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09/01/2015

Vers un « patriot act » à la française ?

Et voilà, le tour est joué !

Voilà le réel but recherché après avoir orchestré leur false flag en France !

Nous imposer la dictature après avoir voté la fermeture des sites ou blogs sur le net sur simple décision administrative !

*- Le cadeau de Noël du Gouvernement aux Français : la surveillance !

Vous remarquerez qu'ils n'ont pris aucune disposition de ce genre lors des survols des centrales nucléaires par des drones toujours pas identifiés et que nous sommes toujours exposés au bon vouloir des sionistes !


LA DROITE PRESSE FRANÇOIS HOLLANDE DE LÉGIFÉRER SUR LA SÉCURITÉ

 

Source : Reuters 08/01/15 à 21:43
Mis à jour le 08/01/15 à 21:43

Des responsables de l'opposition ont demandé jeudi à François Hollande de tirer rapidement les conséquences de l'attentat meurtrier qui a frappé Charlie Hebdo en adoptant de nouveaux textes pour renforcer la sécurité des Français. Nicolas Sarkozy a laissé entendre que François Hollande était disposé à agir. /Photo prise le 8 janvier 2015/REUTERS/Gonzalo Fuentes

 

Des responsables de l'opposition ont demandé jeudi à François Hollande de tirer rapidement les conséquences de l'attentat meurtrier qui a frappé Charlie Hebdo en adoptant de nouveaux textes pour renforcer la sécurité des Français.

Le président, qui a reçu son prédécesseur Nicolas Sarkozy dans la matinée à l'Elysée, a accueilli en fin d'après-midi les présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat, ainsi que les formations politiques représentées au Parlement.

"Il appartiendra à l'exécutif de prendre la totalité de ses responsabilités mais aussi au Parlement", a déclaré le président UMP du Sénat Gérard Larcher à l'issue de l'entretien.

Le président du groupe UMP à l'Assemblée a appuyé cette demande devant le chef de l'Etat.

"Je pense qu'il faut savoir tirer les enseignements de ce qui vient de se passer et voir comment nous pourrions doter notre système législatif de moyens encore plus efficaces, c'est la proposition que nous avons faite", a dit Christian Jacob.

Nicolas Sarkozy a laissé entendre que François Hollande était disposé à agir.

 

"Comme moi, il est convaincu de la nécessité de hausser notre niveau de vigilance et d'adapter notre dispositif de protection des Français à l'évolution de la menace", a dit à la presse le président de l'UMP.

"On peut certainement travailler à améliorer nos dispositifs et non pas dans un esprit de confrontation entre l'opposition et la majorité, entre la gauche et la droite, mais dans un souci partagé de protection des Français", a-t-il ajouté.

Le président socialiste de l'Assemblée, Claude Bartolone, a mis en garde contre la tentation d'adopter de nouveaux textes dans la précipitation.

"Je me méfie de toutes les lois qui pourraient être dictées par l'émotion", a-t-il commenté.

(Julien Ponthus et Emile Picy, édité par Sophie Louet)

© 2015 Reuters - Tous droits de reproduction réservés par Reuters.
 

Dernière signature de l'opération militaire "Je suis Charlie/Je suis Israël", Charlie s'installe chez Rothschild !

Et voici, la dernière signature qui vous rapporte définitivement la preuve que Charlie Hebdo est une officine subversive et raciste financée par Rothschild ainsi que sûrement l'opération militaire conduite en France sous le nom de code militaire "Je suis Charlie/Je suis Israël"  Logique, les loups vont avec les loups et puis c'est normal, ce soir a commencé Shabbat, ils vont le faire ensemble ! D'ailleurs, il fallait à tout prix que la comédie s'arrête avant ce soir : ce soir, on allume les bougies !

Les messages adressés aux français sont très forts si nous sommes aptes à les comprendre :

1 - C'est Libération qui donne l'info (sous entendu) Rothschild!

2 -  Français on vous emmerde ! On vient de vous démontrer que la France nous appartient, que nous faisons ce que nous voulons chez nous et qu'avec notre argent, c'est nous qui commandons en France et dans le Monde !

