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11/10/2015

Moscou renforce sa présence militaire à la frontière afghane

Et qui se trouve depuis des années en Afghanistan pour qu'il y ait près de 3000 mercenaires de l'EI ?

Les USA et la CIA bien sûr qui forment leurs bras armés et qui assurent leurs rentrées financières grâce à la culture et aux rentrées financières de la drogue !

Les Américains n'en ont pas fini avec l'Afghanistan

Les États-Unis encouragent le trafic de drogue en Afghanistan

L'opium, la CIA et l'administration Karzai, par Peter Dale Scott

La CIA et l'empire de la drogue - Contre-Info

Moscou renforce sa présence militaire à la frontière afghane

La prise éphémère de Kunduz en Afghanistan par les talibans a suffi pour convaincre la Russie à agir. Moscou a ainsi envoyé des hélicoptères de combat pour renforcer sa 201e base militaire au Tadjikistan, ancien satellite de l'URSS et situé à 70 kilomètres seulement de Kunduz. Les Russes sont à l'affût d'une possible propagation des islamistes et surveille l'EI de près


Moscou renforce sa présence militaire à la... par ITELE

 

Les USA cèdent leur dominance à la Russie dans le Proche Orient

Ce n'est pas étonnant que les USA et leurs alliés soient en déclin au proche orient, car de partout où ils passent ce n'est que guerre, chaos et désolation !

La Russie mérite bien de prendre le relais dans cette région.

Les USA cèdent leur dominance à la Russie dans le Proche Orient

21:12 10.10.2015 (mis à jour 21:20 10.10.2015)

Российская боевая авиагруппа на аэродроме Хмеймим в Сирии

Grâce à l'opération en Syrie, l'influence russe dans le Proche Orient est sans précédent, alors que les positions des Etats-Unis ne font que s'affaiblir, ses adeptes ne voyant plus en Washington un allié fiable estiment les analystes de The Wall Street Journal.

"L'influence américaine et son implication dans les affaires de la région traverse une période de déclin sans précédent depuis la Seconde guerre mondiale", estime l'ancien ambassadeur américain en Afghanistan, en Syrie, en Irak, au Liban, au Koweït et au Pakistan Ryan Crocker. D'après lui, le vide politique dans la région est rempli pas à pas par les forces que Washington tentait d'endiguer durant tout ce temps.

Bien que Washington conserve toujours sa puissance militaire dans le Proche Orient, ses alliés et ses adversaires ne croient plus que les Etats-Unis vont soutenir leurs amis, affirment les analyses.

"La région ne possède aucun groupe qui soutienne les Etats-Unis, et c'est frappant", fait remarquer Emile Hokayem, analyste à l’International Institute for Strategic Studies de Londres. Ainsi, d'après lui, les cercles libéraux sont persuadés que le président américain Barack Obama est de connivence avec les dirigeants autoritaires. Pourtant, les autocrates voient en les Etats-Unis un allié peu crédible.

Washington perd à jamais sa dominance dans le Proche Orient…

L'analyste estime que Washington a perdu à jamais sa position dominante dans le Proche Orient. "Celui qui viendra après M. Obama n'aura pas beaucoup de cartes à jouer. Je ne vois pas de stratégie même pour le président suivant. Nous y sommes trop loin", fait remarquer l'analyste.

Les alliés des Etats-Unis dans le Proche Orient sont inquiets et optent souvent pour un compromis avec la Russie, souligne le Wall Street Journal (WSJ). C'est notamment le cas d'Israël, qui a refusé de soutenir la résolution proposée par les Etats-Unis à l'Assemblée Générale de l'Onu, concernant la Crimée, et qui ne critique pas actuellement les frappes russes en Syries. 

…Moscou prend le relais

Bien que la Maison Blanche essaye de contester le déclin de ses forces, les événements de ces dernières semaines, notamment le "gambit syrien" russe, font que la Russie est actuellement encore plus puissante dans le Proche Orient que dans les années 1970-1980.

"M. Poutine aspire à une sorte de dominance conjointe avec les Etats-Unis dans le Proche orient et il a presque réussi", estime Camille Grand, directeur de la Fondation pour la recherche stratégique à Paris.

