Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

18/10/2018

Prism, Snowden, surveillance mondiale NSA/USA : 7 questions pour tout comprendre

Voilà comment les USA surveillent le monde entier en mettant à notre disposition des outils soi-disant destinés à communiquer entre amis sur le net, mais qui se révèlent être des outils d'espionnage destinés au citoyen lambda pour porter atteinte à sa vie privée, entraver ses opinions et ses moyens de défense et d'expression, et pour perfuser la propagande à tous les niveaux pour manipuler les naïfs et les moutons !

Prism, Snowden, surveillance : 7 questions pour tout comprendre

Vous n'avez pas tout suivi sur le scandale de surveillance américain et la fuite d'Edward Snowden ? Tour d'horizon des principaux points de cette affaire.

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Michaël Szadkowski et Damien Leloup

 

Les services de renseignement américains espionnent l'ambassade de France à Washington, mais aussi les institutions européennes, et ont même mis en place un système de surveillance des utilisateurs de Google, Facebook ou Skype. Pendant ce temps-là, Edward Snowden est en cavale, mis en examen pour espionnage et vol d'informations confidentielles.

Vous n'avez pas tout suivi ? Le Monde.fr vous explique les principaux points de cette affaire :

  1. Qu'est-ce que la NSA ?

  2. Que reproche-t-on à la NSA aujourd'hui ?

  3. Qu'est-ce que Prism ?

  4. Qu'est-ce que XKeyscore ?

  5. La NSA a-t-elle le droit de mettre en place un programme de surveillance d'Internet tel que Prism ?

  6. Qui est Edward Snowden ?

  7. Pourquoi Edward Snowden est-il à Moscou ?

 1. Qu'est-ce que la NSA ?

La NSA, pour National Security Agency (agence nationale de sécurité américaine), est l'une des quinze agences de renseignement des Etats-Unis. Elle se consacre à la surveillance et à la protection des communications. Ses agents sont chargés du chiffrement et de la sécurité des informations de nature confidentielle échangées par les Américains dans le monde, mais aussi d'intercepter et de décrypter tous types de messages émanant des puissances étrangères.

Les effectifs et les moyens de la NSA ne sont pas connus précisément. Mais ils sont colossaux : les dernières évaluations évoquent des dizaines de milliers d'employés, et un budget de 10 milliards de dollars pour la seule année 2013. En plus de son siège à Fort Meade, près de Washington, l'agence doit inaugurer un nouveau centre géant en septembre dans l'Utah, dont la construction est évaluée à 2 milliards de dollars, ce qui donne une idée des moyens qu'elle consacre à l'interception et à l'analyse des communications passées dans le monde.

Le siège de la NSA à Fort Meade, dans le Maryland.

Historiquement, les objectifs de la NSA ont toujours été de nature militaire. L'agence a été créée en 1952 sur la base de l'AFSA (Armed Secret Forces Service) dans le but d'en étendre et d'en améliorer les pouvoirs après d'importants dysfonctionnements pendant la guerre de Corée. Le général Keith B. Alexander, actuellement le directeur de la NSA, est également à la tête du Central Security Service (CSS), créé en 1972 afin d'encadrer la coopération des agents de la NSA et des différentes branches du renseignement de l'armée américaine (Navy, Air Force...).

Mais les activités de la NSA sont suspectées d'avoir régulièrement dépassé ce cadre. L'un des programmes les plus connus impliquant l'agence, le programme Echelon (un large système de surveillance internationale des télécommunications par satellite) a, par exemple, été suspecté – jusque dans l'enceinte du Parlement européen en 1999 – d'être utilisé par les Américains pour des raisons économiques.

2. Que reproche-t-on à la NSA aujourd'hui ?

Le 6 et 7 juin, le Guardian et le Washington Post ont révélé l'existence d'une surveillance très poussée des moyens de communication numériques (liés à Internet ou aux réseaux de téléphonie mobile). Ces informations, issues d'une fuite à la NSA, lèvent une partie du voile sur les nouvelles méthodes de l'agence de renseignement.

Selon les articles publiés par les deux journaux, la NSA, de même que le FBI, collecte et analyse depuis des années les données laissées en ligne par des millions de personnes aux Etats-Unis et ailleurs dans le monde. Les révélations portent plus précisément sur les utilisateurs de l'opérateur téléphonique Verizon, mais aussi d'AOL, Apple, Facebook, Google, YouTube, Microsoft, Skype, Paltalk et Yahoo!.

