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Vladimir Poutine : si la Russie est attaquée, ce sera la fin du monde

Vladimir Poutine : si la Russie est attaquée, ce sera la fin du monde

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Extrait du film de Vladimir Soloviev intitulé Le Nouvel ordre mondial, mars 2018.

Traduction : http://sayed7asan.blogspot.fr

[Chaîne supprimée par Youtube : retrouvez toutes les vidéos de Sayed Hasan sur Vimeo]


 

 

Transcription :

[…] Vladimir Soloviev : [Qu’en est-il du] poids de la responsabilité du bouton nucléaire, lorsque des millions de vies, si ce n’est le sort de l’humanité entière, sont entre vos mains ? Et aussi le fait d’envoyer nos hommes (combattre) dans des horizons lointains, sans avoir de garantie qu’ils reviennent vivants. Comment prenez-vous de telles décisions ? Comment assumez-vous une telle responsabilité au quotidien ?

Vladimir Poutine : Cette responsabilité est inévitable pour le Président. Elle fait partie de la fonction. Et avant de prendre de telles décisions, tout doit être minutieusement pesé. Quant au bouton nucléaire, pour le dire clairement, je pense que la question est déplacée.

Vladimir Soloviev : Excusez-moi, mais je dois la poser…

Vladimir Poutine : Oui, oui, je comprends. Mais ce n’est pas nous qui avons commencé tout ça. Permettez-moi de vous rappeler que la première bombe atomique n’a pas été créée par la Russie mais par les Etats-Unis.Voilà pour le premier point.

Deuxièmement, nous n’avons jamais utilisé d’arme nucléaire. Ce sont les Etats-Unis qui l’ont utilisée contre le Japon. D’ailleurs, dans de nombreux manuels scolaires japonais, ce fait est passé sous silence et imputé aux ‘Alliés’. Quels ‘Alliés’ ? L’Union Soviétique était alliée des Etats-Unis mais ils ne nous ont même pas informés. Et de nombreux experts assurent qu’il n’était pas nécessaire de l’utiliser. Mais les Etats-Unis l’ont fait. Qui peut garantir que cela ne se reproduira pas ? Voilà pour le second point.

De plus, nous ne sommes pas les seuls à être dotés de l’arme nucléaire. En plus des Etats-Unis, il y a la République populaire de Chine, la France, la Grande-Bretagne, la Russie… Cinq principales puissances nucléaires. Et il y a des puissances nucléaires qui ne sont pas reconnues par la communauté internationale. Ce sont l’Inde, le Pakistan, Israël… Nous ne sommes donc pas les seuls. Et si tous ces autres pays ont des armes nucléaires, pourquoi la Russie n’en aurait-elle pas ?

Quant à votre question, elle est bien sûr très importante et très sensible, mais je tiens à ce que vous sachiez, ainsi que le peuple russe et tous ceux qui nous écoutent à l’étranger, que nos plans pour l’utilisation d’armes nucléaires (et j’espère que cela n’arrivera jamais), mais nos plans théoriques prévoient seulement un ‘lancement de contre-attaque’. Qu’est-ce que ça signifie ? Que la décision d’utiliser les armes nucléaires ne peut être prise que dans le cas où notre système d’alerte anticipée détecte non seulement le lancement d’un missile, mais donne également une prévision précise de sa trajectoire de vol et du moment de l’impact des têtes nucléaires sur le territoire de la Fédération de Russie. C’est ce que nous appelons un ‘lancement de contre-attaque’. En d’autres mots, si quelqu’un décide de détruire la Russie, nous aurons légitimement le droit de riposter.

Certes, ce serait une catastrophe planétaire, ce serait une catastrophe absolue pour le monde entier et l’humanité. Mais en tant que citoyen russe et dirigeant de l’Etat russe, je me pose la question : à quoi bon ce monde s’il n’y a plus de Russie ? […]

source:http://sayed7asan.blogspot.fr/2018/03/vladimir-poutine-si...

 

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04/05/2018 | Lien permanent

Le médecin prévient que les « pneumonies bactériennes sont en augmentation » à cause du port du masque

Le médecin prévient que les « pneumonies bactériennes sont en augmentation » à cause du port du masque

 

 

par John C. A. Manley.

