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15/03/2011

Accident nucléaire au Japon : nouveau risque d'explosion

Dépêchez-vous d'acheter et de stocker des Algues et du Miso avant que le nuage radioactif n'arrive chez nous !
Comme vous l'avez compris, les cataclysmes vont aller en s'amplifiant et les risques d'accidents nucléaires risquent de se multiplier dans un futur proche.
Vous avez donc tout intérêt à faire des réserves pour quelques temps pour vous et vos enfants.

Dans le bon de commande ci-dessous vous pourrez commander des flacons de 200 gélules contrairement au conditionnement des gélules d'algues que vous trouverez à beaucoup plus cher dans les pharmacies pour seulement 40 gélules par flacon.

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L'iode est un produit contingenté en France et n'est délivré que par les pharmacies sur Ordre de l'Etat.
N'attendez pas qu'il soit trop tard !
Lisez bien ce que nous disent les criminels de l'OMS. Pour le vaccin contre le virus imaginaire de la GrippeA/H1N1, ils nous ont mené une campagne médiatique terroriste durant des mois, et là, le risque de contamination radioctive est faible selon eux.

L'organisation mondiale de la santé  (OMS), la référence en matière de santé publique, avait emboîté le pas samedi aux autorités japonaises et européennes en estimant peu préoccupants les risques d'émanations radioactives de la centrale de Fukushima suite au premier incident. "A l'heure actuelle, il semble que les risques pour la santé publique soient assez faibles. Nous constatons que le niveau de radiations émises par une centrale nucléaire est très bas", a déclaré Gregory Hartl, porte-parole de l'OMS.
  
Sauf que l'atome ne connaît pas de frontières et que la radioactivité se déplace avec les vents.
La particule de Césium a une durée de vie trentenaire. Ce qui veut dire en clair, que si elle est véhiculée par les vents et rabattue sur les terres avec les pluies, nous la trouverons durant 30 ans, dans nos aliments et les nappes phréatiques.

Accident nucléaire au Japon : nouveau risque d'explosion

le 12 mars 2011 à 23h01, mis à jour le 12 mars 2011 à 23:25

 

Dossier : Le Japon après le séisme

L'opérateur d'une centrale nucléaire du nord-est du Japon a déclaré dimanche matin (heure locale) qu'un deuxième réacteur donnait des signes de problèmes, avec risque d'explosion, dans la même centrale où une explosion s'était produite la veille. Dimanche au petit matin (heure locale), la compagnie Tokyo Electric Power (Tepco), propriétaire de la centrale de Fukushima, tentait de trouver d'urgence  un moyen d'acheminer de l'eau vers le troisième réacteur de sa centrale de Fukushima, son système de refroidissement étant inopinément tombé en panne. C'est dans cette même centrale qu'une explosion avait fait, la veille, s'effondrer le toit du bâtiment sur un premier réacteur.  

L'organisation mondiale de la santé  (OMS), la référence en matière de santé publique, avait emboîté le pas samedi aux autorités japonaises et européennes en estimant peu préoccupants les risques d'émanations radioactives de la centrale de Fukushima suite au premier incident. "A l'heure actuelle, il semble que les risques pour la santé publique soient assez faibles. Nous constatons que le niveau de radiations émises par une centrale nucléaire est très bas", a déclaré Gregory Hartl, porte-parole de l'OMS.
 
Mais les craintes d'un accident nucléaire majeur étaient vives samedi soir, notamment chez la population japonaise vivant à proximité de cette centrale, Fukushima n°1, située à 150 km de Tokyo, où est survenue une explosion samedi à la suite du très fort séisme et du tsunami. Samedi, des milliers de Japonais évacués des zones proches des installations nucléaires de Fukushima ont été passés samedi au scanner, angoissés par la crainte d'avoir été irradiés. Dans les centres d'évacuation, des secouristes, portant des masques de protection et des vêtements spéciaux, passaient les habitants de la région au scanner pour vérifier l'exposition aux radiations. "Il y a des fuites de radiation, et depuis que l'on sait que la possibilité d'avoir été exposé est grande, on est assez effrayés", confiait Masanori Ono, jeune homme de 17 ans, dans une file d'attente à Koriyama

L'explosion, qui s'est produite à 15H36 heure locale (06H36 GMT), a fait plusieurs blessés parmi les employés. Cet accident nucléaire a été classé au niveau 4 sur l'échelle de gravité des événements nucléaires et radiologique allant de 0 à 7, selon l'Agence japonaise de sécurité nucléaire et industrielle, un niveau qui qualifie les accidents n'entraînant par de risque important hors du site, selon l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).

