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24/06/2009

La puce RFID dans les vaccins

Les nouvelles générations de puces fonctionnent avec des cristaux liquides directement injectables dans le sang pour se loger dans certaines régions du cerveau.

Le Dr de Brouwer explique à ce propos: "Ces transpondeurs, à partir d'une influence magnétique extérieure, permettent d'agir à l'échelle cellulaire, c'est à dire inconsciente, soit avec des émetteurs, soit avec des antennes télé, soit avec des satellites. Si de tels transpondeurs étaient injectés à des humains, il serait possible d'agir sur les gens à distance avec une antenne cellulaire qui court-circuite la conscience individuelle."

Le journaliste indépendant Serge Monast relate une campagne de vaccination au protocole inhabituel, inclinaison particulière de la seringue, forte pression de quelques secondes exercée à l'endroit de l'injection, recommandation de retirer la seringue très rapidement. "Ce fait rattaché au protocole spécial est d'autant plus étrange dans l'administration d'un vaccin contre la méningite, qu'il ressemble en tous points à la manière dont on injecte un "implant électronique" servant à l'identification personnelle et fabriqué par Texas Instrument.

La méthode est aussi semblable à celle utilisée pour l'injection de cristaux liquides, afin d'empêcher leur retour dans la seringue... La ressemblance existant entre ce protocole et celui utilisé dans le cadre de l'injection d'implants électroniques devant servir à l'identification des sujets injectés, mais aussi à leur repérage par satellite, ainsi qu'au contrôle direct de l'individu pour des fins politiques est tout à fait troublante."


EXTRAIT CONFERENCE NENKI


Les Vaccins sont inefficaces et dangereux

Enquête de l'émission de CBS '60 minutes' (1979) sur la 'grippe porcine' de 1976 et la vaccination qui a suivi.


Cette vidéo a été récupérée après 15 ans de procédures.

Les Vaccins sont inefficaces et dangereux -1

http://www.dianequiose.com/francais.htm#commente (15 mn)


http://www.dailymotion.com/video/x9mi3t_les-vaccins-sont-...

 

 

 

 

USA : la dictature vaccinale

USA : LE GOUVERNEMENT PREPARE LES ECOLES A DEVENIR DES CLINIQUES DE VACCINATION DE MASSE


DES PROGRAMMES DE VACCINATION A L'ECHELLE NATIONALE DEVRAIENT ETRE INSTAURES A L'AUTOMNE suivant la déclaration de l'OMS concernant le statut de la pandémie de grippe porcine

Paul Joseph Watson


LE GOUVERNEMENT EST EN TRAIN DE DIRE AUX ECOLES DANS TOUT LE PAYS DE SE PREPARER A ETRE UTILISEES COMME DES CLINIQUES POUR LES PROGRAMMES DE VACCINATION DE MASSE QUI SONT PRETS A ETRE MIS EN PLACE A LA FIN DE CETTE ANNEE, selon un article de l'Associated Press.
LES ECOLIERS SONT CIBLES COMME ETANT LES PREMIERS « BENEFICIAIRES » D'UN VACCIN CONTRE LA GRIPPE PORCINE QUI EST EN TRAIN D’ETRE MIS AU POINT, malgré le fait que la grippe porcine s'est avérée bien moins meurtrière que ce que l’on craignait initialement, tuant seulement 160 personnes dans le monde, un chiffre dérisoire si l’on considère le nombre de personnes qui meurent chaque année du virus ordinaire de la grippe.


La semaine dernière, l'Organisation Mondiale de la Santé a augmenté l'hystérie entourant la grippe porcine, relevant le statut de l’alerte jusqu’au niveau 6, et indiquant qu’une pandémie mondiale était en cours.

Source : http://www.google.com/hostednews/ap/article/ALeqM5hbs-FO8...


LA MINISTRE DE LA SANTE ET DES SERVICES HUMAINS, KATHLEEN SEBELIUS, A DECLARE MARDI QU'ELLE APPELLE LES DIRECTEURS D’ECOLE DANS TOUT LE PAYS A PASSER L'ETE A SE PREPARER A CETTE POSSIBILITE, SI LE GOUVERNEMENT VA DE L'AVANT AVEC LES VACCINATIONS DE MASSE".


Le dernier de ces programmes de vaccination de masse pour lutter contre la grippe porcine remonte à 1976 cf. http://www.prisonplanet.com/previous-swine-flu-outbreak-c... , ont eu pour résultat des dizaines de morts et des centaines de blessés, après que l'administration Ford ait tenté d’utiliser l'infection des soldats de Fort Dix comme prétexte pour une vaccination de masse de l'ensemble du pays.
Les Américains ont été psychologiquement conditionnés par les mass médias afin d’accepter le caractère inéluctable des campagnes forcées de vaccination de masse depuis des années. Le dernier exemple de ce type a été publié dans Time Magazine, il y a six semaines http://www.prisonplanet.com/time-magazine-preps-americans... , où il fut évoqué que LES RESPONSABLES SERAIENT FORCES DE « PRENDRE DES MESURES DRACONIENNES POUR LUTTER CONTRE LA MALADIE », MESURES QUI COMPRENDRAIENT DES PROGRAMMES DE VACCINATION OBLIGATOIRE DE MASSE.


