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18/01/2011

Wall Street et l'argent dans le monde : L'indispensable Commission Pecora,

Intéressant à écouter et à voir pour voir qui mène le monde à sa ruine et où passe notre argent !

L'indispensable Commission Pecora

http://www.dailymotion.com/video/x8vhac_l-indispensable-c...

 



Dans la rubrique « les nuisibles » : Louis Pasteur

Voir la maladie comme la conséquence d'une agression extérieure participe d'une logique de victime paranoïaque. De ce raisonnement « pasteurien » est née la ''médecine préventive'' qui attribue à chaque maladie ou presque un agent causal particulier, venant de l'extérieur.
 
Un peu plus d'un siècle de matraquage aura suffi pour imprimer dans nos cerveaux le mythe de la contagion virale.
 
A travers ses notes, ses lettres ou témoignages de son entourage, nous connaissons la personnalité égotique, rongée d'ambition qu'était Pasteur : il tronqua ses résultats, dissimula ses errances expérimentales, vola les idées et dispositifs de ses confrères (à ce sujet informez-vous sur les magnifiques travaux d'un contemporain de Pasteur, Antoine Béchamp, note d'Hélios) mentit sciemment devant l'Académie de Médecine.
  
Il n'hésita pas à inoculer le virus rabique à ses ''patients'' plus que nécessaire, plaçant son besoin de ''preuves scientifiques'' au-dessus de leur santé.
L'Institut Pasteur fut fondé le 4 juin 1887, grâce à une souscription internationale. L'administrateur en est le baron Edmond de Rothschild. C'est officiellement une fondation privée, à but non lucratif, reconnue d'utilité publique, mais en réalité c'est une entreprise commerciale bénéficiant du soutien de l'État. 
Il est évident que l'obligation vaccinale constitue une arme de choix pour décimer et contrôler les populations. De plus, les vaccins peuvent être le prétexte au puçage de la population, comme c'est déjà le cas de nombre de nouveaux-nés aux USA et en Angleterre.
Plus d'un siècle après la ''découverte'' du vaccin contre la rage, alors que personne n'a jamais réussi à voir un virus au microscope, le dogme scientiste est bien assis sur le mythe de la contagion. Cela nous donne une petite idée de la puissance du démon qui a nourri Pasteur dans ses recherches; aujourd'hui nous commençons seulement à comprendre où il veut en venir.
 
Aujourd'hui la cause première de la vaccination n'est plus la réduction de la population mondiale, mais bien de fournir un support matériel au puçage du cheptel humain.

09/12/2010

Poutine sur l'arrestation d'Assange : "C'est ça la démocratie ?"

Les Français qui se permettent de critiquer la Russie, en qualifiant ce pays "de pays corrompu et en recul démocratique".

Et chez nous, nous avons la démocratie bien sûr et nos dirigeants de paille à la botte des banquiers US et des multinationales, et des Reptiliens, ne sont pas corrompus, peut-être !

Aux USA aussi, l'axe du bien et le gardien du monde, se targue de respecter la démocratie et les droits de l'Homme, d'assurer la sécurité des personnes et leur santé.

Quelle sécurité ? De quelles guerres doivent-ils  nous protéger ? De guerres génocidaires et fratricides incessantes qu'ils organisent et financent avec la complicité de  l'ONU, le siège du Gouvernement Mondial et l'OTAN qui est son bras armé et celui des reptiliens !

Quelle santé ? Quand ils massacrent des innocents avec leurs vaccins tueurs qui ne sont que des armes biologiques utilisées contre les populations mondiales !

 

Poutine sur l'arrestation d'Assange : "C'est ça la démocratie ?"

MOSCOU - Le Premier ministre russe Vladimir Poutine a mis en doute jeudi le bien-fondé de l'arrestation du fondateur du site WikiLeaks Julian Assange en Grande-Bretagne, demandant "C'est ça la démocratie ?", au cours d'une conférence de presse.

"Si on parle de démocratie, il faut qu'elle soit totale. Pourquoi a-t-on mis Assange en prison ? C'est ça la démocratie ?", a déclaré le Premier ministre russe.

"Il faut commencer par balayer devant sa porte. Je renvoie la balle à nos collègues américains", a ajouté M. Poutine.

Il répondait à une question posée à son homologue français, François Fillon, sur la mise en doute de la démocratie russe et la description d'une Russie corrompue, dans les documents diplomatiques américains révélés par WikiLeaks.