Entre 70 et 160 personnes auraient été exposées
  
Le chef du gouvernement a ordonné l'évacuation des habitants dans un rayon de 20 kilomètres autour de la centrale, tout en appelant la population locale à garder son calme. A propos de la situation à la centrale de Fukushima N°1, le porte-parole du gouvernement, Yukio Edano, s'est voulu rassurant : citant l'exploitant, Tokyo Electric Power (Tepco), il a souligné que le caisson du réacteur n'avait pas subi de dégâts et que les radiations avaient par la suite diminué. L'Agence japonaise de sécurité nucléaire et industrielle a jugé peu probable que le caisson eût été gravement endommagé, après avoir d'abord averti qu'une fusion pourrait être en cours dans le réacteur. Du césium radioactif a en effet été détecté aux alentours de la centrale, ce qui atteste généralement qu'un tel phénomène est en train de se produire, a noté un expert.
  
Selon l'agence Kyodo, la radioactivité reçue en une heure par une personne se trouvant sur le site correspond à la limite de radioactivité à ne pas dépasser annuellement. Les autorités japonaises ont informé l'Agence internationale pour l'énergie  atomique (AIEA) qu'"il y avait eu une explosion près du réacteur N°1 de la centrale de Fukushima-Daiichi et qu'elles étaient en train d'évaluer l'état du réacteur". A la centrale proche de Fukushima-Daini, le rayon d'évacuation des riverains est de 10 km, a précisé l'AIEA. "Les autorités ont également indiqué qu'elles se préparaient à distribuer des comprimés d'iode aux habitants des zones proches des deux centrales", a ajouté l'agence onusienne. Dimanche matin, le nombre de personnes exposées à des radiations du fait des problèmes de la centrale de Fukushima Daiichi pouvait s'élever au bout du compte entre 70 et 160, selon l'agence nucléaire nippone. Neuf personnes ont montré d'ores et déjà des signes possibles d'exposition aux radiations selon la même source.

 

Le vent emporte l'éventuelle radioactivité vers la mer

La direction des vents permet de chasser une éventuelle pollution radioactive vers le Pacifique, après l'explosion survenue dans une centrale sur la côte nord-est du Japon, a indiqué samedi le président de l'Autorité française de sûreté nucléaire (ASN). "Il semble que la direction des vents éloigne pour le moment une éventuelle pollution vers le Pacifique", a déclaré André-Claude Lacoste devant la presse. "A l'évidence, la situation est grave", a-t-il estimé, tout en soulignant que ses services disposent à ce stade "d'une information parcellaire, incomplète et donc de qualité médiocre, les interlocuteurs naturels de l'ASN se concentrant sur la gestion de la crise", a-t-il expliqué. Par ailleurs, l'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) veillera à surveiller le territoire français en temps réel pour mesurer toute anomalie. Une réunion se tiendra en fin d'après-midi samedi autour de la ministre de l'Ecologie pour faire le point sur la situation après l'explosion dans une centrale nucléaire au Japon. Et la Commission européenne va convoquer "en  début de semaine prochaine" une réunion des autorités européennes chargées de  la sécurité nucléaire et l'industrie du secteur pour tirer les leçons de l'incident nucléaire au Japon.


Explosions de réacteurs au Japon : comment se protéger des risques nucléaires ?

