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Rechercher : Les Rothschild et Rockefeller augmentent la pression sur Poutine

La pression monte en vue du prochain sommet européen. La flotte de guerre chinoise

La pression monte en vue du prochain sommet européen

 

Dans une interview au Monde, Jean-Michel Six, chef économiste Europe de Standard & Poor's, l'agence de notation américaine qui menace de dégrader la note de quinze Etats de la zone euro, a averti que "l'état d'alerte reste très élevé" dans cette zone. "A un degré divers, tous (les Etats de la zone) suscitent la défiance des grands investisseurs internationaux", a déclaré Jean-Michel Six, observant que "depuis juin, les marchés semblent se fermer (à leurs) besoins de refinancement". Six mois plus tard, l'état d"alerte reste très élevé", a-t-il enchaîné.

Selon le chef économiste Europe de Standard & Poor's, l'agence n'est pas un "Père Fouettard" mais a "voulu faire un geste fort pour souligner la gravité de la crise" en annonçant ses intentions à quelques jours d'un nouveau sommet de crise prévu cette fin de semaine à Bruxelles. Anticipant les critiques sur le rôle néfaste des agences de notation, il ajoute: "Nous faisons des analyses de fond et réagissons de façon très réfléchie". Si tel est le cas, pourquoi ne pas avoir fait ce travail de "prévention" avant que certains états soient si proches du trou?

 

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Publié par le 7 décembre 2011 dans Non classé

L'inquiétante expansion de la marine chinoise

 

Le Japon a exprimé, le 2 août, ses inquiétudes concernant l'expansion maritime de la Chine vers le Pacifique et "l'opacité"de son budget militaire. Dans son rapport annuel sur la défense (Defense of Japan 2011), le ministère de la défense japonais prévoit que la Chine, "compte tenu de la récente modernisation de ses forces aériennes et navales", va étendre ses activités en mer de Chine méridionale, en mer de Chine orientale et dans l'océan Pacifique.

Or Pékin a confirmé mercredi 27 juillet qu'elle remettait en état un porte-avions de conception soviétique acheté à l'Ukraine, le Varyag, et, selon des sources proches du pouvoir, qu'elle aurait parallèlement entrepris la construction de deux autres porte-avions, de conception chinoise. Ce sont des moyens idéaux pour projeter des forces sur des théâtres d'opération lointains. Ces développements récents ne font que confirmer l'expansion continue de la marine de guerre chinoise. […]

Avec la montée en puissance de la Chine dans le monde, la marine évolue maintenant vers une nouvelle stratégie "d'opérations dans les mers lointaines" avec des responsabilités qui s'étendent au-delà de la "seconde chaîne d'îles", partant du Nord du Japon jusqu'au Nord des îles Mariannes et Guam où se trouve importante base navale américaine. […] En 2010, la marine comptait 225 000 hommes, au moins 58 sous-marins, dont six nucléaires, plus de 50 frégates et au moins 27 destroyers. Elle est devant le Japon, la première flotte d'Asie, si l'on exclut la marine américaine. Et en tonnage, elle est la troisième du monde. Les Etats-Unis, qui sont un acteur militaire clef du Pacifique, s'en inquiètent. Le "déclin" américain est toutefois relatif. Si l'on considère le tonnage cumulé, la marine américaine a un avantage de 2,63 contre 1 vis-à-vis des flottes russe et chinoise combinées… Et qualitativement, elle est très supérieure.

Néanmoins, la Chine fait peur parce qu'elle a d'importants différends territoriaux maritimes avec ses voisins. Et aussi parce qu'elle est devenue le deuxième importateur mondial de pétrole, ce qui ne fait qu'accentuer les revendications territoriales chinoises. Le grave incident naval entre la Chine et le Japon autour des îles disputées de Diaoyu (en chinois) ou Senkaku (en japonais) en mer de Chine orientale en septembre 2010 a conduit à de vives tensions entre Pékin et Tokyo. Au sud, en mer de Chine méridionale, d'autres différends empoisonnent les relations entre Pékin et ses voisins. Outre les Paracels, l'archipel des Spratly (Nansha en chinois), constitué d'îlots et de récifs, est revendiqué par six pays. Pékin a commencé à y débarquer des troupes à partir de 1988, ce qui a donné lieu à des affrontements meurtriers entre les marines chinoise et vietnamienne.

Comme dans les Senkaku, la présence d'hydrocarbures off-shore complique la donne. Ces dernières années, les incidents "collisions entre bateaux ou accusations d'incursion dans les eaux territoriales " n'ont pas été très graves, mais ils ont provoqué à chaque fois de vives réactions diplomatiques.

Elle conduit aussi les voisins à moderniser leur appareil militaire. Après l'incident des Senkaku, le Japon a été conforté dans l'idée de restructurer ses forces : l'accent est porté sur la protection des îles lointaines du sud du Japon et la sécurité des routes maritimes. Le nombre de sous-marins va passer de 16 à 22. Mais d'autres pays asiatiques accroissent aussi leur flotte de sous-marins, et étoffent leur flotte de guerre, au point que certains parlent de course aux armements. […]

Aussi, un réseau de nations, avec pour pivot les Etats-Unis, émerge dans la région qui essaie de contrebalancer la puissance chinoise ascendante, en accroissant leur coopération militaire. Des navires de guerre américains ont ainsi fait récemment escale au Vietnam. Cependant, Washington manifeste une certaine prudence et soutient aussi la volonté des pays de la région de régler les disputes dans un cadre multilatéral. La Chine et l'Association des Nations d'Asie du Sud-Est (Asean) ont adopté jeudi 21 juillet une "feuille de route" modeste, première approche vers un règlement collectif des nombreuses controverses.

