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14/12/2008

LIVRE: Guerre et mondialisation, La vérité derrière le 11 septembre par Michel Chossudovsky

Dans ce livre-choc, Michel Chossudovsky remet en question la thèse répétée par les médias que les attaques du 11 septembre sont la conséquence de «lacunes» des services de renseignements américains. À partir d'une recherche méticuleuse, l'auteur décrit des enjeux politiques derrière le 11 septembre et dévoile non seulement le camouflage mais également la complicité de hauts responsables au sein de l'administration Bush.

D'après l'auteur, la «guerre contre le terrorisme» n'est qu'un mensonge reposant sur l'illusion véhiculée auprès de l'opinion publique, qu'un seul homme, Oussama ben Laden, a réussi à déjouer l'appareil des services secrets américains dont le budget annuel s'élève à plus de 30 milliards de dollars.

Le 11 septembre s'est avéré le moment attendu par l'administration Bush, la «crise utile», qui lui fournissait le prétexte non seulement pour mener une «guerre sans frontières» mais également pour suspendre les libertés fondamentales et les droits constitutionnels.

Dans la foulée des événements tragiques du 11 septembre, la présumée «campagne contre le terrorisme international» se convertit en une guerre de conquête, visant à imposer un «Nouvel Ordre mondial» dominé par Wall Street et le complexe militaro-industriel américain. L'objectif caché consiste à imposer la mondialisation et à étendre les frontières de l'empire américain. Par le déploiement d'une force militaire d'une ampleur sans précédent depuis la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis se sont engagés dans une aventure militaire qui met en péril l'avenir de l'humanité.

Michel Chossudovsky est professeur de science économique à l'Université d'Ottawa et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRM). Il est l'auteur du best-seller La Mondialisation de la pauvreté, traduit dans onzes langues.

TABLE DES MATIÈRES

CHAPITRE PREMIER Vue d'ensemble: la vérité derrière le 11 septembre
Oussama ben Laden: un prétexte pour faire la guerre
Les États-Unis ont soutenu les talibans
Le plus vaste déploiement militaire depuis la Seconde Guerre mondiale
Un État autoritaire
Les planifications militaires mènent le bal
La «criminalisation» de l'appareil d'État américain
L'abolition de la primauté du droit
La législation «antiterroriste»
L'accroissement des pouvoirs du FBI et de la CIA
La crise économique mondiale
La guerre et la mondialisation

CHAPITRE II Qui est Oussama ben Laden?
Le «djihad islamique»
Le rôle de l'ISI pakistanais
Le Croissant d'or, triangle de la drogue
Au lendemain de la guerre froide
La guerre en Tchétchénie
Le démantèlement des institutions laïques de l'ancienne Union soviétique
Appui aux mouvements sécessionnistes en Inde
De source sûre
Des insurrections parrainées par les États-Unis en Chine

CHAPITRE III Washington soutient le terrorisme international
La thèse du «revirement»
La répétition du «Irangate» en Bosnie
De source sûre
La complicité de l'administration Clinton
De la Bosnie au Kosovo
Les témoignages rendus au Congrès sur les liens entre l'UCK et Oussama
Madeleine Albright protège l'UCK
Le Congrès américain endosse tacitement le terrorisme d'État
La guerre en Macédoine
Le «réseau islamiste» collabore avec l'OTAN en Macédoine
Le peuple américain induit en erreur

CHAPITRE IV Camouflage ou complicité?
Le rôle de l'ISI pakistanais dans les attentats du 11 septembre
«L'axe ISI-Oussama-talibans»
L'administration Bush collabore avec l'ISI du Pakistan
Complicité des médias américains
Réunion à huis clos au département d'État
L'espion en chef du Pakistan en mission en Afghanistan
«Le chaînon manquant»
L'Agence de renseignement militaire du Pakistan était-elle dans le coup?
Une nomination appuyée par les États-Unis
Camouflage et complicité?

