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01/07/2009

Israël : Nouveau projet immobilier dans une colonie de Cisjordanie

Les provocations continuent ....!!!!!


Par Reuters, publié le 29/06/2009 à 14:11

JERUSALEM - Le ministère israélien de la Défense a approuvé la construction de cinquante nouveaux logements dans l'implantation juive d'Adam, au nord de Jérusalem, malgré les appels des Etats-Unis à la fin de la colonisation en Cisjordanie.

Le ministère israélien de la Défense a approuvé la construction de cinquante nouveaux logements dans cette implantation, située au nord de Jérusalem, malgré les appels des Etats-Unis à la fin de la colonisation en Cisjordanie. L'initiative a été annoncée quelques heures avant le départ du ministre de la Défense, Ehud Barak, pour Washington. (Reuters/Ronen Zvulun)

 

Un ouvrier dans la colonie juive d'Adam, en Cisjordanie. Le ministère israélien de la Défense a approuvé la construction de cinquante nouveaux logements dans cette implantation, située au nord de Jérusalem, malgré les appels des Etats-Unis à la fin de la colonisation en Cisjordanie. L'initiative a été annoncée quelques heures avant le départ du ministre de la Défense, Ehud Barak, pour Washington. (Reuters/Ronen Zvulun)

Un ouvrier dans la colonie juive d'Adam, en Cisjordanie.


L'initiative a été annoncée lundi quelques heures avant le départ du ministre de la Défense, Ehud Barak, pour Washington, où il sera reçu par le président Barack Obama et l'émissaire américain au Proche-Orient, George Mitchell.

Elle s'inscrit dans le cadre d'un projet de construction de 1.450 logements que conteste le groupe pacifiste israélien La Paix maintenant.

Il s'agit de reloger à Adam des colons qui s'étaient installés à Migron, une implantation illégale de Cisjordanie.

Le ministère de la Défense n'a donné son feu vert que pour 50 logements et souligne qu'aucune autre construction n'aura lieu sans son aval.

Environ 500.000 Israéliens vivent en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, la partie arabe de la ville sainte prise par Tsahal en juin 1967. Selon La Paix maintenant, 2.500 logements sont en construction dans les colonies de Cisjordanie, que la Cour internationale de justice juge illégales.

Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne, a fait du gel de la colonisation une condition de la reprise des négociations de paix.

MORATOIRE EN VUE ?

"Nous n'accepterons pas la poursuite de la colonisation", a-t-il rappelé lundi, exhortant en outre le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, à renoncer aux conditions qu'il a posées à la création d'un État palestinien.

Le chef du gouvernement, qui a prononcé le 14 juin son premier grand discours de politique étrangère, réclame notamment des garanties internationales en matière de sécurité et exige de l'Autorité palestinienne qu'elle reconnaisse Israël en tant qu'Etat juif.

"Israël doit accepter la solution à deux Etats sans fixer de conditions qui la priveraient de son sens", a ajouté Mahmoud Abbas.

Benjamin Netanyahu a exclu la construction de nouvelles colonies, mais s'oppose toujours au gel de leur développement, invoquant le droit de répondre à leur "croissance naturelle".

Interrogé par la presse à la veille de son départ pour Washington, Ehud Barak s'est quant à lui abstenu dimanche de démentir les informations du journal israélien Yedioth Ahronoth qui lui prête l'intention de proposer un gel de trois mois des mises en chantier dans les colonies tout en autorisant la poursuite des constructions en cours.


La France humiliée par Tsahal

Monde 25/06/2009 à 06h51

La France humiliée par Tsahal

Analyse

Les soldats israéliens ont agressé plusieurs fois des diplomates français.

Par JEAN-PIERRE PERRIN

Si Nicolas Sarkozy fait beaucoup d’efforts pour se rapprocher de l’Etat hébreu, on ne peut pas dire que la réciproque soit vraie. A preuve la multiplication des «bavures» commises par les forces de sécurité israéliennes à l’encontre de ressortissants français en mission et soigneusement étouffées par le Quai d’Orsay. Lundi, la directrice du centre culturel français de Naplouse (Cisjordanie) a été sortie de son véhicule, jetée à terre et rouée de coups par des militaires israéliens près de Jérusalem. «Je peux te tuer», a lancé en anglais l’un des soldats. Sa voiture portait pourtant des plaques diplomatiques. Depuis, on lui a déconseillé de porter plainte pour ne pas «gêner» la visite de Nétanyahou. Mardi, c’est le directeur du centre culturel de Jérusalem-Ouest, Olivier Debray, qui, à bord d’un véhicule pourvu de plaques consulaires, a été insulté par des policiers.

Miette. D’une façon générale, le corps consulaire français se plaint de la violation régulière par les policiers et les soldats israéliens des usages consulaires. Le 11 juin 2008, Catherine Hyver, consule adjointe à Jérusalem, avait été retenue dix-sept heures sans une goutte d’eau ni une miette de pain par la sécurité israélienne à un point de passage de la bande de Gaza.

