Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

29/04/2017

L’Union européenne a toujours été un projet de la CIA, comme les partisans du Brexit l’ont découvert.

 

Et quel est le rapport entre la CIA, les OVNIS et la création du Majestic 12, le gouvernement secret qui gouverne dans l'ombre les USA  ? Documents Majestic-12

 

Un article d’analyse traduit par l’UPR | L’Union européenne a toujours été un projet de la CIA, comme les partisans du Brexit l’ont découvert.

Publié le 29 avril 2017 dans Actualité

 

Un article du journaliste Ambrose Evans Pritchard paru dans le Daily Telegraph le 27 avril 2016 • 20h18. Nous le traduisons et le publions dans son intégralité.

L’Union européenne a toujours été un projet de la CIA, comme les partisans du Brexit le découvrent.

 

 

Le président américain Barack Obama a sommé la Grande-Bretagne de rester dans l’UE. (CRÉDIT : AFP/GETTY)


Les partisans du Brexit auraient dû être préparés pour l’intervention bouleversante des États-Unis. L’Union européenne a toujours été un projet américain.

C’est Washington qui a conduit l’intégration européenne à la fin des années 1940, et a financé la mise en œuvre de la secrètement sous le nom de Truman, Eisenhower, Kennedy, Johnson et Nixon.

Quoique parfois agacés, les États-Unis se sont depuis appuyés sur l’UE comme l’ancrage des intérêts régionaux américains aux côtés de l’OTAN.

Il n’y a jamais eu de stratégie de « diviser pour régner ».

Le camp des eurosceptiques a été étonnamment aveugle à ce fait, supposant probablement que des forces puissantes de l’autre côté de l’Atlantique incitent à la sécession britannique, qu’ils salueront ensuite comme des libérateurs.

Le mouvement anti-Bruxelles en France (dans une moindre mesure en Italie et en Allemagne, ainsi que parmi la gauche nordique) part du principe contraire, à savoir que l’UE est essentiellement un instrument du pouvoir et du capitalisme sauvage [en français dans le texte] anglo-saxon.

La Française Marine Le Pen est vigoureusement anti-américaine. Elle défie la suprématie du dollar. Son Front national s’appuie sur le financement de banques russes liées à Vladimir Poutine.

Qu’on le veuille ou non, c’est à tout le moins stratégiquement cohérent.

La déclaration Schuman qui a donné le ton de la réconciliation franco-allemande et a conduit par étapes à la Communauté européenne, a été concoctée par le secrétaire d’État américain Dean Acheson lors d’une réunion à Foggy Bottom. « Tout a commencé à Washington », a déclaré le chef de cabinet de Robert Schuman.

C’est l’administration Truman qui, dans les années de l’immédiat après-guerre, a fait pression sur les Français pour qu’ils parviennent à un modus vivendi avec l’Allemagne, menaçant même, lors d’une réunion furieuse avec les dirigeants français récalcitrants auxquels ils s’opposaient en septembre 1950, de supprimer les aides du plan Marshall.

 

 

Les chars soviétiques pénètrent dans Prague en vrombissant.

Le mobile de Truman était évident. Les accords de Yalta avec l’Union soviétique se fissuraient. Il voulait un front uni pour dissuader le Kremlin d’une nouvelle expansion après que Staline eut englouti la Tchécoslovaquie, d’autant plus que la Corée du Nord communiste avait franchi le 38e parallèle et envahi la Corée du Sud.

 

Pour les eurosceptiques britanniques, Jean Monnet, éminence grise de l’infamie supranationale, plane haut au panthéon fédéraliste. Peu de gens sont conscients du fait qu’il a passé une grande partie de sa vie en Amérique et a été, pendant la guerre, les yeux et les oreilles de Franklin Roosevelt.

 

 

 

Le général Charles de Gaulle a toujours été profondément méfiant vis-à-vis des desseins américains. (CRÉDIT : ALAMY)

 

Le général Charles de Gaulle le considérait comme un agent américain, comme il l’était en effet au sens large. La biographie de Monnet par Éric Roussel révèle comment il a travaillé, main dans la main, avec les administrations successives.

Il est curieux que cette magistrale étude de 1 000 pages n’ait jamais été traduite en anglais, car c’est la meilleure œuvre jamais écrite sur les origines de l’UE.

Peu nombreux aussi sont au courant des documents déclassifiés du service des archives américaines du département d’État, qui montrent que le renseignement américain a secrètement financé le mouvement européen pendant des décennies et a travaillé de manière acharnée en coulisse pour impliquer la Grande-Bretagne dans le projet.

