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02/06/2010

Cendres volcaniques électrifiées du volcan islandais: la source ne serait pas d'origine naturelle

Bizarre n'est-ce pas toutes ces coïncidences ? L'OTAN qui fait des manoeuvres sur des nouvelles armes et la découverte de cendres électrifiées ?

Cendres volcaniques recevant des décharges électriques; « L’électricité atmosphérique et l’activité météorologique habituelle » n’en sont probablement pas la source

28 mai 2010

HAARP?

Via: National Geographic:

Le panache de cendres du volcan islandais Eyjafjallajökull, qui a paralysé le trafic aérien international en avril, a révélé un secret choquant: une charge électrique inattendue.

Les panaches de cendres qui se trouvent directement au-dessus des volcans en éruption sont connus pour générer de la foudre, et des cendres électriquement chargées ont été trouvées dans de précédents panaches à une distance de 30 miles (50 kilomètres) de leurs volcans d’origine.

Mais, selon une nouvelle étude, de la cendre électrifiée en provenance du volcan Eyjafjallajökull a été retrouvée à une distance record de 745 miles (1.200 kilomètres) de l’éruption.

A cette distance, ce n’est pas l’énergie de l’éruption elle-même qui a pu charger la cendre, a déclaré le coauteur de l’étude Giles Harrison, un météorologue de l’Université de Reading au Royaume-Uni, sur la base de la taille moyenne et de la forme des particules dans les cendres, « toute charge initiale qui se serait produite, aurait baissé en intensité à plusieurs reprises. »

En fait, les cendres situées dans la partie la plus profonde du panache volcanique, étaient encore chargées électriquement 32 heures après avoir été éjectées du pic islandais, ce qui suggère que la charge se renouvelait d’elle-même, disent les scientifiques. La découverte signifie que de nombreux panaches de cendres volcaniques peuvent être électrifiés, ce qui pourrait avoir des implications pour l’industrie des transports aériens.

Cendre volcanique électrifiée située à un niveau profond dans le panache volcanique

Le volcan Eyjafjallajökull a commencé à entrer en éruption vers la fin mars, et le 14 avril, le volcan a commencé a cracher un panache de cendres gigantesque.

Le panache a voyagé en direction de l’Europe continentale, clouant au sol les avions dans le monde entier pendant des jours, en raison des craintes que les cendres ne détériorent les moteurs.

Article complet ici en Anglais

http://news.nationalgeographic.com/news/2010/05/100527-sc...

 

Le nuage de cendres que personne n'a vu...

http://www.lepouvoirmondial.com/media/00/02/1286165588.jpg

Quelles furent les vraies raisons du blocage du trafic aérien en Europe occidentale? Notre ami et conseiller Robert synthétise les principales incohérences scientifiques de la thèse officielle et pointe sur les indices qui pourraient expliquer ce qui s'est vraiment passé pendant cette semaine très particulière.

Une grande manœuvre de l'OTAN, prévue depuis longtemps, a débuté le 12 avril, impliquant une soixantaine d'avions de combat. Officiellement, il s'agit d'un exercice de routine, mais l'on trouve dans un des documents publiés par l'OTAN cette petite phrase révélatrice : «Tester de nouvelles armes non conventionnelles liées au bouclier anti-missile.»


L'OTAN avait donc besoin d’une liberté maximum dans l'espace aérien pour pouvoir mener à bien ces expérimentations sans risques, ni observateurs indésirables. Et curieusement, un petit volcan islandais, l'Eyjafjöl, entre au même moment en éruption et se met à cracher des cendres qui imposent la fermeture de tout l'espace aérien des pays de l'OTAN au trafic civil, mais pas aux manœuvres militaires.


Le secrétaire général de l’Alliance, Anders Fogh Rasmussen, a d'ailleurs déclaré : «Je peux vous assurer que le volcan islandais n’a aucun effet sur nos opérations, ni sur la défense territoriale des États alliés»


La Russie et la Biélorussie n’ont fermé aucun de leurs aéroports bien que, selon l'organisme météorologique britannique, tout le territoire biélorusse et la moitié du territoire russe soient couverts par le nuage de cendres.