Onze écoles de l'Alaska ont récemment participé à un exercice axé sur la distribution de masse de vaccins en cas d'apparition d'un foyer http://www.prisonplanet.com/school-mass-vaccination-drill... .
Source : http://www.prisonplanet.com/government-readies-schools-as...


USA : les dangers de la vaccination obligatoire

EN VUE DE PREPARER LES AMERICAINS AUX DANGEREUSES VACCINATIONS OBLIGATOIRES

« GARY MATSUMOTO et autres chercheurs ont déclenché l’alarme pour avertir un maximum de personnes et leur conseiller d’éviter les poisons qui leur sont présentés comme des médicaments protecteurs. »

Stephen Lendman, 10 juin 2009.

 

Il est inconcevable de constater que l’OMS, les Etats-Unis, ainsi que les autorités d’autres pays répandent mensonges, tromperies et hystérie pour permettre aux grandes compagnies pharmaceutiques la diffusion de dangereux vaccins et autres médicaments auprès de personnes qui ne se doutent  de rien, ouvrant peut-être ainsi la porte à la maladie et à une mort précoce ….

Gary Matsumoto est un journaliste new-yorkais qui fut plusieurs fois récompensé pour ses articles d’investigation

Dans son ouvrage de 2004 : « Vaccin A : l’expérience secrète du gouvernement tue nos soldats et explique pourquoi les GIs constituent en fait les premières victimes ». Il conteste les résultats de l’IOM et marque son désaccord au démenti du Pentagone au sujet du syndrome de la guerre du Golfe.

Analysant le contexte obscur dans lequel les vaccinations se sont développées, il a fini par découvrir que les médecins et les scientifiques de l’armée avaient réalisé des expériences médicales secrètes sur des citoyens américains en violation du code de Nuremberg et de l’éthique médicale la plus fondamentale. Concernant l’expérimentation sur des êtres humains, le code de Nuremberg a établi des normes précises qui ont été reprises dans les directives de l’éthique médicale.

Ces normes exigent :

--Le consentement volontaire des sujets, et ce, en dehors de toute forme de coercition, fraude ou duperie, et avec la pleine connaissance des risques encourus.

--Les expérimentations devraient éviter  «  toute forme de souffrance physique, psychique inutile, ainsi que tout dommage quel qu’il soit. ».

--Les expérimentations ne devraient jamais être entreprises si, à priori, il existe des raisons de croire que des dommages, infirmités ou la mort pourraient s’ensuivre.

--Les risques ne devraient jamais être disproportionnés par rapport à l’importance du problème humanitaire à résoudre.

--Les expérimentations devraient immédiatement prendre fin s’il existe des raisons de croire que des dommages, des infirmités ou la mort pourrait s’ensuivre.

Selon Matsumoto, le Pentagone a violé ces normes, trahi les troupes, ainsi que le devoir fondamental des chefs militaires et civils sensés protéger leurs hommes. Depuis au moins 1987, le développement de la guerre biologique a détruit le bien-être de dizaines de milliers de GIs utilisés comme cobayes humains dans les programmes de vaccinations expérimentales non autorisés contre l’anthrax contenant du squalène

– un adjuvant huileux (destiné à augmenter l’immunité).

Il est connu depuis des décennies que cet adjuvant peut provoquer des maladies auto-immunes graves chez les animaux de laboratoire. Il fut cependant utilisé (involontairement) sans que soient révélés ses effets néfastes sur la santé des personnes.

Matsumoto a écrit :

Les expérimentations mentionnées dans ce livre et réalisées en dehors de toute éthique n’ont jamais cessé. Il ne fut nullement envisagé de les limiter parce que les exigences de la sécurité nationale les mettaient à l’abri de toute enquête et excluaient toute forme de responsabilité.

Quand Michael Whitehouse de la Faculté de médecine UCLA et Frances Beck ont injecté du squalène combiné à d’autres substances à des rats et des cobayes avant 1970, peu de ces substances huileuses avaient autant la capacité de provoquer de l’arthrite et de la sclérose en plaques chez les animaux.

En 1999 l’immunologiste Johnny Lorentzen de l’Institut suédois Karolinska a montré que l’injection de molécules apparemment banales comme le squalène et que l’on trouve dans le corps peut stimuler une réponse immunitaire auto-destructrice.

D’autres recherches montrent que le squalène en tant qu’ingrédient expérimental des vaccins contre l’anthrax provoque des maladies auto-immunes dévastatrices et des décès chez de nombreux vétérans de la guerre du Golfe, aux Etats-Unis et en Australie, alors même qu’il continue à être utilisé pour la mise au point de nouvelles vaccinations dans les laboratoires…

Il existe une étroite relation entre les maladies des animaux induites par le squalène et celles qui sont observées chez les humains auxquels ce produit est injecté : rhumatisme articulaire, sclérose en plaques et lupus érythémateux. (« Il existe au minimum 24 études scientifiques (peer-reviewed) de dix laboratoires différents aux Etats-Unis, en Europe, en Asie et en Australie qui documentent le développement de maladies auto-immunes chez des animaux soumis à des injections comportant des adjuvants à base de squalène. (1)