Comme ce journal l’a établi en tout premier lorsque ce trésor a été rendu disponible, une note datée du 26 juillet 1950 fait état d’une campagne visant à promouvoir un véritable Parlement européen. Elle est signée par le général William J. Donovan, chef du Bureau américain des affaires stratégiques en temps de guerre, précurseur de l’Agence centrale du renseignement [Central Intelligence Agency, ou CIA].

La tête pensante de la CIA était le Comité américain pour une Europe unie [American Committee for a United Europe, ou ACUE], présidé par Donovan. Un autre document montre qu’en 1958 cet organisme a fourni 53,5 % des fonds du mouvement européen. Le conseil d’administration comprenait Walter Bedell Smith et Allen Dulles, directeurs de la CIA dans les années 1950, et une caste d’anciens agents de l’OSS [Office of Strategic Services ou « Bureau des services stratégiques »] qui, tour à tour, prenaient des fonctions au sein de la CIA.

 

 

Bill Donovan, le chef légendaire de l’OSS en temps de guerre, a ensuite été chargé d’orchestrer le projet européen.

Des documents montrent qu’il a traité certains des « pères fondateurs » de l’UE comme de serviles employés et les a résolument empêchés de trouver une autre source de financement qui aurait brisé leur dépendance à l’égard de Washington.

Il n’y a rien de particulièrement méchant là-dedans. Les États-Unis ont agi avec ruse dans le contexte de la guerre froide. La reconstruction politique de l’Europe a été un formidable succès.

Bien sûr, d’horribles erreurs de jugement se sont produites en cours de route. Une note datée du 11 juin 1965 charge le vice-président de la Communauté européenne de poursuivre l’union monétaire de manière subreptice, en supprimant le débat jusqu’à ce que « l’adoption de telles propositions devienne pratiquement inéluctable ». C’était extrêmement futé, comme nous le constatons aujourd’hui avec le piège déflationniste causé par la dette et le chômage de masse partout dans le sud de l’Europe.

En un sens, ces documents sont de l’histoire ancienne. Ce qu’ils montrent, c’est que « l’État profond » américain était trempé jusqu’au cou. On peut se demander si Boris Johnson a franchi la limite la semaine dernière en exhumant « l’ascendance partiellement kenyane » du président Barack Obama, mais l’erreur fondamentale a été de supposer que la menace commerciale de M. Obama avait quoi que ce soit à voir avec le calvaire de son grand-père dans un camp de prisonniers Mau Mau. C’était le parfait cliché de la politique étrangère américaine.

En effet, M. Obama pourrait tout à fait avoir un sentiment de rancune après les abus récemment mis à jour de la révolte des Mau Mau. C’était l’échec infâme de la discipline policière coloniale, au grand dégoût des vétérans ayant servi dans d’autres parties de l’Afrique. Mais le message de son livre extraordinaire, Les rêves de mon père, est qu’il s’est efforcé à s’élever au-delà des rancœurs de l’histoire.

Les partisans du Brexit se réconfortent à l’idée que l’optimiste républicain Ted Cruz voudrait un Royaume-Uni post-Brexit prêt à sauter à pieds joints dans un « accord de libre-échange », mais il se berce d’illusions. M. Cruz respectera les impératifs palmerstoniens de Washington [de lord Palmerston, ministre britannique des Affaires étrangères du XIXe siècle, réputé pour son impérialisme], quels qu’ils soient à ce moment, si jamais il entre à la Maison-Blanche.

 

 

Le grand-père du président Obama était prisonnier lors de la répression de la révolte des Mau Mau au Kenya, un épisode honteux de l’histoire coloniale britannique.

Il est exact que l’Amérique s’est interrogée à propos de l’UE, lorsque les fanatiques idéologiques européens ont gagné de l’influence à la fin des années 1980, remaniant l’union en superpuissance rivale, avec les ambitions de défier et de dépasser les États-Unis.

John Kornblum, chef de cabinet des Affaires européennes dans les années 1990, a déclaré que c’était un cauchemar de traiter avec Bruxelles. « J’ai fini par être totalement frustré. Dans les domaines militaire, de la sécurité et de la défense, c’est totalement dysfonctionnel. »

  1. Kornblum soutient que l’UE « a psychologiquement quitté l’Otan » lorsqu’elle a essayé de mettre sa propre structure de commandement militaire en place, et qu’elle l’a fait avec son attitude et son incompétence habituelles. « La Grande-Bretagne comme l’Occident seraient en bien meilleure forme si celle-ci ne faisait pas partie de l’UE », a-t-il déclaré.

