27/02/2013
SCOOP ! L'affaire Ratzinger devant la CPI - Crimes contre l'humanité déposée par Maîtres Christian Seiler et Hetzel, le 14 février 2011
Certains ont dénigré non seulement le travail extraordinaire effectué par le Révérend Kevin Annett au Canada pour que la justice soit enfin rendue à 50 000 enfants Indiens, enlevés à leurs parents, violés, stérilisés et torturés jusqu'à la mort, mais en plus nous avons été critiqués par des ignorants complices de ces crimes pour avoir soi-disant diffusé n'importe quoi parce que la déclaration publique n'était pas signée nominativement par des juges et qu'elle n'avait pas été rendue par un Tribunal soi-disant Légal !
C'est quoi la légalité et la légitimité du Gouvernement et des tribunaux d'exception qui travaillent contre l'intérêt du peuple, alors que nous sommes toujours en monarchie selon l'article 1er du Code Civil qui a été modifié, sans droit ni titre par Jacques Chirac en 2004, lorsque n'étant pas lignée royale, il n'avait aucune autorité légitime pour le modifier ?
Celles de s'être octroyé sans droit ni titre, le permis de tuer des innocents en toute impunité et de nous imposer sa dictature ?
La légitimité, c'est quoi ? De pouvoir tuer en toute impunité ?
Le Pape aura sécurité, immunité en restant dans le Vatican en cas de poursuites pour crimes comme l'humanité
L'article original ici anglais. Reuteurs du 15 février 2013
Pope will have security, immunity by remaining in the Vatican
Le site des avocats :http://www.affaire-ratzinger.com/
Le livre à télécharger ICI ou par ce lien :
http://www.affaire-ratzinger.com/le-livre/index.html
Une plainte en justice contre Joseph Ratzinger
La plainte a été déposée auprès de la Cour pénale internationale de La Haye. Elle a pour objet des crimes contre l’humanité.
Y sont dénoncés trois crimes contre l'humanité, dont Mr Joseph Ratzinger, en tant qu’ancien cardinal et pape actuel, est soupçonné pénalement :
Si un nouveau groupe religieux, par l’exercice d’une pression psychique massive sur ses membres, les obligeait à embrigader leurs nouveaux-nés dans le groupe pour qu’ils le financent par la suite et suivent toute leur vie ses directives, on le qualifierait de « secte ». Il se pourrait même que l’Etat dissolve cette organisation et condamne les « chefs de la secte » pour coercition et intimidation, d’autant plus si le groupe ne tolérait pas que ses membres le quittent et les en dissuadait en les menaçant des pires punitions, entraînant chez bon nombre d’entre eux des dommages psychiques considérables ainsi qu’une entrave au libre épanouissement.
Peut-il en être autrement dans un même cas de figure, où de plus une organisation se comporte de la sorte non pas seulement envers quelques individus mais dans le monde entier, tout simplement parce qu’elle se nomme « Eglise catholique romaine » et parle sans cesse de liberté de religion, tout en lançant des « chargés aux sectes » aux trousses de personnes dont la foi diverge de la sienne ? Il n'en est pas autrement, mais on s'y est accoutumé. Depuis le 01/07/2002, jour où le Statut de la Cour pénale internationale qui incrimine les « crimes contre l'humanité » est entré en vigueur, cette accoutumance n’est plus autorisée.
Si, dans une secte coercitive répandue dans le monde entier, des centaines de milliers d'enfants avaient été victimes d'abus sexuels, que ces crimes avaient été dissimulés sur ordre du dirigeant de la secte et leurs auteurs protégés de poursuites judiciaires, cette organisation criminelle et son chef seraient poursuivis en justice. Peut-il en être autrement uniquement parce que la secte coercitive se nomme « Eglise » et que la loi du silence sur les crimes ne vient pas d’un chef de la mafia mais du pape ? Il n'en est pas autrement, on s’est simplement habitué depuis des siècles à un clergé pédophile et au pouvoir de son grand prêtre. Depuis que sont définis les éléments constitutifs du crime contre l'humanité, il n’est plus permis de fermer les yeux.
Contexte
Beaucoup de personnes ne vont pas en croire leurs yeux : « Poursuivre le pape en justice ? C’est une idée folle ! » Bon nombre encore se demanderont : « Pourquoi seulement maintenant ? » Les catholiques fidèles à l'Eglise en seront outrés, les esprits libres en éprouveront de la satisfaction. Qu’une plainte contre le pape déclenche des émotions tient à la personne même de l'accusé, considéré par les uns comme le représentant de Dieu et par les autres comme le prince des ténèbres. Dans la plainte imprimée dans cet ouvrage, qui a été adressée à la Cour pénale internationale à La Haye, il n'est ni l'un ni l'autre mais tout simplement « l'accusé, M. Joseph Ratzinger », à qui sont reprochés des crimes graves - contre les enfants victimes des crimes commis par son clergé, contre les africains tués par son interdiction mortelle du préservatif et contre les membres de l'Eglise asservis par sa domination sacerdotale totalitaire.