A DIFFUSER LARGEMENT MERCI
 
    
Quelques éléments pour vous informer sur les risques nucléaires et quelques conseils pour vous protéger, en sachant qu'il n'existe aucun moyen pour vous protéger à 100 % contre les radiations nucléaires.
Ne retenez de ces éléments, que ce qui peut servir à protéger votre santé en éliminant la propagande inutile et les médias mensonges.
Il y a un grave problème à régler et il faut le régler en nous protégeant, dès maintenant, sans nous reposer sur les déclarations farfelues des politiques aux ordres des lobbies en tous genres.
Dès lors que l'on vous parle des soi-disant "autorités" de ceci et de cela, OMS et toute la clique, fuyez et surtout écoutez votre bon sens et vos ressentis.
Ce d'autant plus qu'après des accidents nucléaires, si la fusion complète des réacteurs a lieu, ce qui est tout à fait probable, et que le caisson protecteur cède, les rejets seront plus nombreux et le risque, même en France, en Europe et dans le monde ne pourra qu’augmenter..
D’autant que les émanations radioactives pourraient s’échapper des réacteurs atteints pendant plusieurs semaines voire des mois ou des années !
Par ailleurs ne confondez pas la prise d'iode (iodure de potassium) qui est un produit contingenté qui nécessite un encadrement et qui n'est dispensé par les pharmacies que sur ordre de l'Etat, avec les algues et tous les produits alimentaires ou compléments alimentaires qui contiennent de l'iode que vous avez intérêt à prendre et à consommer pour protéger votre thyroïde. Prenez vos précautions dès maintenant en stockant des algues et en achetant du Miso.


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Nos conseils : ne vous reposez pas sur les politico-mensonges ou médias-mensonges pour commencer à vous prendre en charge dès maintenant. L'information politique et médiatique sont bonnes si elles tombent sous le bon sens, pas quand elles vont à l'encontre des intérêts et de la santé de chacun d'entre-nous.
Surtout lorsque l'on lit des déclarations de politiques qui nous assurent que "l'énergie atomique est une bonne énergie". Nous avons compris !
Idem pour l'OMS qui nous a fait à plusieurs reprises la démonstration que cet organisme était plus enclin à nous laisser nous empoisonner notamment par le biais des vaccins tueurs que de protéger notre santé. 

Conservez votre bon sens et votre esprit de discernement et écoutez vos ressentis. Une chose est sûre : les radiations nucléaires sont extrêmement nocives pour la santé. 

Pour rester informés sur l'évolution des risques qui existent déjà pour votre santé, nous vous invitons à suivre le blog du Réseau Sortir du Nucléaire par le lien suivant :
Les derniers communiqués de presse :

http://www.sortirdunucleaire.org/index.php?menu=actualites&sousmenu=communiques&page=index


1 - Explosions de réacteurs au Japon : comment se protéger des risques nucléaires ?
http://sante.planet.fr/actualites-explosions-de-reacteurs-au-japon-comment-se-proteger-des-risques-nucleaires.57106.2071.html
Un nuage dit "faiblement" radioactif s'est échappé de la centrale de Fukushima au Japon, samedi 12 mars. D'autres réacteurs nippons actuellement en difficulté pourraient eux aussi donner naissance à des émanations radioactives. Comme celui de Tchernobyl, ces nuages pourraient-ils parvenir jusqu'en France ? Peut-on s'en protéger ? Faut-il acheter de l'iode ? Faut-il comme Singapour, s'inquiéter d'une contamination radioactive des aliments asiatiques ?  
Télécharger tout l'article : ICI


Sources
- Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies relatives

- Greenpeace
- Autorité de sécurité nucléaire

http://sante.planet.fr/actualites-explosions-de-reacteurs...

12/03/2011

Des alertes de méga-tremblements de terre pour mars 2011 (pour les prochains jours), approche de la comè te Elenin et alignement planétaire

Un petit rappel de ce qui est prévu en Californie pour le mois d'avril 2011.

La Californie se prépare à une tempête de proportion biblique!
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2011/01/27/la-californie-se-prepare-a-une-tempete-de-proportion-bibliqu.html

La FEMA se prépare à quoi ?