CHAPITRE V Les enjeux de la guerre en Asie centrale
La conquête des réserves pétrolières et des oléoducs
Une guerre planifiée
La militarisation du corridor eurasien
La politique pétrolière
Les opérations secrètes pour le compte des géants du pétrole
La protection des pipelines
La Tchétchénie à la croisée des pipelines stratégiques
Le consortium BP-Amoco
L'affrontement entre les intérêts pétroliers européens et anglo-américains
Les transnationales russes du pétrole

CHAPITRE VI Le pipeline transafghan
Le consortium CentGas
La rivalité entre Unocal et Bridas
Les liens entre Unocal et Oussama
Bridas et les talibans
BP-Amoco dans la saga du pipeline
Le bombardement des ambassades américaines en Afrique
La poursuite judiciaire de BP-Amoco (Bridas) contre Unocal
Unocal se retire, mais temporairement
George W. à la Maison-Blanche
Unocal «nomme» un gouvernement provisoire à Kaboul
La reconstruction de l'Afghanistan

CHAPITRE VII La machine de guerre américaine
L'accroissement du potentiel militaire depuis 1999
L'économie de guerre américaine
L'armement nucléaire dans la foulée du 11 septembre
L'encerclement du la Chine
Nouvelles hypothèses militaires
L'utilisation de l'arme nucléaire contre la Chine
L'axe anglo-américain
Les États-Unis et l'Allemagne
L'intégration franco-allemande dans le secteur de l'armement nucléaire
Euro contre dollar : la rivalité entre des conglomérats financiers concurrents
Les systèmes monétaires et la «conquête économique»
Le recoupement des alliances militaires
La nouvelle doctrine de Moscou en matière de sécurité nationale
La guerre larvée entre la Russie et les États-Unis
Le complexe militaro-insdustriel russe
Le bouclier russe antimissiles et antinucléaire
Le revirement politique sous le président Vladimir Poutine

CHAPITRE VIII L'empire américain
Guerre sans frontières
Une guerre illégale
L'empire américain
Les partenaires de l'OTAN
L'appareil militaire et du renseignement
La guerre, une opération qui rapporte
La «dollarisation»
Militarisation et dollarisation de l'hémisphère occidental

CHAPITRE IX Désarmer le Nouvel Ordre mondial
Un État totalitaire
Désarmer le Nouvel Ordre mondial
Renforcer l'illusion de la démocratie
«Fabriquer de la dissidence»
Les mouvements sociaux
Le rituel du sommet parallèle
Le financement de la dissidence
Les organisations populaires de base

ÉPILOGUE «Bush savait» : le chaînon manquant du 11 septembre
Une campagne de peur et de désinformation
Le chaînon manquant
L'espion en chef du Pakistan en visite à Washington
Conférence de presse de Condoleezza Rice
Un mystérieux petit déjeuner au Capitole le matin du 11 septembre
Enquête et audiences publiques sur les «lacunes du renseignement»
Tapis rouge pour le présumé bailleur de fonds du 11 septembre
La CIA porte ombrage à la présidence
La décision d'entrer en guerre
Est-ce que Bush savait?

Source : http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=9100

03/12/2008

La cabale : Vous avez dit conspiration ? Emissions passées sur France 5

Emissions passées sur France 5.
 