M. Fillon a de son côté déclaré qu'il n'y avait pas lieu de commenter des documents dérobés.

Les documents diplomatiques américains diffusés par le site décrivent la Russie comme un pays corrompu et en recul démocratique, révélant en outre que la confiance n'était pas absolue envers Moscou dans les capitales occidentales, y compris Paris.

Le président russe, Dimitri Medvedev, décrit dans ces documents comme un dirigeant "falot et hésitant", avait estimé la semaine dernière que ces révélations montraient le "cynisme" des appréciations qui dominent dans la diplomatie américaine.

Vladimir Poutine, perçu pour sa part dans les câbles diplomatiques américains comme le "mâle dominant" de la scène politique russe, avait répliqué avec morgue dans un entretien il y a une semaine à la chaîne de télévision CNN.

"Nous ne fourrons pas notre nez dans vos affaires, et vous, ne le fourrez pas dans les nôtres !", avait-il ajouté, affirmant en substance que la Russie n'avait rien à envier aux Etats-Unis en matière de libertés.

L'impression qui ressort des documents révélés par WikiLeaks est très différente de la position officielle affichée par les capitales occidentales.

"La démocratie russe a disparu et le gouvernement est une oligarchie dirigée par les services de sécurité", estime ainsi le secrétaire à la Défense Robert Gates, dans des propos qui lui sont attribués dans un des câbles.

Le porte-parole de M. Poutine, Dmitri Peskov, a qualifié la semaine dernière de "foutaises" le contenu des notes concernant la Russie, et émis le souhait de voir chez les partenaires de Moscou "une diplomatie plus professionnelle, sérieuse et réfléchie".

Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks, a été placé en détention mardi à Londres, non pas pour avoir divulgué des documents secrets américains, mais dans le cadre d'une affaire de viol et violence sexuelle en Suède, pays qui réclame son extradition. Son avocat a dénoncé des poursuites politiques contre l'Australien âgé de 39 ans.

(©AFP / 09 décembre 2010 18h15)

 


08/12/2010

John F. Kennedy et les OVNIs, par Jim Marrs

Voilà sûrement ce que Julian Assange voulait révéler  sur JFK,  les OVNIS et les ET, qui ne plaît pas aux Grands Gris reptiliens et à la CIA !

Le Président qui disait la vérité !

 

samedi 7 mars 2009 par NewsOfTomorrow

(Traduction Jsf)

Le Président John F. Kennedy pourrait en avoir su davantage que la plupart d’entre nous à propos des OVNIs, selon plusieurs sources crédibles. Le niveau élevé de connaissance que Kennedy avait sur les OVNIs est confirmé par un ancien steward d’Air Force One qui a parlé d’une remarque cryptique du Président Kennedy.

Bill Holden, qui a également servi en tant qu’arrimeur de fret pour l’Air Force One, a voyagé avec Kennedy en Europe en été 1963. Il a dit qu’une conférence sur les OVNIs à Bonn, en Allemagne, avait déclenché une discussion sur le sujet dans un avion du président un matin. Holden a dit qu’il s’est adressé à Kennedy et a demandé, "Que pensez-vous des OVNIs, Mr. le Président ?" Il a dit que Kennedy est devenu plutôt sérieux et a réfléchi un moment avant de répondre :"J’aimerai parler de la situation extraterrestre au public mais, mes mains sont fatiguées."

Un document controversé du MJ-12 ayant pour titre "Aperçu de l’Unité de Phénomène Interplanétaire" a fait mention des connaissances "d’insider" de Kennedy. Ce document, apparemment écrit peu de temps après le crash au Nouveau Mexique en juillet 1947, déclare, "Le CIC [Counter Intelligence Corps] a su que certaines des opérations de récupération ont été partagées avec John F. Kennedy, démocrate du Massachusetts élu au Congrès en ’46, fils de Joseph P. Kennedy, Commission sur l’organisation de l’exécutif du gouvernement. [Jack] Kennedy avait des devoirs limités en tant qu’officier affecté aux services de renseignements de la Marine pendant la guerre. On croit qu’il a obtenu l’information [concernant les crashs de Roswell] [d’une] source dans le Congrès qui est proche [du] Secrétaire de l’armée de l’air." Kennedy était le seul membre du Congrès qui savait la vérité sur l’incident de Roswell en ces temps-là.