Reste que, selon l'expert naval Philippe Langloit, la marine chinoise pourrait connaître un développement encore plus massif et plus rapide en raison de la part modeste consacrée à la défense par rapport au PIB. Il estime aussi que "Les marines sont toujours d'un point de vue historique, les instruments de " l'expansion coloniale". La marine chinoise va maintenant de plus en plus loin de ses bases. Pour assurer la sécurité de ses voies de communication, venant du golfe Persique, Pékin construit un collier de perles" de bases permanentes le long des côtes de l'Océan Indien. Et elle intervient au lointain pour participer à la lutte contre la piraterie au large de la Somalie. Récemment, elle a même déployé un navire en Méditerranée, une première, pour évacuer des ressortissants dans la crise libyenne. La question reste donc de savoir ce que la Chine fera de sa puissance navale. (Source: Le Monde)

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08/12/2011 | Lien permanent

ClimateGate : La pression monte autour des experts du climat

Enquête
LE MONDE | 28.01.10 | 15h29

"Je veux dire aux sceptiques, qui me voient comme le visage et la voix de la science du changement climatique, que je ne suis pas disposé à les satisfaire. Je resterai président du GIEC jusqu'au terme de mon mandat." Dans un entretien accordé lundi 25 janvier à la BBC, Rajendra Pachauri, président du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), a exclu toute démission. La déclaration n'est pas inutile, tant le groupe de scientifiques - mandaté par les Nations unies pour synthétiser les connaissances sur le changement climatique - se trouve, depuis fin 2009, au centre de plusieurs polémiques ouvertes par la presse conservatrice britannique et la blogosphère.

"Climategate". La chasse commence deux semaines avant la conférence de Copenhague, avec l'affaire dite du Climategate. Mi-novembre, des hackers s'introduisent dans les serveurs de l'université d'East Anglia (Royaume-Uni) et divulguent sur Internet la correspondance privée de plusieurs climatologues - auteurs du GIEC pour certains. Les morceaux choisis de cette correspondance en circulation sur le Net entretiennent la rumeur de manipulations de données.

La divulgation frauduleuse de cette correspondance exhibe des discussions houleuses, des écarts de langage, une volonté de ne pas partager des données, une franche hostilité à l'égard des climato-sceptiques... Elle n'a cependant pas conduit à la remise en cause de résultats scientifiques.

L'American Geophysical Union (AGU) - qui rassemble quelque 50 000 chercheurs en géosciences - a estimé que "rien, dans ces courriels, ne remet en cause le fait scientifique que le réchauffement est réel et que les activités humaines en sont presque certainement la cause". La revue Nature a, quant à elle, qualifié l'affaire de "risible".

Le Climategate n'en a cependant pas fini de ternir l'image de la climatologie. Vendredi 22 janvier, la commission des sciences et technologies du Parlement britannique a lancé une enquête parlementaire sur l'affaire. Conclusions attendues en mars.

"Pachaurigate". Le 20 décembre 2009, The Sunday Telegraph accuse Rajendra Pachauri de profiter de sa position à la tête du GIEC pour accumuler, à son bénéfice personnel, des contrats avec des entreprises intéressées par les politiques liées au changement climatique.

Le centre de recherche à but non lucratif, TERI (The Energy and Resources Institute), que dirige par ailleurs M. Pachauri, a répondu que "par principe, en ce qui concerne les honoraires ou autres rémunérations reçus pour des conseils donnés à des organisations ou pour des conférences, M. Pachauri a scrupuleusement insisté pour que les paiements soient faits à TERI". Et non à son bénéfice personnel.

"Glaciergate". Le 17 janvier, The Sunday Times publie un article attirant l'attention sur une polémique en cours dans la communauté scientifique. Le dernier rapport du GIEC (2007) donne dans un paragraphe une estimation erronée de la date de disparition des glaciers de l'Himalaya - châteaux d'eau de l'Asie (Le Monde du 26 novembre 2009). Le deuxième volet du rapport ("Impacts, adaptation et vulnérabilités") fait en effet état, à la page 493, d'une disparition de ces glaces d'altitude en 2035. Le chiffre, erroné, n'est pas issu de travaux scientifiques. Il provient d'un rapport de 2005 d'une ONG de protection de la nature - le WWF - qui lui-même s'inspirait d'un article de presse publié en 1999 par l'hebdomadaire New Scientist. Le GIEC a reconnu son erreur, faisant toutefois valoir que celle-ci ne figurait pas dans le "Résumé à l'intention des décideurs", le document d'une vingtaine de pages adressé aux politiques et qui résume les points clés du rapport.

"Il faut être clair, il y a eu une faute à propos de l'Himalaya, admet le climatologue Hervé Le Treut (Institut Pierre-Simon-Laplace), membre du GIEC. Mais la manière dont cette erreur est mise en avant est suspecte : il y a une campagne manifestement organisée." Une semaine plus tard, le 24 janvier, The Sunday Times poursuit l'offensive. Dans un nouvel article, le journal britannique fait un lien entre l'erreur commise par le GIEC sur les glaciers himalayens et les levées de fonds du TERI. L'institut de M. Pachauri aurait ainsi mis en avant une affirmation catastrophiste et fausse - la disparition des glaces himalayennes en 2035 - pour susciter une dotation de la Carnegie Corporation de New York, et une autre de l'Union européenne (UE) dans le cadre du projet High Noon.

