Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

26/10/2016

Irak: la France envoie ses troupes

Quand M. 4% cessera de nous raconter des mensonges, ce sera un grand jour !!

 

Irak: la France envoie ses troupes 

 

Le président français a annoncé la décision de Paris de dépêcher les troupes françaises en Irak avec pour mission de former les militaires irakiens.

Selon le quotidien français Le Figaro, François Hollande a mis en garde contre le retour des takfiristes étrangers à leur pays d'origine, une fois que la ville de Mossoul en Irak sera libérée.

Il a appelé la coalition internationale anti-Daech à "anticiper les conséquences de la chute de Mossoul", évoquant l'opération de libération de Mossoul.

"La reconquête n'est pas une fin en soi. Nous devons d'ores et déjà anticiper les conséquences de la chute de Mossoul", a lancé François Hollande, en insistant sur les enjeux politiques, humanitaires et sécuritaires de l'offensive contre la ville irakienne, à l'ouverture d'une réunion à Paris des ministres de la Défense de treize pays de la coalition - qui compte au total une soixantaine d'États membres dont les États-Unis, la Grande-Bretagne, l'Australie, le Canada, l'Allemagne.

Cette réunion se tient une semaine exactement après le lancement de l'offensive par l'armée irakienne et les combattants kurdes contre Mossoul, deuxième ville d'Irak.

 

Moscou dénonce la politique occidentale

Moscou dénonce la politique occidentale   

Russie: Bogdanov dénonce les politiques "irresponsables" de l’Occident

 

Mikhaïl Bogdanov, le vice-ministre russe des Affaires étrangères. ©Sputnik

Mikhaïl Bogdanov, le vice-ministre russe des Affaires étrangères. ©Sputnik 

 

Le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Mikhaïl Bogdanov, vient de dénoncer aujourd’hui, mardi, les politiques occidentales en déclarant que celles-ci avaient joué un rôle décisif dans la montée de l’extrémisme et l’avènement des crises actuelles dans le Moyen-Orient.

Mikhaïl Bogdanov qui s'exprimait à la réunion annuelle de l’institution Valdaï, a affirmé expressément que « les politiques irresponsables de l’Occident ont joué un grand rôle dans la montée de l’extrémisme dans le monde. »

« Aujourd’hui, le Moyen-Orient est embourbé dans une crise stratifiée et systématique », a-t-il ajouté. 

Cette haute autorité russe a alors appelé une fois de plus l’Occident à entrer en action et de manière sérieuse cette fois-ci, dans la lutte contre le terrorisme:  « Nous renouvelons notre demande de constituer une coalition globale de lutte contre le terrorisme ! »

La réunion de Valdaï qui a commencé il y a quelques jours à Moscou, réunit un grand nombre d’experts internationaux. Cette année, l’Irak et la Syrie sont au centre des discussions.

Le Club de Discussion Valdaï est un forum international annuel qui vise à rassembler des experts pour débattre de la Russie et de son rôle dans le monde. Il défend la vision d'un monde multipolaire, par opposition à un monde unipolaire dominé par les États-Unis.

 

Le monde au seuil d'une troisième guerre mondiale, selon Chevènement

 
 
Le monde au seuil d'une troisième guerre mondiale, selon Chevènement
Si les États-Unis optent pour une politique de renversement des gouvernements élus par le peuple, un troisième conflit mondial pourrait éclater.

Notre planète se trouve au bord d'une troisième guerre mondiale, prévient l'ex-ministre français de la Défense et de l'Intérieur Jean-Pierre Chevènement. « Je qualifie la situation comme assez dangereuse. Car, parmi nous, certains sont prêts à aller jusqu'au bout. Je n'ai pas d'intention de dire que toute l'élite politique des États-Unis est en proie à de telles opinions. Par exemple, ce n'est pas le cas de John Kerry. Par contre, les néoconservateurs prônent une politique visant à renverser des gouvernements étrangers. Et nous avons vu que c'est inadmissible, notamment en Irak, en Libye et en Syrie », a tranché l'homme politique français.
 
