15/08/2014
Sanctions occidentales & riposte russe: l'effet boomerang en pleine action
Voici les conséquences que les peuples européens et américain auront à payer grâce à la complicité et à l'alignement inconditionnel des judéo/nazis qui nous gouvernent aux US/UE/Sionazistes pour le plus grand profit du "GRAND ISRAEL" et de leur Nouvel Ordre Mondial !
C'est en cela que la Guerre de GAZA nous concerne TOUS car tout est lié, Jérusalem devant devenir la capitale du Nouvel Ordre Mondial de dictature des Illuminati/Reptiliens/Sionistes/Satanistes qui pratiquent actuellement leurs rituels sataniques en versant le sang des innocents non seulement en Palestine et à Gaza, mais aussi en Irak, en Syrie, en Cisjordanie, au Liban, et bientôt en Egypte, en Jordanie et en Arabie Saoudite, etc...
Ce, dans l'objectif de s'accaparer ces pays qui sont limitrophes à Israël pour faire main basse sur les réserves énergétiques de ces pays dont l'EAU. Le Grand Israël devant s'étendre du Nil à l'Euphrate après avoir absorbé, ce qu'il reste de la Palestine, la Cisjordanie, le Liban, la Jordanie, et une partie de la Syrie, l'lrak, l'Egypte, et de l'Arabie Saoudite ! Et ce, bien sûr avec la complicité active des USA/UE/Sionazistes, et la Grande Bretagne ! Autre objectif visé derrière tout cela : l'Iran !
Ensuite ils viendront nous parler des extrémistes musulmans quand ceux-ci se défendent et défendent leurs pays de l'invasion et de la colonisation Judéo/Nazie.
Voici la carte géographique du projet du Grand Israël que les US appellent le "Grand Petit et Moyen Orient". Les frontières du Grand Israël en rouge sur la carte.
Idem pour ce qui se passe en Ukraine dont les objectifs sont ceux de s'accaparer les richesses russes, d'évincer Poutine de la présidence pour le remplacer par leurs pions Sionazistes comme ils l'ont fait lors de la supposée révolution dite Bolchévique en 1918 qui n'aura été comme en France avec le Roi Louis XVI en 1789, qu'un coup d'état dirigé à l'encontre du dernier Empereur de Russie, le Tsar Nicolas II et coup d'état orchestré par les supposés communistes ou les Judéo-Nazis !
Vous remarquerez qu'avant de lancer ses sanctions contre les USA et l'Europe, Poutine a au préalable pensé à protéger le Peuple Russe, en créant tous les partenariats possibles avec d'autres pays et en instaurant les BRICS et la Banque du développement des BRICS.
Quelques dispositions prises par Poutine et la Chine dans notre article précédent ci-dessous.
Sanctions occidentales & riposte russe: l’effet boomerang en pleine action
Dossier: Riposte russe aux sanctions de l’Occident
14:02 11/08/2014
Par Mikhaïl Gamandiy Egorov, La Voix de la Russie – RIA Novosti
La Russie avait pourtant été claire. Il ne faut jouer avec elle au jeu des « sanctions », que les politiciens et financiers occidentaux utilisent à ce jour à différents endroits de la planète, notamment contre les nations les plus faibles. La Russie, elle, a tous les moyens nécessaires d’y répondre. C’est ce qu’elle a fait. Et de quelle manière…
Le manque, parfois total, de professionnalisme des élites politiques occidentales ne date pas d’hier. On l’a d’ailleurs mentionné à plusieurs reprises et sur différents sujets d’actualité. Sauf qu’aujourd’hui, la maladresse de ces dites « élites » arrive à un point où désormais leurs propres citoyens seront frappés au porte-monnaie en raison de l’incompétence de ceux qui sont justement chargés, de par leurs obligations « professionnelles », à défendre les intérêts de leurs concitoyens.
En effet, les dirigeants de Bruxelles ont montré une fois encore qu’ils sont totalement incapables de défendre les intérêts des peuples européens. Totalement incapables. Car lorsque les USA ont lancé le fameux jeu des « sanctions » à l’encontre de la Russie, il était plus que clair que la Russie (d’aujourd’hui) allait réagir. D’autant plus que dès le départ et puisque tout est soi-disant lié à la situation en Ukraine, ce seraient les USA qui auraient dû être sanctionnés pour la simple et bonne raison que le chaos qui règne aujourd’hui dans l’Etat qui jadis s’appelait l’Ukraine, les Etats-Unis en portent entière responsabilité.
Il était également plus que clair que les Etats européens (dans la version UE) n’avaient aucun intérêt à suivre aussi aveuglement et comme d’habitude leur « ami » étasunien. Pourtant, c’est ce qu’ils ont fait. Et tout cela après les insultes envers l’UE de la secrétaire d’Etat étasunienne adjointe chargée pour l’Europe, Victoria Nuland. Après les multiples scandales d’espionnage par la NSA étasunienne de ses « alliés » européens. Des scandales qui par ailleurs ne finissent pas à ce jour. Masochisme oblige ?