Plusieurs forces dans la région, surtout l'Irak et les Kurdes, sont désenchantées par l'incapacité des Etats-Unis de contrer le groupe terroriste Etat islamique et saluent donc l'opération russe en Syrie.

Quels sont les résultats de cette coalition américaine? La promotion de l'EI", souligne Hicham M. Jaber, président du Centre du Moyen-Orient pour les Etudes et Relations publiques à Beyrouth.

Une situation semblable a lieu en Asie centrale. Les pays qui avaient un jour rendu possible le déploiement des bases militaires occidentales sur leurs territoires rentrent sur l'orbite de Moscou.

"Ce qui se passe en Afghanistan pousse nos pays vers la Russie. Personne ne sait ce que feront demain les Etats-Unis. Personne ne leur fait confiance: ni l'élite, ni les gens ordinaires", conclut l'ex-vice premier ministre du Kirghizistan Tokon Mamytov.

Le 30 septembre, l'Armée de l'air russe a entamé une opération militaire contre l'EI en Syrie sur décision du président russe Vladimir Poutine et à la demande du président syrien Bachar el-Assad. Les frappes aériennes russes ciblent les sites militaires, les centres de communication, les transports, ainsi que les stocks d'armes, de munitions et de combustible appartenant à l'EI.
 
Lors des dernières 24 heures, les avions russes ont effectués 64 sorties et ont frappé 55 positions de l'EI, dont 29 camps du groupe terroriste Etat islamique.
 
 

10/10/2015

Washington avoue ne pas disposer d’une liste de groupes d’opposition que la Russie pourrait viser

Conclusion, voilà avec quelle armée modérée "fantôme", il fallait que Poutine travaille selon Holl'andouille et les USA !

Y'en a pas !

La seule qui existe est celle qui lutte contre Bachar Al-ASSAD et l'armée Syrienne !

On rigole, parce que la Russie a mis parterre les armes, les munitions, les véhicules et les camps de formation de la CIA/MOSSAD, financés sur les deniers de ces pauvres américains !

On comprend mieux pourquoi les zélites zuniennes poussent les hauts cris quand la Russie détruit leurs jouets mortifères en Syrie !

Voir aussi : Le cœur de l’affaire Etats-Unis/EIIL exposé au grand jour par Poutine !

Washington avoue ne pas disposer d’une liste de groupes d’opposition que la Russie pourrait viser

John Kirby
John Kirby
 

Le département d’Etat américain ne possède pas de liste répertoriant les groupes de l’opposition syrienne qui subissent les soi-disant frappes aériennes effectuées par la Russie, a indiqué vendredi le porte-parole John Kirby.

«Je n’ai pas de liste de groupes ou de gens qui subissent [des bombardements] de la part de la Russie. Mais si je l’avais en ma possession, je ne trouverais pas correct d’en parler à cette tribune», a répondu Kirby aux journalistes lors d’un briefing au département d’Etat.

Cependant, il a répété la position des Etats-Unis, estimant qu’«un grand nombre de bombardements de la Russie sont orientés contre l’opposition».

Depuis le 30 septembre, la Russie mène son opération militaire en Syrie à la demande du président Bachar el-Assad. Les cibles sont choisies en se basant sur les données de surveillance de la Russie, de la Syrie, de l’Irak et de l’Iran.

Plus tôt, l’ambassadeur de Syrie en Russie Riad Haddad avait confirmé que toutes les frappes ne visaient que des positions tenues par les terroristes, et non l’opposition ou des civils. Il a aussi souligné qu’en conséquence des raids russes depuis le début de l’opération, près de 40% des infrastructures de Daesh ont été éliminées.

 

 

09/10/2015

La Russie en Syrie, Israël en enfer…

Il fait moins le cake avec Poutine !

Il n'est pas sans savoir que Poutine a de bonnes relations avec l'Iran qui est aussi son partenaire en Syrie  et qu'il va bénéficier aussi du soutien du Hezbollah libanais.

Alors, il va faire quoi le nazisioniste qui se venge sur les pauvres Palestiniens ?

