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30/04/2011

Pamir : L'arme sismique (Japon, attentat ou accident??)

Nous revenons sur le tsunami qui a eu lieu au Japon, le 11 mars 2011.

Fait étrange, nous avons été obligés de republier notre précédent article qui n'était plus accessible à partir de notre blog.  Le voici à nouveau, ci-dessous :

Retour sur le tsunami du Japon. Attaque atomique des ricains sur le Japon ?

Puis nous revenons aussi sur celui-ci qui traitait du :

Gaz « le cumétril » gaz mortel indétectable, Après Haïti .. Israël terrorise l'Iran et les Arabes à «Alkimitril"

Et sur celui-ci, dont un témoin avait entendu comme de nombreuses personnes dans sa ville, une énorme explosion après le tremblement de terre et avant l'arrivée du tsunami.

Shin-Urayasu au Japon, la première aube après le séisme. Une explosion après le temblement de terre ?

Vous souvenez-vous que nous étonnions de la couleur noire du tsunami qui arrivait sur les terres, qui semblait charier des sédiments sous-marins ?

Voir les images et les vidéos : ICI

Et bien nous pourrions en avoir une explication ci-dessous avec le Pamir.

Pamir : L'arme sismique (Japon, attentat ou accident??)

La machine à tremblements de terre

Machine Pamir également appelée générateur MHD de Pavlowsky. Conçu par l'IVTAN Russe équivalent du Typhée Français conçu par le CEA.

Principe de fonctionnement : générateur MHD impulsionnel à rafale longue, un gaz chaud induit dans une tuyère génère des fréquences électriques permettant les vibrations des différentes couches terrestres.

Durant la Seconde Guerre mondiale des chercheurs néo-zélandais ont tenté d’élaborer une machine à provoquer des tsunamis qui puisse être utilisée contre le Japon. Les travaux furent dirigés par l’Australien Thomas Leech de l’université d’Auckland, sous le nom de code « Projet Seal ». Plusieurs expériences à petite échelle furent réalisées, en 1944-1945, à Whangaparaoa. Elles furent couronnées de succès.

Les Etats-Unis considéraient ce programme comme aussi prometteur que le « projet Manhattan » de fabrication d’une bombe atomique. Ils désignèrent le docteur Karl T. Compton pour faire la liaison entre les deux unités de recherche. Compton était le président du MIT. Il avait déjà recruté de nombreux savants pour l’effort de guerre et il était l’une des huit personnes chargées de conseiller de président Truman sur l’usage de la bombe atomique. Il pensait que celle-ci pouvait fournir l’énergie nécessaire à l’équipe de Leech pour provoquer de plus vastes tsunamis.

pamir2

Les travaux de Thomas Leech furent poursuivis durant la Guerre froide. En 1947, George VI éleva le savant à la dignité de Chevalier de l’Empire britannique pour le récompenser d’avoir élaboré une arme nouvelle.

Le Projet Seal étant toujours un secret militaire, il ne fut pas révélé à l’époque qu’il était honoré pour la bombe à tsunami. Par la suite, les services US se sont appliqués à faire croire que ces recherches n’avaient jamais existé et que tout cela n’était qu’un leurre pour impressionner les Soviétiques. Cependant, l’authenticité des essais de Leech a été établie, en 1999, lorsque une partie de la documentation a été déclassifiée par le ministère néo-zélandais des Affaires étrangères. Officiellement les études ont repris aujourd’hui à l’université de Waikato.

Officiellement, à la fin de la guerre du Vietnam, les Etats-Unis et l’Union soviétique ont renoncé aux guerres environnementales (tremblements de terre, tsunamis, bouleversement de l’équilibre écologique d’une région, modifications des conditions atmosphériques -nuages, précipitations, cyclones et tornades-, modification des conditions climatiques, des courants océaniques, de l’état de la couche d’ozone ou de l’ionosphère) en signant la « Convention sur l’interdiction d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles » (1976).

Toutefois, à partir de 1975, l’URSS a ouvert de nouvelles recherches de Magnétohydrodynamique (MHD). Il s’agissait d’étudier la croute terrestre et de prévoir les séismes. Les Soviétiques étudièrent la possibilité de provoquer de petits séismes pour en éviter un grand. Ces recherches furent bientôt militarisées. Elles aboutirent à la construction de Pamir, la machine à tremblement de terre.

Lors du démantèlement de l’URSS, des responsables de ce programme décidèrent par appât du gain de passer aux Etats-Unis, mais leur recherche étant inachevée le Pentagone refusa de payer. En 1995, alors que la Russie était gouvernée par Boris Eltsine et l’oligarque Viktor Tchernomyrdine, l’US Air Force recruta les chercheurs et leur laboratoire à Nijni Novgorod. Ils y construisirent une machine beaucoup plus puissante, Pamir 3, qui fut testée avec succès. Le Pentagone achèta alors les hommes et le matériel et les transporta aux USA, où ils furent intégrés au programme HAARP.

Quand la réalité dépasse la fiction

Nous avons compris, en 2006 le système qui permettait d'utiliser un générateur MHD impulsionnel (fonctionnant de 5 à 10 secondes, qui existe depuis un demi-siècle ), utilisé pour vaporiser l'eau d'une nappe phréatique à proximité d'une faille "transformante" pour en faire une arme sismique. C'est une technologie relativement rustique, et surtout, qui fait peur.