Ces premières révélations ont été suivies d'autres mises en cause dans des affaires plus classiques. Le 17 juin, le Guardian a décrit comment les services secrets britanniques ont également mis en place leur propre système de surveillance numérique, en collaboration avec le renseignement américain.

Le 30 juin, le Spiegel et le Guardian ont affirmé que la NSA s'était livrée à des opérations d'espionnage sur leurs alliés, notamment les Européens. Les ambassades de France ou d'Italie aux Etats-Unis ainsi que plusieurs sites protégés de l'Union européenne ont ainsi été mis sur écoute, selon des documents que se sont procurés les deux quotidiens.

Lire : "Espionnage américain, le point sur les dernières révélations"

3. Qu'est-ce que Prism ?

Prism est le nom du programme informatique mis en place par la NSA pour scanner les communications numériques échangées sur plusieurs services en ligne très appréciés du grand public (AOL, Apple, Facebook, Google, YouTube, Microsoft, Skype, Paltalk et Yahoo!). Son existence a été révélée par le Washington Post et le Guardian puis confirmée par l'administration américaine, qui a cherché à en minimiser la portée.

Le fonctionnement précis de Prism, créé en 2007, n'est pas complètement connu, le Washington Post et le Guardian ne publiant qu'au compte-gouttes les documents sur le sujet en leur possession (la dernière mise à jour sur le site du quotidien américain date du 29 juin).

Capture écran de la présentation Powerpoint de Prism diffusée par le "Washington Post".

Malgré tout, les premières informations suffisent pour définir Prism comme un moteur de recherche très performant, permettant à la NSA d'interroger des masses de données très importantes issues de ces services, et ce quasiment en temps réel, afin de rechercher un nom, un lieu, une date, etc., dans les mails, messages instantanés, communications vidéo ou autres documents. Selon le Washington Post, ce sont plus de 117 000 "cibles" qui étaient visées par le programme dans la journée du 5 avril.

 Lire notre infographie : "Comprendre le programme Prism"

Les premiers articles sur Prism faisaient état d'un "accès direct" de la NSA aux serveurs des entreprises concernées, qui aurait permis à ses agents d'y rechercher ce qu'ils voulaient quand ils voulaient. Google, Facebook et les autres ont immédiatement démenti en bloc – sans toutefois nier leur collaboration avec la NSA en cas de demande de renseignements ou d'accès aux données accompagnés d'un mandat.

Lire : "Bataille d'informations autour de l'outil de surveillance Prism"

L'enjeu est de taille pour ces services, qui ont toujours communiqué sur leur "transparence" et le droit à la liberté numérique. En réponse à ces révélations, le débat s'engage pour leurs millions d'utilisateurs, tant sur la portée réelle du programme que pour savoir à quel point leurs activités sont surveillées.

Lire : "Pourquoi la NSA espionne aussi votre papa"

Lire : "Se faire espionner sur Facebook et Google est-il si grave ?"

Lire : "Pourquoi stocker toutes nos vies sur des serveurs aux Etats-Unis ?"

4. Qu'est-ce que XKeyscore ?

Le Guardian a révélé l’existence d’un autre outil en plus de Prism, XKeyscore, à la finalité différente. A l'aide d'une interface très simple d'utilisation, les personnes habilitées peuvent rechercher dans les données amassées par la NSA, dont, très probablement les données collectées à l'aide du programme Prism, une somme considérable d'informations et y effectuer des croisements afin de "détecter des activités dont nous n'avions aucune idée auparavant".

Lire : "L'outil qui permet à la NSA d'examiner "quasiment tout ce que fait un individu sur Internet""

XKeyscore permet, par exemple, de lire les messages privés échangés sur Facebook et les courriels, mais aussi de retrouver l'historique de navigation d'un utilisateur. Enfin, l'outil permet de cibler des internautes en fonction des technologies utilisées, comme la cryptographie, ou d'avoir accès à des fichiers échangés ou stockés sur Internet.

Si l'on en croit ce document de présentation, daté de 2008, XKeyscore est capable de répondre à des requêtes extrêmement précises. Il est possible de trouver le ou les utilisateurs parlant allemand et se trouvant actuellement au Pakistan, ou tous les documents texte mentionnant Oussama Ben Laden. Le document donne également des conseils afin de "trouver une cellule terroriste" : rechercher "des activités anormales, par exemple quelqu'un dont le langage ne correspond pas à la région où il est situé, quelqu'un qui utilise la cryptographie ou quelqu'un qui fait des recherches suspectes sur Internet".