3 - que les attaques continueront à se perpétrer contre la population musulmane en France, en Europe et dans le monde, notamment par le biais de leur officine Charlie/Israël avec l'aval du Gouverne/MENT sioniste !

4 - qu'ils ont l'intention de continuer à nous diviser et à organiser la guerre civile et les attentats en France sous fausse bannière.

5 - qu'ils nous ont testés pour savoir si nous étions prêts à rallier la cause sioniste avant de nous instaurer leur Nouvel Ordre Mondial !

6 - que Charlie Hebdo est placé sous la protection des Rothschild et qu'ils seront intouchables et libre de semer la zizanie parmi le peuple français et qu'il ne nous appartiendra que de faire qu'une seule chose : la fermer !

7 - et puis comme ce n'est que le fric qui les intéresse, ils auront fait une belle opération publicitaire pour Charlie/Israël, qui leur permettra de financer leurs prochaines campagnes racistes et de transporter leur haine du musulman sur notre territoire !

 

«Charlie» s'installe à «Libé» : «Bon, on fait le journal ?»


Isabelle HANNE
9 janvier 2015 à 17:52

 
Les journalistes de «Charlie Hebdo» reprennent le travail dans la salle du Hublot, à «Libération».

Les journalistes de «Charlie Hebdo» reprennent le travail dans la salle du Hublot, à «Libération». (Photo Rémy Artiges)

 

REPORTAGE

Les journalistes rescapés de l'attentat ont repris le travail ce vendredi. Avec les morts et les blessés en tête, pour sortir un journal mercredi.

En tout, la conférence de rédaction de Charlie Hebdo aura duré plus de trois heures. C’est qu’en plus du chemin de fer, des sujets, des deadlines, il faut aussi ce vendredi matin parler des morts, des blessés, des hommages, des obsèques. La salle du hublot, où Libé tient habituellement sa réunion quotidienne, est occupée pour l’occasion par les rescapés de l’hebdo satirique. La pièce, éclairée d’un côté par une grande fenêtre ronde, est à la fois surchauffée et ouverte aux quatre vents pour laisser filer la fumée de cigarettes.

Posés sur la grande table ronde, des ordinateurs prêtés par le groupe Le Monde. Assis tout autour, Willem, Luz, Coco, Babouse, Sigolène Vinson, Antonio Fischetti, Zineb El Rhazoui, Laurent Léger… En tout, plus de 25 personnes, mines grises et yeux bouffis, noyau dur, proches ou collaborateurs occasionnels, sont là pour préparer le prochain numéro de Charlie Hebdo. Il doit sortir mercredi prochain, et sera tiré à un million d’exemplaires, soit vingt fois environ leur tirage habituel.

«J’ai pu voir tout le monde à l’hôpital». Gérard Biard, le rédacteur en chef de Charlie, commence par là. «Riss a été blessé à l’épaule droite mais le nerf n’est pas touché. Il a évidemment très mal. La première chose qu’il a dite, c’est qu’il n’est pas sûr qu’on va pouvoir continuer à faire le journal.» Fabrice Nicolino, touché à plusieurs reprises dans l’attentat, «va mieux», même s’il «souffre évidemment beaucoup». Patrick Pelloux, urgentiste et chroniqueur à Charlie, explique alors la blessure à la mâchoire d’une autre victime, Philippe Lançon, également journaliste à Libé. Simon Fieschi, leur webmaster, a quant à lui été «placé en coma artificiel». Une jeune femme s’effondre. «Tu n’as pas à te sentir coupable !», la réconforte Gérard Biard. Tout le monde hoche la tête en silence. Celle qui pleure, c’est la journaliste Sigolène Vinson, présente à la rédaction au moment du drame mercredi mais épargnée par les agresseurs.

Biard enchaîne sur les morts. Comment organiser les obsèques ? Et l’hommage national ? Avec quelle musique ? Quand même pas des drapeaux ? «Il ne faut pas une symbolique qu’eux-mêmes auraient détestée, note quelqu’un autour de la table. On a tué des gens qui dessinaient des petits bonhommes. Pas des étendards. Il faut qu’on rappelle la simplicité de ces gens, de leur travail. Nos amis sont morts, mais on ne va pas les exposer sur la place publique.» Tout le monde acquiesce.

