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Rechercher : Hitler et les ovnis

Illuminati : Coïncides ? A vous de juger !

Nous transmettons un message reçu de la part d'Isabelle, webmaster du site "Conscience du Peuple" qui nous semble très intéressant et qui mérite d'attirer notre attention sur les évènements en cours et à ceux possibles à venir.  Les scénarios décrits ne vous font-ils pas penser au projet Blue Beam révélé par le journaliste Serge MONAST avant son assassinat ?

Nous savons que les ILLUMINATI-Reptiliens, suivent des plans longtemps établis par avance et que les films peuvent leur servir de codes entre eux pour déclencher leurs plans machiavéliques à des périodes données, et que le Nouvel Ordre Mondial ne pourra être instauré selon eux, qu'après avoir provoqué une période de chaos sur la planète. La population mondiale ayant été provoquée  ainsi à réclamer elle-même l'instauration du Nouvel ordre Mondial.  Rien n'arrive en politique qui n'ait été préparé par avance.

Dans la même série des coïncidences nous sommes amenés à nous interroger sur l'éruption du volcan Islandais et sur son origine naturelle. Les élites pouvant avoir utilisé le réseau Haarp pour déclencher des cataclysmes, tremblements de terre, tsunami, modifications du climat, éruptions volcaniques, etc... Nous rappelons qu'une formation d'Ovnis a été aperçue dans les cendres du volcan en éruption, comme certains ont  mis des vidéos sur le net, des attentats du 11/09/2001 aux USA qui rapportent que des Ovnis avaient été vus lors des attentats à New York.

Les questions sont donc celles de savoir si ces cataclysmes et l'explosion de la plateforme pétrolière au Mexique sont d'origine naturelle ou accidentelle ou pas, et si les OVnis dont il est question sont des Ovnis d'origine terrestre ou extraterrestre. Nous savons que des Ovnis sont fabriqués dans la base secrète de l'Aréa 51 aux USA, dans le Nevada, et qu'Hitler bénéficiait déjà de la technologie UFO/Ovnis, les Ovnis d'Hitler étant connus.

Par ailleurs, le Dr Steven Greer qui milite aux USA pour la levée du secret sur l'existence des ET et des Ovnis et pour la révélation sur les énergies libres et propres détenues au secret par la Nasa, depuis 60 ans, nous a avertis que les élites pourraient nous faire croire dans un prochain temps à une attaque des extraterrestres. Voir les révélations du Dr Steven Greer : Cosmic déception qui collent aussi avec le Projet Blue Beam.

Nous avons retenu que durant l'éruption volcanique du volcan Islandais et le black out imposé sur l'espace aérien européen,  les avions militaires de l'Otan ont fait des manoeuvres pour tester le bouclier anti-missiles sur l'Europe alors que l'espace aérien des pays de l'Est n'a pas été fermé à la circulation des avions. Le bouclier anti-missiles ne concernant que l'espace Européen contre lequel la Russie s'est opposée.

La question est donc elle de savoir si les Illuminati qui dirigent les armées de l'OTAN, ne nous ont pas mis un bouclier magnétique, "la grille",  durant leurs dernières manoeuvres aériennes pour mettre en place une partie du plan du projet Blue Beam et nous faire croire prochainement à une attaque extraterrestre ? Ce, dans la mesure où nous savons que tout est déjà prêt dans l'espace par le biais des satellites.

A vous de vous forger votre propre opinion, et de méditer sur tout cela. Ne serions-nous pas les témoins actuellement du déroulement de leurs plans sous nos yeux ?


Le message d'Isabelle ci-dessous :

*********************************************************************

Bonsoir,

D'emblée, je peux vous dire que ce que j'ai découvert dans les dernières heures est assez percutant merci!  Je vous invite donc à lire jusqu'à la fin pour ne pas manquer la cible...

Question de tout de suite garder votre attention, voici une coincidence des plus étonnantes, même que c'est à couper le souffle!

Le film "Prédictions" avec l'acteur Nicolas Cage nous montre une scène où il écoute le téléjournal de fin de soirée.  La nouvelle du jour montre l'explosion d'une plate-forme pétrolifère dans le Golfe du Mexique où s'écoule une quantité phénoménale de pétrole...

Vous ne me croyez pas?  Voyez l'extrait précis du film:

http://www.youtube.com/watch?v=ZQur_rsnc0o


Quelqu'un a-t-il une explication?  Une coincidence?  Le film est sorti en 2008...

Depuis quelques heures, j'étudie un "diaporama" que l'on trouve sur le site du très réputé journal TELEGRAPH (Angleterre).  En fait, il semble que ce diaporama est la réplique d'une bande dessinée se trouvait dans le journal l'an passé et qui porte le titre: "Opération Blackjack".

L'histoire élaborée tout au long du diaporama raconte une attaque terroriste où des grandes villes (dont Toronto)sont attaquées au nucléaire.  La date concertée pour ces attaques ("false flag") est le 22 juin 2010.  La date n'est pas l'élément sur lequel je veux attirer votre attention, ça reste une fiction bien sûr!

Ce qui devient intéressant, c'est de constater que ces attaques terroristes, dans le scénario de l'histoire toujours, provoquent une série de mesures d'urgence: la loi martiale est déclarée, les gens fuient les grandes villes, la nourriture manque dans les magasins, l'essence est rare et très coûteuse, etc.  C'est le chaos à tous les niveaux et les autorités mondiales (UNA) entrent en guerre contre les pays complices avec Al Qaida, le responsable des attentats.

Le gouvernement mondial fait son apparition en prenant le contrôle de la planète.  L'Union Nord Américaine est créée, sa monnaie ainsi que toutes les infrastructures nécessaires pour la gouvernance du Canada/USA/Mexique.  Tous les citoyens doivent posséder une carte d'identé nationale et nul ne peut participer au système financier et commercial sans cette carte.  Les résistants sont envoyés en prison...  Tous les citoyens doivent recevoir une vaccination obligatoire où ils recevront "protection" contre toute attaque bactériologique ou chimique.  Une micro-puce sera installée sur tous les humains dans ce même contexte de santé publique (voir page 1001 de la loi surla santé d'Obama).  Les résistants à cette mesure seront détenus...

Là où le mystère rôde encore plus, c'est le code hexadécimal qui se trouve sur ce qui est la carte d'identité nationale.  On y voit une série de chiffres et de lettres mélangés qui évoquent les numéros que l'on retrouve sur nos cartes de crédit ou toutes autres cartes.  Nous ne portons donc pas attention.  Cependant, si vous allez sur un convertisseur de codes hexadécimaux, que vous entrez tous les chiffres/lettres de la série, vous trouverez un message bien clair et plutôt étonnant...

Quoi penser de tout cela?  Je ne sais pas.  Toutefois, je dois dire que le diaporama que l'on retrouve sur le site du journal Telegraph expose un scénario potentiel pour justifier l'avènement d'un gouvernement mondial officiel et définitif.  En fait, la graduation des mesures mises en place, dans le récit, correspond aux prévisions de très nombreux analystes.  Je dirais même qu'elles coincident avec  plusieurs évènements prophétisés dans l'Apocalypse...

Une analyse en français de ce diaporama sera faite dans les prochains jours et elle sera disponible sur youtube. Le but n'est pas de tenter de découvrir si les grandes villes seront attaquées au nucléaire le 22 juin prochain, c'est impossible à prévoir. 
Par contre, les stratégies élaborées pour amener une dictature mondiale dans notre monde sont quant à elles, très révélatrices et méritent toute notre attention.

À quoi bon étudier ce genre de fiction?  C'est qu'elle côtoit étrangement la réalité qui se déroule actuellement sous nos yeux.
Plus que jamais, nous sommes dans "l'oeil du cyclone" et les vents dominants ne soufflent pas en notre faveur (quiétude, confort, sécurité).  Je ne souhaite pas vous causer plus d'angoisses dans votre vie, mais devant une situation obligée, vaut mieux être informés et bien préparés. Ce diaporama pourrait très bien servir à la réflexion et à la mise en action au temps approprié...

Voici mes sources:

Journal TELEGRAPH où vous pourrez voir le diaporama en question:
http://clicks.aweber.com/y/ct/?l=Ia5hV&m=I.gFt1GD_cDV...

Dans la partie 5, à la 5ème image, vous trouverez la carte d'identité nationale où est inscrit le code hexadécimal.  Voici ce code à inscrire dans le convertisseur (le même que sur la carte):


74686973206973206e6f742073696d706c7920656e7465727461696e6d656e74


Voici le convertisseur:
http://clicks.aweber.com/y/ct/?l=Ia5hV&m=I.gFt1GD_cDV...

J'arrête ici pour ce soir parce que les nouvelles entrent comme une marée de pétrole!!!

En passant, la réunion des "Bilderberg" a lieu en ce moment en Grèce, quelques jours avant le G20.  Les bandits sont tous réunis!

La cigale ou la fourmi?


Isabelle
webmaster@consciencedupeuple.com

Blog concernant le plan et les stratégies de l'élite mondiale pour instaurer un Nouvel Ordre Mondial:
http://consciencedupeuple2007.blog.mongenie.com/

Blog concernant les dangers scientifiquement prouvés des vaccins:
http://vaccinh1n1.blog.mongenie.com/

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05/06/2010 | Lien permanent

USA : Des attentats en préparation par le Gouvernement US ?

Obama se sent menacé par les défenseurs de la constitution
L’ancien candidat présidentiel Alan Keyes déclare que le gouvernement créera un attentat terroriste et après, il décrétera la Loi martiale
C'est ce qui nous attend aussi sans doute, dès lors que les Policiers à la retraite ont été rappelés et sont déjà en cours d'affectation.
On crée les émeutes de toutes pièces et on instaure la Loi martiale ce que le traité liberticide de Lisbonne les autorise à faire et qui a restauré la peine de mort tout en leur permettant d'instaurer la Loi Martiale. Le premier pas vers l'instauration du Nouvel Ordre Mondial.
Soyons vigilants à toutes leurs manoeuvres.
 

CNN : infos du 23/04

Montée des "groupes extremistes" au US, qui tenteraient de recruter les militaires US de retour d Irak, qui se retrouvent sans travail, voir sans maison a cause de la crise...
Les services secret d Obama, prétendent à une menace pour le gouvernement de la part des groupes patriotiques et les montées extrémistes.

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Aussi :
L’ancien candidat présidentiel Alan Keyes déclare que le gouvernement créera un attentat terroriste et après, il décrétera la loi martiale

L’ancien candidat à la présidence Alan Keyes a probablement lancé son plus effroyable avertissement en déclarant que l’administration Obama se prépare à créer des attaques terroristes, à déclarer la loi martiale et à annuler les élections de 2012, toutes des raisons pour lesquelles ils diabolisent leurs ennemis politiques en criminels et en terroristes.