Les compagnies européennes ont rapidement mené des tests indépendants et ont conclu à l'absence de danger. Joachim Hunold, PDG d’Air Berlin, a ainsi déclaré : «Pas une seule sonde météo n’a été lancée en Allemagne pour mesurer si et dans quelles proportions il y a des cendres volcaniques dans l’air. La fermeture de l’espace aérien est entièrement basée sur les résultats de simulations par ordinateur du
Volcanic Ash Advisory Center (VAAC)»

Guido Visconti, directeur du Centre des Phénomènes Extrêmes, a indiqué : «Les valeurs mesurées en France, Allemagne, Pays-Bas, Suisse et Roumanie sont égales ou inférieures à celles des standards acceptés pour la pollution urbaine». Des poussières, des cendres volcaniques ou du sable du Sahara sont présents toute l'année dans l'atmosphère. Une vingtaine de volcans sont en éruption simultanément dans le monde.


D'autre part, très peu d'images convaincantes, exceptés les mêmes reportages qui passent en boucle (la vidéo d'un avion pris dans le nuage d'un volcan). Le nuage de cendres lui-même est quasiment invisible, excepté sur certaines photos d'un ciel rougeoyant parcouru par de longues traînées, typiquement liées à l'utilisation de certaines ondes (HAARP, ondes scalaires…)


Il ne faut pas oublier la troisième coïncidence : le crash de l'avion polonais et l'élimination de la structure dirigeante d'un Etat. Ce genre «d'accident-sacrifice» sert généralement à prévenir tous ceux qui ne seraient pas à la hauteur des exigences du Nouvel Ordre Mondial... La Pologne a été le seul pays à ne pas accepter le vaccin H1N1 et a toujours fait bande à part dans la stratégie européenne. (
Note du CROM : le gouvernement polonais se rendait à la commémoration d’un massacre généralement attribué aux Nazis mais qui, aujourd’hui, semble avoir été le fruit des Soviétiques. Allaient-ils faire des déclarations gênantes?)

C'est aussi une façon de dire aux Européens qu'ils devront se plier à toutes les "ordonnances" qu'on projette de leur imposer...


En effet, dans la perspective d'une déstabilisation de l'économie mondiale, cette opération est extrêmement préjudiciable au commerce européen. Ce sont les compagnies européennes qui sont le plus gravement touchées et certaines pourraient se rapprocher rapidement de la faillite, au bénéfice des compagnies états-uniennes.


Il faut toujours se poser la même question : à qui profite un événement de ce genre ?


Commentaire du CROM: Il nous a aussi été rapporté que, pendant la semaine d'immobilisation du traffic aérien, on trouvait un grand nombre d'oiseaux au sol, près des routes. Par ailleurs, des troupeaux entiers de vaches étaient couchées sur le sol, comme évanouies. Les animaux étant extrêmement sensibles aux ondes, cela semble indiquer qu'il y a en effet eu des tests d'armes électromagnétiques cette semaine-là.


Mise en Ligne: 05.05.2010


21/03/2010

Un Ovni sur la base Air Force de Vandenberg

mars 21st, 2010 Posted in Mars 2010 |

L'enquêtrice Linda Moulton Howe avait reçu fin février un email d'un ancien employé de l'US Air Force : "Hello Linda, je lis EarthFiles et vous écoute sur C2C. Je peux vous parler d'un incident Ovni qui date de 1969, sur une grande base Air Force de Californie où j'effectuais mon service. - Steve"

Ovni en V

Un immense engin volant en forme de V au-dessus du Galaxy C-5

LMH vient de publier l'interview. "Steve" est né à San Diego, Californie. Il s'est engagé dans l'US Air Force en 1966. Après avoir reçu une formation de base dans les forces de sécurité, il fut d'abord assigné pendant 18 mois à Kunsan, en Corée, puis sur la base de Vandenberg de Juillet 1966 à juillet 1970.

"Steve m'a confié que depuis son observation, avec d'autres agents de sécurité de l'USAF, il n'avait raconté son expérience à personne, après qu'un colonel de l'AFOSI lui ait répété avec insistance : "Vous n'avez rien vu !"