Demandes d'abonnements en masse

Une journaliste explique qu’une cagnotte, créée spontanément sur internet par des inconnus, a déjà récolté 98 000 euros en moins de 24 heures. Les rescapés de Charlie sont submergés par les demandes d’abonnements, qu’ils n’arrivent pas à gérer pour l’instant. Mais très vite, ils devraient recevoir de l’aide du groupe Lagardère sur ce point. L’avocat de Charlie Hebdo, Richard Malka, prend la parole. «Il y a de l’argent qui arrive de partout. Des aides, des locaux, du personnel pour gérer les demandes…»«On a reçu du soutien de très nombreux médias, lui fait écho Christophe Thévenet, autre avocat du titre. Il y a les dons, déjà les 250 000 euros via l’association Presse et pluralisme, le million d’euros promis par Fleur Pellerin… Vous allez avoir des finances comme jamais à Charlie  L’avocat en sait quelque chose : c’est lui qui a créé les statuts du journal, et qui fait les assemblées générales du titre. Ces derniers mois, l’hebdo avait fait un appel aux dons pour tenter de renflouer les caisses du titre, mal en point.

«Bon, on fait le journal ?, demande Gérard Biard, qui a visiblement envie d’en découdre. Qu’est-ce qu’on met dans les pages ?»«J’sais pas, y’a quoi comme actu ?», lance Patrick Pelloux. Fou rire nerveuxBiard reprend : «Moi je serais pour faire un numéro, entre guillemets, normal. Que les lecteurs reconnaissent Charlie. C’est même pas un numéro exceptionnel». «Même pas mal !» lance quelqu’un autour de la table. Certains évoquent l’idée de laisser des espaces blancs là où les morts de mercredi auraient dû écrire ou dessiner. Mais finalement, l’équipe est contre. «Je ne veux pas qu’il y ait matériellement un vide, argumente Gérard Biard. Il faut qu’ils soient tous là, dans les pages. Et Mustapha aussi.» Mustapha Ourrad, le correcteur, fait partie de la longue liste des tués de l’attentat de mercredi. «Alors laissez mes fautes !», rigolent Patrick Pelloux et les autres.

«Ah tiens ! Fidel Castro est mort !», tonne Luz en faisant des doigts d’honneur, découvrant l’info (qui sera vite démentie) sur son téléphone. Le reporter Laurent Léger tente de recentrer le débat sur le journal : «Je pense qu’il ne faut pas qu’on fasse des nécrologies, on va pas faire un numéro hommage.» La rédaction discute du contenu du journal. Gérard Biard : «J’espère qu’on va arrêter de nous traiter de laïcards intégristes, qu’on va arrêter de dire "oui, mais" à la liberté d’expression». Laurent Léger : «Je pense qu’on peut aussi dire qu’on a été très seuls ces dernières années». Luz : «Il faut aussi que ce numéro parle de l’après». Corinne Rey : «Qu’on fasse passer le message qu’on est vivants !» Richard Malka : «Et qu’on ne laisse pas de côté la critique des religions.»

Charlie Hebdo est un curieux journal : il ne compte pas vraiment de rubriques, mais des «espaces» attribués à tel auteur, à tel dessinateur. Pour ceux des défunts, l’équipe décide de dénicher des inédits à publier. Ainsi, dans le numéro qui sera en kiosque mercredi, il y aura du Charb, du Cabu, du Wolinski, du Honoré… Pendant les discussions, il y a des sanglots ici, ou là, comme des feux de brousse qui s’allument pour s’éteindre ensuite dans les bras du voisin. Il y a des mains saisies et des regards mouillés.