Alan Keyes est surtout connu pour ses performances lors des débats présidentiels républicains de l’an 2000, au cours desquels il fut déclaré grand vainqueur par plusieurs médias suite à une série de débats avec George W. Bush et John McCain.

« Il est évident qu'ils ne reculeront devant rien » a déclaré Keyes lors de sa participation à une réception à Fort Wayne. Il a également ajouté: « Nous pourrions nous réveiller un jour au beau milieu d’une série d'attentats terroristes, [et] l'économie sera paralysée ... la loi martiale sera décrétée partout aux États-Unis et elle ne sera levée qu’au moment où la crise prendra fin. »

Keyes a déclaré que les états-uniens devront être reconnaissants si jamais une autre élection devait avoir lieu en 2012. Il a aussi ajouté: « Si on ne se réveille pas et si l’on ne fait pas les efforts pour voir ce qui est en train de se produire, [alors] nous ne verrons pas d’autres élections. »

« Les quelques temps qu’il reste où ils croient encore qu’ils peuvent s’en tirer à bon compte, ils vont s’en servir et mettre fin à ce système de gouvernement et c’est leur intention », a ajouté Keyes, tout en notant que tout le monde agit comme si l’époque actuelle était « quelque chose d’ordinaire », ce qui lui rappelle l'attitude des hommes politiques dans la République de Weimar lorsque Hitler prenait le pouvoir ou encore, lorsque le communisme prenait le pouvoir en Europe de l’est aux lendemains de la Deuxième Guerre mondiale.

Keyes a dit qu’étant donné que la majorité des gens sont sains d'esprit, la population croit que les autres [les dirigeants] vont respecter les règles du jeu alors que ce n’est tout simplement pas le cas, et il a ajouté que cette attitude permettra « aux forces du mal » de prendre le contrôle bien avant que nous n’ayons eu le temps de faire quoique ce soit.

« Il est tellement clair que nous avons maintenant une faction en place - ils ne jouent pas selon les règles du jeu et ils n'ont pas non plus l'intention de jouer selon les règles – car s’ils respectaient les règles du jeu, ils n'auraient pas cherché à discriminer leurs opposants », a ajouté Keyes, en faisant référence à la récente controverse entourant la sortie des rapports de la MIAC et de la Homeland Security (la Sécurité intérieure), qui sous-tendent que les états-uniens qui exercent leurs droits constitutionnels et qui sont bien informés de leurs droits représentent une menace à l'application de la « Loi nationale sur le maintien de l’ordre et les terroristes potentiels ».

Keyes a déclaré que l’unique solution doit venir de la base, car nos dirigeants « sont des poltrons qui ne demanderont jamais que la Constitution soit renforcée afin qu’elle soit claire, simple, et sans équivoques », et qu’ils répondent humblement avec « leurs lèvres fermées et leurs cœurs terrorisés. »

Keyes a également mis en garde que l’agenda d’Obama prévoit la création d’une force de sécurité civile et il a ajouté que tout cela faisait partie de l'ultime agenda visant à désarmer les citoyens états-uniens et à créer un État policier.

Keyes a toujours été un ardent critique d’Obama, en spécifiant qu'il est un Communiste radical et qu’il est déterminé à détruire les États-Unis et que si ses plans ne sont pas arrêtés, alors le pays que nous connaissons cessera d'exister..

Alan Keyes "Le gouvernement créera un attentat terroriste "
Vidéo :
http://www.dailymotion.com/video/x92sl1_alan-keyes-le-gouvernement-creera-u_news

 
L’ancien candidat présidentiel Alan Keyes déclare que le gouvernement créera un attentat terroriste et après, il décrétera la Loi martiale. L’ancien candidat présidentiel donne des avertissements très terrifiants concernant l’agenda d’Obama



L’ancien candidat présidentiel Alan Keyes déclare que le gouvernement créera un attentat terroriste et après, il décrétera la loi martiale
L’ancien candidat à la présidence Alan Keyes a probablement lancé son plus effroyable avertissement en déclarant que l’administration Obama se prépare à créer des attaques terroristes, à déclarer la loi martiale et à annuler les élections de 2012, toutes des raisons pour lesquelles ils diabolisent leurs ennemis politiques en criminels et en terroristes.

Alan Keyes est surtout connu pour ses performances lors des débats présidentiels républicains de l’an 2000, au cours desquels il fut déclaré grand vainqueur par plusieurs médias suite à une série de débats avec George W. Bush et John McCain.

« Il est évident qu'ils ne reculeront devant rien » a déclaré Keyes lors de sa participation à une réception à Fort Wayne. Il a également ajouté: « Nous pourrions nous réveiller un jour au beau milieu d’une série d'attentats terroristes, [et] l'économie sera paralysée ... la loi martiale sera décrétée partout aux États-Unis et elle ne sera levée qu’au moment où la crise prendra fin. »

Keyes a déclaré que les états-uniens devront être reconnaissants si jamais une autre élection devait avoir lieu en 2012. Il a aussi ajouté: « Si on ne se réveille pas et si l’on ne fait pas les efforts pour voir ce qui est en train de se produire, [alors] nous ne verrons pas d’autres élections. »

« Les quelques temps qu’il reste où ils croient encore qu’ils peuvent s’en tirer à bon compte, ils vont s’en servir et mettre fin à ce système de gouvernement et c’est leur intention », a ajouté Keyes, tout en notant que tout le monde agit comme si l’époque actuelle était « quelque chose d’ordinaire », ce qui lui rappelle l'attitude des hommes politiques dans la République de Weimar lorsque Hitler prenait le pouvoir ou encore, lorsque le communisme prenait le pouvoir en Europe de l’est aux lendemains de la Deuxième Guerre mondiale.

Keyes a dit qu’étant donné que la majorité des gens sont sains d'esprit, la population croit que les autres [les dirigeants] vont respecter les règles du jeu alors que ce n’est tout simplement pas le cas, et il a ajouté que cette attitude permettra « aux forces du mal » de prendre le contrôle bien avant que nous n’ayons eu le temps de faire quoique ce soit.

« Il est tellement clair que nous avons maintenant une faction en place - ils ne jouent pas selon les règles du jeu et ils n'ont pas non plus l'intention de jouer selon les règles – car s’ils respectaient les règles du jeu, ils n'auraient pas cherché à discriminer leurs opposants », a ajouté Keyes, en faisant référence à la récente controverse entourant la sortie des rapports de la MIAC et de la Homeland Security (la Sécurité intérieure), qui sous-tendent que les états-uniens qui exercent leurs droits constitutionnels et qui sont bien informés de leurs droits représentent une menace à l'application de la « Loi nationale sur le maintien de l’ordre et les terroristes potentiels ».

Keyes a déclaré que l’unique solution doit venir de la base, car nos dirigeants « sont des poltrons qui ne demanderont jamais que la Constitution soit renforcée afin qu’elle soit claire, simple, et sans équivoques », et qu’ils répondent humblement avec « leurs lèvres fermées et leurs cœurs terrorisés. »

Keyes a également mis en garde que l’agenda d’Obama prévoit la création d’une force de sécurité civile et il a ajouté que tout cela faisait partie de l'ultime agenda visant à désarmer les citoyens états-uniens et à créer un État policier.

Keyes a toujours été un ardent critique d’Obama, en spécifiant qu'il est un Communiste radical et qu’il est déterminé à détruire les États-Unis et que si ses plans ne sont pas arrêtés, alors le pays que nous connaissons cessera d'exister.

Traduction libre de Dany Quirion pour
Alter Info

Source :
http://www.prisonplanet.com/alan-keys-government-will-stage-terror-declare-martial-law.html

Source : http://www.alterinfo.net/L-ancien-candidat-presidentiel-Alan-Keyes-declare-que-le-gouvernement-creera-un-attentat-terroriste-et-apres,-il_a31840.html

 

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25/04/2009 | Lien permanent

Quand des Israéliens démontent le mythe sioniste

Par l'Union Juive Française pour la Paix

 

DébatsQuand des Israéliens démontent le mythe sioniste -Note de lecture

le 13/12/2008 00:54:10

 

On ne sortira pas de la fuite en avant criminelle de la politique israélienne vis-à-vis des Palestiniens sans une forme de rupture avec le sionisme. Depuis quelques années, une critique radicale émanant de diverses personnalités israéliennes s’attaque à cette idéologie. En effet en Israël, l’éducation, l’histoire, la loi, la propriété, la façon de penser, l’air qu’on respire, sont sionistes. Il est interdit de douter. Et pourtant, certain-e-s s’échappent. Ils/elles sont journalistes, écrivain-e-s, cinéastes ou historien-ne-s. Ils/elles ont parfois fait de la politique dans les partis de gauche avant de rompre. Ils/elles passent une partie de leur temps à l’étranger comme 15% de la population. Ils/elles s’appellent Amira Hass, Michel Warschawski, Ilan Pappé, Nurit Peled, Gideon Levy, Avi Mograbi, Idith Zertal …

Deux livres très différents sont sortis en 2008. Ce sont
«Vaincre Hitler» d’Avraham Burg et «Comment le peuple juif fut inventé» de Shlomo Sand (l’un et l’autre édités par Fayard). Deux livres très différents mais indispensables pour comprendre et donc pour combattre l’oppression.


Une critique radicale venue de l’intérieur.


Avraham Burg n’est pas «l’un des nôtres», ce qui a parfois indisposé des militant-e-s engagée-e-s pour
la Palestine. Il est un pur produit de l’establishment sioniste. Son père, Yossef Burg, a été le représentant du principal parti religieux dans divers gouvernements israéliens de 1951 à 1986. Il fut un des deux ministres opposés à la pendaison d’Eichmann. C’est plus tard que le Parti National Religieux est devenu un parti d’extrême droite, fer de lance des colons fanatiques. Avraham a grandi dans l’univers protégé des enfants de dirigeants. Il a été un des politiciens en vue du parti travailliste, président de l’agence Juive et président de la Knesset (le Parlement israélien). Dans le monde sioniste, les ruptures, partielles ou totales viennent souvent d’en haut à l’image de Nahum Goldman ou Théo Klein (qui ont dirigé le Congrès Juif Mondial pour l’un et le CRIF pour l’autre). Burg a brusquement rompu. Il a quitté toutes ses fonctions officielles. Il a redécouvert le judaïsme combattant pour l’émancipation. Il songe aujourd’hui à créer un grand parti de gauche qui déborde le parti travailliste et le marginalise. Expérience probablement vouée à l’échec vu l’état de la société israélienne.

