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10/04/2011

Séismes/ceinture Pacifique : le Soleil montré du doigt par des scientifiques

Ecoutez bien ce scientifique qui ne parle aussi que d'électricité dans le cosmos et dans tous les être vivants y compris les humains.

Comme quoi nous sommes tous reliés par l'électricité, non seulement à la Terre par l'électromagnétisme, mais aussi à l'Univers électrique.

Par ailleurs, il nous confirme que le maximum solaire sera atteint en 2013. Ce qui veut dire que les éruptions solaires déjà très fortes ces derniers mois, vont aller en s'accentuant jusqu'en 2013.

Comme les scientifiques impliquent les éruptions solaires comme étant la cause des cataclysmes, des tremblements de terre et des tsunami, de l'allumage de la ceinture de feu, l'inversion des pôles magnétiques, de la mort des animaux, et qu'avant d'arriver à 2013, nous devrons passer par les dates du 28 octobre 2011 et du 21 décembre 2012. Il se pourrait bien que le calandrier galactique Maya ait raison pour ce qui concerne notre entrée dans le nouveau monde vibratoire que nous devrions atteindre bientôt.

Pour rappel : le calendrier Galactique Maya n'a jamais prédit la fin du monde mais comme son nom l'indique, il prévoit notre entrée dans un nouveau cycle galactique pour notre système solaire et la fin d'un précédent cycle galactique de 26 000 ans.

Il est donc mensonger pour les adeptes de l'apocalyspe et les religieux qui sont en train de faire leur garde-manger des prophéties soi-disant apocalyptiques, de prédire la fin du monde. Du reste le terme Apocalypse ne veut pas dire la fin du monde, mais la grande révélation de ce que nous sommes.


La fin du monde n'existe pas car l'Univers est éternel et toujours en pleine transformation, c'est la définition même de la vie éternelle. Rien ne se perd tout se transforme !

Il faudrait être complètement ignorant pour s'imaginer que la Terre puisse disparaître un jour alors qu'elle existe depuis des milliards d'années. La seule chose qui puisse disparaître c'est notre civilisation ignorante pour laisser la place à une autre civilisation plus évoluée sur les plans neurologique et spirituel.

De deux choses l'une : ou notre civilisation prend conscience de ce qu'elle est, en lien étroit avec son créateur et de son Unité avec l'Univers, elle reprend son pouvoir sur les élites Illuminati-reptiliennes, ou elle disparaîtra, au choix.

On ne voit donc pas où se situerait la fin du monde dans ces conditions. Ce ne serait que la fin d'une civilisation ignorante et de vous à nous, ce sera tant mieux !

Il serait sans doute temps de passer à autre chose, maintenant.

Brèves /






Séismes/ceinture Pacifique : le Soleil montré du doigt par des scientifiques

24 mars 2011 (Nouvelle Solidarité) – Selon l’astrophysicien britannique
Piers Corbyn, ce serait bien l’éruption solaire de classe X (les plus puissantes) du 9 mars et l’éjection de masse coronale du 7 mars signalée par la NASA, qui auraient déclenché le séisme de magnitude 9 au Japon le 11 mars.


Le 21 mars est apparue une importante tache solaire que certains pensent être une résurgence plus puissante de celle qui provoqua les éruptions du 7 et du 9. L’activité de cette tache
est intense en radiation UV et pourrait émettre des vents violents de protons d’une énergie de 50 Méga electron-volt. Dans une interview avec Voice of Russia , le directeur adjoint de l’Institut géographique de l’Académie des sciences russe, Arkady Tishkov, a expliqué que « les cycles d’activité sismique de la Terre sont en lien direct avec les évènements solaires. Le soleil éjecte des masses de protons qui affectent l’activité de la terre. »


Corbyn et Tishkov soulignent aussi le rôle de la Lune qui a atteint le 19 mars son périgée, soit sa distance la plus proche de la Terre en 20 ans. Ils rejoignent en cela le géologue américain
Jim Berkland, qui prévoit un risque majeur de tremblement de terre sur la ceinture pacifique jusqu’à la fin du mois, particulièrement pour la Russie et les Etats-Unis, à cause notamment d’une forte attraction lunaire. En effet, la ceinture de feu correspond à la plus vaste et la plus profonde des plaques tectoniques ; elle est entièrement sous-marine. L’amplification des marées par la proximité de la Lune (qui déforme également la croûte terrestre) accroît considérablement la force d’inertie de l’océan qui vient ajouter un surplus de pression sur la zone de subduction de la plaque.