Richard Malka s’éclaircit la voix : «Manuel Valls vient d’arriver dans les locaux». L’équipe soupire, s’éparpille, bavarde. Accompagné de la ministre de la Culture et de la Communication Fleur Pellerin, qui arbore un autocollant "Je suis Charlie" sur la poitrine, et de toute une meute de journalistes extérieurs, assistants, et communicants, le Premier ministre vient serrer la main des présents, lâchant quelques infos sur l’intervention en cours à Dammartin-en-Goële – «Les deux assassins sont dans la souricière» – avant de leur souhaiter «plein de courage».

Biard hasarde : «C’est bon y a plus de journalistes ? Y a plus de ministres ? Pour la page 16 on fait quoi ?». Sa question se perd dans le bruit des canettes de Coca qu’on ouvre, des pains au chocolat qu’on grignote, des pleurs qu’on étouffe, des sirènes de police, dehors. Dans son coin, Patrick Pelloux se marre : «C’est donc une vraie conférence de rédaction, c’est le bordel, on est bien repartis !»

Libération ayant été le seul média à pouvoir être présent lors de cette conférence de rédaction, cet article – à l'exception de la photo qui l'illustre – est exceptionnellement publié sous la licence Creative Commons CC BY-SA 3.0 (il faut citer l'auteur, et réutiliser la même licence), afin de permettre sa diffusion par les autres médias.

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    Pierre Fraidenraich, patron de Libé

L'arrivée de Charlie

 

 

France : Mossad Israël : Nom de code de l'opération militaire : "Je suis Charlie, Je suis Israël !"

L'avis d'un ancien militaire et rédacteur de l'écho des montagnes en Savoie qui nous commente la vidéo censurée par Youtube ! !

Ainsi les sionistes ont voulu nous tester et nous montrer qu'ils pouvaient faire la pluie et le beau temps chez nous quand ils veulent avec l'appui de leurs soutiens sionistes planqués au Gouverne-MENT de la République sioniste !

 

JE NE SUIS PAS CHARLIE

vendredi 9 janvier 2015

L’Écho des Montagnes dans le légitime but de vous informer, vous révèle le scandale du massacre des journalistes de Charlie Hebdo.

Scandale, comme disait Georges Marchais, scandale au plus haut niveau de l'Etat colonisa-tueur français, commanditaire de ce massacre pour faire un remake du "11 septembre", afin d’émettre une loi dictatoriale, sous le prétexte de la liberté d'expression.

Liberté d'expression pour les journaux aux ordres d'Usraël, pour les autres la prison.

Souvenez-vous, Christine Lagarde, UMP et ami de Sarkozy à porter plainte contre votre journal, l’Écho des Montagnes et aujourd'hui votre SARKOKOKO se pavanne avec la liberté de la presse.

Oui liberté de la presse sioniste, une étoile c'est tout. *

Je suis Frédéric BERGER.

Je suis le président de Savoie Indépendante

Je suis le rédacteur en chef du journal l’Écho des Montagnes

Je suis le chef de la Brigade de Savoie= Brigata di Savoia


En SAVOIE, dans mon pays on ne tue pas les journalistes au nom du sionisme, au nom du Nouvel Ordre Mondial, au nom de je ne sais quoi ou de je ne sais qui!


.Je suis Charlie signifie en hébreu, je suis Israël, nom de code de l'opération militaire qui a massacré les journalistes de Charlie Hebdo.


Preuve:



C'était signé par avance !


En hébreu, « Je suis Charlie » est l’acronyme de « Je suis Israël » – éléments graphiques by Shmoo

Le mot d’ordre, depuis le carnage de Charlie Hebdo, c’est « Je Suis Charlie. »
En hébreu, Je Suis Charlie s’écrit ainsi:

אני שארלי
 
Avec les lettres identiques, dans un autre ordre, on obtient Je Suis Israël:

אני ישראל
Ce qui, pour ceux qui étudient la Torah, pourrait signifier beaucoup… Et en premier lieu: ceux qui attaquent Charlie sont les mêmes qui attaquent Israël. Tellement vrai !


Ce journal a été hébergé par le journal Libération, dont le patron est ROHTSCHILD.

Bientôt en France, il y aura une loi dictatoriale, pour nous empêcher d'être libre, sous  prétexte du Terrorisme; c'est un remake du "11 septembre"! " avec un "patriot act" à la clé de l'enfer satanique sioniste, dirigé par l'intelligence maléfique des Jésuites.