Le livre de Burg fourmille de «perles» révélatrices de l’état d’esprit sinistre et cynique des dirigeants sionistes. Ainsi
Abba Eban qui fut pendant des années le ministre des affaires étrangères (et devint une «colombe» à la fin de sa vie) a déclaré en réponse à une question de l’ONU après la guerre de 1967 qu’il était hors de question qu’Israël retourne aux «frontières d’Auschwitz» (la ligne verte de 1949). Ainsi quand les troupes de Sadate attaquent sur le canal de Suez en 1973, Moshé Dayan compare cette attaque à «une destruction du troisième temple». Quand l’armée Israélienne attaque l’OLP à Beyrouth en 1982, Menachem Begin déclare : «j’ai eu le sentiment d’attaquer le bunker d’Hitler». Le même Begin dira que l’alternative à l’invasion du Liban, c’est Treblinka. Ehud Barak est tout aussi pitoyable quand il affirme lors de l’anniversaire de l’insurrection du ghetto de Varsovie : «les soldats israéliens sont arrivés 50 ans trop tard».

Burg dissèque la mentalité israélienne qui produit l’occupation et la négation de l’autre : «Israël est tombé dans le piège du destin. Nous sommes les bons et eux les ennemis ultimes. Plus l’adversaire est méchant, plus nous sommes bons». Il décrit la dérive raciste de sa société où les graffitis : «mort aux Arabes» ou «Pas d’Arabes, pas d’attentats» pullulent en toute impunité. Face à la propagande incessante qui assimile les «Arabes» aux Nazis, Burg s’interroge au contraire sur l’ancienne victime devenue bourreau : «sommes-nous totalement happés par cette effroyable ressemblance avec nos bourreaux ?»


Dans le processus qui l’a conduit à la rupture, il y a une part d’histoire familiale. La mère d’Avraham appartenait à une famille installée en Palestine depuis plusieurs générations à Hébron. En 1929, c’est la première révolte palestinienne contre la colonisation sioniste. 67 Juifs sont tués à Hébron. La mère d’Avraham fait partie des rescapé-e-s grâce à une famille palestinienne qui a caché les siens. Plus de 60 ans plus tard,
Avraham rencontre cette famille de «Justes» pour reprendre la terminologie appliquée à celles et ceux qui ont sauvé des Juifs pendant la guerre mondiale. Cet épisode et cette rencontre ont sûrement été déterminants dans son désir d’une vraie paix basée sur l’égale dignité. Comme avant lui le philosophe Yeshayahou Leibowitz qui, épouvanté par les conséquences des conquêtes de 1967, a
été le premier à parler de judéo-nazisme, Burg considère que «la mise sous tutelle de millions de personnes signifie la remise en cause de l’essence juive».
Burg est très sévère avec l’instrumentalisation du génocide nazi. Le titre du livre «Vaincre Hitler», c’est en finir avec la victimisation, avec la célébration morbide, c’est refuser l’idée que la mémoire d’un massacre puisse légitimer la conduite d’une société. Dans son livre «La Nation et la Mort», l’historienne Idith Zertal aboutit à la même constatation. Burg constate : «nous nous conduisons comme si la Shoah est notre monopole». Il remarque d’ailleurs que beaucoup d’Israéliens nient le génocide arménien de peur que celui-ci ne porte ombrage au seul génocide valable à leurs yeux : celui des Juifs. « Halte au judaïsme craintif et au sionisme paranoïaque ! » conclut-il. Toujours sur l’idée que le souvenir des génocides appartient à tout le monde pour qu’ils ne se reproduisent pas, Burg rappelle un génocide oublié, celui de la quasi-totalité du peuple Herero en Namibie, par le colonialisme allemand. Personne n’a condamné ce crime à l’époque. Un des criminels était le père de Goering.

Burg fait l’éloge de
Marek Edelman, commandant en second de l’insurrection du ghetto de Varsovie, toujours vivant, toujours bundiste et hostile à l’Etat d’Israël. Il s’élève contre toutes les tentatives de rayer Edelman de l’histoire parce qu’il est antisioniste.

Burg qui est profondément croyant propose qu’on vide la religion juive de tout texte qui pourrait être exploité à des fins de colonialisme ou de haine. Et il souhaite que les autres religions fassent de même. Vaste programme … À l’inverse des lectures intégristes des textes sacrés, il met en avant l’idée de la responsabilité de chaque être humain vis-à-vis de ses actes.



Quand Shlomo Sand dissèque la mythologie sioniste.


Sand est un historien dont la famille a fui
la Pologne. C’est un homme de gauche, étranger à la religion. Il a fait une partie de ses études à Paris avec Pierre Vidal-Naquet qui a préfacé son livre précédent : «Les mots et la terre, les intellectuels en Israël».

Dans les conférences où il présente
«Comment le peuple juif fut inventé», Sand s’excuse à l’avance du nombre de notes qui accompagnent son livre. Il sait que celui-ci, qui est déjà un best-seller en Israël, sera l’objet de très vives critiques et il tient à préciser ses sources et ses recherches.

L’idée centrale du livre de Sand est la suivante. Pour créer l’Etat d’Israël et pour l’amener dans la situation actuelle,
les sionistes ont dû tout fabriquer : une histoire, une identité, un peuple, une mentalité, des valeurs. Mais fondamentalement, tout est plus que discutable. L’histoire antique est très largement légendaire. Et surtout, il n’y a eu ni exil, ni retour : les Juifs ne sont pas massivement partis au moment de la destruction du temple par Titus. Autrement dit, les descendants des Hébreux de l’Antiquité sont essentiellement les Palestiniens. Ben Gourion lui-même a écrit (avec Ben Zvi, le futur président d’Israël) en 1918 que ces «fellahs» étaient probablement des descendants de Juifs et qu’ils s’intègreraient au projet sioniste. Il a changé d’avis après la révolte palestinienne de 1929 en se ralliant à l’idée de les expulser.

Sand explique longuement que les Juifs d’aujourd’hui sont les descendants de convertis de différentes époques.


On peut discuter sur le titre provocateur du livre de Sand. Y a-t-il oui ou non un peuple juif ? On peut discuter sur l’origine Khazar des Ashkénazes par rapport à l’hypothèse de l’origine ouest-européenne ou sur ce qu’il écrit du marxisme. Mais pour toutes celles ou ceux qui considèrent à juste titre que le sionisme est une idéologie criminelle pour les Palestiniens et suicidaire à terme pour les Israéliens, le livre de Sand est fondamental : le cœur de l’histoire telle que les sionistes la racontent (l’exil, le fait que la diaspora soit une parenthèse et que la création d’Israël permette aux Juifs de retourner dans le pays de leurs ancêtres et de reconstituer le royaume unifié),
toute cette fable est FAUSSE et sciemment inventée pour justifier un projet colonial. Et c’est un argument fondamental dans la lutte idéologique opiniâtre que nous devons mener contre les ravages du sionisme.

«C’est le nationalisme qui crée les nations et non pas l’inverse»
a écrit Ernest Gellner (un théoricien de la modernité mort en 1995). Dans le cas du sionisme, il a dû créer au départ une histoire «politiquement correcte» des Juifs.

Avant l’apparition du sionisme, des historiens juifs allemands, très inspirés par les idées «raciales» de l’époque, se mettent à imaginer que les Juifs seraient un peuple-race. Idée plus tard partagée par les Nazis avec les conséquences que l’on sait. Les concepts de races aryenne, sémite etc… sont tout aussi stupides et inexacts que dangereux.


Dans leur grande majorité, les fondateurs du sionisme n’étaient pas croyants. Certains étaient même farouchement antireligieux, considérant les rabbins comme les représentants d’une forme d’arriération. Au contraire, pendant très longtemps, les religieux orthodoxes ont été hostiles au sionisme. Encore aujourd’hui, un courant religieux comme les Nétouré Karta condamne le sionisme comme hérétique, comme porteur de l’idée (fausse à leurs yeux) que le Messie, c’est l’Etat d’Israël. C’est à partir de 1967 que le courant national-religieux, reprenant les théories du rabbin Kook, s’est rallié au sionisme et au colonialisme. Ce courant représente aujourd’hui près d’un quart de la société israélienne.


Les fondateurs du sionisme et plus tard les historiens «officiels» de l’Etat d’Israël sont allés rechercher dans la Bible tout ce qui pouvait justifier la décision, prise lors d’un congrès sioniste, de créer le «foyer» juif et plus tard «l’Etat juif».
Sur l’histoire antique, les archéologues israéliens Finkelstein et Silberman parlent de «la Bible dévoilée» quand Sand parle de «mythistoire». Ils sont d’accord sur l’essentiel. De toute façon, dans la communauté des archéologues et des historiens, il n’y a plus que des divergences de détail. La Bible diffère peu de l’Iliade et l’Odyssée. Un livre extraordinaire qui a frappé et impressionné des millions d’humains à travers les siècles. Mais une histoire largement légendaire.

Sand confirme : les épisodes de l’arrivée des Hébreux depuis
la Mésopotamie ou celui de l’entrée et la sortie d’Egypte sont inventés. Ils correspondent à la volonté des auteurs de la Bible de se donner des origines, une histoire et une raison d’être politiquement correctes. Quand le fasciste Baruch Goldstein massacre 29 Palestiniens (en 1994) dans le «caveau des patriarches» censé être le tombeau d’Abraham, la fiction devient meurtrière.

L’épisode le plus horrible de
la Bible, la conquête sanglante de Canaan par Josué, premier texte d’apologie du «nettoyage ethnique» est aussi inventé. Les Hébreux sont un peuple autochtone, ils n’ont rien conquis. Ce texte constitue le socle idéologique du courant national-religieux pour qui «Dieu a donné cette terre au peuple juif». Au nom de ce texte, près d’une moitié de la société israélienne est favorable au «transfert», la déportation des Palestiniens au-delà du Jourdain.

Le royaume unifié de David et Salomon est également une fiction. À l’époque présumée de la reine de Saba, Jérusalem était un village et les fouilles incessantes sous Jérusalem ne font que confirmer cette thèse. Il est probable que le royaume d’Israël (détruit en 722 av JC par les Assyriens) et celui de Judée (détruit en 586 av JC par les Babyloniens) ont toujours été des entités distinctes. Or le sionisme aujourd’hui prétend ressusciter le royaume unifié et occuper toutes les terres sur lesquelles il se serait étendu.


La Bible a été écrite essentiellement pendant l’exil à Babylone. Une partie importante de la population judéenne n’est pas revenue. Ses descendants sont les Juifs Irakiens, Iraniens ou ceux de Samarkand.


Sand analyse les documents historiques sur la guerre menée par Titus et 60 ans plus tard sur la dernière révolte juive dans la région, celle de Bar Kochba. Il analyse le principal texte, le livre de Flavius Josèphe «La guerre des Juifs». Il montre qu’il n’y a pas eu expulsion, qu’il y avait déjà avant d’importantes communautés juives à Babylone, Alexandrie ou Rome.
Il n’y a aucune trace d’un départ massif de la population. C’est l’histoire officielle sioniste qui a inventé, en gonflant les chiffres, le mythe de l’expulsion.

