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28/04/2017

MACRON : De la Fondation Saint-Simon à Emmanuel Macron

Les français sont en guerre contre les US/SIONISTES depuis près de 300 ans !

Voilà qui dirige la France, une grande majorité d'apatrides, adeptes de la secte Judéo-maçonnique qui occupent la France depuis la soi-disant révolution Française !

Près de 300 ans qu'ils pourrissent la vie des français !

 

COMMENT FAIRE DU NEUF AVEC DU VIEUX - De la Fondation Saint-Simon à Emmanuel Macron par Thierry Meyssan

La subite apparition d’un nouveau parti politique, En Marche !, sur la scène électorale française, et la candidature de son président, Emmanuel Macron, à la présidence de la République ne doivent rien au hasard. Les partisans de l’alliance entre la classe dirigeante française et les États-Unis n’en sont pas à leur coup d’essai.

 
| DAMAS (SYRIE)
 
 
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Henry Hermand, l’un des principaux créateurs de la Fondation Saint-Simon,
a parrainé la carrière d’Emmanuel Macron.
Il fut son témoin, lors de son mariage en 2007.
Il le fit entrer en 2012 à l’Élysée et créa son parti politique à l’Institut Montaigne, en 2016.

 

Il est impossible de comprendre la soudaine apparition sur la scène politique partisane d’Emmanuel Macron sans connaître les tentatives qui l’a précédée, celles de Jacques Delors et de Dominique Strauss-Kahn. Mais pour comprendre qui se tient dans les coulisses, un retour en arrière est nécessaire.

1982 : la Fondation Saint-Simon

Des universitaires et des directeurs de grandes entreprises françaises décidèrent, en 1982, de créer une association afin de favoriser « la rencontre entre les chercheurs en sciences sociales et les acteurs de la vie économique et sociale, [et] de diffuser auprès du public les connaissances produites par les sciences humaines et sociales ». Ce fut la Fondation Saint-Simon [1].

Durant près de vingt ans, cet organisme imposa le point de vue de Washington en France, créant ce que ses détracteurs appelèrent « la pensée unique ». La Fondation décida de se dissoudre, en 1999, après les grèves de 1995 et l’échec de la réforme du système de retraite.

La Fondation organisa 70 séminaires annuels auxquels participèrent chaque fois une quarantaine de personnes. Elle publia 110 Notes mensuelles et une quarantaine de livre. Enfin, plus discrètement, elle organisa un dîner mensuel réunissant des universitaires, des chefs d’entreprises du CAC40, et les principaux patrons de presse du pays.

Durant ces dîners, non seulement les points de vue se rapprochèrent, mais les patrons de presse décidèrent des sujets qu’ils aborderaient et la manière dont ils les traiteraient. Progressivement, le pluralisme de la presse s’effaça devant le « devoir d’informer », puis devant le « pouvoir de former » les esprits.

La Fondation avait été créée par d’un côté l’historien François Furet et le sociologue Pierre Rosanvallon, de l’autre le lobbyiste Alain Minc, l’industriel Roger Fauroux, le banquier Jean Peyrelevade, et enfin l’éditeur Yves Sabouret et l’intellectuel Jean-Claude Casanova. Son financement avait été imaginé par Henry Hermand, une éminence grise de la gauche non-communiste.

Toutes ces personnalités étaient alors connues pour leurs liens avec un puissant groupuscule états-unien : les néo-conservateurs. Ces intellectuels trotskistes venaient de rejoindre le président républicain Ronald Reagan. Dépassant les concepts de « droite » et de « gauche », ils affirmaient combattre le stalinisme et vouloir « démocratiser » le monde par tous les moyens. Ils ne cachaient pas leur admiration pour le philosophe Leo Strauss, théoricien d’une dictature globale éclairée. Certains d’entre eux, créèrent la National Endowment for Democracy (NED) et le United States Institute of Peace. Malgré les apparences, ces deux fondations ont été conçues comme des instruments au service des « Cinq yeux », c’est-à-dire de l’accord entre les services secrets de l’Australie, du Canada, des États-Unis, de la Nouvelle-Zélande et du Royaume-Uni.

Au départ, la Fondation Saint-Simon bénéficia de subventions de la John M. Olin Foundation, qui avait invité François Furet à enseigner à Chicago. Cet organisme états-unien, marqué très à droite, avait déjà financé les trotskistes néo-conservateurs. Rapidement, la Fondation Saint-Simon adhéra à The Hague Club (le Club de La Haye), une supra-structure de la Fondation Rockefeller chargée de financer une trentaine d’associations européennes atlantistes avec des Fonds de la CIA, puis de la NED.

C’est donc avec l’argent des services secrets états-uniens que furent organisés les dîners mensuels rassemblant des universitaires de renom et les patrons du CAC40 autour des directeurs d’Études, d’Esprit, d’Europe 1, de L’Expansion, de L’Express, du Figaro, de Libération, du Matin de Paris, du Monde, de M6, du Nouvel Observateur, de RTL et des journalistes stars d’Antenne2 et de TF1.

Dans les années 90, lorsque le sociologue britannique Anthony Giddens lança la « Troisième voie » pour adapter la rhétorique socialiste à l’économie de marché, la Fondation Saint-Simon célèbra avec enthousiasme ce tour de passe-passe porté par Bill Clinton et de Tony Blair.

 

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Anne Sinclair, journaliste vedette de TF1 et membre de la Fondation Saint-Simon,
et son ami Jacques Delors, candidat officiel de la Fondation à la présidence de la République.

