Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

17/03/2014

Obama à Poutine : le référendum en Crimée « ne sera jamais reconnu »

Et les menaces des pantins continuent contre Poutine et la Russie !

On rigole, d'après Obama ce référendum serait contraire à la constitution Ukrainienne !

Ah bon ? Et les groupuscules nazis qui ont fomenté le coup d'état contre l'ancien président Ukrainien ont-ils respecté la constitution ?


Nous faisons le pari que non seulement Poutine annexera la Crimée mais qu'il essaiera de prendre l'Ukraine aussi, ce afin d'éviter qu'elle ne rentre pas dans l'UE et qu'elle soit placée sous la tutelle du FMI et de l'OTAN, qui n'hésitera pas à placer son bouclier anti-missiles aux portes de la Russie. De plus l'Ukraine est l'un des pays de transit du gaz russe vers l'Europe et gaz sur lequel  l'Allemagne et ses alliés corrompus de l'occident, n'hésiteront pas à faire main base, comme ils l'ont déjà fait sur l'or Ukrainien.

Petropolitik : la crise ukrainienne expliquée par les enjeux énergétiques

N'oublions pas que l'Ukraine occupe une position stratégique entre la Russie et l'Europe, en partie pour le transit du gaz russe vers l'Union européenne.


Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/petropolitik-crise-ukr...

 

 

Petropolitik : la crise ukrainienne expliquée par les enjeux énergétiques

N'oublions pas que l'Ukraine occupe une position stratégique entre la Russie et l'Europe, en partie pour le transit du gaz russe vers l'Union européenne.


Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/petropolitik-crise-ukr...
 

Petropolitik : la crise ukrainienne expliquée par les enjeux énergétiques

N'oublions pas que l'Ukraine occupe une position stratégique entre la Russie et l'Europe, en partie pour le transit du gaz russe vers l'Union européenne.


Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/petropolitik-crise-ukr...

 

Obama à Poutine : le référendum en Crimée « ne sera jamais reconnu »

 

Le Monde.fr avec AFP | 16.03.2014 à 19h01 • Mis à jour le 17.03.2014 à 00h13

 

Vladmir Poutine et Barack Obama, le 17 juin 2013 à Enniskillen, en Irlande du Nord.

 

Les pays occidentaux ont condamné le référendum organisé en Crimée dimanche 16 mars, au cours duquel 95 % des habitants ont exprimé leur souhait de rejoindre la Russie selon les premiers résultats officiels. 

 

Lire : Les Criméens plébiscitent le rattachement à la Russie

 

Dès la fermeture des bureaux de vote et l'annonce de ce plébiscite, des milliers de personnes sont descendues dans les rues de Simferopol et de Sébastopol, agitant des drapeaux russes pour fêter cette victoire jouée d'avance. Le Parlement de Crimée a annoncé qu'il allait demander lundi son rattachement à la Russie.

 

Pendant ce temps-là, les Etats-Unis ont officiellement rejeté un scrutin « contraire à la Constitution ukrainienne », organisé « sous des menaces de violences » de la part de la Russie, selon la Maison Blanche. « Les actes de la Russie sont dangereux et déstabilisants », a détaillé la présidence américaine dans un communiqué. 

 

ENTRETIEN ENTRE OBAMA ET POUTINE

 

Le président américain Barack Obama s'est entretenu dimanche soir au téléphone avec son homologue russe, Vladimir Poutine. Barack Obama a « insisté sur le fait que les actes de la Russie constituaient une violation de la souveraineté et de l'intégrité territoriale de l'Ukraine et que, en coordination avec nos partenaires européens, nous sommes prêts à imposer des coûts additionnels à la Russie pour ses actions », a rapporté la Maison Blanche.