De toute façon, les quelques milliers de Judéens partis n’auraient pas pu engendrer l’importante population juive (le chiffre de 8 millions paraît vraisemblable) dans l’empire romain. C’est tout simplement parce que jusqu’à l’empereur Constantin qui fait du christianisme la religion officielle,
la religion juive est prosélyte et en concurrence avec les Chrétiens ou le culte de Mithra.

Les persécutions des Chrétiens arrêtent ce prosélytisme qui se prolongera dans d’autres régions. Sand montre à partir de personnages historiques (
la Kahéna, Tariq, celui qui a conquis l’Espagne) l’importance des conversions au judaïsme de tribus Berbères. Il ne fait pas de doute que les Juifs du Maghreb et en partie les Juifs Espagnols sont les descendants de ces convertis.

Pour les Ashkénazes (les Juifs d’Europe Orientale), Sand revient sur l’histoire des Khazars, peuple turc qui a établi pendant plusieurs siècles un empire entre
la Caspienne et la Mer Noire. Il y a la preuve historique de la conversion de l’aristocratie de ce peuple au judaïsme. Sand estime que la population (y compris les Slaves) de cet empire est à l’origine du peuple Yiddish.

Il montre aussi l’existence d’anciens royaumes juifs au Kurdistan ou au Yémen.
Bref les Juifs d’aujourd’hui sont des descendants de convertis. Cette minorité religieuse n’a jamais exprimé le souhait concret d’un «retour» à Jérusalem. D’ailleurs, ni les Juifs de Babylone (qui ont préféré Bagdad), ni les Juifs Espagnols expulsés (qui ont préféré le Maghreb ou les grandes villes ottomanes) n’ont fait ce choix quand ils en ont eu l’occasion. Le retour est une fiction et la «loi du retour» (qui permet à tout juif de devenir très rapidement un citoyen israélien) est basée sur un mensonge.

Pour Sand, l’existence d’un peuple juif est une fiction.
Le seul point commun entre juifs yéménites, espagnols ou polonais, c’est la religion.

Avec un pareil écart entre la réalité historique et l’histoire officielle, il a fallu
créer de toutes pièces en Israël la définition de ce qu’est un Juif. Cette politique identitaire a tourné le dos aux idées progressistes du Bund qui prônait l’autonomie culturelle du peuple Yiddish sur place, dans le cadre de la révolution. Elle s’oppose à toute l’histoire des Juifs comme minorité religieuse dispersée. C’est une définition à la fois biologique et religieuse du judaïsme qui s’est imposée en Israël. Une définition excluant les Non-Juifs dans un Etat qui n’est pas le leur. Sand explique que se définir «Etat Juif et démocratique» est un oxymore (une contradiction). Et que les dérapages racistes incessants de la société israélienne sont dans l’ordre des choses d’une telle définition.

Vraiment deux livres qu’il faut lire.


Pierre Stambul

http://www.ujfp.org/modules/news/article.php?storyid=440

 

Boycott et sanctions Boycotter les boycotteurs

 

http://www.ujfp.org/modules/news/article.php?storyid=743

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06/06/2010 | Lien permanent

L'effarante histoire du sionisme - le Royaume Khazar. Pour sortir de l'ignorance collective et de l'amnésie ! (Partie 3)

Pour ne plus confondre les Juifs avec les Sionistes !

 

Partie 1 : ICI - Partie 2 : ICI

 

khazar1.jpg


 

Voir aussi :

 

Shlomo Sand : « L’invention du peuple juif »
Conférence de novembre 2011 à New York
http://realinfos.wordpress.com/2013/02/22/shlomo-sand-lin...
 

Luc Ferry: Sionisme, Khazars et invention du peuple juif

Je suis un khazar fier de l’être (Haaretz)
http://www.legrandsoir.info/Je-suis-un-khazar-fier-de-l-etre.html

Le fondateur d'Israël : Théodore Hertzl sioniste et .. antisémite

http://www.partiantisioniste.com/actualites/theodor-herzl...

 

L’'effarante histoire du sionisme



La première guerre mondiale de 14-18,  fut menée d’un côté par la Grande Bretagne, la France et la Russie, et de l’autre côté par l’Allemagne, l’Autriche-Hongrie et la Turquie.

http://www.youtube.com/watch?v=RsI8F9AgJ1g

En l’espace de deux ans, l’Allemagne avait remportée la guerre. Les sous-marins allemands, qui furent une totale surprise, occasionnèrent de gros dégâts côté adverse. La Grande Bretagne se trouva sans munitions et sans ravitaillement pour ses soldats.  Au même moment l’armée française s’était mutinée. Ils avaient perdus 600 000 soldats à la fleur de l’âge dans les batailles de défense de Verdun et de la Somme. L’armée russe avait déserté, minée par les années de propagande anti tsariste. Durant exactement la même période, pas un seul coup de feu n’avait encore été tiré en territoire allemand, pas un seul soldat ennemi n’avait encore franchi la frontière allemande. Pourtant, l’Allemagne proposait un accord de paix honorable,  appelée par les juristes un ’’STATUS QUO ANTE BASIS ’’ signifiant, « cessons le combat et retournons aux conditions d’avant la guerre.»

En 1916, l’Angleterre considéra sérieusement cette proposition afin d’éviter d’aller vers une défaite certaine. Tandis que cela ce discutait, les sionistes de l’Europe de l’Est rencontrèrent le British War Cabinet. Ils dirent : « Ecoutez nous, vous pourriez gagner cette guerre si l’Amérique venait à vos côtés en tant qu’alliée…Nous vous garantissons d’embarquer les USA contre l’Allemagne, si vous nous promettez la Palestine après la victoire ». En Octobre 1916, l’Angleterre accepta la proposition. Et on vit en très peu de temps, une Amérique pro-allemande devenir tout à coup vindicative à son égard. Les médias de l’époque, étaient pour la plupart, contrôlés par des financiers juifs, souvent d’origine  allemande ou russe, mais qui étaient contre le tsar, et ses alliés.  Aussi avaient-ils commencé à financer les Allemands. Mais devant la possibilité de s’accaparer de la Palestine, ils réussirent à faire en sorte que le président américain Wilson déclare la guerre à l’Allemagne. Il n’y avait aucune raison pour que l’Amérique soit mêlée à cette guerre et envoie ses soldats se faire tuer. Pourtant elle se laissa entrainer dans cette arnaque, tendue par le sionisme international, comme elle se laissa avoir en abandonnant quelques temps avant, sa banque centrale publique, au profit d’un conglomérat de banques privées essentiellement sionistes.


La fameuse ’’Déclaration Balfour’’ (courte lettre adressée à Lord Rothschild par le ministre britannique des Affaires étrangères, A.J. Balfour, envisageant « favorablement l’établissement en Palestine d’un Foyer National pour le peuple juif ») représentait la promesse anglaise faite aux sionistes de leur accorder la Palestine en échange de l’aide des USA.  L’Allemagne fut ainsi écrasée ; elle dut signer l’armistice  à la fameuse conférence de paix de 1919 à Versailles, entourée de 119 juifs représentant le sionisme international et avec à leur tête Bernard Baruch. Durant cette conférence où l’Allemagne fut découpée et l’Europe divisée, les sionistes réclamèrent leur part du gâteau: « Ne vous nous aviez pas promis la Palestine ? » C’est alors qu’ils produisirent leur preuve, révélant pour la première fois la déclaration Balfour devant des yeux allemands ébahis. C’est seulement à ce moment précis que les Allemands comprirent la cause des terribles conséquences et des réparations de guerre qu’on leur affligea. Tous leurs malheurs venaient du fait que ces sionistes, pourtant souvent d’origine allemande,  voulaient la Palestine et étaient prêts à tout pour l’avoir.

Ces juifs avaient pourtant été bien reçus par les Allemands après leur exode de Russie. . Il y avait Mr Rathenau dans l’industrie et la finance, Mr Balin qui possédait les deux plus grandes lignes maritimes, la North German Lloyds et la Hamburg-American ; Mr Bleichroder qui était devenu le banquier de la dynastie impériale des Hohenzollern. Les Warburg à Hambourg qui étaient des grandes banques du négoce, peut être les plus importantes au monde. Sans aucun doute on pouvait  affirmer que les juifs avaient été comme chez eux en Allemagne ! Les Allemands ne digérèrent pas cette trahison.  Eux qui avaient été si généreux avec les juifs depuis 1905, date qui vit la première révolution communiste en Russie, tourner au désastre, et les juifs  fuir ce pays, pour trouver refuge dans une Allemagne qui les avait accueillis à bras ouverts… Pour les Allemands, ces juifs étaient donc les véritables responsables de la défaite. Et pour seule  raison, la Palestine !

Toutefois, aucun juif ne fut agressé. Il existait bien des camps de prisonniers politiques. Mais ces camps étaient remplis de communistes, dont la grande majorité s’avérait être juifs.

Tout simplement du fait qu’en cette période, pas seulement en Allemagne mais dans toute l’Europe, les communistes se trouvaient être composés à 98% de juifs. On y trouvait aussi quelques prêtres,  chefs syndicalistes, francs-maçons et autres affiliations internationales. Il ne faut pas oublier qu’entre 1918 et 1919, les communistes avaient réussis à prendre le contrôle de la Bavière durant un courte période : Rosa Luxembourg avec Karl Liebknecht à la tête d’un groupe d’autres juifs, gouvernèrent trois jours. En fait, à la fin de la guerre, le Kaiser s’était enfui en Hollande, tout simplement parce qu’il craignait que les communistes s’emparent de l’Allemagne comme ils l’avaient fait en Russie et qu’il lui serait réservé le même sort que le Tsar. Il prit donc la fuite par mesure de sécurité. Mais après que la menace communiste eut été balayée du sol allemand, les juifs étaient encore très actifs, essayant de recouvrer leur statut. Les allemands les combattirent en une lutte générale ; sans pour autant que ce soit physique. En ce temps là,  il y avait autour de 90 millions d’allemands pour seulement 460 000 juifs. N’empêche qu’ils contrôlaient tous les médias et les principaux rouages de l’économie. Ils étaient venus en Allemagne après la guerre avec beaucoup d’argent, et avaient profité de la dévaluation drastique du Mark pour tout acheter pour une bouchée de pain.

 

En juillet 1933, une conférence du sionisme international fut organisée à Amsterdam. Les juifs du monde entier y participèrent. Ils s’adressèrent à l’Allemagne en des termes impératifs : à savoir qu’ils la sommaient de limoger Hitler et de faire réintégrer tous les juifs dans leur fonction, eussent ils été communistes ou non. En aucun cas les sionistes ne permettraient aux allemands de les traiter de la sorte ; et en toute chose qu’il fallait considérer cet avertissement comme un ultimatum.

