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13/12/2014

Traité FNI: les USA refusent de concrétiser leurs accusations contre la Russie

Les nazisionistes ne sont plus à un mensonge près !

En revanche, les nazis, ont le droit de survoler avec leurs drones, la Crimée, tel qu'ils l'ont fait hier et au mois de mars 2014.

* - La Russie capture un drone US en Crimée

* - Ukraine: la Russie affirme avoir intercepté un drone américain au-dessus de la Crimée - 14/03


Traité FNI: les USA refusent de concrétiser leurs accusations contre la Russie

Traité FNI: les USA refusent de concrétiser leurs accusations contre la Russie

21:26 12/12/2014

MOSCOU, 12 décembre - RIA Novosti

Les Etats-Unis accusent la Russie de violer le Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (Traité FNI) sans pour autant fournir de preuves à l'appui de leurs affirmations, a annoncé vendredi le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.

En juillet dernier, Washington a accusé Moscou de violer ce traité signé en 1987. Les autorités russes ont demandé des preuves. Pour toute réponse, la sous-secrétaire d'Etat américain Rose Gottemoeller a déclaré jeudi que Washington disposait d'une panoplie de mesures militaires pour contraindre la Russie à respecter le traité.

"Il est significatif qu'en lançant ces menaces, les Etats-Unis ne peuvent pas formuler nettement l'essence de leurs réclamations et refusent obstinément de concrétiser leurs accusations. Ce faisant, ils ne donnent pas de réponses satisfaisantes aux réclamations fondées et parfaitement concrètes que nous leur adressons en réponse", lit-on dans le communiqué de la diplomatie russe.

Moscou souligne que ses réclamations portent sur les missiles-cibles utilisés par les Etats-Unis pour tester leur dispositif de défense antimissile et dont les caractéristiques sont similaires à celles des missiles à moyenne et à plus courte portée. Les réclamations russes concernent également les drones militaires américains qui tombent indubitablement sous le coup de la définition des missiles de croisière donnée dans le Traité FNI. Les réclamations de Moscou concernent enfin l'intention des Etats-Unis de déployer en Pologne et en Roumanie la version terrestre du système naval Mk-41 capable de lancer des missiles de croisière à moyenne portée.

"Nous sommes toujours persuadés que les menaces ne sont pas, et de loin, le meilleur moyen de régler les problèmes pouvant surgir lors de l'application de ce Traité. Telle est notre position. Nous invitons la partie américaine à adopter une position similaire", a souligné le ministère russe des Affaires étrangères.

Le Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire a été signé par le président Ronald Reagan et le secrétaire général du Comité central du PCUS Mikhaïl Gorbatchev en 1987, à l'époque du réchauffement des relations entre les Etats-Unis et l'URSS.

Conformément à ce document en vigueur depuis 1988, la Russie et les Etats-Unis se sont engagés à ne pas fabriquer, tester ou déployer de missiles balistiques et de croisière terrestres à moyenne (1.000-5.500 km) et plus courte portée (500-1.000 km). Les parties se sont également engagées à éliminer en trois ans tous les vecteurs et missiles terrestres d'une portée comprise entre 500 et 5.500 km.

 

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Kremlin de Moscou

21:58 12/12/2014

MOSCOU, 12 décembre - RIA Novosti

La Russie ne tolérera aucune ingérence dans ses affaires intérieures, a déclaré vendredi le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Alexandre Loukachevitch en commentant une loi américaine permettant au président d'adopter de nouvelles sanctions contre Moscou.

"Les membres du Congrès des Etats-Unis feraient mieux d'abandonner leurs illusions concernant l'efficacité des sanctions antirusses qu'ils encouragent. Nous ne cèderons pas au chantage, nous ne renoncerons pas à nos intérêts nationaux et ne permettrons aucune ingérence dans nos affaires intérieures", lit-on dans le communiqué de M.Loukachevitch.

Selon le diplomate, "il semblerait que face aux graves défis à la sécurité internationale, la Russie et les Etats-Unis devraient conjuguer leurs efforts".

"Or, les législateurs américains s'acharnent, après l'administration de Barack Obama, à détruire la carcasse de la coopération bilatérale", a souligné le porte-parole.

Le document approuvé par le Congrès américain et intitulé "Loi de 2014 sur le soutien à la liberté de l'Ukraine" autorise le président américain à décréter de nouvelles sanctions contre les sociétés russes et à octroyer au gouvernement ukrainien une aide de 350 millions de dollars sous forme d'armements et de conseillers militaires.

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Les reptiliens/sionistes, veulent la 3ème guerre mondiale contre la Russie avec la complicité de la France, l'Allemagne, la Pologne et leurs banskters qui siègent à l'Europe !