« Un groupe poursuit le maire de Tulsa, G.T. Bynum, et le directeur exécutif du département de la santé de Tulsa, Bruce Dart, affirmant que le mandat de la ville en matière de masques est préjudiciable aux personnes en bonne santé », rapporte l’Activist Post. Le groupe comprend des propriétaires d’entreprises et deux médecins qui « demandent à la ville d’abroger immédiatement le mandat de port de masques qui a été adopté par le conseil municipal le mois dernier ».

Lors d’une conférence de presse, l’optométriste Robert Zoellner a déclaré :

https://www.youtube.com/watch?time_continue=15&v=ZbmvCKcUNuA&feature=emb_title 

« …le facteur peur doit reculer. Cette idée que je ne veux pas vous donner quelque chose que je ne sais même pas que j’ai est presque au point de devenir ridicule. Faisons preuve de bon sens ».

Le Dr James Meehan, médecin, a ensuite averti que le port du masque comporte « des risques bien connus » qui ont été bien étudiés et qui ne sont pas abordés dans l’analyse des risques.

« Je vois des patients qui ont des éruptions faciales, des infections fongiques, des infections bactériennes. Les rapports de mes collègues, dans le monde entier, suggèrent que les pneumonies bactériennes sont en augmentation.

« Pourquoi cela pourrait-il être le cas ? Parce que des membres du public non formés portent des masques médicaux, de manière répétée… de façon non stérile… Ils sont en train d’être contaminés. Ils les retirent de leur siège de voiture, du rétroviseur, de leur poche, de leur comptoir, et ils réappliquent un masque qui devrait être porté frais et stérile à chaque fois. »

Le Dr Meehan ajoute :

« De nouvelles recherches montrent que les masques en tissu pourraient augmenter l’aérosolisation du virus du SRAS-COV-2 dans l’environnement, entraînant une transmission accrue de la maladie… »

En conclusion, le Dr Meehan déclare :

« En février et mars, on nous a dit de ne pas porter de masque. Qu’est-ce qui a changé ? La science n’a pas changé. La politique a changé. C’est une question de conformité. Ce n’est pas une question de science… Notre opposition utilise des études d’observation rétrospectives de bas niveau qui ne devraient pas servir de base à une décision médicale de cette nature ».

source : https://www.mondialisation.ca

 

 

 

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16/11/2020 | Lien permanent

Vidéo : Ukraine : Quand Obama nargue Poutine qu'elle est l'attitude de Poutine à son égard ?

Regardez comment Obama nargue Poutine en riant et quel est le regard grave et noir, et l’attitude nerveuse adoptée par Poutine face à Obama.

 
L'entrevue tant attendue a finalement bien eu lieu, entre Barack Obama et Vladimir Poutine, ce 4 juin, lors des cérémonies. 

Est-ce l'attitude d'une personne qui se dégonfle devant Obama ? 

Poutine et Obama.jpg

Cliquez sur le lien pour voir la vidéo et activez le son

https://vine.co/v/MD5Lu5LKvrT/embed

 

 

 

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07/06/2014 | Lien permanent

Vladimir Poutine, le grain de sable dans la machinerie du Nouvel Ordre Mondial + L'espoir Poutine Par Yvan Blot

Sans doute qu'encore une fois, comme la Russie l'a déjà fait durant la seconde guerre mondiale, Poutine nous sauvera des Nazis et du Nouvel Ordre Mondial !

Vladimir Poutine, le grain de sable dans la machinerie du Nouvel Ordre Mondial

Conférence de Philippe Ploncard d'Assac, du samedi 14 mars 2015 à Paris


 

L'espoir Poutine Par Yvan Blot

http://cameroonvoice.com/news/article-news-14426.html

Une bonne leçon de morale pour nos politicards, VRP des banskters internationaux promoteurs du Nouvel Ordre Mondial !

 

Ukraine : un revers majeur transformé en victoire tactique pour Poutine

tsar-poutine

Le 6 mars 2014
 

Nos politicards nous font honte, leur tsar inspire crainte et respect : qui est le mieux loti ?