Le Dr V.Scheibner qui a mené des recherches poussées sur les adjuvants des vaccins écrit : « le squalène a produit une cascade de réactions telles que : le syndrome de la guerre du Golfe ; l’arthrite, la fibromyalgie, la lymphadénopathie, la fatigue chronique, les céphalées chroniques, la perte anormale de cheveux, des lésions de la peau qui ne guérissent pas, des ulcères, des vertiges, des pertes de mémoire, de modifications de l’humeur, des problèmes neuropsychiatriques, des troubles thyroïdiens, de l’anémie, le lupus érythémateux, la sclérose en plaques, le syndrome de Sjorgen, de Raynaud, la diarrhée chronique, les transpirations nocturnes, de la fièvre (peu élevée)…

Le livre de Matsumoto (2) fait état de nombreuses études de cas de GIs atteints de l’un ou plusieurs symptômes relevés ci-dessus, de leurs effets dévastateurs, ainsi que des réactions du gouvernement américain refusant de reconnaître leur existence ou la relation existant entre ces maladies et les vaccinations…

Selon Matsumoto les adjuvants à base de squalène constituent l’ingrédient principal pour une nouvelle génération de vaccins destinés à l’immunisation de masse partout dans le monde, et ce, malgré que les chercheurs de la Faculté de Médecine de Tulane et de l’Institut Militaire de Walter Reed ont démontré que le système immunitaire répond spécifiquement à la molécule de squalène ;

Le système immunitaire reconnaît le squalène comme une molécule propre au corps. On peut le trouver dans les genoux, le coude, le cerveau et tout le système nerveux. Mais quand cette molécule est injectée dans le corps, le système immunitaire intervient pour la détruire et pour l’éliminer. Ingérer et digérer le squalène ne pose absolument aucun problème, mais le fait de l’injecter galvanise le système immunitaire qui s’emploie à l’attaquer…

Matsumoto dit que le squalène peut être considéré comme le déclencheur d’une authentique arme biologique. Les chercheurs soviétiques l’ont baptisée «  bombe à retardement biologique !!! »… Matsumoto et le Dr Pam Asa doivent conclure que « ces types d’adjuvants (huileux) constituent l’arme chimique la plus insidieuse qui ait jamais été conçue ».Ceci comprend également le squalène. Depuis les années ’80, les soviétiques savaient que ces produits pouvaient être employés comme armes chimiques.

Matsumoto explique que le véritable problème à propos de l’utilisation du squalène est qu’il imite parfaitement une molécule qui se trouve faire partie du corps ; c’est exactement la même molécule.

Ainsi, ce que des scientifiques américains ont conçu comme un excitateur de l’immunité constitue  en fait une nouvelle nano-bombe susceptible de provoquer des maladies imprévisibles, débilitantes et chroniques.

Quand le NIH a rétorqué que le squalène était sûr parce qu’il fait partie du corps, on peut affirmer que c’était l’exact opposé qui était vrai et évidement l’est toujours. C’est la présence naturelle du squalène dans le corps qui en a fait l’une des molécules les plus dangereuses qui n’aient jamais été injectées à un être humain. Le fait d’utiliser cette molécule dans les vaccins est tout simplement barbare et criminel….

Il est fâcheux de constater que plusieurs vaccins actuellement à l’étude chez le NIH et associés contiennent du squalène sous une forme ou sous une autre.

Il y a du squalène dans les vaccins recombinants pour le HIV, la malaria, l’herpès, la grippe (y compris la grippe porcine), le cytomégalovirus, et le papilloma virus humain.

Certains de ces vaccins sont prévus pour des vaccinations de masse partout dans le monde. Cette possibilité devrait, à elle seule, terrifier tout un chacun pour l’amener à refuser n’importe quelle prescription de ces vaccins.

Un autre problème est qu’il faut parfois des années pour pouvoir diagnostiquer un problème d’auto-immunité parce que les symptômes immédiats (maux de tête, douleurs articulaires…) sont parfois si vagues qu’ils peuvent facilement être attribués à d’autres causes.

Depuis longtemps des experts ont considéré que les vaccinations ont toujours présenté suffisamment de dangers pour que l’on puisse les qualifier d’armes biologiques pour la simple raison qu’elles sont susceptibles de détruire la santé, endommager le système immunitaire et favoriser des maladies.

La nouvelle solution de Big Pharma : des vaccins plus puissants, génétiquement modifiés et des médicaments susceptibles de nuire à ceux qui les prennent ou même susceptibles d’entraîner la mort, et ce, tout spécialement pour les personnes dont le système immunitaire est fragilisé.

Matsumoto et d’autres chercheurs ont déclenché l’alarme pour avertir un maximum de personnes et leur conseiller d’éviter les poisons qui sont présentés comme des médicaments protecteurs.

En fait ces produits profitent essentiellement aux compagnies qui les fabriquent et aux scientifiques qui en récoltent les royalties.

Stephen Lendman, Globazl Research, 10 juin 2009.