Depuis le 11 septembre, les Etats-Unis se sont lancés dans une guerre au terrorisme, au nom du monde ' libre '. Cette vision ' impériale ' n'a rien de surprenant pour un pays qui, guerres mondiales mises à part, a dépêché des troupes dans 28 pays en un siècle ! Premier bénéficiaire de cette frénésie interventionniste : le complexe militaro-industriel, dont la menace fut jadis prophétisée par le président Eisenhower. 50 ans plus tard, à l'heure de la présence américaine en Irak, le Pentagone (ministère de la Défense, nda) absorbe à lui seul les trois quarts des dépenses militaires de la planète. La démocratie américaine peut-elle survivre à un tel appétit pour le recours à la force ? Dans ce film, Karen Kwiatkowski, ex-militaire de carrière, et Joe Trento, écrivain, racontent les ressorts d'une addiction à la guerre sans cesse croissante. Ils reviennent pour cela sur la genèse de la guerre d'Irak, la sophistication criminelle du ' scénario ' servi à l'opinion à propos des armes de destruction massive. Ils détaillent le mensonge fait au peuple américain, au Congrès, aux alliés, aux Nations Unies, au monde... et ses dégâts politiques. Jamais auparavant la Maison Blanche n'avait initié un conflit de cette envergure sur un tel mensonge et pour des raisons aussi éloignées des intérêts supérieurs de la nation américaine. Pour nos personnages, la guerre d'Irak constitue un ' détournement de la nation '. Elle est le prototype de la guerre de l'avenir, la ' guerre éternelle, sans claire définition de la victoire ', alimentée par la création permanente ' d'ennemis imaginaires '. Sombre bilan, à l'heure de l'actuelle ' crise iranienne '. A partir de la genèse du fiasco irakien, ce film s'offre comme une plongée sur Washington et ses arcanes, un monde secret aux mains de marchands d'influence prospérant sur le sang des autres. Parmi eux, le principal architecte de la guerre d'Irak : le vice-président Dick Cheney.(Programme sous-titré par télétexte pour les sourds et les malentendants). Image ci-dessus : © prod
 
 

16/11/2008

Crash financier : Rupture du Système Monétaire Mondial d'ici l'été 2009

La réunion du G20 à Washington des 14/15 Novembre 2008, est en soi un indicateur historique, qui signale la fin du monopole occidental, avant tout anglo-saxon, sur la gouvernance économique et financière mondiale. Mais, pour LEAP/E2020, cette réunion a aussi clairement démontré que ces sommets sont condamnés à l'inefficacité face à la crise car ils se limitent à traiter les symptômes (dérives financières des banques et autres hedge funds, explosion des produits financiers dérivés, volatilité extrême des marchés financiers et des devises, ...) sans traiter la cause principale de la crise systémique globale actuelle, à savoir l'effondrement du système de Bretton Woods fondé sur le Dollar US comme pivot de l'édifice monétaire mondial. Sans remise à plat complète du système hérité de 1944 d'ici l'été 2009, la faillite du système actuel et des Etats-Unis qui en sont le coeur entraînera l'ensemble de la planète vers une instabilité économique, sociale, politique et stratégique sans précédent, marquée notamment par la rupture du système monétaire mondial à l'été 2009. Au vu du jargon et du calendrier technocratiques du communiqué de ce premier Sommet du G20, totalement déconnecté de la vitesse et de l'ampleur de la crise en cours (1), il est plus que probable qu'il faudra d"abord en passer par cette catastrophe pour que les problèmes de fond soient concrètement abordés et un début de réponse efficace à la crise enfin amorcé.

Quatre phénomènes fondamentaux jouent désormais à pleine puissance pour faire s'effondrer le système de Bretton Woods II (2) dans le courant de l'année 2009, à savoir :

1. Affaiblissement très rapide des acteurs centraux historiques : USA, UK
2. Trois visions d'avenir de la gouvernance globale vont diviser les principaux acteurs mondiaux (Etats-Unis, Eurozone, Chine, Japon, Russie, Brésil) d'ici le Printemps 2009
3. Accélération incontrôlée des processus (dé)stabilisateurs de la dernière décennie
4. Multiplication de chocs-retours d'une violence accrue.


La suite ici : http://www.leap2020.eu/GEAB-N-29-est-disponible!-Phase-IV...

09/11/2008

Barack Obama est-il un bon candidat pour les Juifs?

