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08/11/2012

Les scientifiques confirment une anomalie gravitationnellle et une diminution du champ magnétique terrestre

Les scientifiques reconnaissent eux-mêmes qu'ils ne connaissent pas le processus d'inversion des pôles magnétiques ainsi que celui de la diminution du champ magnétique terrestre.

Ne nous reposons donc pas sur les dates qu'ils communiquent car une inversion des pôles magnétiques peut se produire d'une minute à l'autre, sans prévenir.

C
ette inversion étant liée aux mouvements et transferts des masses d'eau sur la terre et à l'élévation du niveau des mers et des océans, ainsi qu'aux rayonnements cosmiques qui peuvent se produire dans notre système solaire et au centre de notre galaxie, dont les explosions solaires et celles provenant du centre de la Galaxie; comme ICI.

Les mouvements des autres planètes et leurs alignements ont aussi une conséquence sur notre champ magnétique, tout étant lié dans l'Univers sur le plan électrique et électromagnétique. Étudier uniquement le champ magnétique terrestre, sans tenir compte de tous les autres paramètres géomagnétiques, électromagnétiques et cosmiques, correspond à mener des expériences scientifiques incomplètes et tronquées. Tout comme dire que si la Terre est touchée que sur une seule région d'anomalies constatées, serait renier, que cette région peut affecter la Terre entière.

Nous vous rappelons par ailleurs que des satellites explorent actuellement, le champ magnétique terrestre pour une mission qui devrait durer 4 ans ?

C'est pour faire bien dans le décor scientifique ou bien parce qu'il y a bien des anomalies sur le champ magnétique terrestre et sur sa gravitation, constatées depuis plusieurs décennies déjà ?


Pour nous, tout cela fait partie d'un ensemble et du processus d'ascension de la Terre et de toutes les planètes de l'ensemble de notre système solaire vers le centre de notre Galaxie, la Voie Lactée pour effectuer le grand saut quantique prévu depuis longtemps.

De plus avant d'étudier le comportement du noyau terrestre, il faudrait qu'ils nous disent une bonne fois pour toutes, si la Terre est creuse ou pas.

Si elle est bien creuse et que ses pôles sont ouverts et non pas fermés, comme nous le pensons, tous leurs calculs ne seront encore que des hypothèses erronées, comme d'habitude dans le domaine de la science qui n'a jamais été une science exacte.


Des satellites explorent le champ magnétique terrestre
http://www.youtube.com/watch?v=SQZINbXpjc4

Publiée le 26 oct. 2012 par

Sans lui, aucune vie n'est possible sur Terre. Le champ magnétique nous protège des dangers de l'espace et notamment du rayonnement nocif du Soleil. Or il est instable, il s'affaiblit et les pôles se déplacent.

L'étude de ses évolutions est essentielle à l'Humanité d'autant que dans les prochains siècles (LPM : mais oui, dormez tranquilles braves gens), la magnétosphère pourrait vivre un revirement de situation d'ampleur : une nouvelle inversion des pôles.

Les relevés des observatoires installés sur la surface de la Terre ne donnent pas une vision exhaustive de l'état du champ magnétique terrestre. Pour y remédier, des magnétomètres sont envoyés dans l'espace.

Les satellites sont capables de mesurer avec précision, l'intensité et la direction du champ magnétique en n'importe quel point de la Terre. Comme les observatoires au sol, ils sont équipés de magnétomètres comme ceux construits par les ingénieurs de l'Institut national danois de l'Espace.

Donner une vision approfondie du champ magnétique terrestre, établir sa composition et retracer ses changements dans l'espace et dans le temps... C'est l'objectif ambitieux d'une mission baptisée Swarm qui sera lancée d'ici mi-2013 par l'Agence spatiale européenne. (LPM : C'est-à-dire lorsqu'il sera trop tard ?)

Au-delà du défi pour la science, le programme Earth Explorer dont dépend ce projet répond aussi à une préoccupation majeure : mieux préserver la Terre qui nous accueille. (LPM : Quelle prétention !)