La quantité faramineuse de données concernées par ce programme oblige la NSA à faire du tri : seuls trois à cinq jours de données sont conservés. En revanche, l'agence stocke pour une durée plus longue des contenus qu'elle estime importants. Selon le document, qui semble être avant tout destiné à promouvoir les capacités de l'outil auprès des analystes et des sous-traitants de l'agence, 300 terroristes auraient été arrêtés grâce à XKeyscore.

Dans un communiqué, la NSA a mollement démenti la collecte "arbitraire et sans contrainte" de données personnelles : "Il existe de nombreux contrôles techniques, manuels et hiérarchiques pour éviter les abus." De son côté, Facebook France a affirmé que la NSA ne pouvait accéder qu'"aux données que Facebook transmet aux autorités dans un cadre légal strict ou aux données publiques".

5. La NSA a-t-elle le droit de mettre en place un programme de surveillance d'Internet tel que Prism ?

Selon le cadre législatif actuellement en vigueur aux Etats-Unis, oui. Le gouvernement américain a décrit Prism comme un programme de "collecte autorisée statutairement d'informations des renseignements étrangers" sur des personnes "raisonnablement considérées comme vivant hors des Etats-Unis" et "à partir de fournisseurs de services électroniques sous supervision judiciaire, comme autorisé par la section 702 du Foreign Intelligence Surveillance Act".

De telles dispositions légales ont pu voir le jour après le 11 septembre 2001, alors que les attentats du World Trade Center ont symbolisé l'échec des services de renseignement à prévoir et empêcher une telle opération terroriste sur le sol américain (voir sur ce sujet le documentaire NSA, l'agence de l'ombre, diffusé sur Arte en 2008).

La section 215 du Patriot Act, un texte voté le 26 octobre 2001 pour définir les cadres législatifs de la guerre contre le terrorisme, a pour un temps établi que la collecte et la surveillance des communications pouvaient se faire sans mandat ni ordonnance judiciaire. Ces dispositions ont été votées sous la forme d'un amendement à la loi FISA, initialement adoptée en 1978 pour encadrer l'espionnage des communications privées.

Elles ont ouvert la voie à l'actuelle surveillance à grande échelle des communications mondiales par les Etats-Unis, dont les objectifs initiaux de "lutte contre le terrorisme" ont été ensuite dépassés. En 2005, le New York Times a révélé que des opérations de surveillance qui devaient se concentrer sur les agents liés à Al-Qaida en dehors des Etats-Unis ont conduit à la surveillance de communications passées sur le sol américain. En 2008, un ancien employé d'AT&T évoquait une surveillance directe des serveurs de l'opérateur téléphonique par la NSA.

En 2012, le prolongement de la loi FISA dans sa forme actuelle (après des modifications en 2007 et en 2008) a été voté à 73 voix contre 23. Il permet toujours aux services de renseignement de surveiller les Américains qui communiquent avec des étrangers soupçonnés de terrorisme ou d'espionnage. La plupart des mandats judiciaires fournis en guise de justification ont été acceptés par la cour juridique de la FISA, qui supervise l'application des règles juridiques de surveillance aux agences de renseignement.

6. Qui est Edward Snowden ?

Edward Snowden est un citoyen américain de 30 ans, à l'origine de toutes les révélations sur les pratiques d'espionnage numérique de la NSA (voir ci-dessus). Il s'est exposé au grand jour dans une vidéo et une interview publiées sur le site du Guardian – un entretien filmé à Hongkong, région administrative de Chine où il s'est réfugié après avoir quitté, le 20 mai, sa compagne et sa vie à Hawaï.

Avant cela, cet informaticien avait travaillé pour l'Agence centrale du renseignement (CIA), et collaboré pendant quatre ans avec la NSA en tant qu'employé de divers sous-traitants, dont Dell ou Booz Allen Hamilton. Parmi les postes qu'il a occupés, celui d'administrateur système lui a permis d'avoir un accès privilégié aux serveurs et aux réseaux de la NSA, dont il a extrait (grâce à une simple clé USB) les documents et les informations publiées ensuite par les médias américains et britanniques. 