C’est intéressant, mais ce n’est qu’un point de vue minoritaire dans les milieux politiques américains. La frustration vis-à-vis de l’UE a passé lorsque la Pologne et la première vague d’États d’Europe de l’Est ont rejoint l’UE en 2004, introduisant un ensemble de gouvernements atlantistes.

Nous savons que c’est loin d’être une histoire d’amour. Il y a deux ans, pendant la crise ukrainienne, lors de l’interception d’une conversation téléphonique, un haut fonctionnaire américain a été pris à écarter Bruxelles avec ces paroles lapidaires : « Que l’UE aille se faire foutre ! »

Pourtant, l’idée omniprésente est que l’ordre libéral occidental subit un triple assaut et que l’UE doit être soutenue, tout comme la Grande-Bretagne et la France ont soutenu au XIXe siècle l’Empire ottoman chancelant, et à juste titre, étant donné que son lent effondrement a directement mené à la Première Guerre mondiale.

Aujourd’hui, les menaces conjuguées viennent du terrorisme djihadiste et d’une série d’États défaillants au Maghreb et au Levant ; d’un régime paria hautement militarisé à Moscou, qui va bientôt manquer d’argent mais dispose d’une fenêtre d’opportunité avant que l’Europe ne se réarme ; et d’une crise extrêmement dangereuse en mer de Chine méridionale qui s’intensifie chaque jour du fait que Beijing teste la structure de l’alliance américaine.

Les dangers de la Russie et de la Chine sont évidemment interdépendants. Il est probable — les pessimistes disent certain — que Vladimir Poutine profiterait d’une sérieuse aggravation dans le Pacifique pour tenter sa chance en Europe. Selon Washington, Ottawa, Canberra et les capitales du monde entier qui considèrent largement la Pax Americana comme un bénéfice, ce n’est pas le moment pour la Grande-Bretagne de lancer un bâton de dynamite dans l’édifice européen chancelant.

L’affreuse vérité pour la campagne du « oui » au Brexit est que le pouvoir en place dans tout le monde occidental le considère comme un vandalisme stratégique. Les partisans du Brexit doivent répondre à ce reproche, juste ou non. Certains, comme lord Owen, saisissent l’ampleur du problème. La plupart en étaient allègrement inconscients jusqu’à ce que M. Obama en ait soufflé mot la semaine dernière.

À mon avis, le camp du Brexit devrait prévoir des plans visant à augmenter les dépenses militaires du Royaume-Uni de moitié, pour les passer à 3 % du PIB, s’engageant à propulser la Grande-Bretagne en tête, comme la puissance militaire européenne incontestée. Ils devraient viser à rapprocher ce pays de la France dans une alliance militaire encore plus étroite. Ce type d’action clouerait au sol au moins l’un des plus importants arguments du « Project Fear ».

Les partisans du Brexit devraient faire taire toute suggestion selon laquelle le retrait de l’UE signifierait échapper à la responsabilité mondiale, ou déchirer la Convention européenne (cette « Grande Charte » de la liberté, rédigée par les Anglais, pas par l’UE), ou tourner le dos aux accords sur le climat de la COP21 ou tout autre incartade fébrile du mouvement.

C’est peut-être trop d’attendre un plan cohérent de la part d’un groupe disparate, artificiellement réuni par les événements. Pourtant, nombre d’entre nous qui ont des sympathies pour le camp du Brexit, qui veulent également recouvrer notre autonomie et notre souveraineté et échapper à la suprématie artificieuse et usurpée de la Cour de justice européenne, attendent encore d’entendre comment les partisans du Brexit conçoivent que cette sortie puisse s’opérer sans dommage collatéral considérable et d’une manière qui soit compatible avec l’honneur de ce pays.

Vous pouvez vous quereller avec l’Europe, ou avec les États-Unis, mais c’est jouer avec le destin que de se quereller avec l’ensemble du monde démocratique en même temps.

http://www.telegraph.co.uk/business/2016/04/27/the-europe...

 

 

27/10/2015

USA : Le MJ12 ou le Gouvernement Secret par William-Cooper

Ce gouvernement secret que les USA et le Vatican craignent tellement qu'il soit dévoilé.

Voir aussi :

Le phénomène OVNI selon William Cooper...Ils sont sur la lune et nous surveillent...