Interrogé par Le Monde, le glaciologue Syed Hasnain, chercheur au TERI, assure que son institut "n'a jamais approché la Carnegie Corporationdans le cadre de son programme sur les glaciers". (pour obtenir des fonds)

George Soule, responsable de la communication de la Carnegie Corporation, confirme que celle-ci "a approuvé un financement unique de 500 000 dollars au Global Center, un centre de recherche à but non lucratif basé en Islande". Ce n'est qu'ensuite, ajoute en substance M. Hasnain, que le Global Center a proposé une association avec le TERI, pour former des glaciologues indiens. Quant au projet européen High Noon, "TERI en est en effet un partenaire, mais pas pour l'observation des glaciers", précise Eddy Moors (université de Wageningen, Pays-Bas), l'un des responsables du projet. "TERI est impliqué dans des travaux d'études sociales et économiques dans les vallées", précise M. Moors.

"Cyclonegate". Le 24 janvier, The Sunday Times ajoute une nouvelle suspicion au tableau. Le quotidien dominical croit savoir qu'une autre erreur s'est glissée dans le dernier rapport du GIEC. Cette fois-ci, celui-ci se serait appuyé sur une étude non publiée, menée par Robert Muir-Wood, pour affirmer que le changement climatique favorise les phénomènes extrêmes - tempêtes, cyclones, etc.

"Cette fois-ci, c'est l'erreur du Sunday Times, pas celle du GIEC, déclare son vice-président, Jean-Pascal van Ypersele. Le journal confond deux choses très différentes que sont le lien possible entre réchauffement et pertes économiques dues aux phénomènes extrêmes (objet des travaux de M. Muir-Wood) et le lien possible entre le réchauffement et les phénomènes extrêmes eux-mêmes..." Interrogé par Le Monde, M. Muir-Wood, assure en outre que le premier volet de son étude était "publié dans des actes de colloque" lorsqu'il a été cité par le GIEC. "Il n'y a pas de biais dans la procédure", ajoute-t-il.

Stéphane Foucart et Hervé Kempf

http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/01/28/la-press...

 

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29/01/2010 | Lien permanent

EXCLUSIF : les Syriens reconnaissants des raids aériens, la pression sur les pilotes russes est immense

Prenez bien note de la satisfaction des Syriens de la présence Russe en Syrie, vous allez voir comment la Turquie, membre de l'OTAN,  l'UE et les merdias occidentaux vont inverser la réalité pour faire peur aux européens ! 

EXCLUSIF : les Syriens reconnaissants des raids aériens, la pression sur les pilotes russes est immense

9 oct. 2015, 14:34

Des pilotes russes montent en avion à Lattaquié

Des pilotes russes montent en avion à Lattaquié

Alors que les raids aériens russes contre de Daesh font la Une de l’actualité, des syriens témoignent leur reconnaissance. Le correspondant de RT Mourad Gazdiev entre dans les détails et souligne la responsabilité qui pèse sur les pilotes.

 

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09/10/2015 | Lien permanent

ALERTE ! Kiev proclame la Crimée zone de libre-échange ! Encore une provocation contre la Russie !

La prochaine guerre c'est d'aller attaquer la Crimée !

Surtout que tout semble prêt pour cela, l'UE a levé l'embargo sur la livraison de matériel militaire en faveur de l'Ukraine, et la Russie a repoussé un sous-marin US de la classe Virginia (de sous-marins nucléaires d'attaque) de ses eaux territoriales et des navires de l'Otan sont présents en mer noire..

Selon Mikhaïl Nenachev, président du Mouvement public de soutien à la flotte russe, le déploiement de navires de l'Otan en mer Noire est ...

 

L'oligarque Juif/Sioniste Porochenko y tient à reprendre non seulement l'Est de l'Ukraine, la partie la plus industrialisée de l'Ukraine où se trouvaient les entreprises de fabrication de l'armement qui alimentaient la Russie, ainsi que la Crimée où se trouvent les bases navales Russes qui donne accès au Sud par la mer noire. Il ne manque plus qu'à attaquer la Russie par l'Arctique où les oligarques sionistes se disputent les richesses énergétiques.

N'oublions pas que le conflit en Ukraine a été instrumentalisé contre la Russie et Poutine par les Rothschild et Rockefeller

Tous ces Sion/istes/nazis ont apparemment la nostalgie de la révolution bolchévique dans laquelle les sionistes ont joué un très grand rôle.

Ils n'ont pas avalé que la Russie se soit débarrassée de l'ex URSS qui était menée par les oligarques sionistes et que ce soit un Russe, comme Poutine qui en ait repris le contrôle.


Donc leur objectif comme en Irak avant-hier, où il s'agissait de virer
Al-Maliki qui a dénoncé à plusieurs reprises le vol du pétrole du Kurdistan Irakien, c'est de provoquer un coup d'état en Russie pour faire tomber Poutine et le remplacer par l'un de leurs pions sionistes !