"Mon unique objectif est d'informer les gens de ce qui est fait en leur nom et de ce qui est fait contre eux, a-t-il expliqué au Guardian. Je suis prêt à sacrifier tout cela parce que je ne peux, en mon âme et conscience, laisser le gouvernement américain détruire la vie privée, la liberté d'Internet et les libertés essentielles pour les gens tout autour du monde avec ce système énorme de surveillance qu'il est en train de bâtir secrètement."

Ce faisant, il a rejoint le panthéon des défenseurs des libertés numériques, aux côtés de Bradley Manning, Aaron Schwartz ou Julian Assange. Le Web se mobilise en faveur de celui que Kim Dotcom, Michael Moore, Daniel Ellsberg et les Anonymous célèbrent en nouveau "héros" (lire sur le  sujet : "Pourquoi Edward Snowden est un héros", sur le site du New Yorker, ou sur la génération des "geeks lanceurs d'alerte").

7. Pourquoi Edward Snowden s'est-il réfugié à Moscou ?

Sitôt son identité connue, le 9 juin, Edward Snowden devient l'objet de toutes les attentions. Les internautes se lancent à la recherche de toutes les traces de sa vie privée qu'il a pu laisser en ligne tandis que la diplomatie américaine étudie les pistes pour obtenir son extradition. Le 22 juin, l'étau se resserre : la justice américaine le met formellement en examen, pour espionnage et vol.

Le 23 juin, il s'envole à bord d'un avion de la compagnie russe Aeroflot. Il est censé se rendre à Cuba, après une escale à Moscou. Des dizaines de journalistes de la presse internationale s'empressent de réserver des places à bord du premier vol Moscou-La Havane, mais, lorsque les portes de l'avion se referment, ils doivent se rendre à l'évidence : Snowden n'est pas à bord. Il n'aurait en réalité jamais quitté la zone internationale de l'aéroport Cheremetievo, où il aurait brièvement rencontré un diplomate équatorien.

Le siège vide du vol Moscou-La Havane qui aurait été réservé au nom d'Edward Snowden, le 24 juin.

Edward Snowden effectue alors une demande d'asile politique auprès du gouvernement équatorien : "Face au risque de persécution de la part du gouvernement américain et de ses agents en relation avec ma décision de rendre publiques de graves violations de la part du gouvernement des Etats-Unis d'Amérique de leur Constitution [...], je crois qu'il est improbable que je reçoive un traitement humain avant le procès, et je cours en plus le risque d'une condamnation à la perpétuité ou à mort", écrit-il dans sa lettre de demande. 

Après plusieurs jours d'attente, le gouvernement équatorien, qui a déjà offert l'accueil au cofondateur de WikiLeaks Julian Assange, a indirectement rejeté sa demande d'asile. Dans l'intervalle, Edward Snowden serait resté confiné dans la zone internationale de l'aéroport de Moscou. A la suite des révélations du Guardian faisant état de la mise sur écoute de plusieurs ambassades européennes aux Etats-Unis, des voix se sont fait entendre, en Europe et en France, pour demander que l'Union européenne offre l'asile politique à M. Snowden. Ce dernier a déposé une vingtaine de demandes d'asile politique, dont une auprès de la France, qui ont été rejetées pour la plupart.

>> Lire : "Prism : Edward Snowden, un mois de demandes d'asile"

Le 1er août, cinq semaines après l'arrivée de M. Snowden dans l'aéroport moscovite, l'avocat russe de ce dernier a annoncé que la Russie avait accordé un asile temporaire d'une durée d'un an à l'Américain, qui a ensuite quitté l'aéroport. L'avocat a refusé de dévoiler la localisation précise d'Edward Snowden, se contentant de préciser qu'il était dans un "lieu sûr".

>> Lire : "Edward Snowden 'remercie' la Russie, où il veut refaire sa vie"

L'Américain a, depuis, reçu plusieurs offres d'emploi en Russie, où il dit vouloir "refaire sa vie". De leur côté, les Etats-Unis se sont dits "extrêmement déçus" par la décision russe. Quelques jours plus tard, la Maison Blanche invoquait l'accord de l'asile à Edward Snowden, comme une des raisons de l'annulation de la rencontre entre Barack Obama et Vladimir Poutine. 

 

 

 

17/10/2018

Censure et compte bloqué sur Facebook !

