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Rechercher : cern et vaccins

GrippeA/H1N1 : Appel aux Victimes de la vaccination

VICTIMES DE LA VACCINATION

APPEL A VICTIMES ET A TEMOINS DE Sos Justice


Bonjour à toutes et à tous,

Nous apprenons à l'instant que des personnels prioritaires pour la vaccination (pompiers, force de l'ordre, etc..) sont les victimes de la vaccination dans divers départements Français.

Des décès ont déjà été enregistrés et d'autres sont malades des suites de la vaccination criminelle.
Nous attendons confirmation par les principaux intéressés ou leurs familles.

Nous vous tiendrons informés bien évidemment dès que possible.

Nous vous prions de bien vouloir nous faire connaître toutes les personnes de votre entourage qui pourraient avoir été touchées par la vaccination et de leur dire de nous contacter de toute urgence au mail suivant : contact@sos-justice.com


Merci pour votre aide.

NE VOUS FAITES PAS VACCINER, NI VOUS, NI VOS ENFANTS !

Bien cordialement.

Mirella Carbonatto


http://www.dossiers-sos-justice.com/archive/2009/11/18/gr...

 

 

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18/11/2009 | Lien permanent

Décès de trois bébés aux Pays-Bas: un lot de vaccins interdit d'utilisation

LA HAYE - Les autorités sanitaires néerlandaises ont annoncé jeudi avoir interdit l'utilisation d'un lot de vaccins contre les infections à pneumocoques, commercialisés sous la marque Prevenar, après la mort de trois bébés récemment vaccinés.

"Le vaccin pneumococcique Prevenar portant le numéro de lot D66977 ne peut plus être utilisé jusqu'à nouvel ordre", ont indiqué l'Institut néerlandais pour la santé et l'environnement (RIVM) et le Conseil pour la lutte contre les maladies infectieuses (Clb) dans un communiqué.

"Il s'agit d'une mesure de précaution", ont-ils précisé, car "la cause exacte de la mort n'est pas encore connue".

Les trois bébés, âgés de trois à six mois, sont décédés un jour et demi à onze jours après avoir été vaccinés au Prevenar, fabriqué par le laboratoire pharmaceutique Wyeth, selon la même source.

Le RIVM dit enregistrer chaque année cinq à dix cas de décès infantiles des suites d'une vaccination.

(©AFP / 05 novembre 2009 19h46)

http://www.romandie.com/ats/news/091105184602.jga62tb1.asp

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06/11/2009 | Lien permanent

GrippeA/H1N1 : OMS : Comment se servir des vaccins comme arme génocidaire ?

L'OMS nous l'explique dans des mémos datant de 1972 et 1973 !




 


OMS - Comment se servir d'un vaccin comme d'une arme génocidaire ? (3) bullwho00182-0123


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29/10/2009 | Lien permanent

Alerte : Covid/19 : Attention aux arnaques aux tests et au vaccin sur nos enfants !

Nous voulions vous  prévenir de la non fiabilité des tests portant sur le Covid/19 qui selon le Pr Didier RAOULT – Infectiologue, médecin, chercheur à l’IHU de Marseille et de renommée internationale qui informe « que personne ne sait tester le coronavirus » et que le virus aurait disparu, le 6 mai en France.  Macron qui le sait bien, nous a inventé que 700 000 mille tests par semaine, seraient effectués sur les français à commencer par nos enfants à l’école, « sans l’autorisation des parents ». Encore une arnaque de Macaron et de BIG PHARMA, pour endormir le peuple et pour enrichir les lobbys et dont certains tests se sont déjà révélés inefficaces ou défectueux.

 

Il ne manquerait plus que les tests ne servent qu’à tous nous contaminer et surtout les enfants qui ont été choisis, comme par hasard, comme cibles privilégiées, pour ouvrir le bal des contaminations en les envoyant à l’école et au casse-pipe en premier et qui pourraient contaminer leurs parents. Ce qui ouvrirait la voie à une reprise de l’épidémie pour encore fournir les moyens à Macron et à sa clique de criminels, de nous imposer un second confinement et de prolonger l’état d’exception sous couvert de l’état d’urgence sanitaire. Ce qui ne pourrait que provoquer encore plus de faillites et projeter le peuple vers la famine. Ce qui pourrait arranger les affaires des Banksters Internationaux pour continuer à nous endetter, des multinationales, des lobbys dont celui de BIG PHARMA et des mondialistes pour prendre le contrôle total sur tous les peuples, en les faisant vacciner par la force, en rendant le vaccin obligatoire.

 

Ils vont jusqu’à nous inventer l’immunité collective, la dernière fable, parce que l’immunité est strictement personnelle et individuelle, en fonction de la génétique, des pathologies déjà développées par certains individus et de leur hygiène de vie, notamment alimentaire.

Le Pr en pharmacologie, Jean-Bernard Foutillan, lance lui aussi, une alerte pour le 11 mai 2020 sur les tests qui ne sont pas fiables et sur les vaccins qui contiendraient 2 composants classés secret défense, dont le squalène.

Il demande aux parents de refuser les tests effectués sur les enfants ainsi que le vaccin.

Faut-il rappeler que le virus n’aura pas manqué de muter à plusieurs reprises avant de disparaître naturellement et qu’il faudrait donc que les inventeurs de BIG PHARMA ait aussi, à part l’appât du gain, des dons de voyance pour nous inventer un vaccin ?