« Readying Americans for Dangerous,Mandatory Vaccinations » , (Notes et extraits-Traduction)

Research Associate of the Centre for Research on Globalisation

e-mail : lendmanstephen@sbc global.net

http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=13859

10 juin 2009

(1) FLU SHOTS AND THE NEW ADJUVANTS : BEWARE ! Dr Sherri Tenpenny http://www.whale.to/a/tenpenny.html

http://www.newswithviews.com/Tenpenny/sherri6.htm

(2) Gary MATSUMOTO : «  Vaccine A : The Covert Government Experiment that’s killing Our Soldiers and why GIs are Only the first Victims »

 

19/06/2009

USA : Fabricants de terreur : 2)

Fabricants de terreur : 2) les villes souterraines

Hier, nous avons vu des choses bien étranges aux USA : ces accumulations invraisemblables de tombes en plastique dans des endroits disséminés dans tout le pays et appartenant tous à un organisme d’état, la FEMA, pour Federal Emergency Management Agency. L’organisme américain chargé de la gestion des catastrophes naturelles ou non. Un organisme impressionnant par sa taille, et dont vous avez peut-être appris l’existence lors de ses ratés durant l’épisode désastreux de l’ouragan Katrina en 2005 qui avait ravagé la Louisiane et détruit une bonne partie de la Nouvelle-Orleans. L’organisme est né en pleine guerre froide, sous une forme éclatée, rassemblée en 1979 seulement, et présente bien d’autres aspects inquiétants que je vous propose de voir en détail. Après les camps, place aux villes souterraines. La FEMA, c’est un des grands mystères américains, en définitive.




L’organisme qui a précédé la FEMA, la Reconstruction Finance Corporation, datait de 1930 et s"occupait des désastres en général, en 1934 un organisme supplémentaire le Bureau of Public Roads lui fût ajouté. Alors que de terribles inondations ravageaient le pays, provoquant la création du Flood Control Act, qui permettait déjà à l’armée de diriger des ingénieurs civils en cas de problème majeur. Progressivement, on s’aperçut qu’il fallait étayer tout cela avec des lois : pour permettre de choisir qui des militaires ou des civils, devaient prendre la direction des opérations en cas de désastre majeur. C’est Kennedy lui-même, en pleine crise de Cuba, par exemple, qui avait signé l’ordre 11051, qui prévoyait quoi faire en cas d’attaque nucléaire russe :  "Executive Order 11051, signed by President Kennedy on October 2, 1962, states that "national preparedness must be achieved as may be required to deal with increases in international tension with limited war, or with general war including attack upon the United States." Mais dès 1969, un autre ordre a été rajouté : " However, Executive Order 11490, drafted by Gen. George A Lincoln (former director for the Office of Emergency Preparedness, the FPA’s predecessor) and signed by President Nixon in October 1969, tells a different story. EO 11490, which superceded Kennedy’s EO 11051, begins, "Whereas our national security is dependent upon our ability to assure continuity of government, at every level, in any national emergency type situation that might conceivably confront the nation..." Or ce nouvel ordre exécutif était troublant, car on passait alors de l’attaque nucléaire à "any situation"... Vingt ans après, on va s’apercevoir avec effroi du volet "social" de cet ordre 11051.

La première fois en effet que la FEMA avait été citée au grand jour, c’était lors des émeutes de Los Angeles de 1992, qui avaient suivi le lynchage de Rodney King par des policiers de la ville, qui venaient tous d’être acquittés. Six jours d’émeutes et une bonne cinquantaine de victimes avaient suivi, ou s’étaient illustrés les Gardes Nationaux, réquisitionnés et mis à disposition... de la FEMA. Le 5 juillet 1987, le Miami Herald avait auparavant publié les nouveaux textes établissant de nouvelles capacités pour la FEMA, destinées à répondre davantage à ce genre de problèmes., justement. Personne n’y avait trop prêté attention : or dedans, il y avait par exemple la possibilité de suspendre la constitution en cas de crise majeure. Une loi sidérante, dont personne n’avait noté l’importance réelle. Les faucons ne datent pas de W.Bush, et chez les dirigeants américains pas mal peuvent être soupçonnés dans les années cinquante et soixante d’être davantage que seulement anti-communistes. Certains seraient bien tentés par un pouvoir fort, qui selon eux éviterait "la décadence" du moment. La façon ont on a vilipendé le "flower power" des hippies est très symptomatique. Tout, sauf le pacifisme. Parmi les cas de crise, on avait discrètement ajouté au classique conflit nucléaire, les émeutes sociales d’opposition, ou une invasion militaire extérieure. Et en ce sens renforcé la construction de camps destinés à contenir les dissidents ou les prisonniers. En cas d’émeutes, les camps s’imposaient d’eux-mêmes.