Les amis pour la énième fois, en quelques jours, Facebook pratique la censure et nous a bloqué le compte, et impossible de mettre les articles en ligne. Voir le message ci-dessous. 

Compte bloqué facebook .JPG

21:20 Publié dans Censure, Espionnage, Facebook, Google, Youtube, NS | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

15/10/2018

L'immigration et l’Islam, sont les balais d’Israël pour la destruction de l’Europe et de ses racines chrétiennes

Les sionistes rêvent de guerres civiles en Europe et ailleurs pour que nous servions de chaire à canon pour leurs beaux yeux ! Il va falloir que les musulmans et les chrétiens se rassemblent pour lutter contre notre ennemi commun : le sionisme international dont Rothschild est le président et qui fait avancer ses plans machiavéliques par le biais de la mafia bancaire internationale de Rothschild pour instaurer leur Nouvel Ordre Mondial soi-disant messianique !

Tout comme les guerres et l'immigration sont voulues par l'ONU créée et sponsorisée par les banksters internationaux dont la France est la complice : 

 

Immigration « L'ONU programme le raz-de-marée » : en avril 2000, un rapport préparait l'installation de 159 millions d'immigrés en Europe d'ici à 2025

Le rapport s’intitulait « Migration de remplacement : une solution aux populations en déclin et vieillissantes ». Et dire qu’on nous présente le Grand Remplacement comme une théorie, un « fantasme » de l’extrême droite populiste, raciste et xénophobe… 
 

Alors que seulement un réfugié sur deux est hébergé à l'heure actuelle, la France a pour ambition de voir progresser ce chiffre pour arriver à 86% d'ici 2020. Le parc d'hébergement doit être porté à 10 000 places environ à l'horizon 2019.

 

L'immigration et l’Islam, sont les balais d’Israël pour la destruction de l’Europe et de ses racines chrétiennes 

 

Déclarations du rabbin Rav TOUITOU, frère de l'ancien propriétaire du Bataclan...)

Le Bataclan, vendu le 11 septembre par son détenteur parti en Israël.
La famille Touitou possédait le Bataclan depuis 1976. Le 11 septembre 2015, la salle de spectacle -transformée vendredi en scène de carnage- fut cédée au groupe Lagardère par ses ex-propriétaires engagés en faveur d'Israël.

 

Le Bataclan, vendu le 11 septembre par son détenteur parti en Israël

 

Plan messianique juif ~ génocide des blancs européens ~ Projet Kalergi

Complot messianique - Vous le paierez très cher les Européens... ce sera l'égorgement pour vous.

"Vous le paierez très cher les Européens, mais à un point... ce sera sur place, l'égorgement et vous n'aurez pas où fuir, tout le mal que vous avez fait à Israël, vous le paierez au centuple..... C'est une bonne nouvelle que l'Islam envahisse l'Europe ?

Oui c'est une excellente nouvelle...

Le messie ne viendra que quand l'Europe, la Chrétienté seront totalement tombées.

L'islam, c'est le balai d'Israel...Sachez-le ! 

 



Projet de destruction de l'Europe blanche par l'élite juive (barbara lerner spectre)

 

Le Nationalisme, l'unique issue contre la mondialisation (universalisme)

 

Un policier allemand : « Nous avons ordre d’ignorer les crimes commis par les migrants »

Selon Steve Bannon, « les grands médias, la CIA et la communauté juive » favorisent l'islamisme aux États-Unis 

 

Le redoutable plan occulte du Mondialisme Messianique dévoilé


Les objectifs messianiques du Nouvel Ordre Mondial

Conférence de Philippe Ploncard d'Assac du 15 septembre 2018 à Paris
Site internet : http://nationalisme-francais.com

 


De la colonisation à la décolonisation,
à l'immigration-invasion. Responsabilités et conséquences

Le comportement de De Gaulle envers les musulmans après l’indépendance de l’Algérie et la main des sionistes derrière les colonisations et l'immigration.

Conférence de Philippe Ploncard d'Assac du 06 octobre 2018 à Paris Site internet : http://nationalisme-francais.com

 


 

 

 

14/10/2018

C’est de l’arrogance de croire qu’en 150 ans d’industrialisation nous avons changé le climat !

C’est de l’arrogance de croire qu’en 150 ans d’industrialisation nous avons changé le climat !