Dans
un communiqué, Corbyn explique : « Les récents évènements sismiques extrêmes dans le monde ont été précédés par des évènements extrêmes sur le Soleil – particulièrement des éruptions solaires de classe X et les jaillissements de protons qui les accompagnent. Il nous apparaît que les évènements météorologiques et sismiques violents sont toujours précédés par des évènements violents sur le Soleil, et historiquement, les jaillissements de protons généralement associés au éruptions de classe X sont un avertissement particulièrement fiable des conditions météo extrêmes, des formations de tempête et des évènements sismiques. Nous n’avons pas d’estimation précise quant à la localisation probable des évènements sismiques, si ce n’est de dire que « la ceinture de feu » Pacifique est très vulnérable et que des évènements sismiques au Japon et/ou dans l’ouest des Etats-Unis sont très possibles. »


Les mises en garde de Berkland et Corbyn contre des tremblements de terre violents qui pourraient survenir dans les jours à venir s’avèreront peut être fausses, mais il s’agit aujourd’hui d’établir une véritable science solarienne de la sismologie pour se prémunir des effets dévastateurs que pourraient avoir des tremblements de Terre en série dans les prochaines années. En effet, il n’y aurait rien de pire que de s’en remettre au bon vouloir de Gaïa et de subir ses épreuves et ses morts comme des sanctions bien méritées contre l’orgueil des hommes. C’est bien parce que nous ne sommes pas des animaux que nous pouvons comprendre les déterminants universels de notre modeste vie et de notre modeste planète, et ainsi changer le cours des choses. S’y opposer revient à priver les peuples du choix de leur libre destinée, ce que dans l’histoire on a appelé « empire » ou « fascisme ».

Aux antipodes de la propagande de peur propagée partout dans les médias et par les politiques, cette vidéo est une discussion sur les corrélations entre les puissantes éruptions solaires observées récemment, et les phénomènes tectoniques tels que le tremblement de terre et le gigantesque tsunami qui a suivi au Japon.


Ce n'est pas le moment d'avoir peur de la science, mais au contraire de pousser ses questionnements et d'y mettre les moyens pour y répondre et préparer l'avenir.


La ceinture de feu

http://www.dailymotion.com/video/xhp9mt_la-ceinture-de-fe...



La suite: Cette vidéo fait suite à "La ceinture de feu". Peter Martinson, de l’équipe de recherche du LPAC, discute de deux publications scientifiques, prévoyant des tremblements de terre, à la suite de celui qui vient de frapper le Japon. Au delà des faits, c’est l’identité même de la société humaine et le rôle qu’y joue la science qui est ici en jeu.


La ceinture de feu (suite): alerte au tremblement de terre

http://www.dailymotion.com/video/xhsenj_la-ceinture-de-feu-suite-alerte-au-tremblement-de-terre_tech



08/04/2011

Naissance et croissance des astres dans l'Univers électrique

Est-ce que tout cela ne vous semble pas plus cohérent que de nous faire croire que nous sommes tous nés du néant, alors que l'Univers est électrique ?

Extrait du livre de l'Agneau

http://www.lelivredevie.com/le-cycle-de-la-matiere/naissa...

Le fichier en PDF de l'article à télécharger ICI

Naissance et croissance des astres  

(1) Aujourd’hui, l’électromagnétisme montre que nous sommes fort loin de ce que l’on enseigne aux enfants, en leur faisant croire qu’à partir d’un nuage primitif (il y a quinze milliards d’années de cela), les étoiles sont nées d’un côté et les planètes de l’autre avec des satellites au milieu, et tous animés de mouvements réguliers. Je vous le dis, lorsque vous sortirez de telles énormités de vos méditations sur l’univers, et que vous vous référerez aux prophètes et au Fils de l’homme, alors vous sortirez du sommeil de l’inconscience et le monde changera ; car vous verrez, entendrez et comprendrez ce qui fut, et ce qui sera.