Les lois nouvelles reprenaient une directive de 1969, à laquelle on en avait ajouté d’autres en 1982, qui avaient donné à la Garde Nationale des prérogatives nouvelles en cas de violences urbaines : "National Security Directive Number 52 issued in August 1982, pertains to the "Use of National Guard Troops to Quell Disturbances". L’homme qui avait conçu les textes n’était pas un inconnu : c’était Olivier North, celui qui sortira lourdement chargé lors de l’affaire des "contras", la vente d’armes aux opposants iraniens de l’époque. Il n’était pas seul : à la tête de la FEMA on trouvait Louis Giuffrida et... le père de G.W. Bush, George Bush lui-même. Giuffrida était un ancien colonel de l’armée (grade obtenu en 1968), devenu spécialiste de la lutte antiterroriste sous Reagan. Sous sa direction, la FEMA s’orienta vers l’organisation de la surveillance des citoyens et la possibilité d’établir une sorte de gouvernement parallèle en cas de conflit grave. Giuffrida rencontra pour cela Edwin Meese, lui aussi provenant des services d’intelligence, devenu en 1969 le secrétaire général de Reagan, alors encore gouverneur de Californie. C’est à lui qu’on doit la répression féroce d’une réunion de protestation étudiante à Berkeley en Californie, devenu le "Bloody Thursday". Déchaîné contre les étudiants protestataires taxés de "communistes", armant les Gardes Nationaux de balles réelles, il avait réclamé l’instauration de l’état d’urgence, alors que le maire de la ville s’y refusait. Une fois Reagan élu, on retrouva Meese comme conseiller gouvernemental... à la sécurité. Spécialiste des coups tordus, il se mouilla alors avec North dans l’histoire que l’on sait, vendant des armes aux iraniens et finançant avec la contre-rebéllion au Nicaragua (les "Contras"). Sous G.W. Bush, on le rappela à la place de Guliani, pressenti au départ, pour établir en 2006 un rapport sur l’Irak, écrit en compagnie de James Baker. A côté d’eux un démocrate peu connu : Léon Panetta, devenu depuis peu chef de la CIA.... le rapport biparti recommandait de déverser des troupes de l’Irak vers l’Afghanistan, exactement ce qui est fait aujourd’hui par Obama. On comprend mieux pourquoi Panetta a été appelé à la tête de l’organisme.

Tout un monde, donc. En 1984, le plan North de la FEMA en cas de problème majeur prenait le nom de "Readiness Exercice", qui prévoyait la création de camps de regroupement des opposants au sein même du pays. "During the Iran Contra hearings in the 1980s, the existence of a plan called Readiness Exercise 84 (Rex 84) was revealed. Rex 84 outlined a plan for concentration camps which would be placed under the operational control of FEMA should martial law need to be implemente". La loi martiale appliquée en cas de problème d’opposition au pouvoir en place : on était loin déjà de la gestion des catastrophes majeures ! L’exercice Rex 84 avait un autre volet assez inattendu : il prévoyait déjà la mise en camps de détention des immigrés mexicains ayant franchi illégalement la frontière. "The Rex 84 Program was originally established on the reasoning that if a "mass exodus" of illegal aliens crossed the Mexican/US border, they would be quickly rounded up and detained in detention centers by FEMA." Le problème n’était pour autant pas encore aussi crucial qu’aujourd’hui, ou un mur a été construit au sud de la Californie. En 2003 sous G.W. Bush, dernière modification de taille : la FEMA est rattachée avec 21 autres agences au Department of Homeland Security, à savoir intègre une gestion globale incluant autant la gestion des catastrophes que la surveillance individuelle : en ce sens, sa boucle initiée par Meese et Giuffrida est bouclée (Giuffida ayant lui terminé sa carrière éjecté de la FEMA, ayant détourné l’argent de l’agence pour se bâtir une maison !).

Deux ans plus tard, l’ouragan Katrina va révéler au monde entier que la FEMA est une gabegie véritable, incapable de prévoir et d’anticiper, la faute il est vrai à un patron totalement incompétent, Mike Brown, avocat de formation choisi par pur copinage par le président Bush et n’ayant jamais eu à traiter de catastrophe auparavant. "Before joining the Bush administration in 2001, Brown had spent a decade as the stewards and judges commissioner of the International Arabian Horse Association". The Washington Post reported earlier this month that the top three FEMA officials had ties to Bush’s 2000 presidential election campaign. Five of eight top FEMA officials had no crisis management experience, the newspaper said." En virant avec fracas Brown juste après, Bush faisait l’économie de faire la même chose avec le directeur du Homeland Security, Michael Chertoff, un homme-clé de son pouvoir dont il ne voulait pas se séparer. Un membre de la FEMA résumait ainsi le problème : "FEMA’s biggest problem is that too few people in the agency are trained to help in emergencies. We have good soldiers but crummy generals." Voilà qui promettait en effet : sur place les gens étaient compétents mais recevaient des ordres ineptes.

La FEMA avait pendant ces trente dernières années passablement dérivé, passant de la gestion des catastrophes à l’art de juguler des émeutes et d’enfermer les récalcitrants, si besoin dans des camps. Mais ce n’était pas totalement terminé : le 3 mars dernier, Le New York Times jetait un énième pavé dans la mare. Un texte, sobrement intitulé "Authority for Use of Military Force to Combat Terrorist Activities Within the U.S." transmis par William J. Haynes du Defense Department General Counsel à John Woo, l’Assistant de l’Attorney General, et au DOJ Special Counsel de Robert Delahunty. Or le contenu de ce texte se résumait aux pleins pouvoirs pour le président en exercice, rien d’autre : "The essence of this document was to declare that George Bush had the authority (a) to deploy the U.S. military inside the U.S., (b) directed at foreign nationalsand U.S. citizens alike ; (c) unconstrained by any Constitutional limits, including those of the First, Fourth and Fifth Amendments. It was nothing less than an explicit decree that, when it comes to Presidential power, the Bill of Rights was suspended, even on U.S. soil and as applied to U.S. citizens". Depuis huit ans, les américains avaient donc vécu sous un régime au-dessus des lois usuelles : "Over the last eight years, we had a system in place where we pretended that our "laws" were the things enacted out in the open by our Congress and that were set forth by the Constitution. The reality, though, was that our Government secretly vested itself with the power to ignore those public laws, to declare them invalid, and instead, create a whole regimen of secret laws that vested tyrannical, monarchical power in the President. " Un arsenal de textes restés secrets, et un éventail de lieux qui l’étaient tout autant pour diriger le pays en cas de coup de force. A deux doigts de la dictature, voilà où en étaient les USA à l’avènement surprise d’Obama.