 

Voir les 3 vidéos ci-dessous :

 

Le professeur Foutillan lance l'alerte du 11 mai

 

Rentrée scolaire 11 mai 2020 : bas les masques

Enseignants, élèves, parents : attention à la contamination !

Lettres-type pour déclarer l'instruction en famille : https://laia-asso.fr/ressources/

Voici les vidéos évoquées par Farida Belghoul dans ce live :

Blanquer sur BFMTV : Le sexe s'impose à l'école : https://youtu.be/b5llbMWx2hc

De l'échec scolaire à l'éducation sexuelle : https://youtu.be/kTe7sZhQwUA

Du porc, du chien et du fœtus humain dans les vaccins : https://youtu.be/muD2b2lpvKs

Ils ont guéri du coronavirus : https://youtu.be/sDAujjg7QfU

« Obligation scolaire » à 3 ans : les enfants n’appartiennent pas à leurs parents : https://youtu.be/jIf5R68R1PI 

 

 

Message URGENT FAIRE TOURNER SVP

Message à diffuser de partout, c'est trop grave, soit on gagne soit nous serons esclaves...

Si vous souhaitiez vous faire tester, allez directement à l’IHU de Marseille pour les faire pratiquer directement par le Pr Didier RAOULT, dont vous avez les coordonnées en bas du présent article et vous pourrez vous y rendre sur prescription médicale pour vous permettre de vous déplacer sur Marseille.

L’autre solution est celle de garder vos enfants à la maison et ce que nous vous encourageons à faire. 

Quelques liens utiles ci-dessous.

 Prenez bien soin de vous et de vos enfants.

 

Didier Raoult fataliste : « Personne ne sait tester le coronavirus, Emmanuel Macron le sait très bien »

700 000 TESTS PAR SEMAINE POUR RIEN ?
Avec le Covid-19, les polémiques se multiplient : les traitements, le vaccin, mais en premier lieu les masques et les tests. Dans son numéro du jeudi 30 avril, Paris Match publie une interview du professeur Didier Raoult dans laquelle il affirme qu’Emmanuel Macron « sait très bien » que « personne ne sait tester le coronavirus ».

 

Entretien exclusif avec Didier Raoult : "Je suis un renégat"

En 2003, j’ai écrit un rapport sur les risques épidémiques, tiré de mes observations sur la réaction chinoise face à l’épidémie du Sras. Ici, en vingt ans, ils n’ont rien appris. Résultat, personne ne sait tester le coronavirus. Cela, Emmanuel Macron le sait très bien.

 

"Certains tests sérologiques ont 40% de faux négatifs" : pourquoi sont-ils si peu fiables ?

 

Coronavirus : opération "testing", l'exception marseillaise

Plus de 100 000 tests ont été réalisés à l'IHU de Marseille. Une montée en puissance inédite pour faire faire à une énorme demande. L'image a fait le tour du monde. Une file d'attente qui serpente sur plusieurs centaines de mètres devant l'infectiopole marseillais dans un silence de cathédrale. Des jeunes qui toussent, des plus âgés asymptomatiques, des familles entières rincées de vivre l'œil rivé sur le thermomètre... Tous prêts à attendre des heures pour obtenir la réponse à la question qui taraude : "Ai-je été infecté par le Covid-19 ?"

À Marseille, l'anxiété a souvent eu raison de la consigne nationale : "Restez chez vous. Et en cas de détresse respiratoire, appelez le 15". Et pour cause, le Pr Raoult a ouvert grand les portes de l'IHU, appliquant "le BA-ba du traitement des maladies infectieusesqui commence par le diagnostic pour pouvoir isoler les malades."

 

Le Professeur Raoult confirme la fin de l'épidémie sur Radio Classique et règle ses comptes avec les sorciers prévisionnistes de la catastrophe... (Vidéo)

Lire aussi : Selon une étude, l'épidémie de Covid-19 se terminera à 97% en Allemagne le 3 mai; en France le 6 mai ; en Italie le 9 mai..

Le Professeur Jean-François Toussaint de l'IRMES, déclare qu'il faut déconfiner de toute urgence et que l'épidémie est derrière nous (Vidéo)

Les coordonnées de l’IHU de Marseille :

https://www.mediterranee-infection.com

 

Chaîne Youtube de l’IHU Méditerranée-Infection

https://www.youtube.com/channel/UCFaPzuoXcACu7jplePDfXmA

 

 

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11/05/2020 | Lien permanent

Virus de Wuhan : à Davos, une coalition annonce le développement de vaccins le 21 janvier 2020

Donc, Macron était déjà informé de l'épidémie et du danger du virus par l'ambassadeur de France à Pékin, en décembre 2019 et il a attendu patiemment que le Bildenberg Group se réunisse comme chaque année en Suisse, pour ce qui concerne l'année 2020, entre les 21 au 24 janvier 2020, à DAVOS, qu'une coalition annonce le développement de vaccins contre le Coronavirus, qui est en fait une combinaison du Corona et du SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère), soit qu'il s'agit, de deux virus qui ne peuvent pas se combiner seuls dans la nature pour se décider sans ne rien faire durant des mois, pour décider, près de 4 mois après qu'il en ait eu connaissance, du confinement du Peuple Français, le 17 mars 2020. 

 

Macron avait été alerté des dangers du Covid-19 dès décembre, affirme Le Canard Enchaîné

Selon Le Canard Enchaîné, Emmanuel Macron était alerté des dangers du coronavirus dès le mois de décembre, soit plusieurs semaines avant l’arrivée de l’épidémie en Europe.