 

 

Et la presse se plaint d'avoir été muselée par KIEV

 

Kiev proclame la Crimée zone de libre-échange

Dossier: L’avenir de la Crimée

Kiev proclame la Crimée zone de libre-échange
21:22 12/08/2014
KIEV, 12 août - RIA Novosti

La Rada suprême (parlement ukrainien) a adopté mardi une loi sur la création d'une zone de libre-échange sur la péninsule de Crimée qui avait adhéré à la Fédération de Russie en mars dernier suite à un référendum.

Adoptée par 227 voix (pour 226 voix requises), la loi propose de mettre en place d'une zone de libre-échange en Crimée et dans la ville de Sébastopol pour une période de dix ans.

Peuplée en majorité de russophones, la Crimée a proclamé son indépendance vis-à-vis de l'Ukraine et sa réunification avec la Russie suite à un référendum organisé après le coup d'Etat ukrainien du 22 février. Plus de 96% des participants au scrutin ont voté le 16 mars pour que la Crimée rattachée en 1954 à l'Ukraine soviétique sur décision de Nikita Khrouchtchev, adhère à la Fédération de Russie.

Kiev et les pays occidentaux ne reconnaissent pas le référendum du 16 mars et dénoncent l'annexion de la péninsule de Crimée par Moscou.

 

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13/08/2014 | Lien permanent

Rothschild : « J'ai créé cette colonie (Israël) moi seul. Par conséquent, ni les colons, ni aucune organisation n'a le d

Une preuve de plus qu'Israël est un état privé appartenant aux Rothschild et aux sionistes !

Un article extrait du site de BEN PERI

« J’ai créé cette colonie (Israël) moi seul. Par conséquent, ni les colons, ni aucune organisation n’a le droit d’interférer avec mes plans ! »

 

Le greffier se lève :

- J’appelle maintenant Shlomoh Ziskind, un des premiers Colons Sioniste émigrés en Israël.
- Vous avez été, en 1901, l’un des tout premiers colons sionistes à être mis en place en Palestine, installation entièrement financée par monsieur Edmond James de Rothschild ?
- C’est exact monsieur le Juge.
- Vous aviez un jour adressé une sorte d’ultimatum à celui qui avait permis et financé votre implantation.
- Monsieur le Baron était particulièrement interventionniste, et plusieurs de ses interventions nous paraissaient contraires à une intégration intelligente, et contre productives, notamment vis-à-vis de nos frères Juifs installé sur cette terre depuis la nuit des temps. Nous lui avions alors adressé un message pour lui demander de nous laisser régler les problèmes de voisinage, nous-mêmes.
- Quelle était la teneur de ce message ?
- C’était à peu près : « Si vous voulez sauver la colonie, vous devez ne plus interférer dans nos affaires et nous permettre de régler seuls nos problèmes. »
- Vous parliez toujours de « colonie » pour la nouvelle implantation ?
- Le Baron parlait toujours de « sa » colonie…
- Et comment a réagit le Baron de Rothschild à votre missive ?

- Son message en retour était très explicite : « J’ai créé cette colonie, moi seul. Par conséquent, ni les colons, ni aucune organisation n’a le droit d’interférer avec mes plans ! »
- A quels plans faisait-il référence ?

Le juge se met à penser tout bas : Sachant le Baron un des actifs fondateurs et animateurs du mouvement sioniste, et que ce mouvement, et la création de son état, en plein cœur de l’Islam, n’entrent dans la stratégie de la famille Rothschild, que pour lancer leur 3e guerre mondiale, tout devient clair… ! »
- Je ne saurais vous dire monsieur le Juge, mais en tout cas sa politique n’était pas une politique de conciliation, ni à l’égard des Palestiniens Arabes, ni même des autochtones Juifs, sédentarisés depuis des millénaires. C’était plutôt une politique de confrontation permanente destinée à engendrer haines et conflits.

- Je vous remercie, monsieur Ziskind, vous pouvez vous retirer.
Le juge se met à penser : Ils ont gravement utilisé les Francs-maçons français comme ligne de front pour faire la Révolution Française, ils ont utilisé Trotski et les Trotskistes pour faire la Révolution Russe, et une fois que leurs premières lignes ont achevé leur travail, ils ont tous été massacrés par le gros des troupes des Rothschild… Je ne crains que les Sionistes ne soient leur ligne de Front pour la troisième guerre mondiale, et qu’une fois que ceux-ci auront mis la pagaille que l’on attend d’eux, et le feu aux poudres, partout où ils sont présents… ils ne soient liquidés de la même façon.

(Extrait du livre La Grand Procès des Banques, disponible sur benperi.eu)

Demain, nous verrons la déposition de monsieur Woodrow Wilson, 28e Président des Etats-Unis. »

http://blog.benperi.eu/page/5/

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30/11/2011 | Lien permanent

Nouveau Gouvernement : L'imposture et la trahison. Rothschild à Bercy avec Emmanuel Macron, La théorie du Genre à l'édu

Qui doute encore de la colonisation de la France par les Sionistes ?

La liquidation de la France est en cours !

Quoi de mieux aux finances qu'un banquier de chez Rothschild pour devenir le maître des banques ?

Et voilà ce que nous disions dans notre précédent article :

Rothschild aux finances et à l'économie à Bercy avec Emmanuel Caron, La théorie du Genre à l'éducation Nationale, avec Belkacem, et le laxisme à la Justice avec Taubira ! Fabius demeure bien évidemment aux affaires étrangères pour défendre les intérêts d'Israël pour le reste nous vous laisserons chercher qui ils sont !