Des camps en cas d’émeutes graves, ce à quoi on peut ajouter en effet une bonne soixantaine de quasi-villes souterraines (pour mettre à l’abri les seuls dirigeants !), les américains ne faisant rien dans le détail. Devraient y accéder en priorité en effet le gouvernement, les réserves fédérales d’or, et les documents gouvernementaux. Parmi ces quasi-villes sous terre, l’une d’entre elles avait déjà retenu notre attention lors d’un reportage télévisuel de WSLS-TV,une filiale virginienne de NBC, assez sidérant où on avait pu apercevoir des clichés de Marylin Monroe enfermés dans des bacs refrigérés, voisinant les résidus et les débris du Wolrd Trade Center (qui n’avaient pas été montrés pour l’occasion !). Les coffres-forts d’état révèlent parfois d’étranges choses. Le secret entretenu à propos du centre de Mount Weather, visible dans le reportage, est tel que le dernier journaliste qui avait alors enquêté dans la ville la plus proche s’était fait rabrouer de partout, les gens ayant été visiblement sévèrement brieffés depuis deux générations pour ne pas piper mot des activités du lieu. FEMA et secret vont en effet parfaitement ensemble. Mount Weather végétait depuis la fin de la guerre froide ou depuis l’ère Reagan : W.Bush l’a entièrement remis à neuf. On connaissait le site depuis le milieu des années 70 pourtant : "In March, 1976, The Progressive Magazine published an astonishing article entitled "The Mysterious Mountain." The author, Richard Pollock, based his investigative report on Senate subcommittee hearings and upon "several off-the-record interviews with officials formerly associated with Mount Weather." His report, and a 1991 article in Time Magazine entitled "Doomsday Hideaway", supply a few compelling hints about what is going on underground".

Le site a toujours existé, depuis plus de cinquante ans maintenant, mais à l’arrivée de W. Bush son activité à soudainement été décuplée. "Following the collapse of the USSR, Mount Weather seemed like an expensive cold-war relic. Then came September 11. News reports noted that “top leaders of Congress were taken to the safety of a secure government facility 75 miles west of Washington” ; another reported “a traffic jam of limos carrying Washington and government license plates. As the phrase “undisclosed location” entered the vernacular, Mount Weather, and a handful of similar installations, flickered back to life. Just two months ago, a disaster-simulation exercise called Forward Challenge ‘06 sent thousands of federal workers to Mount Weather and other sites" nous apprend un site, nous apprenant par la même que la FEMA est à nouveau dans le coup avec un "exercice". Le 11 septembre 2001, toute la montagne semblait en ébullition , rapporte une habitante : At the facility itself, he says, “The Mount Weather guards were not only armed, they had their guns in firing position.” John Staelin, a member of the Clarke County Board of Supervisors, says that on September 11, the county’s 911 line received a call from an agitated local woman. “She said, ‘I wouldn’t have believed it if I hadn’t seen it with my own eyes, but the whole mountain opened up and Air Force One flew in and it closed right up. I wouldn’t have believed it if I hadn’t seen it with my own eyes.’ So they said, ‘Yes, ma’am.’ ”

Ce jour-là, on ne sait pas vraiment où était passé Cheney (il était à la Maison Blanche paraît-il) : mais le troisième homme du pays avait bien été expédié à Mount Weather : "Speaker of the House Dennis Hastert (R), who is third in line for the presidency, is evacuated from the US Capitol building and flown to a secret underground bunker in Virginia, where he remains until late in the afternoon. [ABC NEWS, 9/11/2001 et ABC NEWS, 9/15/2002]" . C’est le poste occupé aujourd’hui par Nancy Pelosi. Le plan de la FEMA sur la "continuité de l’état" (Continuity of Government” -COG-) avait bien été activé. En cas de disparition présidentielle et du vice-président, en 2001, c’est au chef du Congrès des Représentants (en France ce serait Gérard Larcher, le Président du Sénat, chez nous le second homme des institutions). Hastert y avait été déposé par hélicoptère en moins de 20 minutes : il n’y a que 48 miles de route entre la capitale et Mount Weather. Dans l’hélico, il n’était pas seul : "Members of Congress taken to the facility include House Majority Leader Dick Armey (R), House Majority Whip Tom DeLay (R), House Minority Leader Dick Gephardt (D), House Minority Whip David Bonior (D), Senate Majority Leader Tom Daschle (D), Senate Minority Leader Trent Lott (R), Assistant Senate Majority Leader Harry Reid (D), and Senate Minority Whip Don Nickles (R)". En réalité, pour revenir à Cheney, on sait où il aurait pu se cacher en cas de seconde attaque, après le 11 septembre, et ce, depuis hier (le 18 mai) : "Selon la journaliste de Newsweek, Eleanore Clift, le vice-président américain Joe Biden aurait fait une nouvelle gaffe, en révélant, au cours d’un dîner, l’existence et l’emplacement d’un bunker, sous sa résidence officielle, à l’Observatoire naval de Washington. Une information jugée potentiellement classifiée. Ce bunker aurait été construit par son prédécesseur, le républicain Dick Cheney, en décembre 2002 après les attaques du 11 Septembre". On n’est jamais trop prudent, et Biden... toujours aussi gaffeur.

