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05/09/2008

Diana : la thèse de l'attentat sur France 3. Samedi 25 août à 22 h 55

Diana: la thèse de l'attentat sur France 3. Samedi 25 août à 22 h 55 - 90 mn - 26 août 2007
France 3 ouvre à nouveau l'enquête sur la mort de Diana. Le documentaire choisi par la chaîne publique, signé Francis Gillery, pourrait bien semer le trouble sur cette affaire. L'auteur démonte, point par point, les explications officielles: l'ivresse du chauffeur, la vitesse excessive, la fuite folle de la voiture dans les rues de Paris essayant d'échapper à une meute de paparazzis... Tout cela serait faux. Le journaliste va encore plus loin. Il explique que le couple - Diana et Dodi al-Fayed - ne serait pas venu à Paris pour un simple voyage en amoureux mais pour la signature d'un contrat secret. Ce dernier aurait été, en réalité, un piège tendu pour affaiblir le père, Mohammed al-Fayed. Selon l'auteur du documentaire, l'électronique de la voiture aurait été trafiquée et des spécialistes estiment parfaitement possible de provoquer un accident du véhicule à distance. Enfin, Francis Gillery note qu'un photographe attendait sous le tunnel de l'Alma avant le drame. La même émission passera au Québec à RDI. Comique qu'on révèle les autres angles de ce meurtre haut de gamme que les soit-disant conspirationistes avaient élaboré dès les débuts de l'histoire, la même semaine dans 2 pays de chaque côté de l'Atlantique. Le libre échange entre le Québec et la France ? Ou bien créer une déstabilisation en Angleterre face à l'imposture des Windsor.
 
Vidéo : la thèse de l'attentat sur France 3.
 
 

Réchauffement : L'escroquerie du CO2 !

Qui était Marcel LEROUX ?

04/09/2008

Espace : Soleil, le calme avant la tempête ?

Soleil : le calme avant la tempête

C'est officiel. Le minimum d'activité solaire est là. Les tâches solaires sont disparues.
Les éruptions solaires sont inexistentes et le soleil est complètement calme. Un peu comme le calme avant la tempête

http://www.imaginascience.com/actualites/accueil_actualites.php?action=fullnews&showcomments=1&id=121

 

Science : LE LHC ou accélérateur de particules nucléaires

L'accélérateur de particules nucléaires
http://mediaplayer.archives.tsr.ch/cern-accelerateur/3.wmv

Le CERN aux frontières de la matière
Dossier CERN
 
Le CERN pourrait provoquer un trou noir avec son grand collisioneur
 
LE LHC
 
LHC France
 
Accélérateur : les débuts des accélérateurs linéaires et circulaires
 
Une plainte a été déposée contre l'accélérateur de particules géant du CERN. Sécurité en cause
http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=200002&sid=...

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Géopolitique : L'europe otage de la Russie ? Emission C dans l'air du 3 septembre 2008

Emission C dans l'air:
 
Un nouvel ordre mondial, aux effluves de gaz, se joue-t-il dans le Caucase ? Après le conflit en Géorgie et la reconnaissance russe des indépendances d'Ossétie du Sud et d'Abkhazie, l'UE a condamné la politique de son principal fournisseur de gaz... sans sanctions. 

Pendant que les Géorgiens enterrent leurs morts, s'organisent avec l'aide d'ONG pour accueillir des centaines de réfugiés et manifestent dans les rues de la capitale pour dénoncer "l'agression russe" le regard tourné vers l'ouest, l'Europe hésite à nouveau entre apaisement et fermeté face au maintien des troupes russes sur ce territoire et à la reconnaissance par Moscou de l'indépendance de l'Ossétie du Sud et de l’Abkhazie.

Convoqué en session extraordinaire pour la première fois depuis 2003, les vingt-sept chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union européenne se sont retrouvés, lundi 1er septembre 2008, à Bruxelles, pour discuter de la situation dans le Caucase et se mettre d'accord sur la réaction à avoir face à la Russie.

Divisés sur cette question, entre partisans d'une ligne dure et modérés, l'UE a finalement choisi de reporter les négociations sur un nouveau "partenariat" avec la Russie "tant que le retrait des troupes (russes) sur leurs positions antérieures au 7 août n'aura pas été réalisé", en référence à la date du déclenchement de la guerre en Géorgie.

Mais cette décision en forme de compromis peut-elle calmer le jeu et permettre de faire appliquer le plan en six points qui encadre le cessez-le-feu en Géorgie et prévoit un retrait des militaires russes ? Que peut réellement faire l'Europe face à la Russie ? Car derrière un conflit qui est d’abord politique, viennent s’ajouter des enjeux énergétiques.

Première productrice mondiale de gaz, la Russie fournit environ un quart de la consommation européenne, ainsi que de pétrole. Une situation de dépendance qui, loin de décroitre, pourrait s’amplifier. La société russe Gazprom prévoit déjà de détenir, d’ici à quatre ans, entre 10 % et 15 % du marché en France, et entre 15 % et 20 % en Grande-Bretagne d'ici à 2015.

Par ailleurs, elle multiplie depuis 2005 les investissements dans les canalisations. Il y a trois ans, le géant énergétique a lancé le projet d’un gazoduc sous la Baltique, en partenariat avec les allemands E.ON et BASF ainsi qu'avec le néerlandais Gasunie. Il a ensuite conclu un accord avec l'opérateur italien ENI pour la construction d'un autre réseau, le South Stream.

Ainsi cette société russe va pouvoir accroître sa domination sur le marché européen, qui devrait souffrir par ailleurs de l'épuisement des gisements en mer du Nord exploités par le Royaume-Uni et les Pays-Bas...