Charlie Hebdo appartient à la CIA, connu pour son sionisme satanique.

Entendez cette vidéo censurée par youtube, mais que la Savoie possède et mise en sécurité dans une crevasse.

C'est bien une opération militaire avec les pancartes faites et distribuées à l'avance dans toute la France sioniste, au même format, même couleur noir, tout a été prévu à l'avance.

Regardez au G8, au G20, les dirigeants du Nouvel Ordre Mondial sont habillés en costume noir; en effet c'est la secte de l'Ordre Noir, ordre dirigé par les jésuites, dont le grand chef, fut le REICHFÜRER HEINRICH HIMMLER= 88.


Voila la vidéo "sang-surée" par la liberté d'expression, version sioniste avec les commentaires
de votre rédacteur en chef en personne:

Cliquez sur les liens ci-dessous et sauvegarder la vidéo:

OBSERVATIONS DE BON SENS: 9 points étranges

1 - Après le passeport indestructible du 11 septembre, l'un des deux suspects, Saïd Kouachi, a oublié, malencontreusement, sa carte d'identité dans la voiture., fausse bien sur et laisser là pour diver--sion.

2- Lors de la tuerie, entre
 3 et 5 tireurs ont été aperçus:
"J'ai entendu des coups de feu, j'ai vu des gars cagoulés qui sont partis en voiture. Ils étaient au moins cinq", a précisé Michel Goldenberg, un voisin de Charlie Hebdo. Un autre voisin, Bruno Leveillé, a raconté avoir entendu "à 11 h 30 pile, une trentaine de coups de feu pendant une dizaine de minutes."

- La piste israélienne : 

A - JSS News semble très bien informé. Ne citant pas leurs sources, ils auraient été les premiers à publier l'identité des terroristes:

Selon des informations reçues par JSSNews, un des trois terroristes de Charlie Hebdo, le jeune Hamyd, a été arrêté. Il s'est rendu lui-même à la police - quand il a vu JSSNews publier son identité.

Rappelons que JSSNews a déjà publié deux informations exclusives et vérifiées ces dernières heures. La première concernant l'identité des terroristes (Saïd et Cherif Kouachi et Hamyd Mourad) et la deuxième concernant la voiture des terroristes, retrouvée devant un restaurant casher à Paris.

Plus tôt, ce soir, Libération titrait: « les trois suspects interpelés » - le titre a été changé par « les trois suspects identifiés et localisés.

Toujours selon JSS News, les premiers médias à diffuser la vidéo du policier abattu auraient été ceux d'Israël:

Voici une vidéo qui montre des échanges de tirs entre les musulmans qui ont attaqué le journal Charlie Hebdo et la police. BFM TV vient d'annoncer « ne pas vouloir montrer cette vidéo. »La vidéo est diffusée par les médias israéliens. Le policier mort dans cet échange de feu serait musulman (son prénom est Ahmed).

B - Russia Today nous apprend qu'Amchai Stein, l'éditeur en chef de la chaine israélienne IBA Channel 1, était présent sur les lieux du crime et postait des photos de la fusillade:

 


Amichai Stein @AmichaiStein1
רכב מנוקב כדורים בזירת האירוע בפריס
12:24 PM - 7 Jan 2015

5 - La police était injoignable lors du massacre:

Une journaliste de Première Ligne, qui a souhaité rester anonyme, témoigne

Il a aperçu deux personnes armées de kalachnikov qui demandaient 'C'est où Charlie Hebdo ?' Mon collègue est remonté en courant. Nous nous sommes barricadés et nous avons essayé d'appeler la police, mais ils étaient injoignables, c'était hallucinant.

6 - Un temps d'attente anormalement long entre la tuerie et l'arrivée des secours:

On était une dizaine dans l'atelier quand on a entendu des tirs, sans trop comprendre d'abord ce qu'il se passait. On entendait des bruits venant de l'immeuble, qu'on n'a pas identifié tout de suite, puis dans la rue. Là on a tout de suite compris que c'était des tirs. On s'est éloigné des fenêtres. Entre une demi-heure et trois-quart d'heure plus tard, les secours sont venus nous dire de ne pas sortir. Cette situation est un peu oppressante.