L’ambassadeur de France à Pékin, Laurent Bili, a alerté le Quai d’Orsay et l’Élysée en décembre sur les dangers de cet alors nouveau virus signalé à Wuhan, affirme Le Canard Enchaîné dans ses colonnes.

Mais, comme le relate le journal satirique, Jean-Yves Le Drian et Emmanuel Macron n’en ont tenu aucun compte. En outre, le ministre des Affaires étrangères n’a organisé le rapatriement des ressortissants français que fin janvier.

«Quand sont parvenues à Paris les informations relatives à l’apparition d’un nouveau virus, il était encore possible, pour un Président conscient de ses responsabilités, de constituer un bon stock de masques, de tests et de respirateurs. Mais Macron n’a pas trouvé le temps d’y penser », souligne le média. La suite ICI 
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"2019-NCOV"

Virus de Wuhan : à Davos, une coalition annonce le développement de vaccins

Par LEXPRESS.fr avec AFP,
 
Une infirmière préparant l'injection d'un vaccin (illustration)

Une infirmière préparant l'injection d'un vaccin (illustration) afp.com/-

Un organisme chargé du développement de vaccins a annoncé que des essais cliniques pourraient débuter dès l'été.

La CEPI, un organisme chargé du développement de vaccins, a annoncé ce jeudi que les essais cliniques concernant un premier vaccin contre le virus apparu en Chine (2019-nCoV) pourraient avoir lieu dans quelques mois. "Nous pouvons annoncer que nous avons établi trois partenariats pour développer des vaccins contre ce nouveau coronavirus", a déclaré à Davos Richard Hatchett, directeur général de la Coalition pour les innovations en préparation aux épidémies (CEPI). 

LIRE AUSSI >> Coronavirus chinois : pourquoi les autorités françaises se veulent rassurantes 

"Notre objectif est de faire en sorte que ces vaccins soient mis au point très rapidement et d'avancer très vite pour commencer les essais cliniques, peut-être dès l'été", a ajouté le chef de cette initiative publique-privée, mise en place au lendemain de l'épidémie d'Ebola en 2017. La Chine a confiné ce jeudi une vingtaine de millions d'habitants dans la région de Wuhan, berceau de l'épidémie qui a commencé à se répandre dans le monde et mobilise les autorités sanitaires internationales. 

 

Le virus a provoqué la mort de 18 personnes depuis son apparition fin décembre, et il n'existe pas encore de traitement ou de vaccin. Richard Hatchett a indiqué que les partenariats avaient été établis avec la biotech Inovio Pharma, basée aux États-Unis, l'Université de Queensland en Australie et la biotech américaine Moderna, qui travaille avec l'Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses. 

Commencer la phase clinique "d'ici l'été"

"Le partenariat annoncé aujourd'hui entre Moderna, Cepi et le gouvernement américain, c'est de travailler ensemble pour arriver à mettre en place un vaccin de qualité qui puisse démarrer les essais cliniques le plus tôt possible", a déclaré le directeur de Moderna, Stéphane Bancel, à Davos, où se tient le Forum économique mondial (WEF). 

LIRE AUSSI >> Transmission, taux de mortalité, mutation... Le portrait-robot du virus chinois 

 

"Le gouvernement américain, qui a accès à la séquence du virus par le gouvernement chinois, est en train de faire le design, la conception du produit du vaccin, que nous Moderna nous allons fabriquer dans notre usine à Boston", a-t-il détaillé, disant espérer commencer la phase clinique "d'ici l'été" alors qu'il faut habituellement plusieurs années pour y parvenir. Après avoir pris 6,5% en deux séances à Wall Street, Moderna s'appréciait encore jeudi de 1,37%. Inovio montait pour sa part de 6,68% après avoir reçu une subvention de 9 millions de dollars de la CEPI. 

 

D'autres actions de sociétés de biotechnologies spécialisées dans la fabrication de vaccins étaient également très recherchées. Le laboratoire Novavax bondissait de 11,42% vers 16 heures à la Bourse de New York après avoir annoncé qu'il avait "initié le développement d'un vaccin" contre le nouveau coronavirus. Même si le virus venait à disparaître d'ici la fabrication d'un vaccin, en avoir un, "peut être encore très avantageux", a pointé Richard Hatchett.   

 

 

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10/05/2020 | Lien permanent

Alerte d'un médecin malgache sur le vaccin de Bill Gates contre le Corona virus

Alerte d'un médecin malgache, congolais d'origine, sur le vaccin de Bill Gates contre le Corona virus.

 

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24/05/2020 | Lien permanent

Covid-19 : les thérapies proposées s’affinent. Le vaccin, seule issue politique ? Faut-il aller en justice pour avoir la

Enfin un article de presse correct et bien documenté, rédigé par Le Collectif citoyen, pour France Soir, un journal indépendant du pouvoir et de l'oligarchie apatride qui s'est accaparé pratiquement tous les médias en France et encore journal France Soir qui ne subsiste que par les dons de ses abonnés.   

Vous trouverez en bas de l'article pas moins de 211 articles de références diverses pour étayer l'article ci-dessous. 

 

Covid-19 : les thérapies proposées s’affinent. Le vaccin, seule issue politique ? Faut-il aller en justice pour avoir la vérité ?

Publié le 23/11/2020 à 16:13 - Mise à jour le 24/11/2020 à 11:11 

Auteur(s): Le Collectif citoyen, pour France Soir

 

Mort aux vax !?