Pourtant, un autre document semble être une note écrite du président Kennedy au directeur de la CIA : "Examen de la classification de tous les dossiers du renseignement sur les OVNIs ayant lien à la sécurité nationale." Dans cette note, Kennedy déclare, "... J’ai engagé [noirci] et ai chargé James Webb [alors directeur de la NASA] de développer un programme spatial et d’exploration lunaire en commun avec l’Union Soviétique. Ce serait très utile si vous aviez les cas de grande menace examinés dans le but de l’identification de bonne foi, par opposition aux sources classifiées de la CIA et l’USAF. Il est important que nous fassions une distinction claire entre les connus et les inconnus au cas où les soviétiques prendraient notre coopération étendue comme une couverture pour la collecte de renseignements sur leur défense et leurs programmes spatiaux.” Kennedy a ensuite demandé à ce que tous les fichiers sur les "Inconnus" soient envoyés aux autorités de la NASA et qu’un rapport soit transmis à la Maison-Blanche au plus tard le 1er février 1964.

Ce document qui montre clairement que le président allait parler des secrets sur les OVNIs à des cercles plus extérieurs dans le gouvernement, et donc, allait probablement informer le public, est daté du 12 novembre 1963, 10 jours seulement avant son assassinat à Dallas le 22.

S’accrochant désespérément à leur conviction de l’inexistence des OVNIs, les débunkers mettent en doute l’authenticité de ce document, mais un document absolument authentique a été trouvé dans la bibliothèque de John F. Kennedy.

Le mémorandum No. 271 de la National Security Action a pour titre "Coopération avec l’URSS pour les questions spatiales" et est adressé au directeur de la NASA, à ce moment-là James Webb. Ce mémo signé ne mentionne pas les OVNIs en particulier, mais cependant, Kennedy charge Webb d"’assumer personnellement la responsabilité centrale et l’initiative dans le gouvernement du développement d’un programme de coopération avec l’Union Soviétique dans le domaine spatial, ce qui inclue l’élaboration de propositions techniques.." Kennedy a ajouté que ce plan était le résultat de sa "demande du 20 septembre pour une coopération élargie entre les États-Unis et l’Union Soviétique dans le domaine spatial, y compris une coopération dans les programmes d’alunissages." Ce document incroyable était également daté du 12 novembre 1963, mais qui aurait cru en 1963 que les États-Unis et l’Union Soviétique se seraient engagés dans des opérations communes d’exploration spatiale ? Le registre de la Maison Blanche pour ce jour montre qu’à 14h Kennedy a déjeuné et n’avait ensuite "pas de rendez-vous officiels" mais des "entretiens avec des membres divers de l’équipe pendant l’après-midi." De toute évidence, ce jour-là, Kennedy avait largement assez de temps pour traiter de problèmes spatiaux.

Il est aussi évident que cette apparente tentative de coopérer avec l’URSS s’est conclue par la mort de Kennedy à Dallas. Avec l’administration de Ronald Reagan, on était encore avertis du danger de "l’empire du mal" et la coûteuse guerre froide a perduré. Les opposants à JFK devenaient frénétiques en voyant ses tentatives de modifier le cours de la politique qu’avait entretenue auparavant les États-Unis. Selon une source informée, Kennedy jouait un jeu dangereux, "... après avoir mis au clair qu’il n’allait pas soutenir l’action contre les communistes dans le sens habituel - il planifiait de retirer les troupes du Sud-Vietnam, de fragmenter ou d’éliminer des filières de la CIA ; d’étendre le système judiciaire ; il n’avait pas soutenu l’invasion de la Baie des Cochons ; et désirait partager certains des secrets les plus sensibles avec les Russes et les Chinois – plates-formes spatiales, etc... Tout cela dans une époque où sa popularité grandissait à pas de géant dans le peuple américain – alors qu’il ne jouissait pas de l’appui de la majorité à son élection. Situation très dangereuse, laissant peu de méthodes de contrôle de disponibles autres que l’assassinat."

La même source continue, "Je crois que John F. Kennedy avait accès à suffisamment d’informations classifiés, qu’il avait évalué, pour en venir personnellement à la conclusion que les OVNIs et donc de possibles formes de vie extraterrestres vivent dans notre système solaire... Je pense que Kennedy en est certainement venu à cette conclusion... et cherchait à démontrer non seulement que l’humanité pouvait se réunir autour d’un but commun, mais prouver formellement que nous pouvions entrer et conquérir l’espace en tant qu’espèce. À l’époque, certains pourraient avoir pensé que c’était une folie (s’ils n’avaient pas eu accès aux informations) ou (s’ils y avaient eu accès) que c’était très prématuré et potentiellement dangereux.