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La Russie en Syrie, Israël en enfer…

Oct 09, 2015 18:10 UTC

 

IRIB- Il est vrai que les relations russo-israéliennes ont connu des progrès considérables, depuis les années 60 et 70, à l'époque où l’ex-URSS fournissait des armes au monde arabe et voyait en le conflit israélo-arabe, un autre front de la guerre froide ; Israël regarde toutefois d’un œil dubitatif les objectifs de Moscou dans la région…

Pourtant, les deux parties ont d’importantes questions à discuter : parmi d’autres l’intervention russe dans le monde arabe, en utilisant des dizaines de chasseurs Soukhoï dans le nord de la Syrie, sans oublier des systèmes anti-aériens et des centaines de soldats, ce qui a déjà fait basculer les équations.
 
Les frappes aériennes russes contre les rebelles peuvent mettre en danger les priorités stratégiques d’Israël en Syrie et adoucir les lignes rouges tracées par Israël pour plusieurs acteurs des conflits en Syrie. En tout cas, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu ne s’est pas encore exprimé sur l’intervention russe en Syrie ; il s’est même gardé de prendre une position critique semblable à celle des Etats-Unis ou de l’OTAN vis-à-vis des démarches militaires russes en Syrie.
 
Netanyahu a laissé suggérer qu’il ne souhaitait pas voir les deux parties revenir à l’époque d’hostilité et de confrontation !!
 
Il n’a pas toutefois oublié d’indiquer qu’Israël agirait « si quelqu’un veut utiliser le sol syrien pour faire parvenir des armes atomiques au Hezbollah ».

Tout cela ne signifie pas, néanmoins, qu’Israël a opté pour une position ambivalente envers l’intervention russe en Syrie. Tel-Aviv a annoncé que deux facteurs pourraient inciter ce régime à intervenir dans la guerre en Syrie : si la souveraineté de ce régime était mise en danger en raison des attaques menées depuis l’intérieur de la Syrie, d’une part et de l’autre, s’il constate des agissements dans le sens de la livraison des armes sophistiqués au Hezbollah libanais.

Il ne semble pas pourtant qu’Israël procède à une intervention en Syrie car il craint que les forces du Hezbollah ou les forces d’Assad soient mises par les Ruses au courant de leur intention avant même qu’il ne lance une attaque.
 
Or, le meilleur scénario est, pour Netanyahu, la poursuite de la guerre d’usure qui occupe, d’ailleurs, les ennemis d’Israël dans une confrontation les uns contre les autres.
 
Nombreux sont les analystes militaires israéliens qui estiment que les frappes aériennes russes sont beaucoup plus audacieuses par rapport aux raids aériens de la coalition dirigée par les Etats-Unis.
 
En tout état de cause, Israël ne semble pas s’inquiéter dans la mesure où les Russes aident seulement Assad à stabiliser ses lignes militaires. Mais si la coopération Russie/Iran se renforce, se transformant en une contre-attaque qui permettrait au gouvernement Assad de reprendre le contrôle d’importantes zones occupées par les terroristes, une évolution surgira, une évolution qu’Israël ne pourrait pas négliger si simplement.
 
 

Un bâtiment russe traverse le détroit des Dardanelles

Bon, les voisins toxiques et ennemis de la Syrie vont avoir du souci à se faire !

Qu'ils prévoient les couches-culottes !

Un bâtiment russe traverse le détroit des Dardanelles

Oct 09, 2015 16:32 UTC

IRIB – Les sources d’information turques ont annoncé qu’un navire de guerre russe avait traversé vendredi le détroit des Dardanelles dans les eaux de la Turquie.

Selon l’Irna qui cite les sources turques, le navire de débarquement de la Flotte de la mer Noire Novotcherkassk continue son trajet, afin de parvenir à la base navale de Tartous, dans les eaux riveraines de la Syrie, en Méditerranée.

Samedi dernier aussi un autre bâtiment russe Caesar Kunikov est arrivé en Méditerranée, en empruntant le même itinéraire. Les médias turcs disent que la Russie renforce sa présence militaire en Syrie.

Eu égard à la situation politique en Syrie et aux arrangements militaires de la Russie en Méditerranée, Moscou envisage de renforcer sa base maritime à Tartous qui est un héritage de la guerre froide, ce qui ne plaît pas forcément à Ankara, selon les observateurs politiques bien informés. Depuis le déclenchement de la crise en Syrie, la Turquie a toujours soutenu les terroristes, tout comme le Qatar et l’Arabie saoudite.