 

Les pays de l’OTAN, habitués à agir en toute impunité depuis la fin de l’URSS, se sont trouvés fort dépourvus lorsque l’armée russe pénétra en Ossétie du Sud. C’était la première fois depuis vingt ans que l’ancien empire sortait de chez lui pour s’opposer directement aux projets américains. Si nous avions eu un tant soit peu de jugeote, nous aurions vite compris que les choses avaient changé. Pourtant, après la Libye, nous avons osé récidiver en Syrie où, soutenant matériellement et diplomatiquement nos ennemis mortels, nous nous préparions à attaquer le régime de Bachar el-Assad sous le prétexte ridicule et éculé qu’il serait en possession d’armes chimiques. Qu’à cela ne tienne, Poutine prit les Américains à leur propre jeu en faisant publiquement démanteler par Assad son arsenal. L’idée était d’une simplicité enfantine mais il fallait y penser et surtout pouvoir se le permettre. Sans menacer le moins du monde l’Occident, il a éteint son

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11/03/2014 | Lien permanent

Obama à Poutine : le référendum en Crimée « ne sera jamais reconnu »

Et les menaces des pantins continuent contre Poutine et la Russie !

On rigole, d'après Obama ce référendum serait contraire à la constitution Ukrainienne !

Ah bon ? Et les groupuscules nazis qui ont fomenté le coup d'état contre l'ancien président Ukrainien ont-ils respecté la constitution ?


Nous faisons le pari que non seulement Poutine annexera la Crimée mais qu'il essaiera de prendre l'Ukraine aussi, ce afin d'éviter qu'elle ne rentre pas dans l'UE et qu'elle soit placée sous la tutelle du FMI et de l'OTAN, qui n'hésitera pas à placer son bouclier anti-missiles aux portes de la Russie. De plus l'Ukraine est l'un des pays de transit du gaz russe vers l'Europe et gaz sur lequel  l'Allemagne et ses alliés corrompus de l'occident, n'hésiteront pas à faire main base, comme ils l'ont déjà fait sur l'or Ukrainien.

Petropolitik : la crise ukrainienne expliquée par les enjeux énergétiques

N'oublions pas que l'Ukraine occupe une position stratégique entre la Russie et l'Europe, en partie pour le transit du gaz russe vers l'Union européenne.


Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/petropolitik-crise-ukr...

 

 

Petropolitik : la crise ukrainienne expliquée par les enjeux énergétiques

N'oublions pas que l'Ukraine occupe une position stratégique entre la Russie et l'Europe, en partie pour le transit du gaz russe vers l'Union européenne.


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Petropolitik : la crise ukrainienne expliquée par les enjeux énergétiques

N'oublions pas que l'Ukraine occupe une position stratégique entre la Russie et l'Europe, en partie pour le transit du gaz russe vers l'Union européenne.


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Obama à Poutine : le référendum en Crimée « ne sera jamais reconnu »

 

Le Monde.fr avec AFP | 16.03.2014 à 19h01 • Mis à jour le 17.03.2014 à 00h13

 

Vladmir Poutine et Barack Obama, le 17 juin 2013 à Enniskillen, en Irlande du Nord.

 

Les pays occidentaux ont condamné le référendum organisé en Crimée dimanche 16 mars, au cours duquel 95 % des habitants ont exprimé leur souhait de rejoindre la Russie selon les premiers résultats officiels. 

 

Lire : Les Criméens plébiscitent le rattachement à la Russie

 

Dès la fermeture des bureaux de vote et l'annonce de ce plébiscite, des milliers de personnes sont descendues dans les rues de Simferopol et de Sébastopol, agitant des drapeaux russes pour fêter cette victoire jouée d'avance. Le Parlement de Crimée a annoncé qu'il allait demander lundi son rattachement à la Russie.

 

Pendant ce temps-là, les Etats-Unis ont officiellement rejeté un scrutin « contraire à la Constitution ukrainienne », organisé « sous des menaces de violences » de la part de la Russie, selon la Maison Blanche. « Les actes de la Russie sont dangereux et déstabilisants », a détaillé la présidence américaine dans un communiqué. 

 

ENTRETIEN ENTRE OBAMA ET POUTINE

 

Le président américain Barack Obama s'est entretenu dimanche soir au téléphone avec son homologue russe, Vladimir Poutine. Barack Obama a « insisté sur le fait que les actes de la Russie constituaient une violation de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de l'Ukraine et que, en coordination avec nos partenaires européens, nous sommes prêts à imposer des coûts additionnels à la Russie pour ses actions », a rapporté la Maison Blanche.