Première détermination de la signature des mouvements du noyau liquide de la Terre dans des données gravimétriques et magnétiques

Samedi, 13 Octobre 2012

Une équipe franco‐allemande* montre la signature des mouvements du noyau liquide de la Terre dans les données gravimétriques et magnétiques, obtenues grâce aux missions spatiales GRACE and CHAMP. C'est la première fois qu'une anomalie de gravité est expliquée par des mouvements dans noyau liquide. Un nouveau moyen d'étudier la dynamo terrestre se dessine. Une étude parue en ligne dans la revue PNAS du 11 octobre 2012.

L'enveloppe la plus externe du noyau terrestre est composée de métal en fusion riche en fer. Les mouvements de ce métal conducteur sont à l'origine du champ magnétique terrestre. Jusqu'à présent, la dynamique du noyau fluide ne pouvait être appréhendée qu'à travers des observations des variations du champ magnétique terrestre. Or de la même façon que les grands courants océaniques se traduisent par des déplacements de masse, les mouvements dans le noyau liquides doivent également induire des redistributions de masse au sein du système Terre, qui s’accompagneraient de variations temporelles du champ de pesanteur terrestre très faibles mais détectables. C'est le défi que viennent de lever les auteurs de l'article.

Depuis le lancement de la mission GRACE en 2002, les variations temporelles du champ de pesanteur sont mesurées tous les mois à l’échelle globale. Même si elles sont dominées par l’effet des mouvements de masse associés au cycle de l’eau entre atmosphère, océans, calottes polaires et hydrosphère continentale, ces observations, combinées avec les données magnétiques, ouvrent de nouvelles possibilités pour l’étude des phénomènes du noyau aux échelles de temps décennale à subdécennale.


Mode de variabilité commun mis en évidence entre l’accélération magnétique et la pesanteur. Les courbes de gauche représentent la variabilité temporelle dimensionnée de chaque champ (en rouge, l’accélération magnétique et en bleu, la pesanteur), les cartes de droite représentent le motif spatial adimensionné associé.© Miora et al. PNAS 2012

A partir d’une analyse de huit ans de données du satellite CHAMP pour le champ magnétique et des géoïdes GRACE construits par le CNES/GRGS pour le champ de pesanteur, ainsi que de sorties de modèles océanique et hydrologique, l'équipe de scientifique a mis en évidence une variabilité commune aux échelles de temps inter-annuelles entre l’accélération du champ magnétique terrestre et la pesanteur dans une zone centrée sur l’Afrique, s’étendant de l’océan Atlantique à l’océan Indien (Cf. fig.). La région où ce signal est détecté présente des caractéristiques très particulières : d’une part, c’est là qu’une diminution extrêmement importante de l’intensité du champ magnétique du noyau est observée depuis plusieurs décennies, et d’autre part, les modèles de flux construits à partir des données CHAMP montrent que cette zone est associée à des mouvements importants à la surface du noyau. L’amplitude de la variabilité commune détectée est cohérente avec des estimations théoriques antérieures, elle est donc compatible avec une origine liée au noyau.


Des variations dans les couches superficielles du noyau pourraient être mises en jeu, mais à ce jour aucune explication satisfaisante ne peut encore être proposée et le modèle physique complet rendant compte de ces observations reste à construire. Néanmoins, ces résultats et leurs implications géodynamiques importantes soulignent le très grand intérêt des missions satellitaires d’observation des champs de potentiels terrestres, présentes et futures, pour la modélisation et la compréhension du cœur de notre planète.

Source(s): 

Recent changes of the Earth's core derived from satellite observations of magnetic and gravity fields.
Proceedings of the National Academy of Sciences (Earth, Atmospheric, and Planetary Sciences) 8 octobre 2012

*Mioara Mandea1, Isabelle Panet2,3, Vincent Lesur4, Olivier de Viron3, Michel Diament3, Jean-Louis Le Mouël3
1 Centre National d'Etudes Spatiales,
2 Institut National de l'Information Géographique et Forestière, GRGS, Université Paris Diderot, Laboratoire de Recherche en Géodésie,
3 Université Paris Diderot - Sorbonne Paris Cite, Institut de Physique du Globe de Paris, CNRS,
4 Helmholtz Centre Potsdam, GFZ German Research Centre for Geosciences,
Section Earth's magnetic field, Potsdam, Germany

http://www.insu.cnrs.fr/node/3967

 

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