Un autre site est lui à 60 miles de Washington : c’est le site "R" de Fountain Dale, en Pennsylvanie, qui date lui de l’ère Truman. A deux pas du fameux Camp David : "the most famous of the federal "retreats" is Camp David, located in Catoctin Mountain Park, a National Park Service area near Thurmont, Maryland, and only a few miles from Site R, and the Federal Emergency Training Center in Emmitsburg". A deux pas de là un centre de formation un peu spécial : "A few miles from Site R and Camp David, the National Emergency Training Center in Emmitsburg, Maryland, is a training campus for the Federal Emergency Management Agency. The Center was established in 1979, at a 107 acre site originally occupied by St. Joseph’s College,(...) The emphasis is training for civilian emergency professionals, such as fire fighters, and emergency response managers and coordinators. A sample of training course titles includes : "Advanced Radiological Accident Assessment - Post-Plume Phase," "Use of Auto-Injectors by Civilian Emergency Medical Persoonnel to Treat Civilians Exposed to Nerve Agent," and "Mass Fatalities Incident Course." Bigre, voilà qui refroidit. A deux pas encore, un autre "WTC" : "part of the communication infrastructure designed to support the federal government, is the mysterious and extensive complex known as the Warrenton Training Center (WTC), located in rural Virginia. Warrenton’s, Station B, the largest of the four locations that make up the WTC, is a 346 acre communications center operated by the Defense Department, with underground bunkers, of unknown extent, for the protection of federal communications infrastructure and for the personnel assigned to protect it (and possibly for other purposes as well)". Et ce n’est pas tout : reste les communications : "The Olney Federal Support Center, near Laytonville, Maryland, is a communications and data network site, with known and unknown functions. Located at a former Nike missile base, this location consists of a vast field of antennas, with several surface buildings. It is next to a National Guard detachment, and a large landfill, which has helped fuel suspicions that extensive digging has taken place at the site (the disposal of the dirt from secret subterranean excavation projects is always an issue for the builders of these sites, according to some underground researchers). It is known to be part of FEMA’s National Radio System, a high-frequency radio network that links FEMA’s emergency operations centers. Rumors about multiple levels underground have been circulated primarily by UFOlogists and conspiracy theorists." On a bien quelques traces en effet de visibles de ce réseau de Google Earth : ce sont les couloirs de répartition de lignes à haute tension, bien dégagés, et qui semblent bien relier les anciens pas de tir des missiles Nike, transformés en station de conversion de courant. Si c’est le cas, le réseau est... colossal.

A côté encore le bunker du Mount Pony, qui devait recevoit l’argent du Trésor, mais qui ne sert plus : trop cher à entretenir ! "As an example, the Federal Reserve Board had its relocation site in Culpeper, Va., until it was mothballed in July 1992. The 43,000-square-foot radiation-proof bunker was reported stocked with enough freeze-dried food to last 30 days. The new relocation site for the board appropriately remains a mystery." Le site bunker de la réserve fédérale, racheté par une fondation et entièrement remis à neuf depuis, est devenu depuis le National Audiovisual Conservation Center, géré par la célèbre librairie du Congrès.

Le Pentagone possède aussi sa ville enterrée : "For instance, the Pentagon’s safe house is located at a site called Raven Rock in Maryland. This sprawling 716-acre installation lies 650 feet below the surface. The staffers (about 350) go to work via portals in the mountainside. Amenities include shopping, a barbershop, medical clinic, dining, fitness facilities and a chapel." Ce qu’on peut noter d’étonnant, c’est que le jour du 11 septembre, Donald Rumsfeld est présent dans l’aile opposée à celle touchée par l’attentat du Pentagone. Or selon les directives, dès les attentats du WTC, il aurait dû être expédié directement à Raven Rock, en suivant les procédures écrites de longue date. A la moindre attaque du territoire, le Pentagone se retrouve à 650 pieds (200 m !) sous terre ! En 1992, un autre bunker avait été détecté en Virginie toujours : "In May 1992, revelations came to the surface that a large secret government bunker was located under the rich Greenbrier Hotel in White Sulphur Springs, West Virginia. It had been hidden there for years. Only six members of Congress knew about the living quarters, meeting rooms and banks of computers and communications equipment installed underneath the posh hotel. It contains two giant blast doors, each weighing more than 20 tons, supplied with water, electricity and even a sewage treatment system. It also had an infirmary, shower facilities, a television studio, radio and communications equipment, phone booths and code machines, a dining and kitchen area, a power plant and even a crematorium for disposing of the corpses of those who might die inside the sealed bunker". L’hôtel avait bien été réquisitionné pendant la crise de Cuba : "Though it was never used, the $12 million facility was in place and functional during the Cuban Missile Crisis in 1962. It remained an integral part of the nation’s contingency plan until the 1990s".

