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21/06/2009

Affaire Al Qaida - Karachi : Un Sarko-Show en guise de réponse

Affaire Al Qaida - Karachi - dessous de tables : Un Sarko-Show en guise de réponse officielle aux accusations…

Nous sommes heureux d'apprendre que le secret d'état n'existe plus et que tout est clair et transparent !

11:07 le Samedi 20 juin 2009

Mis en cause par les familles de victimes dans l’affaire du tragique attentat de karachi faussement attribué à Al Qaida selon des juges anti-terroristes, Nicolas a donné une réponse publique et officielle à Bruxelles hier…

Vidéo : Nicolas Sarkozy sort le grand jeu en réponse aux accusations concernant l’attentat de Karachi

Une réponse digne du Sarko Show, une réponse abracadabrantesque mais qui fait pschittt !

Si l’on peut entendre le parterre journalistico-politique rigoler en arrière-fond, il n’est pas certain que les juges en charge de l’affaire et les familles de victimes se contentent de ce genre de pirouettes médiatico-politico-comiques.

Il n’est pas garanti qu’elles aient envie de rire…

Cette affaire de l’attent de Karachi de 2002 faussement attribué officiellement à Al Qaïda, est-elle l’arbre qui cache la forêt ? Y a t’il d’autres attentats encore plus tragiques qui auraient été attribués à  tort à la fantomatique et impalpable Al Qaïada ?

Une pirouette ne suffira pas à répondre aux questions de plus en plus précises qui sont posées aux forces pro-NWO, à leurs représentants et leurs complices.

Mais ici comme ailleurs, à chacun et chacune de se forger sa propre opinion.

Source : 911nwo

Lien attentat Karachi/financement Balladur: pour Sarkozy, c'est une «fable»

Créé le 19.06.09 à 09h37 | Mis à jour le 19.06.09 à 15h51 |

 

Edouard Balladur et Nicolas Sarkozy en janvier 1995

PAKISTAN - Les juges antiterroristes ont pourtant abandonné la piste d'Al-Qaida dans l'enquête sur l'attentat qui avait fait 14 morts, dont 11 Français, en 2002. Ils enquêtent du côté de la campagne d'Edouard Balladur ...

Longtemps, l'attentat qui a tué 14 personnes dont 11 Français, en 2002 à Karachi (Pakistan), a été attribué à Al-Qaïda. Une autre piste se dessine aujourd'hui, qui toucherait de hauts responsables politiques français. Selon l'avocat de plusieurs familles de victimes françaises, derrière l'attentat se cache une histoire de commissions. Des sommes d'argent versées dans le cadre d'un marché d'armement conclu entre la France et la Pakistan, et destinées à financer la campagne électorale d'Edouard Balladur, candidat à l'élection présidentielle de 1995.

«La piste Al-Qaïda était un leurre», explique Olivier Morice, l’avocat de sept familles de victimes françaises, joint par 20Minutes.fr. Ce jeudi, en compagnie des familles, il a rencontré les juges antiterroristes Marc Trévidic et Yves Jannier à Cherbourg. «La piste cruellement la plus crédible, c’est que l’attentat a eu lieu car la France n’avait pas versé les commissions sur lesquelles elle s’était engagée, dans le cadre de la vente de sous-marins» poursuit Olivier Morice. «C'est un choc pour les parties civiles, qui sont scandalisées qu'on leur ait caché cela aussi longtemps. Mais pendant des années, on a voulu éviter un scandale d'Etat, puisque la France n'avait pas tenu sa parole».

Objectif: stopper les rétrocommissions

Selon l'avocat, ces commissions n'ont plus été versées à partir de 1996, après «l'arrivée de Jacques Chirac à la présidence de la République». Objectif: «assécher les comptes d'Edouard Balladur, dont les rétrocommissions n'étaient plus versées», affirme l'avocat.

En 1995, Edouard Balladur, alors Premier ministre, avait décidé de se présenter contre Jacques Chirac à l'élection présidentielle, en dépit d'un accord tacite conclu entre les deux hommes en 1993. Mais c'est Chirac qui a été élu président de la République... et qui n'a pas apprécié la candidature de son ancien «ami de 30 ans».

Représailles des autorités pakistanaises

Dans ce scénario, l'attentat aurait été donc commis en représailles au non-versement des commissions à partir de 1996, alors que l'actuel chef de l'Etat pakistanais, Asif Ali Zardari, était ministre dans le gouvernement de son épouse Benazir Bhutto, a ajouté Magali Drouet, fille de l’une des victimes.

«Le fait que l'attentat ait eu lieu 6 ans après l'arrêt du versement des commissions est cohérent, car pendant tout ce temps, il y a eu des manoeuvres pour trouver des solutions», estime l'avocat.

«Si quelqu'un a un témoignage, une preuve à apporter, qu'il saisisse la justice, c'est tout»

Interrogé jeudi par France 3, Edouard Balladur a déclaré avoir «entendu parler de cette histoire depuis des années». Mais il a souligné que tout, selon ce qu'il savait, s'était déroulé de manière «parfaitement régulière». «Si quelqu'un a un témoignage, une preuve à apporter, qu'il saisisse la justice, c'est tout», a-t-il poursuivi.

Une déclaration qui étonne l’avocat des familles: «Si en 1994, on pouvait en effet verser des commissions dans le cadre de contrats d’armement, en revanche, les rétrocommissions étaient déjà illégales».

Interrogé sur le sujet à Bruxelles, Nicolas Sarkozy s’est insurgé: «C'est ridicule, c'est grotesque, respectons la douleur des victimes, qui peut croire une fable pareille?». «Dans un monde où tout se sait, où la notion de secret d'Etat n'existe plus, quatorze ans après, est-ce que vous êtes au courant de rétrocommissions qui n'auraient pas été versées à des Pakistanais dans le cadre de la campagne de Balladur?»

L'attentat avait, le 8 mai 2002, fait 14 morts, dont 11 ingénieurs français travaillant pour les anciens arsenaux d'Etat DCN (devenus depuis DCNS) ou des sous-traitants, et 12 blessés.
O.R. (avec agences)


Source : 20 Minutes


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