Comme ça nous sommes assurés que nos comptes seront bien vidés au profit de l'état sioniste d'Israël et que le Talmud sera appliqué dans les écoles françaises avec la théorie du Genre, et que la Justice sera encore paralysée avec Taubira aux commandes !

Voilà qui est Emmanuel Macron, né le 21 décembre 1977 à Amiens, est un banquier, haut fonctionnaire et homme politique français.

Banquier d'affaires chez Rothschild depuis 2008, il a occupé de mai 2012 à juin 2014 les fonctions de secrétaire général adjoint de la présidence de la République3. Il est depuis le 26 août 2014, le ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique sous le gouvernement Manuel Valls II.

Nicolas Dupont-Aignan critique sur iTélé l'arrivée de Emmanuel Macron au ministère de l'Economie : "On met un banquier d'affaires millionnaire aux Finances, l'inverse des promesses de François Hollande." 


 

EN DIRECT. Gouvernement Valls II : Belkacem à l'Education, Macron à Bercy, Pellerin à la Culture

Patrick Kammer devient ministre de la Ville, Taubira reste ministre de la Justice et Ségolène Royal reste ministre de l'Ecologie. Découvrez la composition du nouveau gouvernement.

Emmanuel Macron, ministre de l'Economie, de l'Industrie et du Numérique, le 26 mars 2014 avec François Hollande. (ALAIN JOCARD/AFP)
Emmanuel Macron, ministre de l'Economie, de l'Industrie et du Numérique, le 26 mars 2014 avec François Hollande. (ALAIN JOCARD/AFP)

19h40 - Retrouvez la liste des 16 ministres du gouvernement Valls II :

Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères et du Développement international

Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie

Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation

Christiane Taubira, ministre de la Justice

Michel Sapin, ministre des Finances et des Comptes publics

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense

Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé

François Rebsamen, ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social

Marylise Lebranchu, ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique

Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur

Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture

Emmanuel Macron, ministre de l'Economie, de l'Industrie et du Numérique

Sylvia Pinel, ministre du Logement et des Territoires

Fleur Pellerin, ministre de la Culture et de la Communication

George Pau-Langevin, ministre des Outre-mer

19h35 - Stéphane Le Foll : "Une clarté, une jeunesse, et une cohérence nécessaire"

Pour le porte-parole du gouvernement, "ce nouveau gouvernement incarne une clarté, une jeunesse, et une cohérence nécessaire".

19h35 - Dupont-Aignan : "Valls veut tout liquider !"

Nicolas Dupont-Aignan critique sur iTélé l'arrivée de Emmanuel Macron au ministère de l'Economie : "On met un banquier d'affaires millionnaire aux Finances, l'inverse des promesses de François Hollande." 

La suite : http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20140826.OBS7144...

 

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26/08/2014 | Lien permanent

Dernière signature de l'opération militaire ”Je suis Charlie/Je suis Israël”, Charlie s'installe chez Rothschild !

Et voici, la dernière signature qui vous rapporte définitivement la preuve que Charlie Hebdo est une officine subversive et raciste financée par Rothschild ainsi que sûrement l'opération militaire conduite en France sous le nom de code militaire "Je suis Charlie/Je suis Israël"  Logique, les loups vont avec les loups et puis c'est normal, ce soir a commencé Shabbat, ils vont le faire ensemble ! D'ailleurs, il fallait à tout prix que la comédie s'arrête avant ce soir : ce soir, on allume les bougies !

Les messages adressés aux français sont très forts si nous sommes aptes à les comprendre :

1 - C'est Libération qui donne l'info (sous entendu) Rothschild!

2 -  Français on vous emmerde ! On vient de vous démontrer que la France nous appartient, que nous faisons ce que nous voulons chez nous et qu'avec notre argent, c'est nous qui commandons en France et dans le Monde !

3 - que les attaques continueront à se perpétrer contre la population musulmane en France, en Europe et dans le monde, notamment par le biais de leur officine Charlie/Israël avec l'aval du Gouverne/MENT sioniste !

4 - qu'ils ont l'intention de continuer à nous diviser et à organiser la guerre civile et les attentats en France sous fausse bannière.

5 - qu'ils nous ont testés pour savoir si nous étions prêts à rallier la cause sioniste avant de nous instaurer leur Nouvel Ordre Mondial !

6 - que Charlie Hebdo est placé sous la protection des Rothschild et qu'ils seront intouchables et libre de semer la zizanie parmi le peuple français et qu'il ne nous appartiendra que de faire qu'une seule chose : la fermer !

7 - et puis comme ce n'est que le fric qui les intéresse, ils auront fait une belle opération publicitaire pour Charlie/Israël, qui leur permettra de financer leurs prochaines campagnes racistes et de transporter leur haine du musulman sur notre territoire !

 

«Charlie» s'installe à «Libé» : «Bon, on fait le journal ?»


Isabelle HANNE
9 janvier 2015 à 17:52

 
Les journalistes de «Charlie Hebdo» reprennent le travail dans la salle du Hublot, à «Libération».

Les journalistes de «Charlie Hebdo» reprennent le travail dans la salle du Hublot, à «Libération». (Photo Rémy Artiges)

 

REPORTAGE

Les journalistes rescapés de l'attentat ont repris le travail ce vendredi. Avec les morts et les blessés en tête, pour sortir un journal mercredi.