 HUNDREDS "tanks" APC's / Medical...
moving EAST through TEXAS..
March 7, 2011 - LOOK @ 57 sec

  

Des alertes de méga-tremblements de terre pour mars 2011 (pour les prochains jours), approche de la comète Elenin et alignement planétaire

 
10 mars 2011

Les informations ci-bas ne sont pas des alertes émises par Conscience du peuple, mais bien par des rapports scientifiques et par de nombreux analystes qui observent et étudient les phénomènes célestes et les facteurs géomagnétiques.  Il semble que des désastres naturels majeurs sont à prévoir dans les prochains jours à cause d'une interaction menaçante entre l'activité intense du soleil, le positionnement de la comète Elenin et un certain alignement planétaire. 

Ces interactions créent de hautes fréquences électromagnétiques, lesquelles servent à soupçonner la production de tremblements de terre.  Les alertes de tremblements de terre émanent de partout sur le web et certains analystes indépendants disent même aux gens situés dans les zones à risque: QUITTEZ VOS DEMEURES!

La traduction de l'article ci-bas, utilisant un vocabulaire spécialisé et des notions relativement complexes, est partielle.  Toutefois, les idées de fond sont rapportées.

Un nouveau rapport publié aujourd'hui (9 mars 2011) au Kremlin, préparé pour le Premier ministre Poutine par l'Institut de Physique de la Terre à Moscou, averti que l'Amérique pourrait être frappée par un méga-séisme aux proportions catastrophiques au cours des 14 prochains jours.  Cette alerte concerne particulièrement le Sud des États-Unis, le Mexique, l'Amérique Centrale, la Côte Ouest et la région de la Faille de New Madrid.

Ce rapport affirme que les tremblements de terre majeurs en Asie sont plus susceptibles de se produire.  Le rapport fait état de l'augmentation de signaux électromagnétiques détectés dans la haute atmosphère terrestre et ce, au-dessus de nombreuses régions du monde.  La plus grande concentration de ces signaux se trouve au-dessus de la Côte Ouest américaine et du Mid-Ouest.

Il est important de noter que les scientifiques russes et britanniques arrivent à faire des prédictions sur les tremblements de terre à partir des signaux électromagnétiques et ils utilisent des satellites à cet effet pour les détecter.

Plus inquiétant dans ce rapport sont les scientifiques russes qui confirment l'analyse indépendante d'un mathématicien de la Nouvelle-Zélande, Ken Ring, qui a prédit le tremblement de terre de Christchurch et qui a publié une autre mise en garde d'un séisme devant se produire tout près du 20 mars prochain.

Le mathématicien explique que les planètes influencent la Terre, de manière indirecte, en ayant un effet sur le Soleil.  Certaines planètes sont très grosses dont voici un comparatif: si le Soleil était un ballon de basketball, Jupiter et Saturne seraient de la taille d'un pamplemousse et la Terre serait de la taille d'un grain de poivre.

Jupiter et Saturne causent de grandes "marées" sur le Soleil quand elles arrivent de chaque côté de celui-ci.  Ces "marées" deviennent des éruptions solaires.  En ce moment, nous avons Jupiter et Saturne de chaque côté du Soleil ce qui crée une "souque-à-la-corde" avec la Terre qui se trouve au milieu (une lutte sans merci contre la Terre).   Cela a commencé en septembre et ça doit se poursuivre jusqu'au mois de mai.  En septembre, la Terre a été en ligne droite avec Jupiter, Saturne et le Soleil.  C'est pourquoi il y a eu plusieurs tremblements de terre autour de 7 et plus.  Par exemple, il y a eu un tremblement de terre au Pakistan le même jour que Christchurch.  Cet alignement de Jupiter et Saturne se poursuit jusqu'en mai et la Terre revient dans la ligne en mars.  C'est pourquoi il peut y avoir un évènement extrême, peut-être un grand tremblement de terre, aux environs du 20 mars, quand la Lune sera dans une position de déclenchement.

