Voir la maladie comme la  conséquence d'une agression extérieure participe d'une logique de victime  paranoïaque. De ce raisonnement « pasteurien » est née la  ''médecine préventive'' qui attribue à chaque maladie ou presque un agent causal  particulier, venant de l'extérieur.
 
Un peu plus d'un siècle de  matraquage aura suffi pour imprimer dans nos cerveaux le mythe de la contagion  virale.
 
A  travers ses notes, ses lettres ou témoignages de son entourage, nous connaissons  la personnalité égotique, rongée d'ambition qu'était Pasteur : il tronqua ses  résultats, dissimula ses errances expérimentales, vola les idées et dispositifs  de ses confrères (à ce sujet  informez-vous sur les magnifiques travaux d'un contemporain de Pasteur, Antoine  Béchamp, note d'Hélios) mentit sciemment devant l'Académie de  Médecine.
  
Il n'hésita pas à inoculer le virus rabique à ses  ''patients'' plus que nécessaire, plaçant son besoin de ''preuves  scientifiques'' au-dessus de leur santé.
L'Institut Pasteur fut fondé le 4 juin 1887, grâce à  une souscription internationale. L'administrateur en est le baron Edmond de Rothschild. C'est officiellement une fondation  privée, à but non lucratif, reconnue d'utilité publique, mais en réalité c'est une entreprise commerciale bénéficiant du  soutien de l'État. 
Il est évident que l'obligation  vaccinale constitue une arme de choix pour décimer et contrôler les populations.  De plus, les vaccins peuvent être le prétexte au puçage de la population, comme  c'est déjà le cas de nombre de nouveaux-nés aux USA et en  Angleterre.
Plus d'un siècle après la  ''découverte'' du vaccin contre la rage, alors que personne n'a jamais réussi à  voir un virus au microscope, le dogme scientiste est bien assis sur le mythe de  la contagion. Cela nous donne une petite idée de la puissance du démon  qui a nourri Pasteur dans ses recherches; aujourd'hui nous commençons seulement  à comprendre où il veut en venir.
 
Aujourd'hui la cause première de  la vaccination n'est plus la réduction de la population mondiale, mais bien de  fournir un support matériel au puçage du cheptel humain.