(2) Afin qu’il en soit ainsi, entendez que le Soleil était autrefois comparable à Jupiter aujourd’hui et que, lorsqu’il s’est éclairé (comme le fera Jupiter), il a provoqué par son souffle le bouleversement de l’ordre établi dans sa famille. Cela s’étant produit, Pluton, la Lune, Mercure, Mars, Vénus peut-être, ont quitté leur anneau originel et se sont refroidies, tandis que la Terre, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune ne l’ont point fait. Bien que bousculées, ces dernières planètes sont restées sur leur anneau qui n’a jamais cessé de les échauffer. Ainsi, et contrairement à celles qui quittèrent leur anneau, leur activité n’a jamais cessé de croître. C’est pourquoi plusieurs d’entre elles, et notamment les plus lointaines, produisent des satellites. Et lorsque ces derniers auront atteint le nombre et les dimensions des planètes actuelles du Soleil, ces planètes lointaines deviendront étoile à leur tour. Observons alors le processus qui les amène à créer leur propre famille stellaire dans le ciel.

Formation du noyau de l’astre

(3) Telle la femme, la planète se développe jusqu’à ce qu’elle soit en âge de procréer. Lorsque ce moment est arrivé, le premier anneau créé se sature par un apport plus grand que la dépense qui est consécutive à l’expansion de cet anneau. Et l’on assiste à la naissance de la perle satellite. Puis, comme on l’a vu, cet anneau écarte le satellite afin de laisser la place à d’autres enfantements. Ce sont donc les anneaux qui, après avoir donné naissance aux satellites, établissent l’ordre dans une famille planétaire qui deviendra une famille stellaire.

(4) Sur la figure ci-dessous, on observe l’instant où se produit le point de contact et comment le flot d’électrons, se dirigeant sur ce point, devient une grosse perle de ferronickel. Lorsque cette perle de métal fluide se refroidit, elle devient une masse rigide sur laquelle toute l’électricité de l’anneau passe désormais, en la faisant croître, comme nous allons le voir.

18 – Naissance du satellite

18 – Naissance du satellite

Lorsque ce phénomène de création du satellite se produit, il y a un gros éclair dans le ciel, visible de fort loin. Toutefois, si cette naissance se produisait autour de la Terre, l’éclair serait certainement pris pour un autre phénomène. On pourrait croire, par exemple, qu’il s’agit de l’augmentation soudaine de la brillance d’une étoile qui apparaîtrait en plein jour...

Croissance du noyau

(5) Dans ce processus de naissance de l’astre, on remarque aussi que, quelle que soit la direction des électrons en orbite, ils sont tous attirés vers le point de contact. Nous savons maintenant que cela est connu de ceux qui, lors d’un court-circuit, ont remarqué que le courant installé sur le conducteur aller et retour se dirige vers le point de contact pendant la brève durée du phénomène. Ici, il en est de même, la perle métallique naissante attire à elle tout le courant. Positionnée entre les deux demi-anneaux qui ne peuvent fondre, elle est désormais un point de court-circuit constant. De ce fait, elle est forcément une résistance électrique qui, après s’être refroidie dans sa masse et aimantée dans les champs magnétiques de sa mère, s’échauffe en surface par le passage de l’anneau, jusqu’à fusionner. De la sorte, il se crée la soudure permanente des électrons qui sont l’APPORT. Ce phénomène s’opère uniformément sur le pourtour de la sphère, en la faisant croître, et devient ainsi la DÉPENSE continuelle de l’électricité formant l’anneau. La compréhension de la croissance du satellite n’est donc que la compréhension de ce qu’est une soudure...

(6) Cette soudure se produit uniformément tout autour de la sphère et plus précisément sous le métal en fusion où la masse est rigide et froide. Même dès après sa naissance, d’aucune façon un astre ne peut fusionner ni rougir jusqu’au cœur, parce que sa surface fond avant que la chaleur ne pénètre profondément. Pour bien se représenter cela, il faut savoir que la chaleur est faite d’ondes qui, nous le verrons en son temps, sont elles-mêmes des vibrations de l’essence qui compose l’espace et les masses. C’est pourquoi la chaleur, faite par des ondes, ne peut que quitter la masse, comme des sauterelles qui, prenant appui sur le sol, bondissent et s’élèvent. En raison de cela, la masse énorme d’un astre (son noyau) ne peut être que froide et rigide à l’intérieur. Seul son pourtour s’échauffe jusqu’à fusionner.

(7) Pour rester dans la simplicité, pensez que les astres naissent des anneaux d’une planète, et qu’ils s’en nourrissent ensuite pour grandir. Or, puisque les électrons en orbite engendrent ces sphères de ferronickel, on en conclut que ce métal constitue quasiment la masse entière de tous les astres de l’univers ; car le manteau des astres est fort peu important en comparaison de leur noyau qui occupe presque tout leur volume.