On imagine aisément ce que fut la réponse des allemands. Mais c’est la réaction juive qui allait être des plus étonnantes. En 1933, quand l’Allemagne refusa de se plier aux exigences sionistes à la conférence d’Amsterdam qui se clôturera sans avoir entamé la résilience allemande, le président de cette conférence et chef de la délégation américaine, Samuel Untermeyer,  la quitta aussitôt pour retourner aux USA.  Du bateau, il transmit par le biais des studios de la CBS (Columbia Broadcasting System) un discours qui passa sur tout le territoire américain et fut publié le 7 Aout 1933 dans le New York Times :  « le sionisme international maintenant appelle à la guerre sainte contre l’Allemagne. Nous sommes maintenant engagés dans une bataille sacrée contre les allemands. Nous allons les forcer à se rendre. Nous allons exercer un boycott international contre eux qui les détruira du fait qu’ils dépendent exclusivement de leurs exportations…. Ce boycott économique est notre moyen d’auto défense ; le président Roosevelt l’a soutenu dans le programme de l’administration de reprise nationale. »

C’est un fait que  2/3 des besoins alimentaire allemands devaient être importés. Ils devaient donc beaucoup exporter pour se les payer. . Sans çà,  l’Allemagne allait mourir de faim. Mais aux USA,  quiconque ne respectait pas les lois du New Deal se voyait aussi boycotté,  même si ces lois  furent déclarées inconstitutionnelles par la cour suprême américaine. Les juifs de par le monde déclarèrent donc un boycott contre l’Allemagne qui fut tellement efficace qu’il ne fut plus possible de trouver dans un  magasin un produit ’’ MADE IN GERMANY’’. Un représentant de la Woolworth Company rapporta qu’ils avaient du jeter des millions de Dollar en vaisselle dans la rivière ; parce que leurs magasins auraient été boycottés si quiconque avait trouvé des assiettes portant la mention ’’ MADE IN GERMANY’’. Ils auraient tout simplement subi des manifestations avec des slogans « Hitler assassin » .

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27/03/2013 | Lien permanent

Poutine, un fantasme français.

En une phrase : on aime Poutine parce que nous reconnaissons notre humanité en Lui, ce qui manque aux dirigeants occidentaux ! 

 

Poutine, un fantasme français.

 

Rarement un président étranger aura, dans l’hexagone, suscité autant de passions et concentré autant de critiques que Vladimir Poutine. La raison en est simple : il incarne avec excès la figure de l’homme d’Etat européen dont la modernité nous a privés.

Ce n’est qu’une anecdote mais elle est révélatrice. Rendu furieux par les arguments des élus parisiens à l’occasion d’un débat sur l’installation prochaine d’un camp de migrants, un de leurs électeurs leur avait jeté : « La prochaine fois, je voterai Poutine ! » L’assemblée, gauche et droite confondues, en était restée bouche bée.

Vladimir Poutine président ? La perspective est virtuelle, mais elle n’est pas pour autant dénuée de signification, à six mois de l’élection présidentielle. Au contraire. « Poutine participe à la campagne électorale française, non parce qu’il finance tel ou tel parti, comme on a pu le dire, mais tout simplement parce qu’il est au centre du débat », explique l’écrivain et ancien diplomate Vladimir Fédorovski. Et si le président russe occupe cette situation, ce n’est pas à cause de l’épisode tragi-comique de sa visite reportée (lire notre encadré), de la vente manquée des Mistral (lire page 22) ou des crises ukrainienne et syrienne. Ces sujets, importants, sont insuffisants à expliquer pourquoi Vladimir Poutine est regardé comme l’homme providentiel ou comme un cauchemar.

Surtout comme un cauchemar, d’ailleurs. Pour la militante et essayiste Caroline Fourest, le président russe est « un dirigeant autoritaire et viril, mateur de Tchétchènes, d’homosexuels, de punks féministes, de journalistes ». En juin 2014, une Femen avait détruit à coups de pieu en bois la statue de cire du président russe au musée Grévin. Un geste qui n’avait guère ému l’opinion. « Le peuple russe mérite mieux que cet ancien KGBiste responsable de terribles crimes de guerre », estime de son côté Bernard-Henri Lévy, qui voit en Poutine « la honte de la Russie ». « Un drôle de coco », « un sale type », pour l’ancien éditorialiste de RTL Jean-Michel Aphatie, le “maître du Kremlin” est régulièrement moqué, caricaturé.

Évoquant ainsi la cérémonie d’ouverture des jeux Olympiques d’hiver à Sotchi, en 2014, Daniel Cohn-Bendit, alors député européen (Verts) alertait sur la récupération politique qu’allait pouvoir en faire Poutine : «Il va arriver torse nu pour l’inauguration. Il va faire un combat au centre du stade olympique de patinage, contre un ours […]. Les chefs d’État qui iront là-bas cautionneront cette démonstration de force, comme on a cautionné la démonstration de force des Chinois à Pékin en 2008, comme on a cautionné Hitler en 1936.»

La reductio ad hitlerum. Un grand classique que reprennent à leur compte nombre d’intellectuels comme en témoigna le plateau entier de l’émission C dans l’air (France 5) où Yves Calvi («Ces défilés militaires nous font aussi penser à l’Allemagne nazie»), Gérard Grunberg (Poutine «veut la grande Russie […] comme Hitler voulait la grande Allemagne») ou Pascal Perrineau («Il se comporte de plus en plus […] comme les fascistes dans les années vingt ou les années trente») avaient filé vingt minutes durant cette improbable métaphore historique.

Il faut remonter à Pinochet, Thatcher ou peut-être même Franco pour retrouver en France trace d’une telle détestation à l’égard d’un homme politique étranger. Même George W. Bush n’avait pas eu droit à un tel traitement. Contre Poutine, tout est bon ! Citations tronquées (TF1), vidéos manipulées (le Petit Journal de Canal Plus), éditoriaux agressifs, choix d’un vocabulaire connoté transformant “influence” en “propagande”, “fermeté” en “violence”, etc.

« Pour nos médias, Poutine est le mal incarné », explique Thierry Mariani, député des Français de l’étranger et coprésident de l’Association Dialogue franco-russe. « Les titres les plus anti- Poutine sont indubitablement Libération et le Monde, suivis des radios et télévisions publiques, qui désinforment, mentent et s’assoient sur toutes les règles de déontologie journalistique », appuie Dimitri de Kochko, rédacteur à la Russie d’aujourd’hui, ancien journaliste à l’Agence France Presse.

Pourquoi tant de haine ? Pourquoi, déjà, cette obsession alors que d’autres pays aux dirigeants au moins aussi autoritaires (Chine, Venezuela, pays africains) sont à peine évoqués ? Passons sur la première raison, qui veut que nos élites seraient aux ordres de Washington. L’argument n’est pas irrecevable, mais il est trop aisément retournable. Entre les “idiots utiles de l’idéologie atlantiste” et les “valets de Poutine”, il doit exister des raisons qui échappent à la suspicion partisane.

Parmi elles figure incontestablement l’absence, au sein de nos élites politico-médiatiques, de la culture nécessaire pour comprendre ce qu’est Poutine, de quoi il procède : la Russie elle-même, son histoire longue. « À l’occasion de la publication de ce rapport où il était écrit que les États-Unis devaient lutter contre l’État islamique, Ébola… et la Russie, raconte Fédorovski, j’avais dit à un ambassadeur : “Ce n’est pas possible, il faudrait que tous ces experts relisent Tolstoï” ; il m’avait corrigé : “Non, il faudrait qu’ils lisent Tolstoï.”»

Ils apprendraient ainsi que la Russie, ce pays immense bordé de plaines, perpétuellement sous la menace d’une invasion, en conjure la peur en établissant un cordon de pays amis — ceux-là mêmes qui sont aujourd’hui activement démarchés par l’Otan. Un pays qui a frôlé l’implosion dans les dernières années du siècle. « Les Russes se sentent humiliés par le regard que les Européens portent sur eux, or, Poutine résiste à cela, il leur est un rempart contre cette humiliation », avance le sénateur centriste Yves Pozzo di Borgo. « La Russie a toujours été considérée comme un objet étrange, exotique, vaguement menaçant, reprend son collègue parlementaire Nicolas Dhuicq. Aujourd’hui, le Russe se sent acculé, méprisé, alors que pense-t-il ? Qu’il lui faut montrer les dents… »

«Il y aurait un gène du dictateur dans le sang russe et un gène de l’individu soumis chez le citoyen russe. C’est du racisme ou à tout le moins du négationnisme historique», poursuit Fédorovski. « Un peuple russe écrasé, portant aux nues un dictateur sanguinaire ? On prend les Russes pour des idiots », tempête Nicolas Dhuicq, pour qui l’Europe oublie «la fierté que les Russes avaient perdue dans les années Eltsine et qu’ils ont retrouvée aujourd’hui».

En vérité, l’hystérie anti-Poutine tient encore à autre chose. À une chose essentielle. Poutine est un reproche vivant adressé aux Occidentaux. Il est ce qu’ils ne sont plus, ce qu’ils ont parfois honte d’avoir été mais que, inconsciemment, ils aspirent encore à être. « Qu’a-t-on entendu, jeudi dernier, lors du premier débat de la primaire des Républicains ? questionne Fédorovski. L’autorité de l’État ! Tous n’avaient que cette notion à la bouche. Or, qu’on le veuille ou non, Poutine la symbolise. » « Il représente tout ce qui faisait la force du politique, qui chez nous s’est mué en faiblesse, reprend Thierry Mariani. Aujourd’hui, la mode est au contre-pouvoir : la presse, les ONG… Un homme politique se demande toujours s’il va être capable de faire ce pour quoi les gens l’ont élu. En Russie, c’est encore le peuple qui a le dernier mot. Poutine n’est pas dans l’air du temps, voilà pourquoi on le déteste. » « Poutine, c’est la négation du court-termisme, la négation du politiquement correct et la négation de ce qu’on appelle en France la gauche caviar, appuie un expert en relations internationales. Or, précisément, ces trois notions sont complètement discréditées! De là vient son succès… »

Rappelons-nous : lorsqu’il est porté au pouvoir, en 1999, Poutine ne présente pas de réforme économique. Il n’en a pas et il s’en moque. Il connaît l’histoire. De sa méditation du règne d’Alexandre III et des écrits de Soljenitsyne, il a tiré trois mots : nationalisme, esprit du peuple, orthodoxie. Un triptyque affreux pour l’intelligentsia française, mais un discours qui parle à son peuple. Et au nôtre. Surtout au nôtre. « Poutine est en train de devenir un personnage dostoïevskien, opposé à la décadence occidentale. Sur le mariage homosexuel, le multiculturalisme, il prend des positions fondamentalement réactionnaires », notait Éric Zemmour. « Sa politique intérieure, son retour à la tradition authentique, aux valeurs, son rapprochement avec l’Église et son patriotisme fervent sont autant d’options politiques qui le mettent en rupture avec le politiquement correct qui a cours dans les élites d’Europe de l’Ouest », complète Aymeric Chauprade, géopolitologue et député européen.