- Moins d'une heure après l'attaque, Hollande se rend, sans aucune peur, sur le lieu du drame:

Ce que je trouve fort, c'est que moins d'une heure après, Hollande est déjà sur place, 56 minutes après très exactement.... l'a pas peur des balles perdus ou des bombes planquées dans le périmètre le pantin qui nous sert de Président.

8 - Un commissaire de police de Limoges qui travaillait sur l'affaire Charlie Hebdo se suicide mystérieusement dans son bureau:

Il travaillait sur une mission de la police judiciaire dans le cadre de l'affaire Charlie Hebdo. Ce suicide intervient un peu plus d'un an après la mort d'un autre responsable du service régional de la police judiciaire de Limoges. En novembre 2013, le numéro 3 de ce service s'était lui aussi donné la mort et c'est le commissaire décédé la nuit dernière qui l'avait découvert.

- Des soi-disant « terroristes » ressemblant plus à la police antiterroriste qu'à autre chose:

Deux personnes qui ont croisés la route des frères Kouachi témoignent ce matin du 9 janvier

D'abord l'homme qui s'est fait volé sa voiture ce matin dans l'Oise, sur RTL. "Ils étaient en tenues paramilitaires et avec leurs armes à la main, très calmes, très sereins, très professionnels, pas énervés. Ils ont jamais couru ni élevé la voix. Ils n'étaient pas transpirants. Ils donnaient l'impression d'être en opération",explique le conducteur de la clio grise vraisemblablement attaquée par les frères Kouachi vendredi matin. "La simple chose qu'il m'ont dite en partant : "si les médias te posent une question, tu n'as qu'à dire que c'est Al Qaïda Yémen". C'est la dernière chose qu'il m'ont dite."

Puis, sur France info, un commercial qui était dans la zone artisanale de Dammartin et qui a d'abord cru avoir affaire à un policier : "Je ne les ai pas reconnus formellement, ils étaient habillés comme des policiers d'intervention, tenue noire, gilet pare-balles et fusil. Ça aurait pu être un policier s'il ne m'avait pas dit 'on ne tue pas les civils'. Ils étaient lourdement armés, comme des policiers qui interviennent avec des fusils type kalach. J'étais devant la porte de l'entreprise, j'ai serré la main de Michel [un client, NDLR] et de l'un des terroristes. Il m'a dit 'je suis la police. Partez, on ne tue pas les civils'. Après je suis parti, et Michel a fermé le portail derrière moi. Je suis parti dans la foulée"

TEST DE LA POPULA-SION FRANCAISE

 

 

 

 

 

 

 

Frédéric BERGER 


France: fin de traque sanglante pour les frères Kouachi et une connaissance

Mais oui, mais oui, nous allons les croire !

Ils vont nous la faire encore longtemps à l'envers ? Surtout lorsque le supposé preneur d'otages avait rencontré Sarkozy en 2009 ?

Netanyahu a dû prendre les commandes de l'opération pour que cette affaire soit soi-disant réglée avant le Shabbat ! Comme l'avait prévu depuis hier le blog d'Islamic Intelligence !

 

Et maintenant pour que nous soyons "protégés", il ne leur reste plus qu'à nous instaurer la LOI MARTIALE !

 

France: fin de traque sanglante pour les frères Kouachi et une connaissance

09 Janv. 2015, 18h05 | MAJ : 09 Janv. 2015, 18h05

 Des policiers prennent position sur le toit où sont retranchés les deux preneurs d'otage, auteurs présumés de la tuerie à Charlie hebdo, le 9 janvier 2015 à Dammartin-en-Goële, en Seine-et-Marne

Des policiers prennent position sur le toit où sont retranchés les deux preneurs d'otage, auteurs présumés de la tuerie à Charlie hebdo, le 9 janvier 2015 à Dammartin-en-Goële, en Seine-et-Marne

 

Dominique Faget

 

Les frères Kouachi, auteurs présumés de l'attentat sanglant contre Charlie, ont été tués vendredi, ainsi qu'un autre preneur d'otages déjà condamné pour islamisme radical qui leur était lié, au terme d'une journée dramatique marquée par une prise d'otage meurtrière en plein Paris.