Spécialiste reconnu des avalanches, le Suisse Werner Munter planche nuit et jour depuis trois ans sur le réchauffement climatique. Et, pour lui, l’homme n’y est pour rien !

Il y a une semaine, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) pointait une nouvelle fois d’un doigt accusateur l’homme et le CO2 qu’il produit comme principaux coupables du réchauffement climatique. Pour Werner Munter, spécialiste mondialement reconnu des avalanches, qui se penche compulsivement sur le phénomène depuis trois ans, « ces gens sont des imbéciles qui répètent en boucle des bêtises, le savent et sont payés pour ! » Le Bernois nous a longuement reçus dans son appartement d’Arolla (VS) pour étayer ces accusations entre une tranche de viande séchée et deux verres de Cornalin. Son diagnostic climatosceptique, loin d’être celui d’un hurluberlu, est partagé par d’éminents scientifiques dont deux Prix Nobel. Il nous l’explique.

Vous affirmez que l’homme n’a rien à voir avec le réchauffement. Pourquoi ?

Précisons tout d’abord que je ne conteste pas le réchauffement lui-même. Je l’ai d’ailleurs constaté en tant que guide de montagne en voyant les glaciers reculer. Celui qui nous fait face par exemple a perdu 100 m depuis que j’ai acheté cet appart en 1989. En 2005, le pilier Bonatti des Drus s’est effondré à cause du réchauffement du permafrost. Ce que je remets en cause, ce sont les causes de ce réchauffement. Elles n’ont rien à voir avec l’homme ou avec le CO2 comme on nous le serine. Je suis arrivé à cette conclusion pour trois raisons.

Quelles sont ces raisons ?

La première, c’est tout simplement l’analyse des données climatiques reconstituées sur des millions d’années. Rien que dans les 10 000 dernières années, il y a eu cinq pics de températures comparables à celui que nous vivons. Ces optima correspondent à des cycles naturels. Au Moyen Age, il était par exemple possible d’aller en vallée d’Aoste depuis Arolla avec les troupeaux car le glacier n’existait plus. Lors des deux premiers optima, le Sahara était une savane avec des lacs, des arbres et des éléphants. Avant cela, pendant des centaines de milliers d’années, il a fait plus chaud qu’aujourd’hui. Et parfois jusqu’à 7 degrés plus chaud ! Or le GIEC se concentre sur les 150 dernières années. Autant dire qu’il regarde autour de son nombril. Les reconstructions paléoclimatiques montrent aussi que, pendant des centaines de millions d’années, il n’y a pas eu de corrélations entre le CO2 dans l’atmosphère et la température sur terre.

Votre second argument ?

La concentration de CO2 – qui est soit dit en passant un gaz vital et non pas un poison – dans l’atmosphère est négligeable. Il y en a un peu moins de 0,5‰ dans l’atmosphère, et au maximum 5% de cette quantité est imputable à l’homme. Pour un million de molécules d’air, il y a seulement 20 molécules de CO2 produites par l’homme. Et chaque année, notre industrialisation rajoute 4 molécules de CO2 pour chaque million de molécules d’air, mais la moitié est absorbée par les océans et les plantes. Et on veut nous faire croire que cette infime proportion due à l’homme est une catastrophe ? J’ai beaucoup de peine à le croire (rires).

Pourquoi dès lors la thèse officielle fait quasi consensus ? Vos collègues scientifiques ne sont pas tous des imbéciles !

Ces théories visent à nous culpabiliser. Quand des scientifiques comme ceux du GIEC disent qu’ils veulent sauver la planète, je dis qu’ils ne sont pas crédibles. Ils mentent pour préserver des intérêts économiques dont les leurs. Car il y a tout un business derrière la lutte contre le réchauffement. Il y a une volonté de faire peur aux gens par exemple en dramatisant la montée des océans, alors que ceux-ci ne s’élèvent que de 2 à 3 mm par an ! C’est aussi une manipulation intellectuelle de parler de CO2 en tonnes plutôt qu’en proportion. Des tonnes, ça impressionne, mais rappelons que l’atmosphère pèse 5 000 000 000 000 000 tonnes !

Votre dernier argument est que la thèse officielle contredit les lois de la physique. C’est-à-dire ?