Poutine défend la famille, se méfie du militantisme homosexuel, exalte le patriotisme. On vote des lois, on (re)construit des églises — mille par an depuis quinze ans. Le président russe sent, d’instinct, les sujets vitaux, un peu pour sa popularité, mais surtout pour son peuple. Ainsi de l’armée, du recours assumé à la force. C’est la petite phrase sur ces terroristes que l’on ira « buter jusque dans les chiottes ». Certes, peu subtile, mais pas improvisée, elle disait la détermination d’un dirigeant et rappelait que l’État est seul détenteur de la violence légale. Un scandale pour notre époque pusillanime. Une inutile brutalité ? Ses plus fervents supporters le reconnaissent : Poutine n’est pas un enfant de choeur.

À Beslan comme à Alep, sa méthode peut légitimement être critiquée. Mais le peindre en “tyran sanguinaire” ressort-il encore de la critique ? « Il faut s’entendre, reprend Mariani. Qui est l’ennemi ? Poutine ou l’État islamique ? En Russie, on n’en est pas à débattre de la meilleure façon de déradicaliser les apprentis djihadistes… » Et cette fermeté plaît. Aux Russes, d’abord, qui ne croient plus aux promesses mais aux actes et dont les trois quarts le soutiennent, mais aussi aux Français, toujours orphelins d’un homme providentiel et qui lui reconnaissent des qualités certaines. « Poutine s’adresse à nous par-dessus l’épaule de nos dirigeants dépréciés », notait un bon connaisseur de la Russie. Avec tous ses défauts, avec toute sa complexité, il nous rappelle ce que nous fûmes et nous reproche de n’être plus que l’ombre de nous-mêmes.

Mickaël Fonton et Amaury Brelet

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20/10/2016 | Lien permanent

Dîner du CRIF : Cukierman: la lutte contre l'antisémitisme et l'antisionisme doit être une ”cause nationale”

Mais bien sûr, acceptons et rendons-nous tous les complices de tous les crimes commis par l’Etat sioniste d’Israël en Palestine, dans le monde et en Europe notamment par le biais de tous ses lobbys dont celui de l’Union Européenne largement influencée par le Parlement Juif Européen.

L'Effarante Inauguration d'un Parlement JUIF Européen !

http://www.youtube.com/watch?v=-Hfz97iqzgA


Quelqu’un peut-il nous dire ce que je viens faire un Parlement Juif Européen à l’UE et qui statue dans les locaux de l’Union Européenne ?

Enfin bref ! Fermons-la sur tous les crimes commis contre les peuples innocents dans l’objectif de les laisser nous coloniser, nous détruire, nous ruiner et nous instaurer le Nouvel Ordre Mondial tant désiré par leurs élites promotrices : Illuminati-sionistes-reptiliens-satanistes.

Cukierman: la lutte contre l'antisémitisme et l'antisionisme doit être une "cause nationale"

Par AFP, publié le 05/03/2014 à 10:32, mis à jour à 10:44

Paris - Antisémitisme à l'extrême droite, antisionisme à l'extrême gauche: le président du Crif Roger Cukierman a appelé mardi soir François Hollande à mobiliser la France contre ces deux fléaux en en faisant "une cause nationale".

Cukierman: la lutte contre l'antisémitisme et l'antisionisme doit être une "cause nationale"

Le président du Crif Roger Cukierman (à d) et le président français François Hollande, à Paris le 4 mars 2014

afp.com/Michel Euler

"Il faut attaquer très tôt la propagation de la haine", a expliqué Roger Cukierman lors du dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France. "On ne naît pas antisémite, on le devient, par bêtise, par ignorance, ou par préjugé.

"Faites-en une cause nationale !", a-t-il imploré François Hollande, en appelant à un rassemblement, le 19 mars à Paris, pour commémorer les assassinats perpétrés il y a deux ans à Toulouse par Mohamed Merah contre six personnes, dont trois enfants juifs. 

S'exprimant devant le chef de l'Etat et 800 personnalités, M. Cukierman a tenu un discours sombre, témoignant de son inquiétude à l'égard de l'atmosphère d'intolérance régnant dans le pays. 

Parmi les invités au Pavillon d'Armenonville à Paris, -qui comptaient ministres, sénateurs, députés, ambassadeurs, maires du Grand Paris, responsables religieux-, le président du Crif a accueilli Michel Antangana, Français d'origine camerounaise récemment libéré après 18 ans d'internement au Cameroun. 

"J'aurais aimé évoquer le dicton +Heureux comme un juif en France+, a déclaré M. Cukierman (...) Je dois malheureusement recourir à l'humour juif, souvent grinçant. Qu'est-ce qu'un antisémite ' +C'est quelqu'un qui déteste les Juifs plus que nécessaire+". 

"La bête immonde est, hélas, bien présente, aujourd'hui, en France", a déploré le président du Crif, que la chute du nombre d'actes antisémites, en baisse de 31% en 2013 selon le Service de protection de la communauté juive (SPCJ), n'a guère rassuré. 

- "Risque d'être agressé" - 

"Je pense avec tristesse, avec inquiétude, avec angoisse, aux ignobles slogans lancés par quelques milliers d'individus parmi les manifestants du dimanche 26 janvier à Paris. Ils hurlaient: +Juifs dehors, la France n'est pas à toi!+". 

Pour M. Cukierman, qui a rappelé son passé d'enfant caché et celui de sa famille, "gazée et brûlée par Hitler et ses complices", "A Paris, dans le métro, porter une kippa, c'est prendre le risque d'être agressé". 

Il a évoqué la progression spectaculaire du Front national avec "sa cohorte d'antisémites, de vichystes et de négationnistes réfugiés derrière sa dirigeante, attentive à ne pas commettre d'impair". 

Mais il a également dénoncé, à l'extrême-gauche, "l'antisionisme, nouvel habit de l'antisémitisme. Car s'il n'y est pas convenable d'être antisémite, il est élégant de fustiger l'Etat d'Israël". 

A cet égard, le président du Crif s'est étonné que les appels au boycottage en France ciblent un seul des 200 pays de l'ONU. "Je peux vous citer 50 pays dont les frontières sont contestées par leurs voisins en Afrique, au Moyen-Orient, ou sur l'immense continent asiatique". 

"Concernant Israël", a-t-il poursuivi, "des positions extrémistes sont parfois attribuées au CRIF. A tort (...) Nous avons pour objectif que l'Etat d'Israël vive en paix aux côtés d'un Etat de Palestine. Nous souhaitons qu'Israël, où 20 % de la population pratique la langue française, soit enfin admis dans l'Organisation de la Francophonie financée par le contribuable français". 

M. Cukierman a également "suggéré que la France se démarque du reste du monde et reconnaisse Jérusalem comme la capitale d'Israël". 

Par http://static.lexpress.fr/imgstat/article/icons/fpa.png

 

http://www.lexpress.fr/actualites/1/politique/cukierman-l...

 

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06/03/2014 | Lien permanent

La réponse des Pays des BRICS aux US/UE,Sionistes à La Haye : l'avenir est à nous !

Voici pourquoi Poutine était serein face aux menaces des US/UE/Sionistes qui prennent une nouvelle humiliation de la part de la Russie, du Brésil, de l’Inde de la Chine et de l’Afrique du Sud.

Ukraine: les BRICS condamnent les sanctions
http://fr.ria.ru/world/20140325/200805806.html

Voilà à quoi ont mené les menaces de sanctions contre la Russie par les US/UE/Sionistes : A LA LIBERATION DES PAYS DU BRICS (Russie, Brésil, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud) qui ont déjà leur banque mondiale.

À Durban, les Brics lancent leur propre banque mondiale
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/03/26/20002-20130...

Il ne leur reste plus qu’à exiger que les US et les pays occidentaux paient dans la monnaie des pays du BRICS pour que le dollar soit définitivement enterré et les USA avec !

Que voulez-vous qu’ils fassent de leur G8 ?

Pays des BRICS : l’avenir est à nous !

Pays des BRICS : l’avenir est à nous !

© Collage: La Voix de la Russie

Par La Voix de la Russie | A l’heure où les pays occidentaux menacent (encore) la Russie de sanctions (bien que de moins en moins ardemment), le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a ouvertement donné le ton lors du sommet sur la sécurité nucléaire à La Haye.

Ce forum a été une occasion supplémentaire de discuter avec le secrétaire d’Etat étasunien John Kerry, ainsi que d’une rencontre avec le ministre ukrainien par intérim des Affaires étrangères Andreï Dechtchitsa (la rencontre a eu lieu à la demande de la partie ukrainienne). Mais nous n’allons pas nous focaliser sur ces deux rencontres, mais bien sur celle qui s’est déroulée en tout premier lieu à La Haye : celle des ministres des Affaires étrangères des pays des BRICS.

D’ailleurs le fait même que la première rencontre de Lavrov à La Haye ait été consacrée aux BRICS est tout un symbole. A l’heure où les leaders occidentaux ne savent plus à quoi s’en tenir, notamment en affirmant que la Russie « ne ferait plus partie du G8 », le ministre russe des Affaires étrangères a une nouvelle fois montré la priorité de la Russie. Sergueï Lavrov a dit une chose importante durant son passage à La Haye, qui concerne justement le G8 : « Le G8 est un club informel, il ne distribue pas de cartes de membre et personne ne peut en exclure qui que ce soit. Si nos partenaires occidentaux estiment que ce format est dépassé, la Russie ne s’y accrochera pas ».

Quant aux pays des BRICS, et c’est effectivement une grande nouvelle, les quatre pays autres que la Russie (à savoir le Brésil, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud) ont condamné dans une déclaration commune les sanctions occidentales contre la Russie en tant qu’instrument de règlement de la situation en Ukraine, rapporte le quotidien canadien The Globe and Mail. Sergueï Lavrov a quant à lui exprimé la reconnaissance de la Russie envers les autres pays membres des BRICS pour leur « compréhension de la position russe au sujet de la Crimée ».

« En ce qui concerne la rencontre des ministres des Affaires étrangères des pays des BRICS ici à La Haye, nous avons entendu la compréhension de la situation, ainsi que la compréhension des aspects historiques de toute cette situation, et nous sommes reconnaissants à cet effet à nos partenaires », a déclaré Sergueï Lavrov durant la conférence de presse qui a suivi ses rencontres à La Haye.

Pour revenir aux BRICS, faut-il rappeler ce qu’ils représentent ? 25% du Produit Intérieur Brut (PIB) mondial, 42% de la population mondiale et plus de 25% du territoire terrestre mondial. Faut-il également rappeler que d’ici 2015, les pays des BRICS devraient assurer 61% de la croissance mondiale (selon le FMI) ? Les BRICS constituent déjà un véritable contrepoids au G7. Ils partagent une vision commune sur la plupart des aspects d’ordre économique, notamment en vue de réformer le système économique du monde. La création décidée par les pays des BRICS d’une nouvelle banque de développement dont le capital devra atteindre 100 milliards de dollars en est une preuve supplémentaire. Un projet il faut le dire grandiose et qui représentera une véritable alternative à la Banque mondiale et au Fonds monétaire international.