Et parallèlement, l’UE a oublié les intérêts économiques la liant à la Russie. Car il ne faut tout de même pas oublier une chose, ou plutôt deux : les mesures de riposte économique de la Russie toucheront également les USA. Et pas dans une moindre mesure. A ce titre et à l’heure actuelle, plusieurs représentants du milieu des affaires étasunien ayant des activités importantes en Russie ne cachent pas leur sérieuse inquiétude. Mais les intérêts économiques de l’UE sont aujourd’hui les premiers touchés, ne serait-ce qu’en raison de la proximité géographique entre l’Europe dans sa version UE d’un côté et la Russie, ainsi que plus globalement l’Eurasie de l’autre.
Aujourd’hui pour l’Union européenne, ce rôle de sous-traitants de la politique étasunienne sur le continent européen se paie donc cash. Et ce n’est vraisemblablement que le début. Depuis hier, la Russie a imposé une interdiction totale (pour une période d’un an) sur l’importation de tous les produits agricoles, ainsi que de viande de bœuf, de porc, de fromage, de volaille, de lait, de poisson en provenance des USA, des pays de l’UE, d’Australie, du Canada et de Norvège.
Une véritable catastrophe selon plusieurs producteurs de pays européens. « C’est un cauchemar »,affirmait sur l’antenne de France 2 un exportateur français de fruits. Une perte de 200 000 euros pour lui seul sur ce mois, ainsi que le licenciement de tous ses employés à l’horizon très proche. Des histoires similaires dans la Belgique voisine, pour laquelle le marché russe était l’un des principaux en matière d’exportation de produits agricoles, notamment des poires, atteignant dans certains cas 60-70% de la production. Les producteurs allemands et italiens, sont eux aussi, très inquiets. Pour certains c’est la banqueroute pure et simple. Cela, sans parler de la Pologne et des pays baltes, dont la très grande majorité de la production agricole s’écoulait également sur le marché russe.
Et qu’en-est-il de la Russie dans cette situation ? Les producteurs nationaux russes, ainsi que leurs homologues des pays d’Amérique latine ont d’ores et déjà assuré de leur capacité à remplacer sur le marché russe les produits agricoles et de consommation, en provenance des USA & pays de l’UE, et ce dans un délai de deux-trois semaines. D’autres pays également sont ravis de cette situation, car cela leur permettra d’augmenter massivement l’export de leurs produits similaires sur le marché russe. Parmi ces pays : la Turquie et les pays d’Asie centrale, dont l’Ouzbékistan, le Kazakhstan et le Tadjikistan, voisins de la Russie.
Mais la Russie garde encore un certain nombre de mesures qui risquent de frapper d’ici peu et grandement les intérêts économiques de l’Occident. Parmi elles, on mentionnera que la Russie entrevoit de fermer entièrement son espace aérien aux vols de transit des compagnies aériennes occidentales. Si cela devait arriver, ce serait un coup très dur pour les Lufthansa, Air France-KLM, British Airways, Finnair, etc… Car cela augmenterait très considérablement leur coût de transport des passagers d’Europe vers l’Asie, en conséquence de quoi et cela concerne les passagers, les prix des billets augmenteront. Autre mesure, qui elle vise précisément les USA, concerne le blocage du transport des astronautes étasuniens vers la Station spatiale internationale (ISS), mentionnée déjà il y a quelques temps par le vice-premier ministre russe, Dmitri Rogozine.
Par ailleurs, la Russie pourrait augmenter le prix de son gaz destiné à l’export dans l’Union européenne. Vraisemblablement, cette option reste encore dans le tiroir au moins jusqu’à l’automne mais peut sortir à tout moment, surtout si la colossale dette ukrainienne pour le gaz russe déjà fourni ne sera pas réglée d’ici cette période. Une dette que Kiev ne se presse pas (encore) de payer, avec le « soutien » de ses mentors washingtoniens et bruxellois. Il serait d’ailleurs intéressant de voir comment ce « soutien chaleureux » permettra à la « nouvelle » Ukraine de se chauffer en période hivernale.
Les USA sont en déroute et pas depuis hier, à l’image d’un grand bateau qui coule. Sauf que ce grand bateau entraine avec lui l’Europe, ou du moins une partie du continent européen. La Russie, elle, a prouvé une fois encore qu’on est plus en 1991, ni en 1998, mais bien en 2014. Et qu’elle capable de faire face à n’importe quel défi qui lui est lancé par ceux qui pensaient il y a encore pas très longtemps l’avoir mise définitivement à genoux. Dommage pour les producteurs européens, et américains aussi d’ailleurs, qui aujourd’hui paient le prix de l’aventurisme de leurs gouvernements. Peut-être que cela poussera le mécontentement populaire du monde occidental à un nouveau stade, d’autant plus que l’opinion publique de l’Occident se révolte de plus en plus de la « bénédiction » de ses gouvernements aux massacres dans le Donbass et en Palestine. Quant à la Russie, elle poursuivra l’intégration eurasiatique, de même qu’avec les BRICS, l’Amérique latine, le monde arabe et l’Afrique. Avec tous ceux qui voient en elle un pays ami et le symbole d’un nouveau monde déjà devenu réalité.
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http://fr.ria.ru/discussion/20140811/202101344.html
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