Selon lui, une action similaire contre la Russie serait inacceptables.

« Cela est devenu évident lors des législatives russes en septembre dernier, où le parti au pouvoir Russie unie de Vladimir Poutine a obtenu la majorité des votes », a indiqué M. Chevènement, ajoutant qu'en réalité personne ne doute des résultats des législatives. D'après Jean-Pierre Chevènement, il faut s'accommoder du fait que chaque peuple détermine lui-même son propre destin.
 
 
 
 

L’Italie menace de bloquer le budget de l’UE



Matteo Renzi
 
Rome a menacé de bloquer le budget de l’Union européenne si l’Europe de l’Est refuse d’accueillir les migrants.

L'Italie opposera son veto sur le budget de l'UE si les pays de l'Europe de l'Est refusent d'accueillir les migrants, a déclaré mardi le premier ministre italien Matteo Renzi. « Je voudrais que nous — la majorité au pouvoir et l'opposition — disions à ces pays que le mécanisme selon lequel nous donnons 20 milliards d'euros à l'Europe et l'UE doit nous en rendre 12 ne fonctionne plus. Si la Hongrie et la Slovaquie nous font des leçons en raison des migrants et ne nous aident pas, mais souhaitent recevoir notre argent, l'Italie sera prête à opposer son veto en 2017, quand on commencera à examiner le budget », a indiqué M. Renzi.

Selon le premier ministre, 2017 sera une année clé où il faudra arrêter le flux des migrants arrivant en Europe par la Méditerranée.

« Pour l'instant, nous arrivons à gérer les flux migratoires, mais l'hiver approche, les conditions en mer vont empirer. Nous avons six mois au maximum. Il faut arrêter le départ des bateaux. Soit nous bloquons ce flux en 2017, soit l'Italie ne pourra pas le supporter l'an prochain », a noté le premier ministre. Selon les données publiées lundi dernier, plus de 153 000 réfugiés sont arrivés en Italie au cours des neuf premiers mois de 2016, soit 10 % de plus que pendant la même période en 2015. La Hongrie et la Slovaquie figurent parmi les pays de l'Europe de l'Est s'opposant à la politique de l'UE qui demande à tous les pays membres d'accepter une partie des centaines de milliers de personnes qui sont arrivées en Europe en 2015 pour y demander l'asile. 
 
 
 

25/10/2016

Le CRIF, un lobby au cœur de la République

Le CRIF, un lobby au cœur de la RépubliqueAuteur(s) : Anne Kling

 

Huit cents invités au dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France. Toute la classe politique présente en rangs serrés afin d’entendre les remontrances, récriminations et requêtes de cette officine représentant, de son propre aveu, quelque 100 000 personnes. 1/6e à peine de l’ensemble de la « communauté » et 0,2 % de la population totale du pays. Dîner de gala relayé par autant de dîners régionaux et de contacts réguliers tout au long de l’année au plus haut niveau de l’État.

Comment une telle influence, un tel pouvoir même, sont-ils possibles dans une démocratie laïque ne reconnaissant officiellement que des citoyens tous pareillement égaux ? Pourquoi la classe politique française fait-elle preuve d’une telle complaisance à l’égard du CRIF et de ses dirigeants ? Qui se qualifient eux-mêmes de « porte-parole politiques de la communauté juive de France » mais songent d’abord à défendre les intérêts d’un pays étranger, Israël.

Fantasmes ou mensonges, que cette puissance ? Une plongée dans l’histoire de cette institution devenue « interlocuteur essentiel de l’État » et l’examen attentif des actions et réactions du CRIF tout au long de l’année 2009 et de la première partie de 2010, permettront au lecteur d’en juger.

 

Se procurer l’ouvrage chez Kontre Kulture