Le rapport fait mention que des systèmes massifs de basse pression sont associés à des tremblements de terre catastrophiques et ceux-ci sont particulièrement observés dans la région du Mid-Ouest des États-Unis où tombent d'énormes quantités de pluie.  La zone de la Faille de New Madrid est marquée par ce phénomène, dont l'Arkansas qui a subi plus de 800 tremblements de terre au cours des 6 derniers mois seulement. 

La Bolivie a subi un système de basse pression la semaine dernière qui a causé 52 morts.

Le plus inquiétant dans ce rapport est la mise en garde sur l'État de Californie qui serait sur le point de subir un méga-tremblement de terre, considérant les morts massives de poissons  Le tremblement de terre qui a frappé la Nouvelle-Zélande a été précédé, la veille, par un échouage massif de baleines...

Les pronostics sont plutôt sombres parce que le Soleil continue de manifester un haut niveau d'explosions solaires, particulièrement dans les derniers jours et pour les prochains jours.

Ce qui est intéressant à noter est que l'armée américaine a annoncé cette semaine qu'un exercice majeur prenait place impliquant l'armée, la CIA, les officiers canadiens, le Trésor américain, les services d'États, l'Agence américaine pour le développement international et la Croix-Rouge.  Cet évènement aura lieu entre le 21 et le 25 mars à Fort Leavenworth, au Kansas. 

[Notez le transport par train, le 7 mars 2011, de plus de 100 véhicules blindés].

Ce rapport conclut que pour l'instant, aucune méthode scientifique fiable peut prédire les tremblements de terre.  Toutefois, des coïncidences conduisant à des méga-séismes permettent tout de même d'être aux aguets. 

Mieux vaut être préparés et recevoir l'avertissement avant!

 

Sources:

March Mega Quake Warning Issued For United States
http://www.whatdoesitmean.com/index1457.htm

BIG EARTHQUAKE TO COME! Get Away From the Fault Zones!!!
http://www.youtube.com/watch?v=r7QAZPb-IEQ&feature=player_embedded#at=43


 

http://consciencedupeuple2007.blog.mongenie.com/index/p/2011/03/991022

 

 

Très violent séisme au Japon, un tsunami de 10 mètres

 D'une magnitude de 8,9, le tremblement de terre est l'un des plus puissants du siècle. On dénombre au moins quatre morts, une dizaine de disparus, des toits effondrés, des zones inondées, des incendies, des blessés...

Le très fort séisme, de magnitude 8,9, qui s'est produit vendredi 11 mars faisant au moins 19 morts au large des côtes nord-est du Japon pourrait avoir causé "des dégâts considérables", a déclaré à la presse le porte-parole du gouvernement.

Voir la vidéo sur le site d'info.

Dix-neuf morts, une dizaine de disparus, des toits effondrés, des zones inondées, des incendies et des blessés ont déjà été signalés par les médias.


Le gouvernement fait de son mieux pour coordonner les secours et opérations de sauvetage, "en prenant comme hypothèse que ce tremblement de terre a fait des dégâts considérables", a affirmé aux journalistes Yukio Edano.

Les autorités ont décidé de dépêcher des avions et des navires aux abords de la préfecture de Miyagi (nord-est), la plus fortement touchée, selon les médias.
La secousse la plus forte, d'une magnitude de 8,9 selon l'Institut de géophysique américain (USGS), s'est produite à 24,4 km de profondeur à 14H46 (05H46 GMT) et à une centaine de kilomètres au large de la préfecture de Miyagi. Elle a été suivie de nombreuses fortes répliques.

Tsunami de 10 mètres

En photos
  •  [EN IMAGES] Le séisme au Japon

Un tsunami de 10 mètres a déferlé sur les côtes de Sendai (nord-est du Japon), après le très violent séisme survenu peu auparavant, ont affirmé les médias. La piste de l'aéroport de Sendai, située dans la préfecture de Miyagi, a été inondée, selon les médias.

D'autres points de la côte du Pacifique ont également été touchés par des vagues de plusieurs mètres de haut.

Un tsunami de 7 mètres a également été signalé plus tard le long de la préfecture de Fukushima, située au sud de celle de Miyagi.