Le devenir des satellites

(8) L’étude du chambardement de la famille solaire nous amènera à acquérir la certitude que le Soleil s’est éclairé, il y a fort peu de temps, à la suite de l’explosion de son atmosphère. Lorsque cet événement s’est produit, la Lune, Mercure, Mars et Vénus probablement, avaient leur taille d’aujourd’hui, parce que ces astres, qui se sont refroidis après avoir quitté leur anneau, n’ont plus évolué. La Terre, Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune, elles, ont légèrement augmenté de volume depuis lors, parce qu’elles n’ont point quitté leur anneau, pour les raisons que nous verrons.

(9) J’évoque déjà ici ce qui s’est produit, pour expliquer que les petits satellites se développent jusqu’à ce qu’ils aient approximativement la taille de nos planètes actuelles et que, lorsque ce moment arrive, leur mère s’éclaire soudainement. Ainsi apparaît une nouvelle famille stellaire. L’astre, qui s’éclaire selon le processus que nous étudierons, s’appelle une nova (une étoile nouvelle). Et ses satellites, qui subissent pendant un moment le bouleversement de leur position, sont alors appelés planètes, mais n’en continuent pas moins d’évoluer. Nos planètes étaient donc autrefois les satellites du Soleil qui ne brillait pas encore.

19 – Dimensions extrêmes du satellite

19 – Dimensions extrêmes du satellite

(10) Entre ces deux figures, représentant le noyau d’un même satellite, il s’est déjà passé beaucoup de temps sidéral. Entendez que cent mille ans pour un astre, c’est comme une heure pour l’homme, et que cent mille ans pour l’homme c’est comme une heure pour la particule ; la durée variant avec leur taille. On voit ici que le satellite n’est qu’une grosse perle de ferronickel à sa naissance, puis qu’il grandit jusqu’à ce qu’il atteigne la taille de la Terre. Là, sa croissance est atténuée par ses dimensions car, plus le noyau est grand moins il grandit vite.

Développement et mouvement des satellites

(11) Les satellites ne peuvent croître indéfiniment, parce qu’une planétoile, qui a une activité déterminée, ne peut permettre leur développement au-delà de ce que lui autorise sa puissance. Cette limite de croissance est montrée par la taille de nos propres planètes qui est la taille des satellites lorsque leur mère devient étoile. Mais lorsque celle-ci brille, ses astres croissent encore. La Terre augmentera de volume probablement tant que le Soleil augmentera d’activité. Puis la croissance de la Terre s’arrêtera, en fonction de la décroissance de l’activité solaire le long des âges.

(12) Pour l’instant, observons que le satellite dernier-né est évidemment le plus petit, le plus chaud et celui qui se développe le plus vite. Inversement, le premier né sera le moins chaud, l’un des plus gros sinon le plus gros, et celui qui grandira proportionnellement moins vite. Ce qui est toujours comparable aux enfants d’une famille. Mais, même déjà grand, un satellite n’est jamais froid. Son activité est toujours considérable, moins intense toutefois que celle du dernier-né qui se trouve dans les forces vives de sa mère. Ces explications nous permettront ensuite de déduire pour quelle raison tel satellite est ainsi et tel autre est autrement.

20 – Sens de rotation des satellites

(13) Nous voyons ici que la planète entraîne ces deux anneaux et leur satellite dans le sens de sa propre rotation. Mais, puisque c’est le sens de rotation des spires des lignes de force qui détermine le sens de rotation des deux demi-anneaux, ceux-ci peuvent tourner dans un sens comme sur la figure (1) ou dans l’autre comme sur la figure (2), en inculquant leur mouvement à leur satellite. Ici, le satellite (1) tourne sur son axe dans le sens direct de rotation de la planète sur elle-même, alors que le satellite (2) tourne sur son axe dans le sens rétrograde. Leur trajectoire est identique cependant, mais l’un tourne d’un côté tandis que l’autre tourne en sens inverse. Ceci est fort important à remarquer, parce que, jusqu’à ce jour, nul ne pouvait expliquer pourquoi certains satellites tournaient dans le sens inverse du sens de rotation de leur planète. Lorsque la planète devient étoile, ses satellites (qui deviennent alors des planètes) conservent leur mouvement de rotation. C’est pourquoi il y a aussi des planètes qui tournent dans le sens rétrograde.