 

« Le président Obama a souligné que le 'référendum' en Crimée, qui violait la Constitution ukrainienne et survenait sous la contrainte de l'intervention militaire russe, ne serait jamais reconnu par les Etats-Unis et la communauté internationale », a encore indiqué la Maison Blanche

  • Crimée : Moscou met son veto à une résolution de l’ONU

    Pas de surprise au Conseil de sécurité de l’ONU ce samedi autour du projet de résolution précisant que le référendum prévu en Crimée n’a “aucune validité”. Fort de son droit de veto en tant que membre permanent, la Russie, a bien sûr empêché l’adoption du texte, mais elle s’est vue isolée. Même la Chine, qui s’allie souvent à la Russie au Conseil de sécurité, n’a pas voté contre. Elle s’est abstenue. L’ambassadeur chinois a expliqué que son pays avait toujours respecté la souveraineté et l’intégrité territoriale des États”. Le projet de résolution américain était co-parrainé par une trentaine de nations, dont des pays européens et le Japon. Avec AFP

    0:47

 

Obama a également déclaré au président russe que la crise pouvait encore être résolue par la voie diplomatique, à condition que l'armée russe cesse ses « incursions » en Ukraine. Au téléphone, Vladimir Poutine a de son coté défendu un référendum « pleinement conforme au droit international ».

 

SANCTIONS CIBLÉES DÉCIDÉES À BRUXELLES

 

L'Union européenne a officiellement condamné dimanche le scrutin, le jugeant « illégal et illégitime », confirmant que des sanctions seraient décidées lundi. « Le résultat [du vote] ne sera pas reconnu », ont déclaré les présidents du Conseil européen et de la Commission, Herman Van Rompuy et José Manuel Barroso, dans un communiqué commun.

 

Laurent Fabius, chef de la diplomatie française a dénoncé un vote « illégal ». « La France appelle la Fédération de Russie à prendre immédiatement des mesures qui permettent d'éviter une escalade inutile et dangereuse en Ukraine », a-t-il ajouté. La Grande-Bretagne a condamné un scrutin qu'elle qualifie de « farce de la pratique démocratique ». L'Italie a, elle, tenu à réaffirmer que « tous les canaux diplomatiques restent ouverts » à condition que « la Russie » « n'annexe pas la Crimée »

 

Les ministres des affaires étrangères se réuniront lundi et devraient s'entendre sur des sanctions ciblées, sous forme de gels d'avoirs et restrictions de visas, si la Russie n'engage pas rapidement une « désescalade » de la tension. Les ambassadeurs des 28 auprès de l'UE devaient se réunir dimanche en fin d'après-midi pour établir une liste de responsables russes et ukrainiens pro-russes visés par ces sanctions. Cette liste ne sera pas dévoilée avant la tenue de la réunion des ministres, lundi à 9 h 30.

 

Lire aussi notre éclairage : Les Vingt-Huit finalisent leur riposte au coup de force de Moscou en Crimée

 

Tous les pays européens ne sont pas convaincus de l'opportunité de ces sanctions. La Bulgarie notamment a exprimé ses réticences. « Avec quelques autres pays de l'Union européenne (UE), nous sommes parmi les moins intéressés par des sanctions », a déclaré le chef du gouvernement bulgare.

 

Pays voisin, la Roumanie s'est montrée très inquiète par la tournure du vote en Crimée. « Si nous acceptions un tel précédent, basé sur une intervention armée, les frontières en Europe et dans cette région voleraient en éclat », a déclaré le chef de la diplomatie roumaine, Titus Corlatean, dont le pays est voisin de l'Ukraine. « Nous avons le devoir d'être très fermes face à la Russie ».

 

RENFORCER LA PRÉSENCE DE L'OSCE

 

La chancelière allemande Angela Merkel s'est entretenue dans la journée par téléphone avec son homologue russe Vladimir Poutine, à la demande de l'Allemagne. « Un échange constructif d'opinions a eu lieu au sujet de l'envoi possible en Ukraine d'une mission massive de l'OSCE [Organisation pour la séxcurité et la coopération en Europe] pour observer la situation », a rapporté le Kremlin. Depuis Berlin, la chancellerie a expliqué que Mme Merkel a proposé « que la présence actuelle de l'OSCE en Ukraine soit élargie rapidement et qu'un nombre plus important d'observateurs soient envoyés sur les points chauds, notamment à l'est du pays. Une telle décision devrait être adoptée avec une majorité aussi large que possible lors de la réunion du conseil permanent de l'OSCE à Vienne » qui se tient lundi.

 

 

Les commentaires sont fermés.