Je suis avocat et j'ai rédigé cette plainte avec mon collègue Me Gert-Joachim Hetzel dans la conscience que le moment est venu de se libérer enfin de la soumission moyenâgeuse dont il est fait preuve envers les princes de l'Eglise et de les appeler, comme tout autre citoyen, à rendre des comptes lorsqu'ils commettent des crimes.
Nous dédions cet ouvrage à tous ceux qui, sous le système inhumain de l'Eglise, ont enduré de graves souffrances psychiques, à tous ceux qui sont morts à cause de la « morale sexuelle » misanthropique des vieillards de Rome, et avant tout aux innombrables enfants victimes des crimes sexuels du clergé. Dans le cadre de notre activité d'avocats nous avons vu combien les victimes, même adultes, souffrent de ce qu’elles ont vécu enfant. C’est avant tout pour elles que nous avons déposé cette plainte. Elles ont bien souvent perdu toute foi en la justice, et aussi en Dieu. Notre souhait est qu’elles retrouvent si possible les deux.
Me Christian Sailer
Les thèmes de la plainte
L'entrée en vigueur du Statut de Rome de la Cour pénale internationale, le 01/07/2002, a marqué un tournant dans la civilisation. Ce fut la fin du temps où les crimes de masse motivés par une politique ou une idéologie restaient impunis, parce qu'ils ne pouvaient pas être définis par les éléments délictueux constituant classiquement le meurtre, la séquestration et la coercition. La définition des " crimes contre l'humanité ", telle qu'elle existe dans le Statut de Rome, ne fait pas seulement état de la " commission multiple d'actes " et de la responsabilité pénale des meneurs, mais élargit aussi le spectre des droits protégés : Dans l'article 7, § 1k, sont aussi passibles de peine les " Autres actes inhumains … causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves … à la santé physique ou mentale ", à condition que ces atteintes soient d'une gravité analogue à celle par exemple du viol, de l'esclavage ou de la déportation. La violence psychologique, pouvant porter atteinte à la santé, en fait ainsi partie. Une grande partie de la violence traditionnelle de ce monde, qui était acceptée parce que " ça a toujours été comment ça " est, en vertu du Statut de Rome, désormais punie par la loi.
Cette plainte arrive à la conclusion que cette définition correspond au régime coercitif de l'Eglise catholique romaine, dirigée par l'accusé, ainsi qu'à la menace anxiogène des tourments éternels de l'enfer qu'elle véhicule. Ces menaces conduisent de nombreuses personnes dans une dépendance mentale maladive et les privent de leur propre conscience dans des domaines existentiels de la vie. Ce n'est que par l'intermédiaire de ce système coercitif que les deux autres crimes contre l'humanité, incriminés par cette plainte, ont pu être possibles. Une appréciation pénale de cet usage du pouvoir exerçant une pression psychologique extrême est d'autant plus appropriée que l'accusé tente de faire oublier le totalitarisme de son système en détournant l'attention par une éloge à tout va de la liberté de religion, que sa propre Eglise foule aux pieds, que ce soit par la manière dont elle traite ses propres membres que par son intolérance agressive envers des concurrents religieux, surtout s'il s'agit de minorités religieuses.
De plus, cette plainte arrive également à la conclusion que l'accusé est pénalement coresponsable de la mort de centaines de milliers, peut-être même de millions de personnes atteintes du sida car, malgré le développement de l'épidémie, il maintient l'interdiction de l'utilisation de moyens de protection contre la transmission du VIH prononcée par l'Eglise, et l'impose en se servant des menaces exprimées par son système coercitif.
Pour finir, la plainte arrive à la conclusion que l'accusé est pénalement responsable de l'augmentation continue des crimes sexuels commis par des prêtres catholiques au cours des dernières décennies. En public, l'accusé simule le dirigeant ecclésiastique pieux qui s'excuse auprès des victimes des criminels pédophiles de l'Eglise et veut empêcher que de telles choses se reproduisent à l'avenir. En réalité, il agit en implacable " parrain " d'un système de dissimulation généralisé en vigueur dans le monde entier, système qui favorise les criminels au détriment de leurs victimes et ouvre chaque jour la voie à de nouveaux crimes.
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Vos données ne seront utilisées que pour soutenir la plainte déposée auprès de la Cour pénale internationale de La Haye
Informations d'actualité
Des humanistes internationaux réclament que le Vatican perde son statut d’observateur à l’ONU
L’Union Internationale Humaniste et Ethique (IHEU = International Humanist and Ethical Union) demande qu’on retire au Vatican son statut d’observateur à l’ONU. La raison avancée par le porte-parole de l’IHEU, Keith Porteous Wood, sont des « violations graves et à grande échelle » de la convention des droits de l'enfant de l’ONU.