 

En septembre 2020, le docteur Lee Merritt (ancienne présidente de l’Association of American Physicians and Surgeons, AAPS) jette un pavé dans la mare : et si la vérité avait été étouffée pendant plus de 40 ans ? Suite à cette contribution on peut s’interroger : le vaccin est-il la seule solution pour les virus comme le SARS-CoV-2 ? Cette crise du Covid-19 met à nu d’autres dogmes médicaux tels que les indications thérapeutiques et les prescriptions hors AMM (Autorisation de mise sur le marché). On en vient à se questionner : face à l’urgence épidémique, dans quelle mesure est-il possible de débloquer temporairement l’utilisation d’un médicament déjà connu ? En 2020, on semble se heurter à un mur méthodologique : celui des essais cliniques randomisés. Ainsi, la médecine observationnelle et clinique, qui a permis de développer la très grande majorité des thérapies existantes, n’aurait plus voix au chapitre. Dès lors, à travers la cabale contre l’hydroxychloroquine, c’est toute la prise en charge thérapeutique précoce de l’épidémie de Covid-19 qui s’est trouvée étranglée. À dessein ? Les médias « mainstream » pourraient porter leur part de responsabilité. À travers le monde les propositions de prise en charge ambulatoire précoce de cette maladie se multiplient. Bon nombre de thérapies apparaissent s’appuyer sur des antibiotiques tels que l’azithromycine ou la doxycycline. Faut-il y voir les pièces maîtresses contre le Covid-19 ? Cette idée d’antibiotiques efficaces contre un virus est-elle donc sacrilège à ce point ? En France, la médecine de ville, contrainte, semble avoir tout de même proposé plusieurs options thérapeutiques impliquant des antibiotiques. Toutefois les médecins de ville se sont retrouvés dans une position difficile : interdiction de prescrire, rupture de stock de médicaments, convocation devant le conseil de l’ordre, recommandations allant à l’encontre de l’usage d’antibiotiques, informations manquantes…Des collectifs de médecins tels que « Laissons les médecins prescrire » et « Azithro d’hospitalisation » œuvrent pour la vérité. Au-delà du traitement, la chimioprévention semble également totalement occultée. Le vaccin est-il donc la seule solution ? Comment sortir de l’impasse lorsque l’on n’encourage pas la prise en charge curative précoce ou la chimioprophylaxie qui sont sur la table depuis des mois ?

La crise du Covid-19 a révélé qu’il était plus que délicat d’envisager la gestion de l’épidémie de SARS-CoV-2 en médecine de ville, par une prise en charge curative précoce [1] [2] [3] [4] [5] [6] [7] [8]

 

Le 18 octobre 2020, sur France 3, le professeur Christian Perronne déclarait en substance que le couvre-feu instauré en France était « une mesure coercitive, une instrumentalisation de la peur, pour faire peur aux Français jusqu’à l’arrivée du vaccin qui ne va servir à rien… »[8b] [8c]. Depuis le reconfinement est arrivé.

Le vaccin est-il la seule solution médicale et la seule porte de sortie politique ?

Le refus d’adopter officiellement une politique de traitement curative précoce est-elle une impasse sanitaire et gouvernementale ?

 

Picorer la toile amène quelques questions…

Dogme du traitement des infections virales ?

En septembre 2020, le docteur Lee Merritt (ancienne président de l’Association of American Physicians and Surgeons, semble-t-il) a publié un article dans le Journal of American Physicians and Surgeons [9] [10] [11] Dans cet article l’auteur se demande si la vérité dans le traitement des maladies virales n’a pas été étouffée pendant plus de 40 ans.

L’article présente le dogme, en vigueur depuis des décennies, qui consiste à rappeler que classiquement (avec des exceptions notables comme le Sida par exemple) les infections virales ne se traitent (généralement ?) pas et encore moins avec des antibactériens. Dès lors la seule réponse en terme de santé publique serait usuellement la vaccination.

L’utilisation possible de la chloroquine pour traiter les virus est rappelée par l’auteur[11]. Le potentiel antiviral de nombreux antibiotiques tels l’azithromycine, les tétracyclines, les macrolides, le metronidazole et la ciprofloxacine est également énoncé[11]. Dans la lutte contre le SARS-CoV-2, on entend beaucoup parler d’azithromycine (macrolide) et de doxycycline (tétracycline)[4].

La nature est complexe…et la médecine serait si simple, voire simplissime ? Serait-il décrété et enseigné qu’un antibiotique ne pourrait pas avoir également une action antivirale ? En revanche un antibiotique comme l’azithromycine a le droit d’avoir également un effet anti-inflammatoire et immunomodulateur[4], par exemple dans le cas des pneumopathies interstitielles diffuses[11b].

Que resterait-il du marché du vaccin antigrippe si la grippe était traitable par l’(hydroxy)chloroquine par exemple ? [11]

 

Indications, AMM et « off label ».

Le fait de prescrire un médicament hors AMM semble également délicat. Pourtant, dans le cas d’une épidémie liée à un virus nouvellement découvert, la prescription d’un médicament ne pourra être, dans un premier temps, que hors AMM. Comment pourrait-on disposer dès le départ d’un médicament ayant une indication contre un coronavirus inconnu il y a encore quelques mois ?