Voici, ci-dessous, l'origine de la couleur noire de la terre du tsunami : sédiments sous marins

Réfléchissons. Ce système pourrait parfaitement être appliqué au fond des mers. Modifier un sous-marin en conséquence ne pose aucun problème technique. Ce même sous-marin pourrait avoir une allure très "banalisée". Les moteurs fusées utilisés, à propergol solide fonctionnent très bien dans l'eau et sous pression. Trente bars correspondent à 300 mètres de profondeur. Il serait ainsi parfaitement possible de mettre en oeuvre un générateur du type Pamir au voisinage d'une faille et loin des côtes. Son fonctionnement ne serait pas détecté en surface.

Nous découvrons ainsi une nouvelle forme de guerre discrete ("silent war") où affaiblir un adversaire peut consister à créer chez lui des "phénomènes naturels" qui pourraient, avec des moyens étonnement modestes, créer chez lui des effets destructeurs, à grande distance, et même en différé. Quitte à proposer ensuite son "aide humanitaire", opération permettant éventuellement de reprendre un pays complètement en main.

Voici un documentaire fait par ARTE sur cette arme:


La vidéo en dit long sur les volontés des institutions militaires de mettre au silence ce genre d'arme "non létales" aux dangers immenses.

 Haïti

"Reconstruction d'Haïti : le casse-tête de la corruption" Le Monde

"Là où il y l’armée US sur le globe, il y a du pétrole."  Alors tapons "Haïti pétrole" sur Google...

Résultat...

Les scientifiques Daniel et Ginette Mathurin indiquent que le sous sol haïtien est riche en hydrocarbures qui ont été répertoriés par des spécialistes étrangers et haïtiens.  » Nous avons relevé 20 sites pétrolifères « , lance Daniel Mathurin précisant que 5 d’entre eux sont jugés de grande importance par les spécialistes et les politiques.

Le Plateau central, notamment la région de Thomonde, la plaine du cul-de-sac et la baie de Port-au-Prince regorgent d’hydrocarbures, dit-il ajoutant que les réserves pétrolifères d’Haïti sont plus importantes que celles du Vénézuela, l’un des plus grands producteurs mondiaux de pétrole.

Interrogée sur la non exploitation de ces sites, Ginette Mathurin a précisé que ces gisements sont déclarés réserves stratégiques des Etats Unis d’Amérique. Tout en faisant état de son imcompréhension d’une telle situation, elle rapelle que la caraïbe est considérée comme l’arriere cour des Etats Unis.

Chavez craint une occupation américaine

nouvelles internationales

Le président vénézuélien Hugo Chavez a accusé dimanche les États-Unis de vouloir occuper Haïti sous prétexte d’aider ce pays, terrassé par un violent tremblement de terre.

« J’ai lu que 3000 soldats allaient arriver. Des marines armés comme s’ils allaient en guerre. Mon Dieu, il n’y a pas pénurie d’armes là-bas! Des médecins, des médicaments, du carburant, des hôpitaux de campagne, voilà ce que les États-Unis devraient envoyer! » s’est exclamé Hugo Chavez dans son allocution télévisée hebdomadaire.

Le président vénézuélien ne comprend pas pourquoi les soldats américains ne sont pas dans la rue à aider les sinistrés. « Le bouquet, c’est que vous ne les voyez pas dans les rues. Est-ce qu’ils recueillent les corps? Est-ce qu’ils recherchent des blessés? Vous ne les voyez pas. Je ne les ai pas vus. Où sont-ils? » s’est-il interrogé.

Près de 10 000 soldats américains sont déployés en Haïti. À la demande du gouvernement haïtien, ils contrôlent l’aéroport de la capitale où arrive une importante aide internationale. De plus, un navire-hôpital américain doit arriver dans les jours à venir à Port-au-Prince.

Le président haïtien René Préval a fait savoir dimanche que les troupes américaines contribueraient à ramener l’ordre dans les rues, où la tension commence à être palpable en raison de la confusion dans laquelle se fait le ravitaillement des populations.

Les propos du dirigeant vénézuélien font écho à ceux de son allié nicaraguayen Daniel Ortega, qui avait lui aussi critiqué vendredi l’envoi de 10 000 militaires américains dans l’île caribéenne.

Véritable scénario digne d’un film ou réalité cachée? Les médias sont devenus les rois de la désinformation, quoi qu’il en soit, cela provoque toujours la réflexion suivante « et si c’était vrai? ».

Il s'agit nullement par la suite de soutenir l'une ou l'autre hypothèse, mais seulement de vous faire part des différents opinions, des polémiques éxistantes et des présupposés actuels.

Haïti et l’arme sismique 

La polémique par Thierry Meyssan

"La polémique ouverte par la publication sur notre site (Voltaire.org) d’un article évoquant la possible origine artificielle du tremblement de terre à Haïti requiert quelques précisions. Oui, l’arme sismique existe et les Etats-Unis, entre autres, la possèdent. Oui, les forces états-uniennes étaient pré-positionnées pour se déployer sur l’île. C’est insuffisant pour conclure, mais cela mérite réflexion."

Le projet Seal: la bombe à tsunamis

http://www.centpapiers.com/le-projet-seal-la-bombe-a-tsun...

Complément : Avons-nous le même système en Europe ?

Il se pourrait bien que oui !

SEAL - Un projet Européen collaboratif d'envergure

Extraits : Quelques faits concernant le projet SEAL:
• 18 systèmes différents : équipements de production et de métrologie « dernière technologie » sont développés et évalués dans une nouvelle approche commune
SEAL est un projet sur 3 ans, son budget total est de plus de 14 millions d'euros et bénéficie d'un financement de 9 millions d'euros par la commission européenne.


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