Wood a exprimé cette requête lors d’un discours à la session plénière du Conseil des droits de l'Homme des Nations Unies. Il a cité l'avocat britannique et ancien juge de l’ONU Geoffrey Robertson, qui constata au sujet du Vatican un « besoin égoïste » de se protéger du scandale, qui a conduit à ce que des prêtres pédophiles soient couverts par l'Eglise. Le suivi des prêtres pédophiles par la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, présidée pendant deux décennies par le pape actuel, fut très négligé. Wood mentionne deux lettres du Vatican, respectivement des années 1984 et 1997, dans lesquelles la CDF donne des instructions qui ont conduit à la dissimulation de tels cas.
Wood poursuit en ajoutant qu’en outre le Vatican avait manqué pendant 14 ans de produire un rapport sur les « carences de procédure » et que cela devait enfin avoir des conséquences.
Note : Les lettres citées par Wood et la dissimulation pratiquée par la CDF dirigée pendant de longues années par Joseph Ratzinger, font également partie de l'objet de la plainte [490 KB] déposée par Sailer et Hetzel, avocats, contre Ratzinger, devant la Cour pénale internationale de La Haye.
Cela devait être un « acte de repentance », un « geste d'humilité attendu depuis si longtemps » (v. taz, 16/03/11). Mais les parrains des criminels pédophiles cléricaux, qui s'étaient rassemblés à Paderborn pour la Conférence épiscopale allemande, ont avant tout pensé à eux-mêmes, et non à leurs victimes. Mgr Zollitsch, le chef des évêques, tint un sermon onctueux sur la « miséricorde » et « le manque de miséricorde » ... « Nous avons nous-mêmes au cours des derniers mois développé de façon nouvelle la conscience que tout dépend de la miséricorde », dit-il. Mais dans le fond, il menace en disant que « l'avenir est fermé aux impitoyables. »
Il se moque ainsi des victimes d’assassinats spirituels commis par des ecclésiastiques, des victimes qui ne se satisfont pas de discours hypocrites mais réclament réparation auprès de l’Eglise. Ce ne sont pas les victimes qui se ferment leur propre avenir si elles ne parviennent pas à pardonner à leurs agresseurs, c’est l'Eglise qui a ruiné leur avenir parce qu'elle leur a refusé une véritable réparation et couvert pendant des décennies les criminels agissant dans ses rangs, ce qu’elle continue à faire. Tout d’abord il y a eu un décret papal ordonnant la dissimulation, protégeant ainsi de la police et des procureurs les criminels pédophiles cléricaux. Cette directive fut confirmée en 2001 par Joseph Ratzinger en tant que cardinal, et plus tard en tant que pape, il l’a maintenue. Une directive qui fait du pape et de ses évêques les parrains des criminels sexuels de l’Eglise. Pour ce qui est de leurs perspectives d'avenir, ils peuvent lire leur propre Bible : « Mais quiconque entraîne la chute d'un seul de ces petits qui croient en moi, il est préférable pour lui qu'on lui attache au cou une grosse meule et qu'on le précipite dans l'abîme de la mer. » (Mathieu 18:6)
02:27 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, Apocalyse - Révélation, Bioterrorisme, Eugénisme, Conspiration mondiale, Conspiration, Complot, Corruption, Contrôle des populations, Crimes contre l'humanité, Eugénisme, Dictature Française, Mondiale et religieuse, Escroquerie, Eveil, Prière, Révolution spirituelle, Histoire secrète du monde, International, Intrigues - Assassinats, Attentats, La dictature mondiale, La marque de la bête, La Religion Mondiale New Age du NOM, Le Gouvernement occulte US ou MJ12, Le Club de Rome, Le Pouvoir Mondial, Le Vatican & Les Jésuites Lucifériens, Les Illuminati-Reptiliens, Les Lobbies et la Politique, Les Maîtres du Monde, Les Projets des Maîtres du Monde, Les protocoles des Sages de Sion, Les Reptiliens, Les secrets du Vatican & des Jésuites Lucifériens, Les Sociétés Secrètes, Nouvel Ordre Mondial, Pédocriminalité, Pédophilie, Pétitions, Plainte, Protocoles de Sion, Religions, Inventions, Mensonges, Reprendre le pouvoir, Rockfeller, Rothschild, Mafia Kazhar, Sionisme, Oligarchie, LDJ, Survie, Réveillez-vous, Préparez-vous, Vatican, Mensonges, Politique | Lien permanent | | del.icio.us | | Imprimer | Digg | Facebook | | |
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