Le parking du gigantesque complexe de loisirs Tokyo Disney Resort (Disneyland), dans la préfecture de Chiba, à quelques kilomètres de la capitale, est également sous les eaux.

L'Agence de météorologie japonaise maintenait en alerte rouge ou orange toutes les côtes est et nord de l'archipel, ainsi qu'une partie des flancs ouest.

Une alerte au tsunami a en outre été émise vendredi pour pratiquement toutes les côtes du Pacifique, y compris celles de l'Australie et de l'Amérique centrale et du Sud.
Aux îles Mariannes, situées dans le Pacifique, un ordre d'évacuation a été lancé dans certaines zones.

Magnitude de 8,9

La secousse la plus violente, d'une magnitude de 8,9 selon l'Institut de géophysique américain (USGS), s'est produite à 24,4 km de profondeur à 14h46 (5h46 GMT, soit 6h46 heure de Paris) et à une centaine de kilomètres au large de la préfecture de Miyagi.

Une violente réplique du séisme s'est produite à 15h20 (6h20 GMT, soit 7h20 heure de Paris) et a fait trembler les immeubles de Tokyo.

Des morts, des disparus

 Image de la télévision NHK montrant un usine d'huile en feu à Ishira la suite du séisme Japon tsunami

Image de la télévision NHK montrant une usine d'huile en feu à Ishira (près de Tokyo) après le séisme (AFP) 

 

Dans la capitale, située à 380 km de distance, les constructions ont été secouées pendant au moins deux minutes et la plupart des occupants se sont précipités dans les rues.

Le toit d'un bâtiment s'est effondré à Tokyo, il y a des blessés, selon les pompiers. Six incendies ont été signalés à Tokyo, a rapporté l'agence de presse Jiji.

Au moins quatre personnes sont mortes et une dizaine étaient portées disparues. Un homme de 77 ans a été tué par l'écroulement d'un mur de pierre dans la préfecture de Chiba (région de Tokyo), une personne est décédée dans la région de Miyagi (nord-est) après la chute d'un objet et un homme est mort après le passage d'un tsunami dans un port de la préfecture d'Iwate (nord-est), a énuméré l'agence Jiji.

Une vieille dame a par ailleurs perdu la vie, ensevelie sous un toit tombé dans la préfecture d'Ibaraki (région de Tokyo).

Huit personnes étaient par ailleurs portées disparues après un glissement de terrain dans la région de Fukushima (nord-est) et un collégien a été emporté par les vagues du tsunami dans la préfecture de Miyagi, selon les médias.

Plusieurs personnes ont en outre été blessées à Tokyo, après l'effondrement du toit d'un centre de conférence où 600 étudiants participaient à une cérémonie de remise de diplômes, ont annoncé les pompiers.

Au moins 20 personnes ont aussi été blessées à Osaki, dans la préfecture de Miyagi (nord-est), certaines touchées par des chutes d'objet et d'autres prises au piège sous des débris, a rapporté l'agence Kyodo citant les pompiers.

Les transports paralysés

Les transports aériens, ferroviaires et routiers ont été interrompus dans une bonne part du pays. Le trafic a été stoppé dans le grand aéroport de l'archipel, à Narita (région de Tokyo), où les services aéroportuaires vérifiaient l'état des pistes.

Les trains express Shinkansen ont été immédiatement arrêtés dans tout le nord-est de l'archipel, et les autoroutes de la région de Tokyo fermées quelques minutes après le tremblement de terre.11 03 11 Miyagi afp

Dans la préfecture de Miyagi (image de la télévision japonaise) AFP PHOTO / HO / NHK

 (Nouvelobs.com avec AFP)

  

Sur le même sujet

26/02/2011

Un atoll voisin de Mururoa sous la menace d’un tsunami

Toute action entraine une réaction, un atoll Français risque de payer le prix fort, des essais nucléaires que la France a effectué de 1966 à 1995! la population est inquiète (à juste titre) car rien n’est prévu pour eux, à part une sirène.