Toute l’affaire JFK a changé autour de son discours prévu à Dallas Trade Mart, destination de son cortège funeste le 22 novembre 1963. Plusieurs chercheurs et quelques tabloïds ont affirmé qu’il avait prévu de changer son discours et utiliser des notes manuscrites, qui auraient pu contenir des commentaires sur les OVNIs. Ces notes n’ont jamais été rendues publiques et continuent de nourrir les théories.

Encouragés par de tels alléchants indices, certains chercheurs affirment même que l’assassinat de Kennedy avait pour fin de l’empêcher de révéler des informations sur les visites extraterrestres au public.

Bien que cette théorie soit certainement non prouvée et sans doute fausse, sa volonté de mettre fin à la guerre froide et partager les connaissances sur l’espace avec nos ennemis de l’époque a pu briser le dos du complexe Militaro-Industriel (et du Renseignement). Ce groupe avait déjà pensé que le jeune président était "doux avec le communisme" et dangereux pour leur structure de commandement et de contrôle.

Toutes les preuves maintenant en main, il fait peu de doutes que le président Kennedy en savait plus sur les OVNIs qu’on le croit d’habitude.

JFK-10 jours avant son assassinat

http://www.youtube.com/watch?v=Slf4_52kTw8&feature=pl...

Milton William Cooper déclare à ce sujet : Dans une certaine mesure, le président Kennedy découvrit des bribes de vérité au sujet des drogues et des aliénigènes. C’est pourquoi, en 1963, il posa un ultimatum à Majesty douze, leur enjoignant de faire place nette, sans quoi il se chargerait lui-même de faire le ménage dans le marché des stupéfiants. De plus, il informa Majesty douze de son intention de révéler l’existence des aliénigènes à toute la nation l’année suivante. Il leur ordonna donc de préparer un plan de divulgation conformément à cette décision. Or, Kennedy ne faisait pas partie du Conseil des relations étrangères (CFR). Aussi ne savait-il rien des solutions 2 et 3 ( bien que quelques personnes aient clamé que JFK était un membre du Conseil des relations étrangères, je n’ai pu trouver aucune liste légitime où son nom est cité). Au niveau international, les opérations secrètes étaient gérées par un comité de l’élite Bilderberg connu sous le nom de « Comité des politiques ». Aux Etats-Unis, ce comité était supervisé par le comité exécutif du Conseil des relations étrangères et en U.R.S.S., par une organisation homologue.

La décision du président Kennedy fit l’effet d’une pierre jetée dans un nid de frelons. Son assassinat fut aussitôt décrété par le Comité des politiques, puis l’ordre en fut transmis aux agents postés à Dallas. Le président John F. Kennedy a été assassiné par l’agent des services secrets qui conduisait sa voiture dans le cortège et l’acte est pleinement visible dans le film Zapruder. Regardez le conducteur et non pas Kennedy quand vous voyez le film. Tous les témoins oculaires qui se trouvaient aient à proximité de la voiture présidentielle ont très bien vu William Greer tirer sur Kennedy, mais tous ceux parmi eux qui ont cru bon en parler aux autorités ont subi le même sort que Kennedy dans les deux années qui suivirent son meurtre. Rien d’étonnant, du reste, à ce que la commission Warren n’ait abouti à aucun résultat concluant puisque la majorité de ses sièges était occupée par des membres du Conseil des relations étrangères. Par ailleurs, elle a fort bien réussi à obnubiler le peuple américain.

Jim Marrs, auteur d’Alien Agenda

NewsOfTomorrow

Révélations de WIKILEAKS - Ce que la diplomatie américaine dit de Nicolas Sarkozy

Le soi-disant Président de tous les français !