En tout, la conférence de rédaction de Charlie Hebdo aura duré plus de trois heures. C’est qu’en plus du chemin de fer, des sujets, des deadlines, il faut aussi ce vendredi matin parler des morts, des blessés, des hommages, des obsèques. La salle du hublot, où Libé tient habituellement sa réunion quotidienne, est occupée pour l’occasion par les rescapés de l’hebdo satirique. La pièce, éclairée d’un côté par une grande fenêtre ronde, est à la fois surchauffée et ouverte aux quatre vents pour laisser filer la fumée de cigarettes.

Posés sur la grande table ronde, des ordinateurs prêtés par le groupe Le Monde. Assis tout autour, Willem, Luz, Coco, Babouse, Sigolène Vinson, Antonio Fischetti, Zineb El Rhazoui, Laurent Léger… En tout, plus de 25 personnes, mines grises et yeux bouffis, noyau dur, proches ou collaborateurs occasionnels, sont là pour préparer le prochain numéro de Charlie Hebdo. Il doit sortir mercredi prochain, et sera tiré à un million d’exemplaires, soit vingt fois environ leur tirage habituel.

«J’ai pu voir tout le monde à l’hôpital». Gérard Biard, le rédacteur en chef de Charlie, commence par là. «Riss a été blessé à l’épaule droite mais le nerf n’est pas touché. Il a évidemment très mal. La première chose qu’il a dite, c’est qu’il n’est pas sûr qu’on va pouvoir continuer à faire le journal.» Fabrice Nicolino, touché à plusieurs reprises dans l’attentat, «va mieux», même s’il «souffre évidemment beaucoup». Patrick Pelloux, urgentiste et chroniqueur à Charlie, explique alors la blessure à la mâchoire d’une autre victime, Philippe Lançon, également journaliste à Libé. Simon Fieschi, leur webmaster, a quant à lui été «placé en coma artificiel». Une jeune femme s’effondre. «Tu n’as pas à te sentir coupable !», la réconforte Gérard Biard. Tout le monde hoche la tête en silence. Celle qui pleure, c’est la journaliste Sigolène Vinson, présente à la rédaction au moment du drame mercredi mais épargnée par les agresseurs.

Biard enchaîne sur les morts. Comment organiser les obsèques ? Et l’hommage national ? Avec quelle musique ? Quand même pas des drapeaux ? «Il ne faut pas une symbolique qu’eux-mêmes auraient détestée, note quelqu’un autour de la table. On a tué des gens qui dessinaient des petits bonhommes. Pas des étendards. Il faut qu’on rappelle la simplicité de ces gens, de leur travail. Nos amis sont morts, mais on ne va pas les exposer sur la place publique.» Tout le monde acquiesce.

Demandes d'abonnements en masse

Une journaliste explique qu’une cagnotte, créée spontanément sur internet par des inconnus, a déjà récolté 98 000 euros en moins de 24 heures. Les rescapés de Charlie sont submergés par les demandes d’abonnements, qu’ils n’arrivent pas à gérer pour l’instant. Mais très vite, ils devraient recevoir de l’aide du groupe Lagardère sur ce point. L’avocat de Charlie Hebdo, Richard Malka, prend la parole. «Il y a de l’argent qui arrive de partout. Des aides, des locaux, du personnel pour gérer les demandes…»«On a reçu du soutien de très nombreux médias, lui fait écho Christophe Thévenet, autre avocat du titre. Il y a les dons, déjà les 250 000 euros via l’association Presse et pluralisme, le million d’euros promis par Fleur Pellerin… Vous allez avoir des finances comme jamais à Charlie  L’avocat en sait quelque chose : c’est lui qui a créé les statuts du journal, et qui fait les assemblées générales du titre. Ces derniers mois, l’hebdo avait fait un appel aux dons pour tenter de renflouer les caisses du titre, mal en point.

«Bon, on fait le journal ?, demande Gérard Biard, qui a visiblement envie d’en découdre. Qu’est-ce qu’on met dans les pages ?»«J’sais pas, y’a quoi comme actu ?», lance Patrick Pelloux. Fou rire nerveuxBiard reprend : «Moi je serais pour faire un numéro, entre guillemets, normal. Que les lecteurs reconnaissent Charlie. C’est même pas un numéro exceptionnel». «Même pas mal !» lance quelqu’un autour de la table. Certains évoquent l’idée de laisser des espaces blancs là où les morts de mercredi auraient dû écrire ou dessiner. Mais finalement, l’équipe est contre. «Je ne veux pas qu’il y ait matériellement un vide, argumente Gérard Biard. Il faut qu’ils soient tous là, dans les pages. Et Mustapha aussi.» Mustapha Ourrad, le correcteur, fait partie de la longue liste des tués de l’attentat de mercredi. «Alors laissez mes fautes !», rigolent Patrick Pelloux et les autres.

«Ah tiens ! Fidel Castro est mort !», tonne Luz en faisant des doigts d’honneur, découvrant l’info (qui sera vite démentie) sur son téléphone. Le reporter Laurent Léger tente de recentrer le débat sur le journal : «Je pense qu’il ne faut pas qu’on fasse des nécrologies, on va pas faire un numéro hommage.» La rédaction discute du contenu du journal. Gérard Biard : «J’espère qu’on va arrêter de nous traiter de laïcards intégristes, qu’on va arrêter de dire "oui, mais" à la liberté d’expression». Laurent Léger : «Je pense qu’on peut aussi dire qu’on a été très seuls ces dernières années». Luz : «Il faut aussi que ce numéro parle de l’après». Corinne Rey : «Qu’on fasse passer le message qu’on est vivants !» Richard Malka : «Et qu’on ne laisse pas de côté la critique des religions.»