Le 1er octobre 2020, l’IHU Méditerranée-infection mettait en ligne une vidéo dans laquelle le professeur Stéphane Honoré parle des prescriptions hors AMM [12] [13] [14] [15] [16] [17] . Il semblerait que 15 à 20 % des prescriptions de médicaments se fassent hors AMM [12] [13]. 43 % des prescriptions en infectiologie adulte et 94 % en infectiologie enfant seraient hors AMM. Ce type de prescriptions serait fréquent en infectiologie. Le Covid-19 ne relèverait-il pas de l’infectiologie ? Alors…faut-il supprimer les 94 % de prescriptions en infectiologie pédiatrique qui ne correspondent pas à une indication ?

L’azithromycine par exemple est connue pour être prescrite au long cours, hors AMM, dans certaines pathologies : la dilatation des bronches (DDB) et la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) [18] [19] Cela ne semble pas poser problème, y compris à la Société Française de Pharmacologie et de Thérapeutique (SFPT) [19].

En Australie, le professeur Thomas Borody milite pour la trithérapie doxycycline/ivermectine/zinc contre l’épidémie de coronavirus [6] [7] [20] Il précise que les médecins australiens pourraient très bien prescrire légalement cette trithérapie « off label » (en France on dirait hors AMM) [21]

En Allemagne, des sites web évoquent les médicaments « off label », voire établissent des listes de composés qui peuvent être proposés contre le Covid-19 [22] [23]. Dans ce pays ne dit-on pas « "qui soigne a raison" (wer heilt, hat recht) » [5] [8] [24]?

Pourtant les procédures d’autorisations temporaires d’utilisation (ATU) ou les recommandations temporaires d’utilisation (RTU) existent [12] [25] [26]Ne serait-ce pas une solution politiquement concevable ? D’ailleurs, n’a-t-il pas été question d’une ATU pour le remdesivir [27] [29] ?...

Le 3 août 2020, les professeurs Raoult et Brouqui ont demandé « à l’ANSM (Agence Nationale de la Sécurité du Médicament) de considérer l’élaboration d’une recommandation temporaire d’utilisation (RTU) de l’hydroxychloroquine dans le cadre de la prise en charge de la maladie Covid-19. », l’ANSM refuse. On peut lire que « l'avis de l'ANSM au sujet de l'hydroxychloroquine serait illégal ». Suite à ce refus, on est arrivé au stade du « recours au Conseil d’Etat et [d’] une plainte au pénal ». L’avocat Fabrice Di Vizio semble chargé du dossier. [29b] [29c] [29d]

En ce qui concerne les RTU, on entend parler de RTU pour le baclofène, dans la lutte contre l’alcoolisme, sur la base de témoignages et d’études observationnelles [29e] [29f]. Inconcevable pour le Covid-19 ?

Dogme des essais cliniques randomisés ?

Les effets d’annonce concernant l’usage des corticoïdes contre le SARS-CoV-2 a récemment illustré la problématique des essais randomisés par opposition aux études observationnelles[30]. Triste épisode.

Le 23 septembre 2020, l’IHU mettait en ligne une vidéo dans laquelle le professeur Matthieu Million présente des publications comparant la pertinence des essais randomisés et celle des études observationnelles. Ces études datent de 2000et de 2014. De cette présentation, les conclusions qui paraissent se dégager sont : que les études randomisées ne semblent pas présenter de supériorité par rapport aux études observationnelles, que des études randomisées sur le même critère peuvent conclure à des effets opposés (ce qui n’est pas le cas des études observationnelles), que les résultats des études randomisées apparaissent plus hétérogènes que ceux des études observationnelles, que les patients inclus dans les études randomisées pourraient être plus sélectionnés que ceux des études observationnelles… [31] [32] [33]

Le soin existait avant les essais randomisés. Ces conclusions pouvaient être dégagées il y a déjà 20 ans. Politiquement, on ne peut plus traiter sans essai randomisé préalable ?

Le 15 septembre 2020, le professeur Didier Raoult était auditionné par le Sénat [34] [35]. Dans le compte-rendu, on peut lire : « Pr Didier Raoult. - Je me méfie de toutes les modes, notamment les modes méthodologiques. Depuis vingt-cinq ans, la Cochrane Library analyse toutes les publications et les recommandations médicales. En vertu de ce que l'on appelle la médecine basée sur les évidences […] À ce titre, la Cochrane Library a analysé 250 méta-analyses, soit, en tout, plus de 4 000 analyses, pour déterminer s'il y avait une différence de résultat et de qualité entre les études randomisées et les études observationnelles. La conclusion, c'est qu'il n'y a pas de différence. On ne peut pas affirmer que les études randomisées sont l'alpha et l'oméga de la prise en charge thérapeutique : ce n'est pas vrai. Il en est de même pour les recommandations : quelqu'un a calculé combien de recommandations de la société américaine des maladies infectieuses étaient fondées sur au moins une étude randomisée. Je vous ai donné cette référence. Le résultat obtenu est 18 %. En d'autres termes, 82 % des recommandations thérapeutiques émises aux États-Unis face aux maladies infectieuses ne reposent sur aucune étude randomisée. »

Sur le taux de recommandations de la société américaine des maladies infectieuses fondées sur au moins une étude randomisée, on peut par exemple retrouver la valeur de 14 % dans une publication de 2011 [36]. Alors…les américains doivent-ils supprimer les 86 % de traitements de maladies infectieuses qui ne sont pas fondés sur des essais randomisés ? Ce serait une politique de santé publique originale… mais conforme à la méthodologie du moment.