Celle de la thermodynamique en particulier. Pour faire simple : la terre fait 15° en moyenne. L’atmosphère censément polluée de CO2 est grosso modo à -30° à 10 km d’altitude. Qu’elle réchauffe la Terre qui est bien plus chaude qu’elle est une aberration. La thermodynamique nous dit que la chaleur va toujours vers le froid et jamais dans le sens inverse, ce qui correspond à notre expérience quotidienne.

Alors au final, comment expliquez-vous ce fichu réchauffement ?

Je n’ai pas de réponse car trop de facteurs entrent en jeu. Par contre, j’ai des hypothèses. Je soupçonne par exemple les variations de l’intensité du rayonnement solaire – qui répondent à des cycles – de jouer un rôle central, tout comme les processus nucléaires complexes et méconnus qui sont à l’œuvre au centre de notre Terre. Quoi qu’il en soit, c’est de l’arrogance de croire qu’en 150 ans d’industrialisation nous avons changé le climat. La nature est bien plus forte que l’homme, nous ne sommes pas les maîtres de la Terre ! Source

 

La Franc-maçonnerie, Synagogue de Satan

 

 

La Franc-maçonnerie, Synagogue de Satan 

Livre la Synagogue de satan.JPG

 

La Franc-maçonnerie, Synagogue de Satan

Cet ouvrage de 1893 fait aujourd’hui partie des grands classiques dont la lecture fut vivement conseillée par les grands maîtres de l’école anti-libérale, au début du siècle dernier. Le contenu des informations rapportées par Mgr Meurin permet de mieux comprendre la trame des événements d’hier et d’aujourd’hui.
562 pages Télécharger le [PDF]

— On ne dira jamais assez que le mode de penser maçonnique, que le mode de penser démocratique, que le mode de penser communautariste ne sont pas faits pour un esprit occidental doublement marqué par l’hellénisme et l’Évangile. Ces systèmes gnostiques, cabalistiques, phénoménologistes sont orientaux. Métaphysiquement, théologiquement surtout ils sont inacceptables, tordus et demandent à l’Occidental qui cherche à s’y glisser qu’il cesse de raisonner.

— Telle est la démonstration utile que nous enseigne Mgr Meurin :

— « Le mystère de la Synagogue déchue, qui se cache derrière la société secrète de la franc-maçonnerie entière : voilà l’ère juive ; Le mystère de l’Ange déchu, qui se cache derrière les dix Séphiroth, c’est-à-dire la Trinité divine et les sept anges qui sont toujours devant le trône de Dieu ! voilà le nombre onze.

Trois haines conjurées contre le Seigneur et son Christ !

— « La Kabbale juive, la base dogmatique de la franc-maçonnerie est la base philosophique et la clef de la franc-maçonnerie. Cette découverte nous a inspiré l’idée de cet essai. Servira-t-il à ouvrir les yeux à ces milliers de francs-maçons non Juifs qui ne voient pas l’esclavage auquel les Pharisiens, les Juifs de la Kabbale, les ont réduits, et dans lequel ils les retiennent captifs par les mystères qu’ils ne leur révèlent pas, même au 33e degré ?

— « On y trouvera l’assujettissement des peuples chrétiens et de leurs autorités politiques sous la domination des Juifs. Ce n’est pas la vraie doctrine de Moïse, inspirée par Dieu même, que les Kabbalistes modernes représentent

— C’est la source empoisonnée des erreurs et des haines surnaturelles qui remplissent le paganisme ancien et moderne, ainsi que l’âme du Juif de la Kabbale et de l’adepte de la franc-maçonnerie, d’une rage indescriptible contre Dieu et contre tous ceux qui croient en Dieu.

— « Usurpateur des honneurs divins, en se donnant comme une des personnes de la Sainte Trinité, le Prince des Ténèbres, inoculant l’erreur panthéistique, conduit l’homme à des débauches inouïes et à une scélératesse ne reculant pas devant l’effroyable attentat de détrôner la majesté divine » (La FM. , passim).

Mgr Meurin démontre que la maçonnerie recueille les erreurs des vieux cultes païens de Zoroastre, du brahmanisme, du bouddhisme, des Syriens et des Babyloniens, des Chaldéens, d’Hermès Trismégiste, du gnosticisme, du manichéisme.


Elle les recueille parce qu’elle les trouve dans la cabale. La cabale est aussi un mélange de toutes les vieilles religions païennes. La maçonnerie est aussi un mélange de tous les cultes païens. Mais la cabale est surtout la divinisation de l’homme juif et l’intronisation de Satan.