Charlie Hebdo est un curieux journal : il ne compte pas vraiment de rubriques, mais des «espaces» attribués à tel auteur, à tel dessinateur. Pour ceux des défunts, l’équipe décide de dénicher des inédits à publier. Ainsi, dans le numéro qui sera en kiosque mercredi, il y aura du Charb, du Cabu, du Wolinski, du Honoré… Pendant les discussions, il y a des sanglots ici, ou là, comme des feux de brousse qui s’allument pour s’éteindre ensuite dans les bras du voisin. Il y a des mains saisies et des regards mouillés.

Richard Malka s’éclaircit la voix : «Manuel Valls vient d’arriver dans les locaux». L’équipe soupire, s’éparpille, bavarde. Accompagné de la ministre de la Culture et de la Communication Fleur Pellerin, qui arbore un autocollant "Je suis Charlie" sur la poitrine, et de toute une meute de journalistes extérieurs, assistants, et communicants, le Premier ministre vient serrer la main des présents, lâchant quelques infos sur l’intervention en cours à Dammartin-en-Goële – «Les deux assassins sont dans la souricière» – avant de leur souhaiter «plein de courage».

Biard hasarde : «C’est bon y a plus de journalistes ? Y a plus de ministres ? Pour la page 16 on fait quoi ?». Sa question se perd dans le bruit des canettes de Coca qu’on ouvre, des pains au chocolat qu’on grignote, des pleurs qu’on étouffe, des sirènes de police, dehors. Dans son coin, Patrick Pelloux se marre : «C’est donc une vraie conférence de rédaction, c’est le bordel, on est bien repartis !»

Libération ayant été le seul média à pouvoir être présent lors de cette conférence de rédaction, cet article – à l'exception de la photo qui l'illustre – est exceptionnellement publié sous la licence Creative Commons CC BY-SA 3.0 (il faut citer l'auteur, et réutiliser la même licence), afin de permettre sa diffusion par les autres médias.

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09/01/2015 | Lien permanent

La popularité de Poutine en nette hausse (sondage)

Et voilà à quoi servent les attaques des US/Sionistes et de l'UE contre Poutine ! Sa popularité est nette hausse pendant que les guignols français se cassent la figure !

Cela ne vous rappelle-t-il quelqu'un ? Dieudonné ? Plus on l'a enfoncé et plus il a fait fureur dans ses spectacles ! Comme quoi la propagande malveillante ne paie plus et que les citoyens sont très lucides sur les mensonges perfusés par les merdias propagandistes !

 

La popularité de Poutine en nette hausse (sondage)

Vladimir Poutine

Vladimir Poutine

© RIA Novosti. Mikhail Klimenteev

16:20 12/03/2014

MOSCOU, 12 mars - RIA Novosti

Le dernier sondage hebdomadaire de la Fondation Opinion publique (FOM) a révélé une hausse considérable de la cote de popularité du président russe Vladimir Poutine.

A la question "Pour qui voteriez-vous si l'élection présidentielle avait lieu dimanche prochain?", 53% des sondés ont cité Vladimir Poutine. Ce pourcentage est supérieur à celui d'il y a une semaine: 48%. La cote électorale du président a donc augmenté de 5% en une semaine.

Au cours de l'année écoulée, la cote de popularité du chef de l'Etat russe a oscillé en moyenne entre 45 et 47%.

Le sondage a été effectué les 8 et 9 mars auprès d'un échantillon représentatif de 3.000 personnes vivant dans 204 localités de 64 régions de la Russie. La marge d'erreur statistique ne dépasse pas 2,5%.

http://fr.ria.ru/society/20140312/200700223.html

 

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12/03/2014 | Lien permanent

Le rêve américano/sioniste : comment détrôner Poutine ?

Un article de novembre 2013, mais toujours d’actualité.

Il faut empêcher Poutine, l’empêcheur de tourner en rond,  d’apporter son soutien à l’Iran et à la Syrie, en même temps que de mettre entrave à la création de l’union Eurasique, et si on passage on peut prendre l’or, le gaz, le pétrole, l’uranium, les bases militaires et s’accaparer le patrimoine culturel de la Russie et de la Crimée avec ses 37 pyramides, et le reste…qui dit mieux ?

Il y a une unique chose à retenir de toutes ces manœuvres de destruction, de mensonges et de soutien à des factions nazies par les US/UE/Sionistes : Leur fin est sans doute plus proche que ce que nous ne le pensons.

Il faut soutenir Poutine, car s’il ne tient pas contre ces satanistes, nous serons aux portes de la 3ème guerre mondiale, et nous y sommes déjà, du reste pour ceux qui sont lucides des projets qui sont visés par les élites : US/UE/Sionistes de créer le chaos planétaire pour leur permettre d’instaurer leur Nouvel Ordre Mondial !

 

28 novembre 2013, 00:01

Le rêve américano/sioniste : comment détrôner Poutine ?

Le rêve américain : comment détrôner Poutine ?

© Photo : EPA

Par La Voix de la Russie | Non, cette idée saugrenue ne m’est pas apparue subitement mais c’est bel et bien le titre d’un article publié récemment par le directeur du « Maguire Energy Institute », qui est également membre du « Georges Bush Institute ».