Mis à part l’aspect économique, faut-il rappeler que les BRICS sont de plus en plus unis sur les questions de politique internationale ? L’aspect sur lequel au départ de ce grand projet ambitieux un certain nombre de spécialistes occidentaux doutaient (concernant l’unité politique) aujourd’hui prend véritablement forme et l’on voit un point de vue commun sur la plupart des questions politiques internationales. Politique d’indépendance vis-à-vis des USA et globalement de l’Occident, respect de l’ONU et critique commune du diktat étasunien, non-reconnaissance du Kosovo en tant qu’Etat indépendant, opposition aux interventions armées en Côte d’Ivoire, Libye et Syrie pour ne citer que cela. Et maintenant un soutien pratiquement déclaré à la position russe en Crimée et face à la crise en Ukraine. D’ailleurs les précédents ivoirien et libyen ont permis aux BRICS d’avoir désormais une approche beaucoup plus efficace face aux « partenaires » occidentaux.

Pour finir sur notre projet commun des BRICS, il serait bon de reprendre une citation de Sudhir Vyas, secrétaire aux Affaires économiques du ministère des Affaires étrangères de l’Inde : « Au-delà de leur rôle de moteur de la croissance mondiale, nos cinq pays sont unis dans leur volonté de chercher des solutions durables face aux défis mondiaux. Nous en avons les moyens ». Autre aspect qui pourrait surprendre certains et pourtant, celui de la lutte et résistance face à l’impérialisme occidental tout au long de leurs histoires respectives. En marge donc des réflexions sur les BRICS, il serait également plus qu’intéressant de reprendre un commentaire d’un camarade chinois : « Je suis très heureux du fait que nos pays s'unissent ensemble pour un monde meilleur. D'une manière ou d'une autre tous nos pays ont été la cible de l'impérialisme occidental. Le Brésil a dû se libérer du colonialisme portugais. L'Inde du colonialisme britannique. Qui peut oublier les sacrifices de la Russie, de son peuple et de tous les peuples frères pour abattre la peste brune nazie d’Hitler ? Qui peut oublier la lutte du peuple de l'Afrique du Sud contre le régime raciste antihumain d'apartheid soutenu par les gouvernements occidentaux ? Et enfin en ce qui concerne mon pays, la Chine, nous avons très longtemps dû résister aux interférences néfastes occidentales, que ce soit celles des Britanniques, des Etasuniens ou d'autres pays occidentaux et ayant également perdu des dizaines de millions de vies humaines !". Un résumé pratiquement parfait.

L’avenir est à nous, l’avenir est aux BRICS !
Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2014_03_26/Pays-des-BRICS-l-avenir-...

 

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26/03/2014 | Lien permanent

Israël scandalise les Juifs américains !

L'heure du grand sacrifice des Juifs pour la cause mondialiste des Illuminati-sionistes-reptiliens-satanistes, serait-elle arrivée, à l'heure où Israël peut craindre de représailles nucléaires et militaires de la part de ses adversaires qu'il n'a de cesse de provoquer ?

Après s'être servis des Juifs partout dans le monde, les ROTHSCHILD qui ne sont pas juifs mais sionistes-reptiliens et qui ont financé Hitler et la Shoa, et créé et financé de toutes pièces l'état d'Israël, ainsi qu'ils ont créé le parti extrémiste des Sionistes-reptiliens, auraient-ils l'intention de rassembler tous les Juifs en Israël pour les parquer, s'en servir en tant que boucliers humains, et pouvoir les faire éliminer en organisant une nouvelle Shoa pour se débarrasser d'eux une bonne fois pour toutes ?
 
Les reptiliens seraient-ils en mauvaise posture en ce moment pour s'attaquer aux Juifs et indirectement aux Chrétiens dans le monde ?
Les prémices d'une soi-disant guerre de religions qui servirait les intérêts des promoteurs de l'Unique Religion Mondiale et du Nouvel Ordre Mondial ?
 
Que les vrais Juifs restent là où ils sont en sécurité et qu'ils chassent les sionistes partout et là où ils se trouvent y compris chez nous en France !
 

Monde


Israël scandalise les Juifs américains

Le Point.fr - Publié le 05/12/2011 à 15:55 - Modifié le 05/12/2011 à 15:56

La diaspora juive américaine s'insurge contre une campagne l'invitant à rentrer en Israël au risque de "perdre ses racines juives".

La version française de la campagne publicitaire à destination de la diaspora juive américaine.

La version française de la campagne publicitaire à destination de la diaspora juive américaine. © Capture d'écran / http://www.moia.gov.il Par

 

Assise sur les genoux de ses parents, une jeune Juive américaine converse par webcam avec ses grands-parents vivant en Israël. La fille s'exprime dans un bon hébreu, mais, lorsque sa grand-mère lui demande quel est le nom des prochaines vacances, elle répond "christmas", au lieu du traditionnel "Hanukkah" juif. "Avant que Hanukkah ne devienne Noël, il est temps de retourner en Israël", conclut le spot publicitaire.

Un père juif américain dort à poings fermés sur son fauteuil pendant que son fils achève un coloriage. Le dessin terminé, le petit garçon tente de réveiller son père pour lui tendre son oeuvre : "Daddy, daddy", l'interpelle-t-il à plusieurs reprises. En vain. Il décide alors de l'appeler "Abba", nom hébreu désignant le "père". Celui-se réveille immédiatement, tout sourire. "Avant que "Abba" ne devienne "Daddy", il est temps de rentrer en Israël", conclut l'annonce diffusée à New York, Los Angeles et Palo Alto. Lancée depuis septembre par le ministère israélien de l'Immigration et de l'Intégration, la campagne entend inciter les expatriés vivant aux États-Unis à retourner en Israël, au risque de "perdre leurs racines juives et d'être assimilés à la société et à la culture américaine", explique le Gardian.

"Scandaleux et insultant" (association)

Pourtant, l'opération a suscité chez la diaspora l'exact effet inverse, provoquant notamment la fureur des Fédérations juives d'Amérique du Nord (JFNA). L'entité, qui rassemble 157 organisations et plus de 300 réseaux à travers le pays, n'a pas hésité à la qualifier de "scandaleuse et insultante". Une réaction d'autant plus embarrassante que la communauté juive aux États-Unis est énorme (5,28 millions), ne comptant que 500 000 Juifs de moins qu'en Israël (5,70 millions). Une diaspora dont l'État hébreu aurait tort de se passer en ces temps d'isolement diplomatique, d'autant qu'elle explique en partie le soutien indéfectible des États-Unis à Israël.

Dans un mail envoyé à ses nombreux membres ainsi qu'au Premier ministre Netanyahou, l'association s'indigne de la campagne publicitaire : "Bien que nous comprenions les motivations derrière la campagne, nous demeurons fortement opposés au message selon lequel les Juifs américains ne comprennent pas Israël. Nous partageons l'inquiétude de beaucoup d'entre vous selon laquelle ce message scandaleux et insultant pourrait altérer la relation entre Israël et sa diaspora." Et la JNFA d'ajouter : "Au lieu de dresser les Juifs israéliens et américains les uns contre les autres, nous devrions chercher à renforcer notre amour partagé pour Sion et construire les liens du peuple juif dans le monde entier."

En France en 2004

En réalité, l'opération répond à une résolution, adoptée en 2010 par le cabinet du Premier ministre israélien, qui encourage les citoyens israéliens aux États-Unis à retourner au pays, incitations financières à l'appui. D'après le porte-parole de Benyamin Netanyahou, la mesure visait officiellement à "empêcher la fuite des cerveaux". Difficile, pourtant, de ne pas y voir une volonté de renforcer la population juive au sein de l'État hébreu. Ce n'est pas la première fois qu'un Premier ministre israélien agit de la sorte. En 2004, Ariel Sharon avait provoqué l'indignation en appelant publiquement les Juifs de France à venir s'installer en Israël "aussi vite que possible", en raison d'un "antisémitisme" qu'il estimait croissant dans l'Hexagone.

Au coeur de la tourmente, le ministère israélien de l'Immigration et de l'Intégration justifie son choix par le fait que la campagne "touche l'essence même de l'identité israélienne". Pour le reste, le ministère préfère botter en touche : "La campagne ne visait ni la communauté juive aux États-Unis ni toute autre diaspora", écrit-il dans un communiqué, repris par le Daily Telegraph. "Les récentes accusations selon lesquelles le gouvernement israélien essaie d'intervenir dans les choix personnels des Juifs américains ou de rabaisser leur mode de vie sont infondées."

Submergé par les messages de colère, l'ambassadeur d'Israël à Washington, Michael Oren, a expliqué que cette campagne avait été conduite sans l'approbation de l'ambassade israélienne à Washington, ni de celle du chef du cabinet du Premier ministre, et que ni l'un ni l'autre n'avaient pas été mis au courant. Netanyahou n'a pas tardé à réagir. Face à la colère de la diaspora, il a ordonné l'annulation pure et simple de la campagne.

REGARDEZ un des spots publicitaires
qui a provoqué l'émoi de la communauté juive aux États-Unis :

http://www.youtube.com/watch?v=glQDf8vXvkQ&feature=pl...


http://www.lepoint.fr/monde/israel-scandalise-les-juifs-a...

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07/12/2011 | Lien permanent

Séisme en Virginie et les engins que la CIA Fabrique au Central Intelligence Agency (aka) George Bush Center For Intelli

A voir absolument et à diffuser largement !

Hier, nous vous avons mis un article en ligne suite au séisme qui a eu lieu sur la Côte Est des USA, d'une magnitude de 5.8 sur l'échelle de Richter et dont l'épicentre s'est révélé se trouver en Virginie.

 Nous nous sommes demandé très justement si les demandes que nous avions formulées auprès des Hiérarchies Angéliques dans la Déclaration de Souveraineté Humaine et de Cessation de tous les conflits terrestres n'y étaient pas pour quelque chose, dans la mesure où le Pentagone, siège du département de la Défense, Le Capitole qui abrite le Sénat et la Chambre des Représentants, ainsi que la Maison Blanche avaient dû être évacués.

 
Voir l'article par ce lien
 
Capitole et Pentagone évacués après un séisme aux Etats-Unis + les orages catastrophiques en Belgique
 
Après la diffusion de notre article, nous avons reçu un mail de Franck, l'un de nos lecteurs qui nous a mis le doigt sur ce qui existait en Virginie.
 