L'atoll de Tureia en Polynésie française. (crédits photo : Nasa)

Les essais nucléaires français ont fragilisé le sous-sol polynésien. Un glissement souterrain de roches, très probable à moyen terme, provoquerait un raz-de-marée dévastateur pour l’île de Tureia.

L’atoll polynésien de Tureia pourrait bien être anéanti. Situé à une centaine de kilomètres de Mururoa, ce petit bout de terre est sous la menace directe d’un tsunami de grande ampleur. A Mururoa, le sous-sol fragilisé par les 138 essais nucléaires français, menés entre 1966 et 1995, menace en effet de céder à tout moment, notamment au nord-est de l’atoll.Or une importante rupture provoquerait un long train de vagues en direction de Tureia, selon les dernières simulations du Commissariat à l’énergie atomique (CEA) rendues publiques en janvier. Ces dernières montrent que les lames de fond espacées d’un kilomètre chacune se dirigeraient à une vitesse de 600 kilomètres par heure vers le nord-est. Elles feraient entre 2 et 3 mètres au moment de déferler sur les 227 habitants de Tureia où elles détruiraient presque tout sur leur passage. Seul le nord de l’atoll serait en partie préservé, abrité par les terre du sud-ouest.

Ce scénario correspond à l’hypothèse la plus pessimiste retenue par la rédactrice du rapport, Mireille Flouzat, celle d’un glissement souterrain de 670 millions de mètres cube de roches carbonatées. Une hypothèse loin d’être improbable. Le rapport Fairhurst* aboutissait déjà en 1998 à cette même conclusion. Il évoquait un affaissement souterrain « prévisible » à court terme géologique (soit un à deux siècles) d’un volume de 600 millions de mètres cube de roche. Depuis cette époque, toutes les données de terrain semblent confirmer la grande fragilité des côtes. Le nombre de fractures et d’effondrements mineurs a par exemple doublé entre 1997 et 2007, d’après les données du système de surveillance Telsite mis en place et géré par le CEA sur le nord-est de l’atoll.

D’immenses risques radioactifs

Venu présenter fin janvier les dernières prévisions du CEA, le délégué à la sûreté nucléaire Nicolas Jurien de la Gravière a d’ailleurs pu constater l’inquiétude grandissante des Polynésiens qui ont rédigé une pétition. Ces derniers s’alarment notamment de l’absence de procédures d’évacuation adaptées ou de dispositifs anti-tsunami (murs, plateformes surélevées, etc). « L’État a fixé des sirènes sur la mairie [de Tureia] (…), c’est pour nous prévenir que nous allons tous crever », s’énerve Maoake Brander qui dénonce ce manque de préparation. Pour le moment, les données de Telsite sont envoyées directement en métropole. Paradoxalement, les rapports d’activité n’arrivent à Mururoa qu’avec plusieurs mois de retard. Le système Telsite ne pouvant prévoir l’imminence d’un effondrement qu’avec quelques jours d’avance, les plans de prévention et procédures d’alerte associés doivent impérativement êtres modifiés.

Les habitants du Mururoa s’inquiètent par ailleurs des conséquences radioactives qu’auraient de tels mouvements géologiques. Au nord-est de l’atoll, 28 ogives ont été tirées dans le sous-sol, pour une puissance totale équivalente à 15 fois celle de la bombe d’Hiroshima. Cette radioactivité reste globalement confinée dans le sous-sol. Mais une importante rupture géologique pourrait déchirer « la peau imperméable extérieure protectrice », prévenait le rapport Fairhurst* en 1998. Et aucune simulation n’a été effectuée pour évaluer les impacts sur les populations et sur le milieu biologique d’un tel événement.

*commandité par le gouvernement français et réalisé par la Commission géomécanique internationale sous l’égide du Pr Fairhurst.

article source Tristan Vey pour le figaro.fr

 

» DOCUMENT - Surveillance géomécanique de l'atoll de Mururoa (bilan 2007)

» DOCUMENT - Conséquences d'un glissement de terrain de grande ampleur

http://lesmoutonsenrages.wordpress.com/2011/02/25/un-atol...