Excréments. Mais l’incident le plus choquant est l’occupation du domicile de l’agent consulaire français, Majdi Chakkoura, à Gaza pendant l’attaque israélienne de janvier. En son absence, les soldats israéliens ont complètement ravagé les lieux - pourtant signalés à l’armée israélienne -, volé une grosse somme d’argent, les bijoux de son épouse, son ordinateur et détruit la thèse sur laquelle il travaillait. Et ils ont souillé d’excréments le drapeau français. Le Quai d’Orsay n’a là encore élevé aucune protestation. Une occupation semblable s’est produite au domicile d’une professeure palestinienne du centre culturel français. Avec ce tag écrit en français sur la bibliothèque dévastée : «Sale arabe, ont va revenir te tuer». C’est, dit-on à Gaza, la faute de français - le «t» en trop - qui a choqué l’enseignante.

Source : Libération

21/01/2009

Gaza : L'ONU constate les dégâts à Gaza comme frappée par "un tremblement de terre"

L'ONU constate les dégâts à Gaza comme frappée par "un tremblement de terre"

GENEVE (AFP) — La bande de Gaza ressemble à une zone frappée par un "tremblement de terre", a estimé mardi l'ONU, alors que les agences onusiennes et les organisation humanitaires profitent du cessez-le-feu pour faire le bilan des destructions causées par l'offensive israélienne.

"La bande de Gaza est maintenant comme (une zone frappée par) un tremblement de terre", a déclaré à Genève devant la presse Guido Sabatinelli, responsable de la santé de l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa).

"Beaucoup de gens n'ont nulle part où aller" du fait de la destruction de leurs maisons, a poursuivi M. Sabatinelli.

 

Ban Ki-moon constate le désastre humanitaire à Gaza

Les Palestiniens de Gaza profitent du cessez-le-feu pour se réorganiser et l'armée israélienne devrait retirer la totalité de ses troupes.

Ban Ki-moon est arrivé mardi 20 janvier dans la bande de Gaza. Le secrétaire général de l'ONU est le premier responsable international de ce rang à se déplacer dans le territoire après la guerre de trois semaines menée par Israël et depuis le coup de force, en juin 2007, du Hamas contre le Fatah du président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas.

Durant l'offensive israélienne, qui a fait 1.300 morts palestiniens et plus de 5.300 blessés, plusieurs bâtiments onusiens ont été touchés. Ban ki-moon a déclaré que ceux responsables des bombardements devront « rendre des comptes devant les instances judiciaires ».

 
 
Ruines, pleurs et deuil : dans Gaza dévastée
 
Dans les rues de Jabaliya, les enfants ont trouvé un nouveau divertissement. Ils collectionnent les éclats d'obus et de missiles. Ils déterrent du sable des morceaux d'une fibre compacte qui s'enflamment immédiatement au contact de l'air et qu'ils tentent difficilement d'éteindre avec leurs pieds. "C'est du phosphore. Regardez comme ça brûle."

Sur les murs de cette rue, des traces noirâtres sont visibles. Les bombes ont projeté partout ce produit chimique qui a incendié une petite fabrique de papier. "C'est la première fois que je vois cela après trente-huit ans d'occupation israélienne", s'exclame Mohammed Abed Rabbo. Dans son costume trois pièces, cette figure du quartier porte le deuil. Six membres de sa famille ont été fauchés par une bombe devant un magasin, le 10 janvier. Ils étaient venus s'approvisionner pendant les trois heures de trêve décrétées par Israël pour permettre aux Gazaouis de souffler.

La suite ici : http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2009/01/21/ru...

 
 

19/01/2009

Gaza : toutes les vidéos

Le Hamas a riposté à la diffusion de vidéos de l'armée israélienne sur YouTube en lançant son propre site de partage d'images. Avec PalTube, dont le serveur est situé à Moscou, l'organisation islamiste veut exposer les "massacres" de l'Etat hébreu à Gaza et y dénonce un "holocauste sioniste". Les vidéos font l'apologie du martyre et des Brigades Ezzedine al-Qassam, la branche armée du Hamas.
 
 
Les vidéos de l'armée Israélienne
 
En riposte à la diffusion des vidéos de l'armée Israélienne, les vidéos du Hamas
 

Gaza : Télézapping

A Zeitoun, des corps sous les ruines

Dès l'entrée en vigueur du cessez-le-feu dans la bande de Gaza, dimanche 18 janvier, les secouristes ont commencé à fouiller les décombres à la recherche de corps. En quelques heures, 95 cadavres ont été retrouvés dans les ruines de maisons bombardées, principalement à Jabaliya, Beit Lahiya et Zeitoun.

 
Gaza : Toutes les vidéos
 
Les médias internationaux de retour à Gaza
Pour la première fois depuis le début de l'offensive israélienne sur la bande de Gaza, le 27 décembre, des journalistes internationaux ont été autorisés, dimanche 18 janvier, à entrer dans la bande de Gaza. Jusque là, les seules images du territoire palestiniens provenaient des quelques journalistes palestiniens présents sur place, des ONG et des belligérants.
 
Pendant les négociations, la guerre continue
 
 
D'autres vidéos