(14) Ce que nous venons de voir est le modèle de rotation de tous les astres du ciel, y compris les étoiles. Toutefois, tant que le satellite n’a pas atteint la taille d’une planète et qu’il est très petit, il ne tourne probablement pas encore sur son axe. Disons que lors d’une révolution il présente encore la même face à la planète qui lui a donné naissance, parce qu’il n’est pas encore bien rond. Il est en déséquilibre de forme. Mais cela ne durera pas toujours car, devenu planète avec une taille et une activité conséquentes, il s’arrondira plus régulièrement et finira par tourner sur lui-même, comme ceci est représenté par la figure.

Formation du manteau des satellites

(15) Il faut être très attentif en ce qui concerne l’échauffement des astres produit par le passage de l’anneau sur lequel ils évoluent, parce nous avons vu que cet échauffement ne peut se faire dans toute leur masse mais seulement à l’extérieur de celle-ci, même quand ils sont petits. Pour bien le saisir, rappelons-nous que les électrons passent sur les conducteurs et non en dedans, et souvenons-nous de la sphère chargée d’électricité qui reste localisée à sa surface.

(16) Mais ces explications sur la naissance, la croissance et le développement des satellites, nous éclairent sur la provenance et le mouvement de tous les astres. Il faut maintenant adjoindre à cela la formation de leur manteau, qui commence dès la naissance du noyau, et plus précisément dès qu’il rougit sur son pourtour. C’est pourquoi le manteau s’entend depuis le bord du noyau jusqu’à la surface du sol.

(17) Tout d’abord, comprenons qu’un astre naît toujours au sein d’une galaxie où se trouvent d’abondants nuages de poussières, de fumées, de vapeurs, de cristaux divers, et de toutes sortes de corps. Ces produits errants dans l’espace, qui tombent en permanence sur notre sol, proviennent tous du travail des astres et de leur extinction se produisant dans le cœur de la Galaxie, au terme du chemin de leur vie. Nous le découvrirons, et nous verrons que rien n’est inutile dans le ciel où tout est perfection.

(18) Nous comprenons que, dès après sa naissance, le noyau aimanté peut déjà s’envelopper d’une certaine couche de ces poussières galactiques traversées par la famille stellaire à laquelle ce satellite naissant appartient. Et, lorsqu’il s’échauffe et rougit sous ces poussières, commence alors le processus chimique qui ne cessera de faire croître son manteau tout au long de sa croissance. Nous ne pourrions donc point voir rougir le noyau du satellite, car lorsque cela se produit, il est déjà entouré d’une mince couche de poussières de l’espace. Mais au contact du noyau, ces matières fondent peu à peu sous la chaleur. Elles forment alors, avec les nombreuses substances qui remontent du métal en fusion, ce que l’on appelle le magma.

(19) Les poussières de l’espace amorcent donc le processus chimique de la formation du manteau que le noyau poursuivra et amplifiera jusqu’à ce qu’il ait des dimensions comparables à celles du manteau terrestre ; car le manteau provient du magma et de ses transformations. En effet, la lave est la partie fluide du magma qui change d’état par l’écart de température qui ne cesse de se creuser depuis le bord du noyau jusqu’à la surface du sol. Ainsi, on voit que le manteau du satellite se développe continuellement, qu’il est chaud dans sa partie basse au contact du noyau, et de moins en moins chaud dans son épaisseur jusqu’à la surface du sol où il est plus froid et forme une croûte.

(20) Il ne faut point confondre toutefois la quantité de matière qui arrive de l’espace avec celle produite par le noyau, car cette dernière est beaucoup plus grande que la précédente. Mais les poussières de l’espace ne proviennent-elles pas des oxydes produits par les noyaux des astres, et par eux seulement ? Il en est ainsi. C’est pourquoi, quelle que soit sa provenance, cette matière est le produit de l’activité électromagnétique qui est elle-même la physique et la chimie. La fusion du fer (du ferronickel) crée aussi toutes sortes de gaz comme l’hélium, l’hydrogène et d’autres encore qui finissent par se retrouver dans l’atmosphère.

(21) Pour la connaissance, il est important de comprendre que le noyau se développe SOUS la partie chaude et fluide de la matière, et que le manteau, lui, se développe SUR cette dernière. Il est également manifeste que les gaz produits par la chaleur du noyau remontent à la surface en provoquant la formation de grandes bulles qui éclatent. On peut comparer cela à une pâte qui bout doucement, mais à la mesure de l’astre.