Ce n'est pas moi qui pose la question mais certains Juifs Américains eux-mêmes et cette question fait le titre de l'article ci-dessous tiré de l'hebdomadaire américain Newsweek.
D'après l'article, il faut comprendre qu'un candidat bon pour les Juifs n'est pas un candidat qui s'engagerait dans la protection de la liberté de culte des Juifs aux USA [cette dernière n'est pas remise en cause] ni dans une accentuation de la lutte contre l'antisémitisme, au sens d'hostilité contre les Juifs [cette hostilité existe mais elle est on ne peut plus marginale] ni dans une amélioration de l'intégration politique et économique des Juifs [de fait, les Juifs Américains sont surreprésentés dans les couches dominantes de la société aussi bien dans les sphères culturelles qu'économiques et politiques].
Non, un candidat bon pour les Juifs est un candidat qui soutient aveuglément l'entité sioniste et qui marque un refus catégorique de toute discussion avec le régime iranien, bref qui veut la guerre avec l'Iran.
Alors permettons-nous de poser la question suivante : d'après ces critères un candidat bon pour les Juifs est-il un candidat bon pour les Etats-Unis? Et pour tout ce qui n'est pas Juif dans ce bas monde?
Il est inutile de se faire trop d'illusions sur la capacité de M. Obama à infléchir substantiellement la politique de son pays, que ce soit au plan intérieur ou extérieur. Certes, il est bien intentionné et aura probablement une politique intérieure plus favorable aux pauvres, aux salariés, aux minorités. Ceci ne le distingue pas fondamentalement en réalité de sa rivale démocrate.
En matière de politique étrangère, la différence est plus sensible. Pour faire court, disons que ce n'est pas un va-t-en guerre compulsif et qu'il tentera effectivement d'avoir une autre approche avec l'Afrique et le Moyen-orient. Il tentera, de là à dire qu'il réussira, c'est une autre paire de manches car la politique étrangère des Etats-Unis tient forcément compte des intérêts des grands groupes financiers et industriels où le lobby sioniste est très présent.
C'est pourtant de ce côté, où existe effectivement une marge d'incertitude, que ses amis ont convaincu Mme Clinton de s'en prendre à Obama dont l'engagement en faveur de l'entité sioniste serait insuffisant. Et comme on le voit, et on le verra encore, tous les coups sont permis.
 
 

Crise financière : La dette américaine envers la Russie atteint 74,4 milliards de dollars (expert)

La dette des États-Unis envers la Russie atteint 74,4 milliards de dollars, a annoncé James Ludes, directeur exécutif du Projet pour la sécurité américaine, dans un article publié samedi par le magazine américain Parade.

"En 2001, notre dette envers la Russie était inférieure à 10 milliards de dollars. A présent, il s'agit de 74,4 milliards", a indiqué M.Ludes.

A l'heure actuelle, la Russie occupe le huitième rang parmi les créanciers des États-Unis, les trois premiers étant le Japon (585.900 milliards de dollars), la Chine (541.000 mds) et la Grande-Bretagne (307.400 mds).

La dette publique américaine envers les gouvernements étrangers s'élève à 2.600 milliards de dollars - environ 20% du PIB - et les États-Unis seront obligés de dépenser une grande partie de leur "patrimoine national" pour le service de ces dettes ces prochaines années, selon les experts américains.

En achetant la dette américaine sous forme de bons du Trésor, les gouvernements étrangers "investissent dans l'économie américaine, mais cela leur donne des leviers d'influence" ce qui rend les États-Unis vulnérables du point de vue stratégique, a déclaré M.Ludes.

Le conseil d'administration du Projet pour la sécurité américaine comprend entre autres Susan E.Rice, conseillère du président élu américain Barack Obama, six généraux américains, les sénateurs Gary Hart (candidat démocrate à la présidence américaine en 1984), John Kerry (démocrate) et Chuck Hagel (républicain), l'ancien premier sous-secrétaire d'État Richard L.Armitage et d'autres personnalités politiques influentes.