 

USA : Le MJ12 ou le Gouvernement Secret par William-Cooper

Extrait du livre

Le Gouvernement Secret William Cooper by Pouvoir Mondial

 

2ème indice : NSA, un scandale mondial, Snowden obtient l'asile politique en Russie

Nous continuons pour essayer de comprendre pourquoi les USA et l’UE se sont attaqués à la Russie, dès février 2014 en fomentant le coup d’état à Kiev.

Voyons ce qui s’est passé en 2013.

Le lien est notamment à établir avec la CIA qui forme et finance les mercenaires de l’EI, et qui a été créée pour couvrir et discréditer le phénomène ET et OVNIS. George H.W. Bush, père,  a été directeur de la CIA entre 1976 et 1977, il est donc bien informé sur le sujet. 

Dernièrement  répondant à la question posée par un journaliste passionné d'ufologie au sujet du secret autour des ovnis et des extraterrestres. George Bush sénior répondit : « Les Américains ne seraient pas en mesure de supporter la vérité. »

La bonne excuse pour couvrir le gouvernement secret qui dirige les USA dans l’ombre : Le MJ12 !

Voir le fichier le MJ12 ou le Gouvernement Secret des USA dévoilé par William COOPER, un ancien militaire qui a été assassiné pour ses révélations. ICI

En 2013, un journaliste suédo-états-unien, John P. Anderson qui a enquêté pendant onze ans sur l’assassinat, en 1963, de John Fitzgerald Kennedy, (qui voulait révéler l’existence des extraterrestres et du MJ 12, le gouvernement secret qui mène les les USA, dans l’ombre),  ainsi que sur les méthodes opérationnelles et l’histoire de la CIA, pense que le meurtre d’Olof Palme (premier ministre suédois, assassiné en 1986, ndt) était une opération de la CIA.

Les USA et le Vatican ont une peur bleue que la Russie dénonce, l’existence des ET et des OVNIS, parce que si l’on présente réellement la réalité, notre vision du monde changera concernant l'histoire, les religions, le présent et le futur et plusieurs scandales vont apparaitre concernant les élites de ce monde qui font tout ce qu'elles peuvent pour nous dissimuler la vérité."

Voir les révélations du Dr Michael WOLF qui a travaillé avec les ET à la base secrète de l'Area 51 dans le Nevada : ICI

Voir aussi celles de Phil Schneider sur : Le Nouvel Ordre Mondial, les Illuminati-reptiliens et les ET (Grands gris).

Phil Schneider était un scientifique qui travaillait pour le Gouvernement US sur des projets occultes de construction de bases souterraines de grande profondeur en faveur des protagonistes et instigateurs du Nouvel Ordre Mondial. L'une des bases les plus connues est celle de DULCE au  Nouveau Mexique.

Phil Schneider pensait travailler pour le Gouvernement Fédéral des USA pour un projet de constitution du Nouvel Ordre Mondial lorsqu'il eût la surprise de constater que les promoteurs et instigateurs n'étaient autre que les ET (les Grands Gris) qui avaient obtenu le droit dès 1954 par le Gouvenernement US de procéder à des expériences sur des animaux et sur des humains, à condition qu'ils rendent compte régulièrement de leurs travaux auprès du Gouvernement US.

Origine de cette autorisation accordée aux ET (Grands gris) et le " traité Greada de 1954 ". Voir la suite : ICI

Le premier indice est donc celui que la Russie ait menacé le 24 janvier 2013, de révéler l’existence des extraterrestres si Obama ne le faisait pas.


1er indice : Le 24 janvier 2013, La Russie Ordonne à Obama de parler au monde à propos des extraterrestres, ou nous le ferons

Le 2ème indice est celui que le 6 juin 2013, Edward Snowden, ancien agent de la CIA  et consultant de la NSA dévoile l’espionnage concernant la surveillance mondiale d'internet, mais aussi des téléphones portables et autres moyens de communications, principalement par la National Security Agency américaine (NSA).

C’est un coup porté aux pratiques secrètes et infâmes des USA qui porte atteinte à la sécurité nationale des USA. Qui plus est Snowden après avoir demandé l’asile politique auprès de nombreux  pays, l’obtient où ? En Russie !

