhaitaient protester contre le Forum malgré l'interdiction des autorités locales.

Source : http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iamIXX...