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06/03/2014

Dîner du CRIF : Cukierman: la lutte contre l'antisémitisme et l'antisionisme doit être une "cause nationale"

Mais bien sûr, acceptons et rendons-nous tous les complices de tous les crimes commis par l’Etat sioniste d’Israël en Palestine, dans le monde et en Europe notamment par le biais de tous ses lobbys dont celui de l’Union Européenne largement influencée par le Parlement Juif Européen.

L'Effarante Inauguration d'un Parlement JUIF Européen !

http://www.youtube.com/watch?v=-Hfz97iqzgA


Quelqu’un peut-il nous dire ce que je viens faire un Parlement Juif Européen à l’UE et qui statue dans les locaux de l’Union Européenne ?

Enfin bref ! Fermons-la sur tous les crimes commis contre les peuples innocents dans l’objectif de les laisser nous coloniser, nous détruire, nous ruiner et nous instaurer le Nouvel Ordre Mondial tant désiré par leurs élites promotrices : Illuminati-sionistes-reptiliens-satanistes.

Cukierman: la lutte contre l'antisémitisme et l'antisionisme doit être une "cause nationale"

Par AFP, publié le 05/03/2014 à 10:32, mis à jour à 10:44

Paris - Antisémitisme à l'extrême droite, antisionisme à l'extrême gauche: le président du Crif Roger Cukierman a appelé mardi soir François Hollande à mobiliser la France contre ces deux fléaux en en faisant "une cause nationale".

Cukierman: la lutte contre l'antisémitisme et l'antisionisme doit être une "cause nationale"

Le président du Crif Roger Cukierman (à d) et le président français François Hollande, à Paris le 4 mars 2014

afp.com/Michel Euler

"Il faut attaquer très tôt la propagation de la haine", a expliqué Roger Cukierman lors du dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France. "On ne naît pas antisémite, on le devient, par bêtise, par ignorance, ou par préjugé.

"Faites-en une cause nationale !", a-t-il imploré François Hollande, en appelant à un rassemblement, le 19 mars à Paris, pour commémorer les assassinats perpétrés il y a deux ans à Toulouse par Mohamed Merah contre six personnes, dont trois enfants juifs. 

S'exprimant devant le chef de l'Etat et 800 personnalités, M. Cukierman a tenu un discours sombre, témoignant de son inquiétude à l'égard de l'atmosphère d'intolérance régnant dans le pays. 

Parmi les invités au Pavillon d'Armenonville à Paris, -qui comptaient ministres, sénateurs, députés, ambassadeurs, maires du Grand Paris, responsables religieux-, le président du Crif a accueilli Michel Antangana, Français d'origine camerounaise récemment libéré après 18 ans d'internement au Cameroun. 

"J'aurais aimé évoquer le dicton +Heureux comme un juif en France+, a déclaré M. Cukierman (...) Je dois malheureusement recourir à l'humour juif, souvent grinçant. Qu'est-ce qu'un antisémite ' +C'est quelqu'un qui déteste les Juifs plus que nécessaire+". 

"La bête immonde est, hélas, bien présente, aujourd'hui, en France", a déploré le président du Crif, que la chute du nombre d'actes antisémites, en baisse de 31% en 2013 selon le Service de protection de la communauté juive (SPCJ), n'a guère rassuré. 

- "Risque d'être agressé" - 

"Je pense avec tristesse, avec inquiétude, avec angoisse, aux ignobles slogans lancés par quelques milliers d'individus parmi les manifestants du dimanche 26 janvier à Paris. Ils hurlaient: +Juifs dehors, la France n'est pas à toi!+". 

Pour M. Cukierman, qui a rappelé son passé d'enfant caché et celui de sa famille, "gazée et brûlée par Hitler et ses complices", "A Paris, dans le métro, porter une kippa, c'est prendre le risque d'être agressé". 

Il a évoqué la progression spectaculaire du Front national avec "sa cohorte d'antisémites, de vichystes et de négationnistes réfugiés derrière sa dirigeante, attentive à ne pas commettre d'impair". 

Mais il a également dénoncé, à l'extrême-gauche, "l'antisionisme, nouvel habit de l'antisémitisme. Car s'il n'y est pas convenable d'être antisémite, il est élégant de fustiger l'Etat d'Israël". 

A cet égard, le président du Crif s'est étonné que les appels au boycottage en France ciblent un seul des 200 pays de l'ONU. "Je peux vous citer 50 pays dont les frontières sont contestées par leurs voisins en Afrique, au Moyen-Orient, ou sur l'immense continent asiatique". 

"Concernant Israël", a-t-il poursuivi, "des positions extrémistes sont parfois attribuées au CRIF. A tort (...) Nous avons pour objectif que l'Etat d'Israël vive en paix aux côtés d'un Etat de Palestine. Nous souhaitons qu'Israël, où 20 % de la population pratique la langue française, soit enfin admis dans l'Organisation de la Francophonie financée par le contribuable français". 

M. Cukierman a également "suggéré que la France se démarque du reste du monde et reconnaisse Jérusalem comme la capitale d'Israël". 

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