Concernant l’audition de Didier Raoult au sénat, on pourra également noter son développement sur les essais de non-infériorité. On l’entend déclarer : « …tous les nouveaux médicaments, ils sont faits avec des essais de non-infériorité, parce qu'ils sont pas meilleurs que les autres, c'est pas vrai, on n'arrive pas à le démontrer… » . Le compte-rendu disponible en ligne semble se contenter de : « je pense notamment aux essais de non-infériorité »… Politique de compte-rendu succinct ?

 

La cabale (et donc le buzz) contre l’hydroxychloroquine afin d’étouffer l’idée d’une prise en charge précoce ?

Depuis la mi mars 2020, le professeur Didier Raoult a proposé la bithérapie azithromycine/hydroxychloroquine comme prise en charge thérapeutique ambulatoire du Covid-19 [5] [7]. C’est ainsi qu’une proposition de soin en pleine période épidémique est devenue polémique dans les pays occidentalisés. On aurait pu s’attendre à ce qu’elle soit porteuse d’espoir…

Dans son article, Lee Merritt parle de guerre [11]. Elle décrit même le dispositif qui serait en place depuis 40 ans pour maintenir étouffée la possibilité de traiter certaines maladies virales : la censure, le silence des médias qui seraient achetés, les mensonges par omission dans l’enseignement de la pharmacologie, les mensonges de la part des compagnies pharmaceutiques, la mainmise sur les administrations et le mode de financement de la recherche.

En 2020, on a beaucoup évoqué les risques cardiaques et l’hydroxychloroquine [37] [38]. On peut rappeler que ce médicament n’est plus disponible sans ordonnance depuis le début de l’année 2020[39]. Les

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25/11/2020 | Lien permanent

Un vaccin pour sortir de la crise du Covid-19? Une fausse bonne idée selon Laurent Toubiana

Un vaccin pour sortir de la crise du Covid-19? Une fausse bonne idée selon Laurent Toubiana 

Adrien Peltier

17:46 18.11.2020

 

 

Le gouvernement fait état d’une mise à disposition du vaccin contre le Covid-19 pour janvier sur tout le territoire. Une perspective de sortie de crise imminente… Ou pas, selon le docteur Laurent Toubiana. Au micro de Sputnik, cet épidémiologiste tire la sonnette d’alarme: une campagne de vaccination de masse ne serait pas sans risques.

 

Le gouvernement fait état d’une mise à disposition du vaccin contre le Covid-19 pour janvier sur tout le territoire. Une perspective de sortie de crise imminente… Ou pas, selon le docteur Laurent Toubiana. Au micro de Sputnik, cet épidémiologiste tire la sonnette d’alarme: une campagne de vaccination de masse ne serait pas sans risques.

 

Prudence face à la perspective d’une prochaine campagne de vaccination contre le Covid-19!

Une réaction aux dernières annonces du gouvernement qui n’émane pas d’une quelconque officine complotiste «antivax», mais d’un scientifique réputé.

Laurent Toubiana, chercheur à l’INESRM et fondateur de l’Institut de recherche pour la valorisation des données de santé (IRSAN), partage ses réserves avec Sputnik. Pour cet épidémiologiste, spécialiste des systèmes d’information en santé, le vaccin est la pire des solutions et l’immunité collective la seule méthode valable.

Sputnik: Mardi 17 novembre, Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement, a annoncé qu’un premier vaccin pourrait être «distribué à partir du mois de janvier». Ces délais vous paraissent-ils crédibles?

 

Laurent Toubiana: «Je ne m’étonne plus de rien avec le gouvernement actuel. Des choses qui nous paraissaient totalement ahurissantes il y a moins d’un an nous paraissent presque normales aujourd’hui. On assiste à une sorte de “teasing”: le vaccin est placé sur le même plan qu’un produit de consommation! Il y a une forme de marketing à la “Apple” en nous faisant croire que, comme il n’y aura pas de vaccin pour tout le monde, il faudra se dépêcher. C’est une démarche marketing qui rappelle les mises en vente d’iPhone. Il y a véritablement une campagne publicitaire autour de ce vaccin.

«Il y a une forme de marketing à la Apple»

Mais, plus largement, il faut rappeler qu’un vaccin n’est jamais “neutre”, comme tout médicament d’ailleurs. Théoriquement, il est dans un premier temps appliqué à une très petite partie de la population. Ce qui me fait très peur ici, c’est que les gouvernants aimeraient vacciner d’un coup jusqu’à 70% de la population. C’est du jamais-vu.»

 

Sputnik: Un vaccin nous permettrait-il de sortir immédiatement de la crise sanitaire?

 

Laurent Toubiana: «Pas du tout. Ce serait même la pire des solutions. Il faut combattre cette idée selon laquelle le vaccin pourrait nous sortir de la crise sanitaire que nous traversons. Il faut d’abord comprendre ce qu’est un vaccin, et encore un vaccin comme “Moderna”, soi-disant “fiable à 95,4%”. C’est tout de même étonnant que tous les laboratoires arrivent en même temps dans cette course folle au vaccin. Cette synchronisation me laisse perplexe, même si cela peut arriver dans la recherche scientifique. Mais tout de même: en un peu moins d’un an, les scientifiques ont réussi à obtenir les souches suffisantes pour réaliser un vaccin? Enfin, dernier point, les panels choisis par les laboratoires me semblent bien faibles: on parle de cent à deux cents personnes, tout au plus.»