Aujourd'hui, alors qu'il a 60 ans, le témoin estime que ses contemporains doivent connaître la vérité, et il a accepté de m'accorder une interview que j'ai enregistrée au téléphone "parce qu'il pense que tout le monde a le droit de savoir ce que le gouvernement aimerait nous cacher."


Steve - Ca s'est passé huit mois avant le terme de mon service, donc fin novembre ou en décembre 1969, vers 21h45. On nous avait ordonné par radio de renforcer la sécurité à l'arrivée d'un avion de transport Galaxy C-5 qui devait atterrir vers 21h. C'était considéré comme un vol prioritaire.

Nous l'avons vu se poser et il s'est immobilisé à l'endroit prévu. Nous nous sommes approchés et avons établi le contact avec les policiers navigants. Il y avait toujours quatre ou cinq officiers chargés de veiller sur les cargaisons.

Le Galaxy C-5 était un avion militaire récent, d'une taille impressionnante. Donc nous sommes montés à bord, et l'avons inspecté. On nous a montré son étonnante capacité, et ses instruments de pilotage.

Galaxy C-5
Le Galaxy C-5 de Lockheed est entré en service pour l'USAF à la fin de l'année 1969,
et il était utilisé pour des transports de fret très conséquents.

Steve - J'ai remarqué que le seul fret embarqué consistait en deux caisses en bois qui n'étaient pas très grandes, environ un mètre sur trois, et posées l'une sur l'autre. Il n'y avait rien d'autre dans la soute.

Puis nous sommes ressortis. Nous venions de retrouver le sol depuis une minute ou deux, et soudain nous avons remarqué un engin totalement silencieux qui tombait tout droit du ciel. Il devait se trouver à 500 mètres de nous, s'immobilisant à une altitude d'environ cent mètres.

LMH - Pouvez-vous décrire sa forme et sa couleur ?

Steve - Il n'était pas facile de se faire une idée de sa forme. Mais on distinguait nettement deux lumières rouges orangées qui brillaient de chaque côté, à quelques dizaines de mètres d'écart. Puis il est apparu comme un triangle la pointe en haut, en forme de V. Il semblait fait de métal argenté.

LMH - Le ciel était-il bien dégagé ?

Steve - Il était environ 21h45, une nuit sans nuages, mais très sombre, sans lune.

LMH - Ce sont ces deux lumières que vous avez vues en premier ?

Steve - Oui, elles étaient distantes, mais elles semblaient rattachées à un cadre qui s'est dressé verticalement dans le ciel. Il devait mesurer 800 à 900 pieds de long en hauteur, et 300 à 400 pieds de large.

LMH - A quelle distance se trouvait l'extrêmité la plus proche de vous ?

Steve - L'engin était à la verticale de la piste principale, pratiquement perpendiculaire, et depuis le parking où se trouvait le C-5, il devait y avoir 300 mètres.

LMH - Combien de personnes l'ont observé ?

Steve - Nous étions trois ou quatre, plus les quatre ou cinq policiers de sécurité qui étaient affectés au transport. Donc neuf en tout.

LMH - Et personne n'a remarqué le moindre bruit ?

Steve - Non, il était absolument silencieux ! Nous avons tous été surpris lorsque nous avons commencé à le voir, parce qu'il était descendu sans aucun bruit. Nous l'avions remarqué en le voyant descendre et se stabiliser à environ 150 mètres au-dessus du sol.

LMH - Qu'est-ce vous échangiez à ce moment-là ?

Steve - Rien. Nous étions stupéfaits. Je n'ai pas le souvenir d'avoir dit quelque chose en le regardant, ni que les autres aient parlé entre eux. Nous étions figés sur place, en train de voir une chose si peu familière que cela nous clouait sur place.

LMH - Que s'est-il passé ensuite ?

Steve - OK, l'énorme engin en forme de V était donc silencieux et stationnaire, et il a émis un rayon lumineux qui a éclairé le sommet du C-5. Il n'était pas dirigé vers nous. C'était comme un rayon laser, qui pointait directement vers la soute du C5.

Reconstitution
Steve a utilisé une photo d'un Galaxy C-5 pour représenter le rayon bleu-vert.

LMH - Quelle était la couleur et la largeur du rayon ?