Des hommes avaient donc mis la main sur la gâchette ce jour-là en plein milieu de la Virginie, au beau milieu des Blue Ridge Mountains, nullement touchée par les événements ? Des hommes en armes pour protéger quoi ? Une ville souterraine, possédant toutes les commodités et totalement autonome qui recevait un "gouvernement en exil" ou tout comme (à noter l’absence criante de Dick Cheney et de Donald Rumsfeld). Une ville souterraine qui offrait toutes les commodités comme le note sa description :

  • private apartments and dormitories
  • streets and sidewalks
  • cafeterias and hospitals
  • a water purification system, power plant and general office buildings
  • a small lake fed by fresh water from underground springs
  • its own mass transit system
  • a TV communication system
Bush, au 11 septembre, ne s’était pas rendu à Mount Weather ni au fief du Norad, mais à Ofutt, après être passé par Barksdale en Louisiane. "Offutt is the home of the U.S. Strategic Command". On peut se poser des tas de questions sur ce parcours, notamment le fait que lorsqu’il décolle de Sarasota, en Floride, personne n’a songé à lui adjoindre des chasseurs de protection. Ce qu’il y a de plus étrange, c’est qu’il disposait du choix, même si effectivement il n’y en avait pas en Floride même. Et encore plus étrange de ne pas être resté sagement à Barskdale qui dispose de tout ce qu’il faut, notamment un bunker.
La dernière en date est à Napa, en Californie, une ancienne base d’hydravions Catalina : "According to the Napa Sentinel, an underground installation with a COG function is under construction near the Oakville Grade in Napa County, Calif. Mysterious helicopter flights go in and out of the area. The Sentinel says "the secret government site is replacing other installations and combining them into one underground center.” In any event, the real issue is how to get key personnel out of Washington and to these places of safety". Napa, dernière base secrète, est une des plus intrigantes.
Selon les mêmes souces, des hélicoptères noirs, sans signe distinctifs, étaient souvent vus dans les parages. Or ces hélicoptères n’étaient pas pilotés par des militaires mais par de véritables mercenaires privés : "A Chicago-based source with high credentials in such investigations, claims that the black helicopters are not a military operation, but rather are operated by the Wackenhut Corporation and FEMA. Wackenhut is a private company that provides security in prisons, hospitals, government installations and other facilities. It was founded by former FBI agents and has been called the modern "Robocop" organization". "The helicopters used in Napa are olive drab and also black, all unmarked. The olive drab helicopters originate from Hamilton Air Force Base and operate generally in late afternoon and in the evening. The black helicopters generally operate in the late evening and early morning hours. The olive drab helicopters are providing supplies to the secret installation, but the black helicopters are providing direct laser communication satellites". "Hamilton Air Force base has confirmed that the helicopters originate from their area and that the mission is classified" : on nage en plein secret. Mais demain, nous verrons que ces hélicos noirs ont une belle histoire derrière eux. Enfin, belle...
Il y a aussi Dulce dans le Nouveau-Mexique : "There is Dulce Base, in New Mexico. Dulce is a small town in northern New Mexico, located above 7,000 feet on the Jicarilla Apache Indian Reservation. There is only one major motel and a few stores. It’s not a resort town and it is not bustling with activity. But Dulce has a deep, dark secret. The secret is harbored deep below the brush of Archuleta Mesa. Function : Research of mind related functions, genetic experiments, mind control training and reprograming. There are over 3000 real-time video cameras throughout the complex at high-security locations (entrances and exits)". L’endroit, très à l’écart, se prête à toutes les rumeurs (évidemment celles d’OVNIS !), mais on retiendra surtout le matériel utilisé pour construire cette base entièrement souterraine : des tunneliers, et pas des petits, estampillés "Air Force", le genre de logo que l’on imagine plutôt sur des avions...
La liste des lieux enfouis est loin d’être exhaustive... Mais Mount Weather est très représentatif en fait des activités de la FEMA : c’est le nœud central de coordination d’autres sites du même type . "Mount Weather is the self-sustaining underground command center for the Federal Emergency Management Agency - FEMA. The facility is the operational center of approximately 100 other Federal Relocation Centers, most of which are concentrated in Pennsylvania, West Virginia, Virginia, Maryland and North Carolina. Together this network of underground facilities constitutes the backbone of America’s "Continuity of Government" program. In the event of nuclear war, declaration of martial law, or other national emergency, the President, his cabinet and the rest of the Executive Branch would be "relocated" to Mount Weather". Mount Weather, qui héberge un gouvernement fantôme (’le fameux "Continuity of Government Program") au cas où, est une résurgence des pires heures de la guerre froide. Une ville sous terre protégée par le secret et cachée aux yeux des citoyens américains, the "federal government back-up system". Or, d’après ce que l’on sait, on y a enfermé les vestiges des attentats du 11 septembre : or pourquoi donc là, sinon pour ne pas pouvoir librement y accéder, et lesquels ? Ceux qui montrent une radioactivité qu’on a cherché à masquer durant tout le nettoyage intensif du site du WTC ?

Documents joints à cet article

Fabricants de terreur : 2) les villes souterraines

Fabricants de terreur : 2) les villes souterraines

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Source : Agoravox