(22) Ces éruptions de gaz ne peuvent pas laisser de traces tant que le manteau les laisse passer librement. Mais lorsque les couches supérieures, longtemps exposées au froid, finissent par former une croûte étanche aux gaz, ces gaz se localisent alors progressivement sous ces couches et finissent par les soulever. Cela forme des dômes à la surface de l’astre, pouvant être gigantesques et qui, à la suite de leur éclatement, engendrent des cratères : des cirques. Avec ces explications évidentes, le mystère des cratères s’en va. Car il va de soi qu’ils ne sont nullement faits par des météorites, même si ces dernières laissent quelques traces sur les sols. Non, seuls les gaz en sont responsables, nous le démontrerons.

Les satellites de Jupiter

(23) Maintenant, quittons le principe d’existence des astres, et examinons avec attention la famille de Jupiter avec seulement ses quatre principaux satellites qui confirmeront largement ce que nous enseignons sur la naissance et la croissance des astres. Mais avant cela, rappelons-nous que tout astre dans le ciel, qu’il soit satellite, planète ou étoile, est un aimant, un corps solide par conséquent, dont l’activité électromagnétique est variable. Or, les scientifiques apprennent aux enfants que les planétoiles et le Soleil sont des boules de gaz... Non, le Soleil n’est pas une boule de gaz, ni Jupiter, ni aucun astre ! Comment serait-il possible en effet que des boules de gaz aient une magnétosphère, des lignes de force et des anneaux avec des satellites en orbite qui, eux, ne sont pas du gaz ? Et de quelle façon ces satellites non gazeux pourraient-ils grandir, s’éloigner, tourner régulièrement sur eux-mêmes, et être à des distances bien déterminées de la planète qui, elle, serait gazeuse ?

(24) Non, parce qu’ils se repoussent, les atomes de gaz remplissent toujours leur contenant. Dans le ciel, les gaz se comportent de la même manière. Ils ne peuvent nullement se mettre en boules et devenir des aimants, car il est manifeste que les astres sont des aimants. Ce qui implique qu’ils soient métalliques et non en gaz ! Repoussez alors l’idée que Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune sont des boules de gaz ; car ce sont des corps solides, des astres massifs entourés de gigantesques atmosphères. Par conséquent, il faut cesser de prendre ces atmosphères pour la totalité de leur masse.

21 – Les satellites de Jupiter

(25) Voici Jupiter et la position de ses principaux satellites dans le rapport approximatif de leur masse. Pour simplifier l’image, ces masses aimantées sont ici dépourvues de croûte, de magma et d’atmosphère. Mais on remarque que les satellites les plus gros sont les plus éloignés de Jupiter, et l’on en connaît maintenant les raisons. On comprend aussi fort bien que Io (le plus proche) ait une forte activité électromagnétique qui se manifeste par des éruptions de gaz, alors qu’Europe, Ganymède et Callisto (plus loin et un peu moins actifs) sont déjà davantage recouverts de glace et de cratères, provenant aussi de ces abondantes éruptions qu’ils connurent antérieurement.

(26) Nous avons vu que le satellite est très chaud lorsqu’il est petit et que, de ce fait, il s’entoure progressivement d’un manteau qui ne cesse de s’épaissir durant sa croissance. Exposées au froid, les couches supérieures deviennent de plus en plus fermes et donnent davantage de difficultés aux gaz pour sortir. C’est pour cette raison que des cirques laissés par les éruptions gazeuses existent en abondance sur Ganymède et Callisto, plus âgés qu’Europe et Io.

(27) Penchons-nous alors sur ces quatre principaux satellites de Jupiter avec lesquels on saisit tous les satellites, toutes les planètes et même les étoiles ! Car plusieurs de ces quatre petits astres, sinon les quatre, deviendront étoile à leur tour. On peut donc les considérer comme s’il s’agissait de l’évolution d’un seul dans le temps. Voici comment il faut les observer :

IO, le dernier-né des quatre, est le plus proche de Jupiter. Il est pour cela fort actif et son noyau est très chaud. Encore de moindre épaisseur, son manteau souple et chaud est aux prises avec les gaz qui, abondamment produits, remontent à la surface où ils font éruption et composent peu à peu son atmosphère. Le volcanisme est donc fort intense pour le moment.