 

Sputnik: Vous évoquez les «souches suffisantes». De quoi un vaccin est-il composé?

 

Laurent Toubiana: «Il y a plusieurs technologies, mais dans tous les cas, un vaccin sert toujours à stimuler le système immunitaire. C’est le principe élémentaire. Or, pour ce faire, on va injecter l’équivalent d’un virus dans le corps humain, un virus “affaibli” censé le “mimer”. Il y a donc dans le vaccin une substance active appelée à faire réagir le corps humain. Je précise que je n’ai rien personnellement contre les vaccins, mais j’ai globalement un problème à m’injecter des substances actives dans le corps.

«La moindre petite erreur peut aboutir à des catastrophes majeures»

Les effets secondaires de certaines substances prises isolément peuvent déjà être graves, mais lorsqu’elles sont en interaction avec d’autres substances, cela peut devenir catastrophique. Je me méfie beaucoup des substances concentrées ou des substances qui peuvent agir sur des mécanismes complexes comme le système immunitaire du corps humain, encore très mal compris par les immunologistes eux-mêmes! La démarche scientifique exige tout de même une certaine forme de rigueur: quand on touche à la santé de millions de personnes, la moindre petite erreur peut aboutir à des catastrophes majeures. Les nombreux revirements du ministre de la Santé actuel ne m’inspirent guère confiance à ce sujet.»

Sputnik: Si le vaccin n’est pas la solution à la sortie de la crise sanitaire, y aurait-il une alternative?

 

Laurent Toubiana: «Il faut d’abord essayer de comprendre ce qu’est cette maladie. On ne peut pas faire croire aux gens que cette maladie est “grave” alors qu’elle ne touche en réalité qu’une infime minorité de personnes. Le vaccin est censé permettre d’éviter une “hécatombe”. Or, jusqu’à présent, il n’y a eu aucune hécatombe liée à cette maladie.

« Les formes un peu plus sévères ne représentent que 0,3% de la population.»

En termes d’épidémiologie, c’est ce qu’il faut essayer de comprendre. Je rappelle que 80% des gens ne sont pas ou très peu sensibles à cette maladie. Parmi les gens de moins de 65 ans, une très faible part d’entre eux est touchée par le virus. Il faudrait donc laisser la population s’auto-immuniser, ce qui est déjà presque le cas: une grande partie de la population a déjà été exposée au Covid-19 sans être malade ou en contractant des formes tellement faibles qu’elles n’ont même pas eu besoin de voir un médecin. Chez beaucoup de patients, cela a même été moins fort qu’une grippe. La minorité de personnes qui ont contracté des formes un peu plus sévères ne représente que 0,3% de la population.»

Sputnik: Comment expliquer dans ce cas l’engorgement des hôpitaux et des services de réanimation?

 

Laurent Toubiana: «Ce phénomène est une conséquence directe de la gestion des hôpitaux en France. Cela est dû au faible nombre de places pour les malades du Covid-19. Je rappelle qu’en France, il y a 20 millions de cas d’hospitalisations par an. Sur la période de l’épidémie actuelle, il y a eu environ 200.000 hospitalisations pour le virus en tout et pour tout. Il faut donc faire la part des choses: c’est normal que les hôpitaux soient à flux tendus et saturés. Un afflux anormal rend l’explosion logique.»

 

Sputnik: Que préconisez-vous pour stopper l’épidémie?

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20/11/2020 | Lien permanent

Non fiabilité des tests PCR, dangers des vaccins ARN qui arrivent, réalités autour du covid-19

Non fiabilité des tests PCR, dangers des vaccins ARN qui arrivent, réalités autour du covid-19 

 

 

Que sait-on du covid-19 ? Quel est l’état de la situation en France ? Pourquoi les tests PCR ne sont-ils pas fiables ? Pourquoi ne peut-on affirmer que nous sommes dans une « deuxième vague » ?

Quels sont les dangers des vaccins ARN ? Autant de questions majeures auxquelles Alexandra Henrion-Caude répond pour Nexus.

Généticienne, spécialiste de l’ARN et ancienne directrice de recherche à l’Inserm, elle nous apporte un éclairage édifiant sur la gestion de la crise sanitaire et une compréhension plus large de ce que l’on sait de ce coronavirus. Elle a également fondé l’institut Simplissima : https://www.simplissima.org/ (interview du 13 octobre) 

 

https://www.youtube.com/watch?v=lvO5LN3Wx44&feature=emb_title   

Voir deuxième interview avec Mme Henrion-Caude : https://www.youtube.com/watch?v=3jhLN…

⇒Suite à cette interview, de nombreuses questions nous sont parvenues (merci de les adresser à info@nexus.fr) concernant la courbe des décès en France et l’étiquetage « mort du covid-19 » collé sur des patients hospitalisés (parfois décédés) pour une autre raison médicale. Nous avons donc recontacté le Dr Alexandra Henrion-Caude. Elle nous a invité à vous partager le lien suivant : https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps

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22/11/2020 | Lien permanent

FDA : le vaccin du Covid-19 peut déclencher 22 problèmes de santé graves, voire la mort !

FDA : le vaccin du Covid-19 peut déclencher 22 problèmes de santé graves, voire la mort !