Rien de moins que le Centre de la CIA et du complexe scientifique de Georges BUSH au sein duquel, ils fabriquent, sous couvert de l'expérimentation scientifique, des engins de mort dirigés contre l'humanité, de construction d'armes et de vaisseaux spatiaux sûrement militaires,  qui doivent bénéficier de la technologie UFO-ET, tant il est vrai que dans leurs références il est noté qu'ils travaillent en collaboration avec la Base Secrète Souterraine dite militaire, mais en réalité ET, de l'Aréa 51 qui se trouve dans le Nevada.
 
Ils fabriquent et utilisent notamment, les technologies du Laser Hautes Energies pour le mettre à la disposition du département de la Défense d'Israël, sous le contrôle des bases souterraines de la Base Secrète ET, de l'Aréa 51.
 
Entre le LHC du CERN, le Réseau Haarp et les lasers qui utilisent la technologie des Hautes Energies, les satellites qui nous balancent leurs hautes fréquences, ne nous étonnons pas que toutes ces technologiques de mort participent au réchauffement planétaire et à la perturbation du champ magnétique terrestre, et tant il est vrai qu'ils nous créent une grille magnétique qui fait que nous sommes en train de cuire comme dans un four à micro-ondes avec toutes leurs technologies secrètes et leurs armes létales.
 
Voilà ce qu'ils fabriquent derrière notre dos, pendant qu'ils nous font leur théâtre sur la scène politique.

Pendant qu'ils font dériver notre esprit ailleurs, ils s'occupent de fabriquer des armes létales et des engins de mort pour réduire la population mondiale au profit des Illuminati-reptiliens.
 
Ensuite, ils viendront nous dire que les énergies propres et libres que la NASA nous planque depuis plus 60 ans, n'existent pas !
 

Les énergies libres et propres, issues des technologies UFO ou OVNIS,  existent depuis 60 ans, mais elles sont tenues secrètes par la NASA.

Le document à télécharger : ICI

 
Vous trouverez toutes les images des engins de mort en bas du présent article.
 
Voici la galerie des engins de mort qu'ils fabriquent dans ce centre de la CIA et d'expérimentation scientifique appartenant à Georges BUSH

Vous remarquerez les images subliminales qui sont apposées sur ces deux pages.
 
Ici, la Terre est traversée par des courants magnétiques et des éclairs
 
Ici, d'étranges étoiles rouges qui clignotent, dont on se demande ce qu'elles font sur ce genre de site et qui impressionnent les yeux.

Nous nous demandons si elles ne sont pas mises ici pour impressionner le cerveau des lecteurs.

On ressent un certain malaise en les regardant et on n'arrive pas à les compter.
 
Ci-dessous la panoplie des engins qui sont fabriqués dans ce centre dont certains semblent être destinés à la Restricted Area 51 Panorama ( Muroc Flats / Groom Lake, Nevada - 1970 )

Toutes les images ci-dessous. Ensuite ils viendront nous faire croire qu'ils n'ont pas la technologie UFO qui était déjà utilisée par HITLER.
 
Vous irez voir aussi, ce vaisseau spatial qui semble appartenir au Japon
 
Au profit de qui a été construit cet énorme vaisseau spatial ?
 

Voir le fichier joint : ICI 

Uune traduction Google de l'article qui a été trouvé sur le site de Benjamin FULFORD.

La carte de l'Ile:

Plus que jamais nous remercions les Hiérarchies Angéliques de nous aider dans cette oeuvre de salubrité publique et humaine, de destruction de toutes les bases souterraines dans lesquelles, les Illuminati-reptilens complotent derrière notre dos depuis trop longtemps pour massacrer l'humanité.

 

Une autre satisfaction quand même, qui nous prouve comme le dit Cécile, l'une de nos lectrices, que le Ciel n'accepte plus les injustices.

A New York, des milliers de personnes ont aussi évacué les bâtiments, notamment dans le quartier du palais de justice de Manhattan où se dénouait l'affaire Dominique Strauss-Kahn et où la conférence de presse du procureur Cyrus Vance a dû être interrompue, le bâtiment s'étant mis à trembler.

L'ancien patron du FMI, poursuivi pour crimes sexuels, a bénéficié mardi d'un non-lieu, mais le séisme ayant entraîné la fermeture des services judiciaires, ce n'est que mercredi qu'il pourra récupérer son passeport français, selon son avocat.

http://www.tdg.ch/depeches/monde/rare-seisme-seme-pagaill...

Ci-dessous toutes les images issues du Centre de la CIA et d'expérimentation de Georges BUSH en Virginie.

 

WARNING & DISCLAIMER: EDUCATIONAL IMAGES DISPLAYED ( BELOW )  BELONG TO THEIR RESPECTIVE OWNERS.
 

Central Intelligence Agency ( CIA ) Headquarter  (aka) George Bush Center For Intelligence - Area Map

( BELOW )


Central Intelligence Agency - Headquarter - Legacy ( Pre-Modification ) Building ( Day - Mclean, Virginia )

( BELOW )

 

 

Central Intelligence Agency (aka) George Bush Center For Intelligence ( Night - Left Turn Sign - Mclean, Virginia )

( BELOW )

 

 

Central Intelligence Agency (aka) George Bush Center For Intelligence - Headquarter - Current Building ( Top View - McLean, Virginia )

( BELOW )

 

 

 

Central Intelligence Agency (aka) George Bush Center For Intelligence - Headquarter - Current Building ( New Front Entrance - Panorama - McLean, Virginia )

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24/08/2011 | Lien permanent

USA : manifestation contre Obama

Up to two million march to US Capitol to protest against Obama's spending in 'tea-party' demonstration

By Mail Foreign Service
Last updated at 9:39 PM on 12th September 2009

Up to two million people marched to the U.S. Capitol today, carrying signs with slogans such as "Obamacare makes me sick" as they protested the president's health care plan and what they say is out-of-control spending.

The line of protesters spread across Pennsylvania Avenue for blocks, all the way to the capitol, according to the Washington Homeland Security and Emergency Management Agency.

People were chanting "enough, enough" and "We the People." Others yelled "You lie, you lie!" and "Pelosi has to go," referring to California congresswoman Nancy Pelosi.

Tens of thousands of people converged on Capitol Hill on Saturday to protest against government spending

Tens of thousands of people converged on Capitol Hill on Saturday to protest against government spending

Demonstrators waved U.S. flags and held signs reading "Go Green Recycle Congress" and "I'm Not Your ATM." Men wore colonial costumes as they listened to speakers who warned of "judgment day" - Election Day 2010.

Richard Brigle, 57, a Vietnam War veteran and former Teamster, came from Michigan. He said health care needs to be reformed - but not according to President Barack Obama's plan.

"My grandkids are going to be paying for this. It's going to cost too much money that we don't have," he said while marching, bracing himself with a wooden cane as he walked.

FreedomWorks Foundation, a conservative organization led by former House of Representatives Majority Leader Dick Armey, organized several groups from across the country for what they billed as a "March on Washington."

Organizers say they built on momentum from the April "tea party" demonstrations held nationwide to protest tax policies, along with growing resentment over the economic stimulus packages and bank bailouts.

US President Barack Obama sports a mustache famously worn by German dictator Adolf Hitler

US President Barack Obama sports a mustache famously worn by German dictator Adolf Hitler

Demonstrators hold up banners on Capitol Hill in Washington on Saturday

Demonstrators hold up banners on Capitol Hill in Washington on Saturday

Many protesters said they paid their own way to the event - an ethic they believe should be applied to the government.

They say unchecked spending on things like a government-run health insurance option could increase inflation and lead to economic ruin.

Terri Hall, 45, of Florida, said she felt compelled to become political for the first time this year because she was upset by government spending.

"Our government has lost sight of the powers they were granted," she said. She added that the deficit spending was out of control, and said she thought it was putting the country at risk.

Anna Hayes, 58, a nurse from Fairfax County, stood on the Mall in 1981 for Reagan's inauguration. "The same people were celebrating freedom," she said. "The president was fighting for the people then. I remember those years very well and fondly."

Saying she was worried about "Obamacare," Hayes explained: "This is the first rally I've been to that demonstrates against something, the first in my life. I just couldn't stay home anymore."

march


The heated demonstrations were organized by a Conservative group called the Tea Party Patriots

The heated demonstrations were organized by a Conservative group called the Tea Party Patriots

Like countless others at the rally, Joan Wright, 78, of Ocean Pines, Md., sounded angry. "I'm not taking this crap anymore," said Wright, who came by bus to Washington with 150 like-minded residents of Maryland's Eastern Shore. "I don't like the health-care [plan]. I don't like the czars. And I don't like the elitists telling us what we should do or eat."

Republican lawmakers also supported the rally.

"Republicans, Democrats and independents are stepping up and demanding we put our fiscal house in order," Rep. Mike Pence, chairman of the House Republican Conference, said.

"I think the overriding message after years of borrowing, spending and bailouts is enough is enough."

Other sponsors of the rally include the Heartland Institute, Americans for Tax Reform and the Ayn Rand Center for Individuals Rights.

Recent polls illustrate how difficult recent weeks have been for a president who, besides tackling health care, has been battling to end a devastatingly deep recession.

Fifty percent approve and 49 percent disapprove of the overall job he is doing as president, compared to July, when those approving his performance clearly outnumbered those who were unhappy with it, 55 percent to 42 percent.

Just 42 percent approve of the president's work on the high-profile health issue.

The poll was taken over five days just before Obama's speech to Congress. That speech reflected Obama's determination to push ahead despite growing obstacles.

"I will not waste time with those who have made the calculation that it's better politics to kill this plan than to improve it," Obama said on Wednesday night. "I won't stand by while the special interests use the same old tactics to keep things exactly the way they are.

"If you misrepresent what's in the plan, we'll call you out. And I will not accept the status quo as a solution."

Prior to Obama's speech before Congress U.S. Capitol Police arrested a man they say tried to get into a secure area near the Capitol with a gun in his car as President Barack Obama was speaking.

Police spokeswoman Sgt. Kimberly Schneider said Thursday that 28-year-old Joshua Bowman of suburban Falls Church, Virginia, was arrested around 8 p.m. Wednesday when Obama was due to speak.

'Parasite-in-chief': The title given to the American President during the demonstrations on Saturday

'Parasite-in-chief': The title given to the American President during the demonstrations on Saturday

Bowman's intentions were unclear, police said.

Today's protests imitated the original Boston Tea Party of 1773, when colonists threw three shiploads of taxed tea into Boston Harbour in protest against the British government under the slogan 'No taxation without representation'.

The group first began rising to prominence in April, when the governor of Texas threatened to secede from the union in protest against government spending. Waves of tea party protests have crossed America since.

Today's rally, the largest grouping of fiscal conservatives to march on Washington, comes on the heels of heated town halls held during the congressional August recess when some Democratic lawmakers were confronted, disrupted and shouted down by angry protestors who oppose President Obama's plan to overhaul the health care system.

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13/09/2009 | Lien permanent

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