EUROPE, plus âgé que Io, est davantage éloigné de Jupiter et un peu moins chaud intérieurement. Son activité est moins intense. De ce fait, le froid extérieur domine à la surface. En raison de quoi, les gaz se liquéfient et produisent de l’eau qui se glace sur le sol. Mais sous cette glace, et en raison de la chaleur interne, l’eau existe probablement aussi à l’état liquide, infiltrée dans le manteau. Toutefois, parce que le froid contracte, les couches supérieures du manteau commencent à se rétracter sur elles-mêmes en engendrant des crevasses et de petites failles sous la glace. Nous verrons par la suite que ces failles furent sur la Terre l’origine des dorsales qui délimitent nos continents en partie immergés, car la Terre, comme tous les astres, était autrefois semblable à ces satellites.

GANYMÈDE, plus âgé que les deux précédents, est plus gros et un peu moins chaud qu’Europe, car les effets de résistance électrique diminuent au fur et à mesure de la croissance du noyau. Son activité est donc réduite en proportion. Néanmoins, le noyau reste chaud extérieurement et produit toujours des gaz en conséquence qui se condensent et se glacent pareillement sur le sol. Mais, plus longuement exposées au froid extérieur qui les affermit, les couches supérieures du manteau finissent par devenir plus étanches aux gaz. Ceux-ci s’accumulent alors progressivement sous ces couches et forment de gigantesques dômes qui éclatent tour à tour le long des siècles, en engendrant des cratères. Les poussières, produites par ces éruptions, jonchent le sol glacé.

CALLISTO, plus âgé et plus éloigné des forces vives de Jupiter, a davantage de cratères que Ganymède, parce que le phénomène de leur formation fut répété plus longtemps le long des âges. C’est pour la même raison qu’il y a encore plus de glace et de poussières qui recouvrent le sol, car chaque éruption de gaz se termine par d’abondantes cristallisations et d’abondants nuages de poussières.

(28) Ces explications des satellites de Jupiter nous font entrer dans le concret, et confirment l’enseignement sur l’activité électromagnétique. De plus, en expliquant la formation du manteau des satellites et celle de leur atmosphère qui se condense et se glace en partie, on explique la formation des planètes qui furent toutes des petits astres semblables dans les temps anciens où le Soleil était lui-même comme Jupiter aujourd’hui.

(29) Avec ce que le monde connaît aujourd’hui des satellites de Jupiter, vérifions alors s’ils sont bien conformes à ce que nous enseignons. Comme cela a été montré, Io est encore une petite résistance se trouvant dans un très grand courant électrique. Alors qu’en s’éloignant de Jupiter et en grandissant, il deviendra une résistance plus volumineuse dans des forces qui deviendront moins vives pour lui. Par conséquent, son activité sera obligée de décroître en proportion.

(30) Mais ceux qui ignorent l’activité électromagnétique des astres et qui, de ce fait, inversent tous les phénomènes, disent évidemment que ce n’est pas l’activité mais la densité des satellites qui diminue au fur et à mesure qu’ils sont éloignés de Jupiter... Ceci est une très grande erreur de jugement, car la densité des aimants en ferronickel est invariable. Ce qui change, c’est leur activité électromagnétique et les influences que cette activité exerce sur les corps et sur les astres environnants. Référons-nous cependant aux observations des astronomes, et remplaçons densité par activité. Et regardons ensuite une dernière fois ce qu’il en est sur ces satellites, afin que chacun connaisse la vérité :

(31) Dans le tableau ci-dessous, on voit à la fois la distance qui sépare chaque satellite du centre de Jupiter, leur activité électromagnétique, ainsi que leur état de surface. En fonction des explications précédentes, si on éloignait Io de Jupiter et qu’on le fasse remonter à côté de Callisto (comme s’il s’agissait du même astre qui se développe et change), on verrait son activité décroître proportionnellement à l’augmentation de sa taille et à sa distance de Jupiter. Ce qui occasionnerait le refroidissement de sa surface, ainsi que l’inévitable formation de cratères et de glace qui, peu à peu, recouvriraient le sol.


NOM

DISTANCE

ACTIVITÉ

ÉTAT

Callisto

1 883 000 Km

1,85

Recouvert de cratères

Ganymède

1 070 000 Km

1,94

Quelques cratères

Europe

670 900 Km

2,97

Recouvert de glace

Io

421 600 Km

3,53

Éruptions de ga

(32) C’est ici la confirmation que tout ce que l’on a vu sur les satellites est entièrement vérifiable et certain. Fixez votre attention sur le changement progressif de l’activité et de l’état de surface du satellite que l’on éloignerait de Jupiter, et il vous apparaîtra que les explications sont justes.