Steve - Autant que je me souvienne il était vert-bleu et à peine plus large que l'avion, soit environ 8 mètres. Je parle seulement du fuselage, le rayon était dirigé vers la partie médiane du C-5.

LMH - C'est là que se trouvaient les conteneurs ?

Steve - Oui, à peu près dans cette zone.

LMH - Qu'est-il arrivé ensuite ?

Steve - L'émission du rayon a duré une dizaine de secondes, puis plus rien. Quelques secondes plus tard, l'Ovni est monté rapidement vers le ciel et il a disparu.

LMH - Est-ce que vous êtes aussitôt allés voir dans le C-5 si les caisses avaient été affectées ?

Steve - Non, mais les policiers d'accompagnement du C-5 y sont allés. Puis ils sont revenus, et nous ont dit qu'ils qu'ils allaient bientôt repartir, et que nous devrions partir également.

LMH - Savez-vous s'ils avaient essayé d'inspecter les conteneurs ? S'il y avait quoi que ce soit d'anormal à bord du C-5 ?

Steve - Non, Mais je me souviens d'un détail avant l'arrivée de l'Ovni. Nous parlions avec le groupe de sécurité de l'avion, et j'avais demandé au sergent : "Où allez-vous ensuite?" Il avait répondu : "Groom's Lake". C'est là que se trouve ce qu'on nomme aujourd'hui la Zone 51. A l'époque, ils disaient 'Groom's Lake'. J'avais demandé où ça se trouvait, et il m'avait dit "au Nevada".

LMH - Avez-vous eu l'occasion d'en apprendre davantage sur ce qu'il y avait dans les conteneurs ?

Steve - Non. Nous n'étions pas habilités à connaître cette information. Nous n'étions chargés que d'apporter un renfort de sécurité pendant que l'avion était au sol. Après quoi nous sommes retournés au poste, parce que notre service se terminait environ 40 minutes plus tard, et une autre équipe allait prendre la relève. Nous avons rapporté l'incident à notre supérieur, il nous a écoutés et a pris des notes.

Un Colonel de l'AFOSI menace Steve

Le lendemain, j'étais en service à partir de 16h, et jusqu'à minuit, mais affecté à l'un des postes de garde de la base de Vandenberg. Deux heures plus tard, un véhicule de fonctions s'est approché. Celui qui vint me trouver était habillé en civil; il a décliné son identité. C'était un Colonel de l'AFOSI ('Office of Special Investigations' de l'US Air Force).

Il m'a demandé si j'étais bien -------------. J'ai voulu savoir si c'était à propos de l'incident d'Ovni. Il a seulement répliqué : "Vous n'avez rien vu !" C'était tout. Mais il a répété, pour être sûr que j'avais bien compris : "Vous n'avez rien vu, n'est-ce pas ?!"

J'ai répondu : "Non, sir, je n'ai rien vu". Après cela il est parti.

Vandenberg map

LMH - Avez-vous évoqué l'incident avec vos collègues ?

Steve - Je n'ai jamais revu les deux autres types qui étaient avec moi ce soir là. Je ne me souviens pas que nous en ayons parlé. Je n'ai aucun souvenir de les avoir revus. J'ignore ce qu'ils sont devenus.

Le fait que l'officier de l'AFOSI n'ait même pas cherché à savoir ce que j'avais vu montre qu'il savait déjà ce qui s'était passé. Il voulait seulement s'assurer que je n'en parlerai à personne.

LMH - La séparation des témoins est une procédure courante, afin qu'ils ne puissent comparer leurs appréciations.

Steve - Oui, c'est ce que j'ai pensé. On a du les affecter rapidement vers d'autres postes. Ou bien ils ont pu refuser de coopérer avec l'AFOSI. Pour ma part, j'étais très jeune à l'époque, et je n'allais pas m'amuser à contrarier un Colonel de l'OSI. On n'a pas souvent l'occasion de se trouver en face d'un Colonel, le plus souvent on peut avoir affaire à des capitaines ou des Majors..

LMH - C'était une manière efficace de vous intimider...

Steve - Oui, ça a d'ailleurs bien marché. Sous-entendu : "Vous n'avez rien vu, et s'il vous prenait l'envie d'en parler, ça risquerait de tourner mal."