Le 6 juin 2013 : Les révélations d'Edward Snowden commencent avec un important volume de documents (d'abord estimé entre 15 et 20 000, chiffre ensuite constamment réévalué à la hausse pour atteindre 1,7 million en décembre 20131) transmis par l'ancien agent de la CIA et consultant de la NSA Edward Snowden à deux journalistes, Glenn Greenwald et Laura Poitras, et progressivement rendus publics à partir du 6 juin 2013 à travers plusieurs titres de presse. Elles concernent la surveillance mondiale d'internet, mais aussi des téléphones portables et autres moyens de communications, principalement par la National Security Agency américaine (NSA).

Snowden a aussi révélé l’existence des ET, tout comme les lanceurs d’alerte, dont Assange avec Wikileaks.

OVNIs : des documents de Wikileaks confirment l'existence de la vie extra-terrestre

Edward Snowden : "Les extraterrestres cryptent leurs communications"

Rappelons-nous le cas du jeune militaire US,Bradley Manning, qui a écopé de 35 ans de prison pour avoir téléchargé et livré à WikiLeaks plus de 700.000 documents militaires et diplomatiques classés secret-défense, de novembre 2009 jusqu'à son arrestation en mai 2010. Wikileaks : Bradley Manning condamné à 35 ans de prison

Rappelons-nous aussi, de Bob Lazar qui à la fin des années 80, se présente comme un scientifique ayant travaillé pour des laboratoires secrets du gouvernement US, a "révélé" que les autorités américaines détenaient des technologies extraterrestres. 25 ans plus tard, un témoin viendrait enfin confirmer une partie de ses assertions... Bob Lazar n'aurait pas tout inventé

Imaginons donc la tête que fait le MJ12 et le Gouvernement OBAMA en voyant tous ces renseignements classés secret défense qui sont désormais entre les mains de Poutine et qui pourraient porter atteinte aux USA.

Il ne leur restait plus qu’à aller s’attaquer à la Russie de manière biaisée en fomentant un coup d’état en Ukraine et depuis lors nous connaissons la suite.

La Russie est elle-même dans les missions spatiales depuis de nombreuses années et les USA sont dépendants de leur technologie. Mieux, la Russie pourrait créer sa propre station orbitale (Roskosmos)

Ils sont donc au fait de tout ce qui se passe dans l’espace et aptes à révéler l’existence des extraterrestres.

Pour découvrir l’histoire et les révélations faites par Snowden vous pourrez consulter le site qui est dédié à son travail.

Snowden, espionnage et démocratie

L'affaire Snowden remet-elle en cause la conception de la démocratie ?

Nouvelle image (4).jpg


Extrait du livre : L'affaire Snowden: Comment les États-Unis espionnent le monde

http://widget.editis.com/Books/ladecouverte/9782707178480/gf/70717848_000_CV_1_000.png#image


 

26/10/2015

Le pouvoir des ovnis, la vérité choquante [documentaire paranormal]

Et si la vérité était ailleurs ?

 

Le pouvoir des ovnis, la vérité choquante
[documentaire paranormal]



14/09/2015

Le Nouvel Ordre Mondial : « Cette ingérence étrangère, est liée aux extraterrestres »

Quand l’humanité comprendra ce qui se passe sur Terre depuis des millénaires alors elle se décidera à se lever contre toutes les monstruosités qu'elle subit sans relâche et qu'elle sera en mesure de se libérer de ses envahisseurs prédateurs  ! 

 

Le Nouvel Ordre Mondial : « Cette ingérence étrangère, est liée aux extraterrestres »

Nouvelle image.png

Le Nouvel Ordre Mondial, j’ai pas peur, tu vas mourir ! Qu’ils dégagent tous en enfer ! Rejoignez, le, peuple !

DJ Mondru featuring LLP & Jimmy G. - Nouvel Ordre Mondial


Jimmy Guieu n'était pas seulement l'écrivain de science-fiction bien connu, mais aussi un enquêteur de l'étrange pour le moins passionné.

La série "Les Portes du Futur" retrace ses recherches

Jimmy Guieu est décédé suite à un cancer de la prostate. On a retrouvé un peu plus tard, une barre d’uranium sous sa chaise de travail. Sur cet assassinat, vous trouverez plus d’informations ici.

Jimmy Guieu : Les Gouvernants Secrets 1
Nos visiteurs les extraterrestres (Les Portes du Futur)


 

Jimmy Guieu : Les Gouvernants Secrets 2
Nos maîtres les extraterrestres (Les Portes du Futur)



Jimmy Guieu : Les Gouvernants Secrets 3
Les embassadeurs (Les Portes du Futur)


 

La série des 7 vidéos portant sur les Gouvernants secrets : ICI