(33) Il ne faut pas penser cependant que Jupiter brillera avec ses quatre principaux satellites tels qu’ils sont ; car ils grossiront encore beaucoup dans les âges, ainsi que Jupiter. Il est également possible que ce dernier n’ait pas encore fini d’augmenter le nombre connu de ses satellites. Et c’est peut-être parmi les plus petits que nous n’avons pas évoqués, ou ceux à venir, que se trouve sa Terre qui donnera naissance à un monde analogue au nôtre. Toutefois, l’essentiel n’est pas de savoir lequel sera l’élu, mais qu’il en sera ainsi dans cette famille et qu’il en est de même pour toutes les familles du ciel.

20/03/2011

Depuis sa naissance, la Terre serait en expansion

Enfin, ils finissent par y arriver !

En ce qui concerne la création de l'Univers qui devons-nous croire ?

Les vrais scientifiques ou les religions qui nous parlent du soi-disant grand mystère de la création ?

Comme l'église nous parle du grand mystère de l'ascension du Christ.

Il n'y a aucun grand mystère nulle part quand nous connaissons comment fonctionne l'Univers électrique et comment nous fonctionnons en symbiose électrique avec l'Univers.

L'Univers Electrique
http://www.techno-science.net/forum/viewtopic.php?t=5706

 
Selon la théorie de
l'Univers Fractal
et du postulat énergétique qui dit que  "Tout ce qui est en Haut et comme tout ce qui est Bas et inversement, et que le Macrocosme (le Cosmos) a été créé à l'identique du Microcosme, (la cellule). Si nous faisons des enfants sur Terre, les planètes mères font des enfants aussi (par le biais de liaisons électromagnétiques)  qui grandissent comme les nôtres.  On appelle les enfants des planètes mères les satellites.

COMPORTEMENT FRACTAL DE L’ UNIVERS
http://www.fractaledelunivers.net/SYNOPSIS.pdf

Univers fractal
http://www.syti.net/UniverseDimensions.html

Et forcément, la Terre comme les autres planètes sont en expansion quand elles grandissent et passent par divers stades avant de devenir des soleils et de finir par exploser pour se transformer. Comme notre Soleil le fera un jour.

Voir une explication cohérente sur la naissance et la croissance des astres avec des croquis, issue du  Livre de l'Agneau :
http://www.lelivredevie.com/livredevie.htm

Naissance et croissance des astres :
http://www.lelivredevie.com/le-cycle-de-la-matiere/naissance-et-croissance-des-astres.htm

 

Depuis sa naissance, la Terre serait en expansion

mandalaterre

Selon une théorie récente, la tectonique d'expansion (TE), la taille de la terre n'est pas fixe : son rayon aurait augmenté de façon continue depuis sa naissance, ce qui a pour effet de remettre en question la théorie traditionnelle de la tectonique des plaques (TP). Des données géologiques et géophysiques modernes semblent accréditer cette thèse.

Issue de l'hypothèse de la dérive des continents proposée par Alfred Wegener en 1915, la théorie de la tectonique des plaques est sous-tendue par l'idée selon laquelle la taille de la Terre n'a pas varié depuis son origine, il y a 4,5 milliards d'années.

L'idée d'une augmentation du rayon terrestre est défendue par certains chercheurs qui ont observé que si notre planète était de 55% à 60% plus petite qu'aujourd'hui, les continents seraient regroupés en un seul et la recouvriraient entièrement.

C'est ainsi que, selon K. Vogel (1980-1990), "L'expansion terrestre a engendré la rupture et la dispersion progressive des continents qui s'éloignèrent les uns des autres au fil des temps géologiques." Dans le modèle de la TE, il y a plusieurs centaines de millions d'années, les océans d'aujourd'hui n'existaient pas et l'ensemble des croûtes continentales s'assemblaient pour former un unique continent appelé "Pangée", partiellement couvert d'un réseau de mers peu profondes.

Ces éléments sont corroborés par les données géologiques et géophysiques modernes, qui indiquent que la Terre a subi une expansion constante puis accélérée après le Précambrien, ainsi qu'une séparation des continents avec ouverture des océans depuis 200 millions d'années.