 


Après plusieurs heures de confrontation, les forces spéciales ont donné l'assaut à Dammartin-en-Goële, en Seine-et-Marne, où Saïd et Chérif Kouachi retenaient une personne en otage depuis le matin, et sur une supérette casher de l'est parisien, où un de leurs proches retenait en otage au moins cinq personnes, après une fusillade qui avait fait au moins deux morts.


Les frères Kouachi ont été tués en tentant de sortir en tirant pendant l'assaut, lancé à 16H57. L'otage a été libéré indemne et un membre du GIGN blessé.


A Paris, un de leurs proches, Amédy Coulibaly, a lui aussi été tué au terme d'un assaut sur le magasin "Hyper Cacher", où au moins un homme armé retenait plusieurs personnes en otage.

L'assaut a débuté par au moins deux détonations et des flashes de lumière, plusieurs dizaines de policiers se sont ensuite précipités à l'intérieur de la supérette. Plusieurs otages, parmi lesquels un petit garçon, ont pu sortir et ont rapidement été pris en charge par les policiers.


Amédy Coulibaly, délinquant multirécidiviste de 32 ans déjà condamné dans une affaire d'extrémisme islamiste, avait rencontré Chérif Kouachi en détention, où il s'est radicalisé. Né à Juvisy-sur-Orge, il est également soupçonné, d'être l'auteur d'une autre fusillade mortelle jeudi à Montrouge, en banlieue parisienne, dans laquelle une jeune policière municipale a été tuée et un employé blessé.


Les deux hommes avaient été impliqués en 2010 dans l'enquête sur une tentative d'évasion de Smaïn Aït Ali Belkacem, ancien du Groupe islamique armé algérien (GIA), condamné pour l'attentat à la station RER Musée d'Orsay en octobre 1995 à Paris. Kouachi avait bénéficié d'un non-lieu. Coulibaly avait été condamné à cinq ans de prison en décembre 2013.


Un avis de recherche a également été lancé pour la compagne de Coulibaly, Hayat Boumeddiene, 26 ans, dont le sort n'était pas connu.


"C'est un drame. Ca veut dire quoi, nous les juifs de France, on doit partir en Israël?", se demandait Ilan, 20 ans, kippa sur la tête, qui observait avec deux copains le déploiement des policiers dans le quartier de la porte de Vincennes, totalement bouclé.


Chérif et Saïd Kouachi, 32 et 34 ans, auteurs présumés de la tuerie mercredi à Charlie Hebdo, s'étaient retranchés dans la matinée avec leur otage dans les locaux d'une petite imprimerie de la zone industrielle de Dammartin-en-Goële, après un échange de tirs nourris avec les forces de l'ordre, qui les avaient repérés au volant d'une voiture volée.


La petite ville a passé la journée en état de siège, écoles évacuées, commerces fermés et habitants barricadés chez eux. Des hélicoptères survolaient sans cesse le site.

- Kalachnikov et lance-roquette -

Dammartin-en-Goële est à environ une demi-heure de route du périmètre où se concentrait, depuis jeudi, la traque des deux fuyards, aux confins de la Picardie à quelque 80 km au nord-est de Paris. C'est dans cette zone que les fugitifs avaient été reconnus par le gérant d'une station-essence qu'ils avaient agressé, armés de kalachnikov et en possession d'un lance-roquette.


Les frères Kouachi, Français nés à Paris de parents algériens, étaient des jihadistes dont le nom est inscrit "depuis des années" sur la liste noire américaine du terrorisme, selon une source américaine.
Chérif était bien connu des services français: surnommé Abou Issen, il avait fait partie de la "filière des Buttes-Chaumont" pour envoyer des jihadistes en Irak, où lui-même entendait se rendre en 2005 avant d'être interpellé. Il avait été condamné pour ces faits en 2008 à trois ans de prison, dont 18 mois avec sursis.