9 décembre 2020 

 

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La Food and Drug Administration états-unienne (FDA, Agence des produits alimentaires et médicaments) a discuté à huis clos d’une longue liste de problèmes de santé graves qu’occasionneront les vaccins contre le Covid-19. Ces « effets indésirables » ne sont pas rendus publics car les fabricants de vaccins et leurs cohortes de médias ont besoin que tout le monde croie que les vaccins sont « sûrs et efficaces ».

Mais la liste des effets secondaires est désormais publique. Une liste de 22 effets indésirables (dont la mort) a été discutée le 22 octobre 2020 lors de la réunion du comité consultatif de la FDA intitulée « Vaccins et produits biologiques connexes ». Cette liste est tirée d’une présentation du Dr Steve Anderson, titulaire d’un master en politique publique, directeur du bureau de biostatistiques et d’épidémiologie du Centre pour l’évaluation et la recherche en biologie. Il s’agit d’une liste préliminaire des effets secondaires très graves, qui n’inclut pas tous les effets secondaires mineurs et non documentés qui résulteront de ces injections.

La FDA signale 22 problèmes de santé graves causés par les vaccins contre le Covid-19

Parmi ces problèmes de santé, on trouve la myélite transverse, un syndrome neurologique grave. Le vaccin peut amener le système immunitaire à attaquer ses propres cellules, ce qui a pour effet d’interrompre les signaux que la moelle épinière envoie dans tout l’organisme. Ces symptômes sont similaires à ceux de la polio et incluent des douleurs, de la faiblesse musculaire, une paralysie, des problèmes sensoriels, un dysfonctionnement de la vessie et des intestins. Cette maladie nécessite une rééducation importante et certaines personnes en gardent des handicaps majeurs. Dans cette liste figurent d’autres maladies auto-immunes, ainsi que l’arthrite et les douleurs articulaires. L’une des maladies auto-immunes les plus inquiétantes qui pourrait survenir est l’encéphalomyélite aiguë disséminée, une maladie caractérisée par une inflammation soudaine et généralisée du cerveau et de la moelle épinière.

La FDA met également en garde contre les effets tératogènes sur la grossesse et la naissance. Le vaccin est conçu pour neutraliser les protéines « Spike » du coronavirus grâce à l’ARN messager du vaccin, mais ces protéines « Spike » contiennent de la syncytine 1, une protéine synthétisée par les rétrovirus endogènes lors du développement du placenta chez les humains. Après la vaccination contre le Covid-19, les cellules immunitaires d’un individu seront entraînées à attaquer la syncytine 1, ce qui pourrait entraîner des fausses couches, des malformations congénitales et la stérilité.

Le syndrome de Guillain-Barré est une réaction commune à la plupart des types de vaccins, qui concerne également celui contre le Covid-19 ; il se caractérise par le déclenchement soudain d’une faiblesse musculaire. Le vaccin engendre une détérioration du système nerveux périphérique du receveur, ce qui entraîne des arythmies cardiaques et des problèmes de pression artérielle.

Dans cette liste, on trouve également la thrombocytopénie, une maladie faisant fortement baisser le nombre de plaquettes sanguines. Sans plaquettes, le sang ne peut pas coaguler, ce qui peut entraîner des hémorragies internes. À l’autre extrémité du spectre, la liste cite également la thrombose veineuse, une maladie caractérisée par la formation de caillots sanguins dans les veines. La liste comprend aussi les infarctus du myocarde et les accidents vasculaires cérébraux, ainsi que les convulsions et les crises d’épilepsie !

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Les CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) s’apprêtent à inscrire les maladies causées par les vaccins sur la liste des complications liées au Covid-19

La liste mentionne le syndrome inflammatoire multisystémique chez l’enfant, qui implique une inflammation du cœur, des poumons, des reins, du cerveau, de la peau, des yeux et du système digestif. La liste comprend également la maladie de Kawasaki, une complication vaccinale commune chez les enfants de moins de cinq ans. Cet effet secondaire regroupe un ensemble de symptômes comme la fièvre, les éruptions cutanées, le gonflement des mains et des pieds, l’irritation et la rougeur de la sclère, le gonflement des glandes lymphatiques du cou, ainsi que l’irritation et l’inflammation de la bouche, des lèvres et de la gorge.

Les CDC s’apprêtent à répertorier ces effets secondaires comme des complications infantiles de le Covid-19, pendant que les responsables de la santé publique se préparent à étouffer la plupart des dommages dus aux vaccins. Ainsi le public n’est-il pas informé des risques associés aux vaccins à ARNm conçus à la va-vite, et il est constamment induit en erreur quant aux origines de la maladie. Cette faute médicale généralisée et les morts injustifiées qui en découlent perdurent depuis des décennies, de même que le calendrier vaccinal des enfants et le syndrome de mort subite du nourrisson (MIN), qui sont des « morts inexpliquées » corrélées au calendrier vaccinal. En raison de la coercition et de la fraude à grande échelle, les gouvernements et les sociétés pharmaceutiques violent le code d’éthique médicale de Nuremberg et commettent des crimes contre l’humanité.

Sources :
– COVID-19 Vaccine Bombshell: FDA Documents Reveal DEATH + 21 Serious Conditions As Possible Adverse Outcomes
– VAX ATTACKS: The new mRNA coronavirus vaccines will likely cause immune cells to attack placenta cells, causing female infertility, miscarriage or birth defects
– For Parents: Multisystem Inflammatory Syndrome in Children (MIS-C) associated with COVID-19
– Kawasaki Disease– CBER Plans for Monitoring COVID-19 Vaccine Safety and Effectiveness

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25/12/2020 | Lien permanent

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