Il leur faut bien ce prétexte pour nous instaurer leur Nouvel Ordre Mondial, non ?

Quand allons-nous nous débarrasser de tous ces vampires assoiffés de sang qui ne rêvent que de nous éliminer et de nous réduire encore plus à l'esclavage ?

Quand allons-nous nous décider à les forcer de nous sortir de l'Europe ?

Le sénat américain approuve le durcissement des sanctions contre Moscou

Dossier: Sanctions contre la Russie

Rossiïskaïa gazeta

15:00 12/12/2014

MOSCOU, 12 décembre - RIA Novosti

Le sénat américain a voté jeudi en faveur d'un projet de loi autorisant le président Barack Obama à fournir au gouvernement ukrainien des armes et du matériel militaire, y compris des armements antichars, perforants et d'infanterie avec des munitions, et à allouer à cet effet jusqu'à 350 millions de dollars en 2015, écrit vendredi le quotidien Rossiïskaïa gazeta.

De plus, le texte réaffirme les sanctions contre l'agence russe d'exportation d'armements Rosoboronexport et donne au président américain le droit de décréter des restrictions à l'égard d'autres grandes compagnies russes, dont Gazprom.

Il est également prévu d'octroyer à la Géorgie, la Moldavie et l'Ukraine le statut d'allié majeur des USA hors Otan, d'élargir "considérablement et immédiatement" l'ampleur de la propagande dans les pays de l'ex-URSS en accordant à ces fins jusqu'à 10 millions de dollars l'an prochain. Comme pour confirmer les récents propos du ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov disant que les sanctions occidentales visaient à changer le pouvoir en Russie, les sénateurs américains ont inscrit dans le projet de loi la proposition d'allouer 20 millions de dollars pour "renforcer les institutions démocratiques en Russie" ces trois prochaines années. On pense immédiatement aux sommets de la démocratie en Ukraine, dans laquelle Washington a investi plus de 5 milliards de dollars en vingt ans, comme l'a déclaré la sous-secrétaire d’État américaine Victoria Nuland.

Toutefois, le document pourrait être mal accueilli par la Maison blanche. En particulier, le président Obama avait rejeté à plusieurs reprises l'idée de fournir des armes à Kiev pour se limiter à une assistance non létale – des radars pour détecter des mortiers, des tentes, des gilets pare-balles, des casques, des médicaments et des rations. Et lors de sa visite en septembre à Washington, le président ukrainien Piotr Porochenko s'était vu refuser le statut d'allié majeur hors Otan.

Mais le ton de la Maison blanche a changé récemment. Le conseiller adjoint du président pour la sécurité nationale Tony Blinken a ainsi déclaré que même si la décision de fournir des armes létales n'a pas été prise, cette question "n'a jamais été retirée de l'ordre du jour".

L'administration n'a pas non plus bien accueilli l'idée d'adopter des sanctions par le biais de la loi. Celeste Wallander, directrice senior et assistante spéciale du président des États-Unis pour la Russie et l'Asie centrale au Conseil de Sécurité nationale, a récemment noté: "La Maison blanche n'aime pas quand le sénat lui lie les mains en politique étrangère. Le but n'est pas de maintenir les sanctions mais d'arriver à une situation permettant de parvenir au règlement politique de la crise en Ukraine".

Selon la législation américaine, le président est en droit d'apposer son veto sur un projet de loi approuvé par le parlement. Néanmoins, les congressistes peuvent surmonter le veto présidentiel si plus des deux tiers des voix des deux chambres étaient favorables au projet. Au cours de sa présidence, Obama a utilisé son veto à deux reprises et le congrès n'a jamais appliqué la procédure pour le contourner. Son prédécesseur George W. Bush avait apposé son veto 12 fois, dont quatre avaient été annulés par le congrès.

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Entretien paru dans l'hebdomadaire Rivarol du 9 octobre 2014.

Jérôme Bourbon : Hervé Ryssen bonjour. Vous venez de faire paraître votre nouveau livre… Les Escrocs juifs… Une fois de plus, vous mettez le doigt “là où ça fait mal”, comme on dit.

Hervé Ryssen : Je passe d’abord le bonjour à tous mes lecteurs de Rivarol. Je n’oublie pas que Rivarol et (avec la revue Réfléchir et Agir), le seul journal qui m’a soutenu depuis le début, en 2005.  L’étude que je publie aujourd’hui était nécessaire. J’ai déjà abordé le sujet des grandes escroqueries dans mon livre de juin 2008 sur la “Mafia juive”, mais les records en la matière ne cessent d’être pulvérisés, au point que les affaires précédentes paraissent relever d’une autre époque.

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