L’intéressé a une idée de la manière dont l’Amérique devrait procéder pour accélérer la chute du « monarque russe » : la guerre énergétique et plus clairement l’exportation de la production américaine de gaz naturel en Europe et en Asie afin d’y détruire les positions dominantes russes de Gazprom principalement. Ce faisant, l’Etat russe affaibli financièrement se trouverait face à une situation sociale plus instable et explosive, bien plus propice à l’organisation d’une révolution de couleur par exemple que ne l’est la situation actuelle ou la croissance continue.

Ce scénario de science fiction n’en est en réalité pas un puisque cette guerre énergétique a déjà commencée.

Sa première étape a consisté en une bataille des gazoducs au cœur de l’Europe visant à priver la Russie de son statut de fournisseur principal de l’Europe. On se souvient que c’est justement après une révolution de couleur en Ukraine que ce pays avait servi de fusible (avec la complicité des élites oranges) lors de la crise énergétique de 2006 durant laquelle l’Ukraine avait bloqué le transit via son territoire et porté atteinte à l’approvisionnement russe en Europe de l’Ouest.

On connaît le résultat de cette politique suicidaire : l’apparition de gazoducs de contournements (North Stream et surtout South Stream) réduisant à zéro la capacité de nuisance des pays de transits, et surtout l’échec stratégique du projet concurrent occidental Nabucco.

Une seconde étape de cette guerre énergétique se déroule sous nos yeux en Syrie puisque la guerre menée de l’extérieur contre l’Etat syrien est notamment une guerre contre le déploiement d’un dispositif énergétique sous contrôle irano-irako-syrien (on a parlé de projet chiite) destiné à permettre à l’Iran d’écouler son stock en Europe. Ce projet s’opposait à un projet concurrent ayant l'aval du Pentagone et visant à la délivrance de gaz qatari vers l’Europe, via l'Arabie Saoudite, la Syrie (d’après Assad) et enfin la Turquie.

On connaît le résultat de cette politique à ce jour : le Qatar et l'Arabie Saoudite n’ont pu renverser Assad, l’Etat syrien ne s’est pas effondré et l’Iran vient de façon inattendue de se replacer au centre du jeu diplomatique et de la scène internationale. La Turquie quand à elle vient de laisser entendre qu’elle allait vraisemblablement réviser ses priorités géostratégiques, délaissant Washington au profit de Pékin et surtout Moscou.

Alors que la Russie semble connaître une phase de succès diplomatiques (notamment du reste avec les alliés traditionnels de Washington), on peut se demander désormais quelle sera la prochaine étape de la guerre énergétique que livre Washington à Moscou, souvent par territoires et guerres interposés.

La fin plausible de la guerre en Syrie dans les prochains mois verra-t-elle le déclenchement d’un nouveau conflit géographiquement plus proche de la Russie ? N

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19/03/2014 | Lien permanent

Crimée: la décision de Khrouchtchev anticonstitutionnelle (Poutine)

Crimée: l'Occident doit se résigner (expert), car il est vrai que Nikita Khrouchtchev avait pris cette décision dans les couloirs et en coulisses au terme d’un « débat » qui n’avait duré que 15 minutes !

D'un simple décret, Khrouchtchev fit don de la Crimée à l'Ukraine en 1954

C’est ainsi qu’en 15 mn Nikita Khrouchtchev a décidé du sort des Criméens en majorité d’origine Russe.

Une vraie reconnaissance et une vraie révolution pour la Crimée qui adopte le rouble russe comme monnaie officielle et passe à l'heure russe

Crimée: la décision de Khrouchtchev anticonstitutionnelle (Poutine)

Dossier: L’avenir de la Crimée

Crimée: la décision de Khrouchtchev anticonstitutionnelle (Poutine)

Crimée: la décision de Khrouchtchev anticonstitutionnelle (Poutine)

© REUTERS/ Maxim Shemetov

15:35 18/03/2014

MOSCOU, 18 mars - RIA Novosti

La décision de Nikita Khrouchtchev, premier secrétaire du parti communiste de l'URSS, de rattacher la presqu'île de Crimée à l'Ukraine en 1954 était contraire aux normes constitutionnelles de l'époque, a déclaré le président russe Vladimir Poutine intervenant mardi au Kremlin.  

"Cette décision a été prise en violation évidente des normes constitutionnelles de l'époque. La décision a été prise dans les couloirs", a indiqué le président Poutine.  

"Lorsque la Crimée s'est retrouvée au sein d'un autre Etat (après la chute de l'URSS), la Russie a réalisé qu'elle avait été non seulement volée, mais dépouillée", a ajouté le dirigeant.  

A l'issue d'un référendum sur le statut de la Crimée tenu le 16 mars, 96,77% des habitants de la presqu'île ont voté en faveur du rattachement à la Russie. Mardi 18 mars, le président russe Vladimir Poutine a approuvé un projet d'accord sur l'adhésion de la République de Crimée à la Fédération de Russie.  

Peuplée principalement de russophones, la Crimée a été rattachée en 1954 à l'Ukraine qui faisait alors partie de l'Union soviétique. Après la chute de l'URSS en 1991, la Crimée est restée au sein de l'Ukraine, mais a reçu le statut de république autonome. Conformément à sa première Constitution de 1992, la Crimée définissait ses relations avec l'Etat ukrainien sur la base d'accords bilatéraux.

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Multimédia

http://fr.ria.ru/world/20140318/200751360.html

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18/03/2014 | Lien permanent

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