 

« Le président Obama a souligné que le 'référendum' en Crimée, qui violait la Constitution ukrainienne et survenait sous la contrainte de l'intervention militaire russe, ne serait jamais reconnu par les Etats-Unis et la communauté internationale », a encore indiqué la Maison Blanche

  • Crimée : Moscou met son veto à une résolution de l’ONU

    Pas de surprise au Conseil de sécurité de l’ONU ce samedi autour du projet de résolution précisant que le référendum prévu en Crimée n’a “aucune validité”. Fort de son droit de veto en tant que membre permanent, la Russie, a bien sûr empêché l’adoption du texte, mais elle s’est vue isolée. Même la Chine, qui s’allie souvent à la Russie au Conseil de sécurité, n’a pas voté contre. Elle s’est abstenue. L’ambassadeur chinois a expliqué que son pays avait toujours respecté la souveraineté et l’intégrité territoriale des États”. Le projet de résolution américain était co-parrainé par une trentaine de nations, dont des pays européens et le Japon. Avec AFP

    0:47

 

Obama a également déclaré au président russe que la crise pouvait encore être résolue par la voie diplomatique, à condition que l'armée russe cesse ses « incursions » en Ukraine. Au téléphone, Vladimir Poutine a de son coté défendu un référendum « pleinement conforme au droit international ».

 

SANCTIONS CIBLÉES DÉCIDÉES À BRUXELLES

 

L'Union européenne a officiellement condamné dimanche le scrutin, le jugeant « illégal et illégitime », confirmant que des sanctions seraient décidées lundi. « Le résultat [du vote] ne sera pas reconnu », ont déclaré les présidents du Conseil européen et de la Commission, Herman Van Rompuy et José Manuel Barroso, dans un communiqué commun.

 

Laurent Fabius, chef de la diplomatie française a dénoncé un vote « illégal ». « La France appelle la Fédération de Russie à prendre immédiatement des mesures qui permettent d'éviter une escalade inutile et dangereuse en Ukraine », a-t-il ajouté. La Grande-Bretagne a condamné un scrutin qu'elle qualifie de « farce de la pratique démocratique ». L'Italie a, elle, tenu à réaffirmer que « tous les canaux diplomatiques restent ouverts » à condition que « la Russie » « n'annexe pas la Crimée »

 

Les ministres des affaires étrangères se réuniront lundi et devraient s'entendre sur des sanctions ciblées, sous forme de gels d'avoirs et restrictions de visas, si la Russie n'engage pas rapidement une « désescalade » de la tension. Les ambassadeurs des 28 auprès de l'UE devaient se réunir dimanche en fin d'après-midi pour établir une liste de responsables russes et ukrainiens pro-russes visés par ces sanctions. Cette liste ne sera pas dévoilée avant la tenue de la réunion des ministres, lundi à 9 h 30.

 

Lire aussi notre éclairage : Les Vingt-Huit finalisent leur riposte au coup de force de Moscou en Crimée

 

Tous les pays européens ne sont pas convaincus de l'opportunité de ces sanctions. La Bulgarie notamment a exprimé ses réticences. « Avec quelques autres pays de l'Union européenne (UE), nous sommes parmi les moins intéressés par des sanctions », a déclaré le chef du gouvernement bulgare.

 

Pays voisin, la Roumanie s'est montrée très inquiète par la tournure du vote en Crimée. « Si nous acceptions un tel précédent, basé sur une intervention armée, les frontières en Europe et dans cette région voleraient en éclat », a déclaré le chef de la diplomatie roumaine, Titus Corlatean, dont le pays est voisin de l'Ukraine. « Nous avons le devoir d'être très fermes face à la Russie ».

 

RENFORCER LA PRÉSENCE DE L'OSCE

 

La chancelière allemande Angela Merkel s'est entretenue dans la journée par téléphone avec son homologue russe Vladimir Poutine, à la demande de l'Allemagne. « Un échange constructif d'opinions a eu lieu au sujet de l'envoi possible en Ukraine d'une mission massive de l'OSCE [Organisation pour la séxcurité et la coopération en Europe] pour observer la situation », a rapporté le Kremlin. Depuis Berlin, la chancellerie a expliqué que Mme Merkel a proposé « que la présence actuelle de l'OSCE en Ukraine soit élargie rapidement et qu'un nombre plus important d'observateurs soient envoyés sur les points chauds, notamment à l'est du pays. Une telle décision devrait être adoptée avec une majorité aussi large que possible lors de la réunion du conseil permanent de l'OSCE à Vienne » qui se tient lundi.

 

 

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17/03/2014 | Lien permanent

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