La confirmation que Sarkozy le pro-américain est un Agent de la CIA infiltré en France pour servir les intérêts US/Israéliens ou Sionistes/Reptiliens ?
Monde

Publié le 01/12/2010 à 06:58 - Modifié le 01/12/2010 à 11:30 Le Point.fr  

FRANCE

NOUVELLES RÉVÉLATIONS DE WIKILEAKS - Ce que la diplomatie américaine dit de Nicolas Sarkozy

NOUVELLES RÉVÉLATIONS DE WIKILEAKS - Ce que la diplomatie américaine dit de Nicolas Sarkozy

Selon WikiLeaks et Le Monde, Nicolas Sarkozy avait annoncé aux Américains qu'il serait candidat à l'élection présidentielle de 2007 dès le 1er août 2005 © Ron Sachs/Pool/Maxpp

Nicolas Sarkozy est décrit par les diplomates américains comme "le président français le plus pro-américain", au point d'avoir envisagé en 2006, avant son élection, l'envoi de troupes françaises en Irak dans le cadre d'une "force internationale", selon WikiLeaks. Cette possibilité a été évoquée par Nicolas Sarkozy lors d'une rencontre à Paris avec le ministre de la Justice de George W. Bush Alberto Gonzales, l'année précédant son élection à la présidence française. "Sarkozy a déclaré que la France et la communauté internationale allaient devoir aider les États-Unis à résoudre la situation en Irak. Peut-être en remplaçant l'armée américaine par une force internationale", écrit l'ambassadeur des États-Unis en France, Craig Stapleton, dans son compte-rendu.

Des mémos publiés mardi soir par le site internet du Monde, sur la base du matériel obtenu par WikiLeaks, montrent que, selon les diplomates américains, Nicolas Sarkozy était hostile à l'invasion de l'Irak par les États-Unis en 2003. Selon ces documents cependant, il désapprouvait aussi l'opposition frontale manifestée contre cette opération par le président français de l'époque Jacques Chirac et son ministre des Affaires étrangères Dominique de Villepin. "Affirmant que c'est quelque chose que lui ne ferait jamais, il a évoqué l'utilisation, par Chirac et Villepin, du veto de la France au Conseil de sécurité (de l'ONU) contre les États-Unis en février 2002 comme étant une réaction injustifiable et excessive", dit un câble du 1er août 2005. Nicolas Sarkozy est alors ministre de l'Intérieur et il rencontre à Paris le conseiller de la Maison-Blanche pour les questions économiques, Alan Hubbard.

Dans ces mémos consacrés à la France, et dont Le Monde a publié, mardi, de longs extraits, le président français est décrit par les Américains comme "viscéralement pro-américain". Il y est aussi qualifié de "Sarkozy, l'Américain". Avant sa première rencontre avec Nicolas Sarkozy en sa qualité de président des États-Unis, Barack Obama reçoit de son ambassadeur à Paris un message extrêmement positif. "Votre visite intervient à un moment historique", écrit le diplomate, avant que les deux hommes ne se voient le 3 avril 2009 à l'occasion d'un sommet de l'OTAN à Strasbourg, dans l'est de la France.

Affinité pour Israël

 

"Nicolas Sarkozy est le président français le plus pro-américain depuis la Seconde Guerre mondiale, il est actuellement le dirigeant le plus influent en Europe", écrit le diplomate. L'ambassadeur prévient que Nicolas Sarkozy est "un pragmatique brillant, impatient, non diplomate, imprévisible, charmant, innovant" pour lequel "le rapport personnel a un impact" sur la relation politique, rapporte Le Monde en se fondant sur les documents de WikiLeaks. Il ajoute que le président français "espère un contact régulier intense" avec Barack Obama.

Selon WikiLeaks et Le Monde, Nicolas Sarkozy avait annoncé aux Américains dès sa rencontre avec Alan Hubbard le 1er août 2005 qu'il serait candidat à l'élection présidentielle de 2007. Son annonce officielle aux Français n'interviendra que le 29 novembre 2006. Au long de ces télégrammes, le "mauvais caractère" de Nicolas Sarkozy est souligné. Il est aussi parfois décrit comme "frénétique" ou "impulsif". D'autres documents publiés ces derniers jours avaient dépeint un homme "autoritaire" et "susceptible".

Les Américains s'intéressent aussi à "l'héritage juif" de Nicolas Sarkozy, en référence à son grand-père maternel, et s'interrogent, au début de son mandat, sur l'impact que cela peut avoir sur "le traditionnel centre de gravité pro-arabe" de la France dans sa politique au Proche-Orient. "L'héritage juif de Sarkozy et son affinité pour Israël sont célèbres", note l'ambassade qui considère aussi qu'avec Bernard Kouchner, le président français nommait en 2007 "le premier ministre des Affaires étrangères juif de la Ve République".

http://www.lepoint.fr/monde/nouvelles-revelations-de-wikileaks-ce-que-la-diplomatie-americaine-dit-de-nicolas-sarkozy-01-12-2010-1269115_24.php