LMH - Que pensez-vous de tout ça aujourd'hui ?

Steve - Je pense qu'il s'agissait d'un engin alien, venu d'un autre monde. Pour moi, il s'intéressait à la cargaison du C-5. Il me semble évident que ça devait leur appartenir. On ne peut savoir a quoi pouvait servir ce rayon pointé vers l'avion, s'il s'agissait d'activer ou de manipuler ce qui se trouvait dans les conteneurs.

LMH - Pourquoi selon vous les gouvernements maintiennent-ils cette politique du secret ?

Steve - Ils nous ont menti depuis si longtemps qu'il leur est pratiquement impossible de le reconnaître, après plus de 50 ans. Je pense que les gouvernements craignent de ne pouvoir contrôler les populations. Ils collaborent probablement avec les aliens, s'échangent de l'information, et ça les occupe suffisamment pour ne pas avoir en plus à traiter des requêtes de la population mondiale qui pourrait s'attendre à ce qu'on les protège des aliens. Ca serait trop demander qu'ils s'occupent de tout ça." - Source

http://www.ovnis-usa.com/2010/03/21/un-ovni-sur-la-base-d...


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07/01/2010

Invasion Los Angeles

Ce que les Iluminati-reptiliens excercent sur nous !

 Invasion Los Angeles

http://www.dailymotion.com/video/x72005_invasion-los-ange...

 

06/11/2009

GRIPPE A / UN VIRUS QUI FAIT DÉBAT

Reportage à voir absolument !

Par la présente, j’invite toutes les personnes travaillant dans les médias à visionner un reportage d’enquête français exceptionnel et combien nécessaire.  Il est télédiffusé sur la chaîne ARTE en EUROPE depuis le 20 octobre.
 
TITRE :  GRIPPE A / UN VIRUS QUI FAIT DÉBAT
 
RÉSUMÉ : Depuis que la grippe A a été déclarée pandémie mondiale par l'OMS, les gouvernements du monde entier se sont lancés dans des achats massifs de médicaments et de vaccins. La dépense est-elle en rapport avec la menace réelle ? Wolfgang Becker-Büser, ancien directeur du service chargé de la circulation des médicaments à l'Office pour la santé de la République fédérale d'Allemagne, soulève la question des intérêts commerciaux en jeu. Si des critiques s'inquiètent de l'efficacité du Tamiflu et des vaccins, d'autres s'interrogent sur leur nocivité. Plus généralement, certains estiment que le virus H1N1 vient à point nommé pour les hommes politiques de tous les continents.  Un reportage à ne pas manquer
 
Ou en ligne à cette adresse

 GRIPPE A / UN VIRUS QUI FAIT DÉBAT

1x4 un virus qui fait débat
envoyé par grandeetoile. - Vidéos des dernières découvertes technologiques.

 

GRIPPE A / UN VIRUS QUI FAIT DÉBAT

2x4 un virus qui fait débat
envoyé par grandeetoile. - Regardez plus de vidéos de science.

 

GRIPPE A / UN VIRUS QUI FAIT DÉBAT

3x4 un virus qui fait débat
envoyé par grandeetoile. - Regardez plus de vidéos de science.

 

GRIPPE A / UN VIRUS QUI FAIT DÉBAT

4x4 un virus qui fait débat

Et l’incontournable: SILENCE ON VACCINE
L'ONF a permis la sortie du documentaire de Lina B. Moreco sous condition qu'aucune personne, aucun commerce,  ne puisse acquérir le film pour la revente. De plus aucune publicité ne sera faite pour faire connaître la sortie du DVD. Conséquemment la population ne sera pas informée de la sortie du documentaire.
 
VIVE LA LIBERTÉ D’EXPRESSION CANADIENNE ET QUÉBÉCOISE ! Qu’il fait bon vivre désinformé et ignorant au CULBEC of CANADA!
 
Pour cette raison, je vous remercie de faire parvenir ce courriel à tous vos contacts, que l'information circule, et que la sortie du documentaire ne reste pas sous silence.

http://www.theflucase.com/index.php?option=com_content&am...