Saïd semblait plus discret. Mais selon un responsable américain et une source française proche du dossier, il s'était rendu au Yémen en 2011 pour s'entraîner avec Al-Qaïda au maniement des armes.
Le président François Hollande s'est rendu dans la matinée au ministère de l'Intérieur. Il a appelé "tous les citoyens" à manifester dimanche, lors des marches prévues pour dénoncer l'attentat contre Charlie Hebdo, et à refuser toute "surenchère" ou "stigmatisation", alors que des lieux de culte musulmans ont été ciblés depuis l'attentat.


Israël a de son côté exprimé son inquiétude devant "l'offensive terroriste" en France.


La tuerie dans les locaux de Charlie Hebdo, régulièrement menacé depuis 2006 et la publication de caricatures de Mahomet, n'a pas été revendiquée. Ses auteurs, qui ont crié "Allah Akbar" et "on a vengé le prophète", ont été salués comme des "héros" par le groupe jihadiste Etat islamique actif en Syrie et en Irak.


Vendredi matin, les insurgés islamistes somaliens shebab ont également loué "deux héros".

- "Attentats de grande ampleur" -

Les groupes jihadistes sont considérés comme une vraie menace par les autorités occidentales. "Un groupe de terroristes d'Al-Qaïda en Syrie projette des attentats de grande ampleur contre l'Occident", a prévenu jeudi le chef du service de renseignement intérieur britannique (MI5), Andrew Parker.


Une très forte émotion a saisi la France après l'attaque dans laquelle ont notamment été tués certains des caricaturistes français les plus connus, Wolinski et Cabu.


Quatre personnes grièvement blessées ne sont plus en danger de mort, selon M. Cazeneuve.


Au lendemain de la journée de deuil national, marquée par un slogan - "Je suis Charlie" - et une minute de silence qui a figé le pays, les imams de France ont été invités par les grandes fédérations musulmanes à condamner "avec la plus grande fermeté la violence et le terrorisme" lors de la grande prière du vendredi.


Dimanche, ce sera le tour des "marches républicaines" à l'appel des principaux "partis républicains" de tous bords, de syndicats, d'associations et des grandes fédérations musulmanes. Mais "l'unité nationale" annoncée s'est fissurée, Marine Le Pen dénonçant "l'exclusion" du Front national, contre laquelle s'est également élevée l'UMP.


Les membres survivants de la rédaction de "Charlie" ont décidé de sortir mercredi un nouveau numéro tiré à un million d'exemplaires, sur lequel ils ont commmencé à travailler vendredi matin dans les locaux de Libération. "Ce n'est pas la connerie qui va gagner", a lancé l'urgentiste Patrick Pelloux, chroniqueur de l'hebdomadaire.

 

 

Le Liban prévient la France : imminence d’un attentat « plus violent » que celui de Charlie Hebdo

 Pris sur le site du monde Juif !

Bientôt des attaques sur les centrales nucléaires françaises qui ont été largement cartographiées durant des mois par les drones, sans que les sionistes au pouvoir ne s'en émeuvent, complices qu'ils sont d'Israël !

Pour une fois écoutons les conseils des services de renseignements Libanais et Syriens puisque les nôtres sont aux ordres d'Israël !

 

Publié le 9 jan 2015

Le Liban prévient la France : imminence d’un attentat « plus violent » que celui de Charlie Hebdo

HEBDO-IDENTITES

Les Renseignements libanais ont alerté les autorités françaises de l’imminence d’un attentat « plus violent » que Charlie Hebdo, rapporte le quotidien libanais as-Safir dans son édition de vendredi.

Selon le journal libanais, « des préparatifs sont en cours pour une nouvelle opération terroriste sur le sol français, qui pourrait être plus violente que celle contre Charlie Hebdo ».

as-Safir indique également que les services de renseignements libanais et syriens ont mis en garde, durant les derniers mois, les autorités européennes contre le risque d’attentats spectaculaires sur le sol français.

Faouzi Ahmed – © Le Monde Juif .info | Photo : DR