 

1993 : l’opération Jacques Delors & Martine Aubry

En 1993, les membres de la Fondation Saint-Simon décidèrent de lancer leur propre candidat à la présidence de la République : le président de la Commission européenne, Jacques Delors. Simultanément, ils préparèrent la montée en puissance de la fille de leur candidat, la ministre du Travail Martine Aubry, destinée à devenir sa Première ministre.

Jacques Delors, alors socialiste, avait débuté sa carrière politique à droite, au cabinet de Jacques Chaban-Delmas. Martine Aubry, alors socialiste, avait débuté comme responsable des relations publiques du groupe Pechiney, dont le directeur Jean Gandois deviendra « le patron des patrons ».

Tandis que les organes de presse dont les directeurs étaient membres de la Fondation commençaient à tresser les louanges de Jacques Delors et de sa fille, le trésorier de la Fondation, Alain Minc, créa dans les locaux de la Fondation deux organisations distinctes :
- l’Association nationale des entreprises pour l’insertion (ANEI), afin d’impliquer de grandes entreprises dans la campagne électorale de Delors.
- l’Association des amis de la Fondation Agir contre l’exclusion (FACE), pour financer l’ascension d’Aubry.

Après l’échec de François Bayrou au congrès des Démocrates sociaux (CDS), Jacques Delors prit acte de l’impossibilité de créer une nouvelle majorité rassemblant les socialistes et les centristes. Il renonça donc à se présenter à l’élection présidentielle. L’ANEI fut dissoute et ses actifs furent transférés à la FACE.

Le programme politique de la Fondation Saint-Simon et des Delors père et fille était de faire de la France le pilier de l’Union européenne. Il prévoyait de faire de la France le « hub » européen en y développant les transports routiers transversaux et de fonder l’économie sur un accroissement de la main d’œuvre. Il convenait donc de maintenir les femmes au travail et d’augmenter l’immigration. Dans la période transitoire, afin de contenir le chômage, il faudrait diminuer le temps de travail.

Ce programme a été partiellement appliqué, par la suite, avec le gouvernement Jospin, bien qu’alors la conjoncture internationale eut changée. En 1998 et 2000, la France adopta les 35 heures, cette fois contre l’avis du patronat qui les soutenait en 1993-95, et augmenta l’immigration du travail. Le résultat fut inverse à celui imaginé en 1993 : le chômage crût inexorablement. Le maintien des femmes au travail posa de nouveaux problèmes en termes de crèches, de temps de travail des enfants à l’école, et finalement de baisse du niveau des élèves. Dans ce contexte, la présence massive d’immigrés déstabilisa l’ensemble du système social.

1995 : l’opération Juppé-Notat de réforme des retraites

Le projet de loi du Premier ministre Alain Juppé (droite) sur la réforme des retraites fut soutenu par la revue Esprit et le syndicat CFDT (gauche) ; le tout coordonné par la Fondation.

C’est durant cette campagne que le sociologue Alain Touraine émergea comme porte-parole des Saint-Simoniens.

Cependant, face aux gigantesques grèves de décembre 95, le projet de loi dû être retiré. Victime de son échec, la Fondation Saint-Simon ne tarda pas à se dissoudre.

2000 : l’Institut Montaigne

En 2000, le groupe d’assurances AXA créé un nouveau think-tank, l’Institut Montaigne. Bientôt, il publie un ouvrage collectif d’universitaires et de chefs d’entreprise, Le Courage de réformer. Puis il prend le journaliste Philippe Manière comme directeur. Celui-ci a été formé par la Fondation Rockefeller au Centre Bellagio qui abrite The Hague Club.

L’Institut Montaigne milite pour des réformes économiques et sociales en tous points identiques à celles que la Fondation Saint-Simon entendait réaliser. En 2004, il rédige la Charte de la diversité en entreprise, immédiatement soutenue par la FACE et aujourd’hui adoptée par de nombreux groupes. En 2012, il publie un second livre collectif, Réformer par temps de crise. Après le retrait de Claude Bébéar de la direction d’AXA, son successeur à la tête de l’entreprise, Henri de Castries, en devient président.

 

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Anne Sinclair toujours, mais cette fois avec son époux, Dominique Strauss-Kahn,
candidat officieux de Terra Nova à la présidence de la République.

 

2008 : Terra Nova

En 2008, un collaborateur de Dominique Strauss-Kahn, Olivier Ferrand, créé l’association Terra Nova, dans des locaux prêtés par Henry Hermand. Ce nouveau think tank vise à faire entrer la modernité états-unienne dans la vie économique, sociale et politique de la France. Il fonctionne sur le modèle du Progressive Policy Institute créé par Bill Clinton et le sénateur pro-israélien Joseph I. Lieberman.

Comme la Fondation Saint-Simon avec le Crédit Lyonnais, Terra Nova entretient d’étroites relations avec des banques, principalement avec Rothschild & Cie.

En 2011, Terra Nova organisa la première primaire du Parti socialiste avec l’aide de la National Endowment for Democracy qui envoya pour cela à Paris son spécialiste, Tom McMahon. L’idée était de faire adopter par d’autres partis que les socialistes un candidat unique, Dominique Strauss-Kahn, de sorte qu’il soit en mesure de passer le premier tour de l’élection présidentielle et de l’emporter. Directeur du Fonds monétaire international, « DSK » devait faire entrer les Français dans la globalisation.

Malheureusement, il fut arrêté aux États-Unis peu avant la primaire dans laquelle il fut remplacé par Martine Aubry. La fille de Jacques Delors passa le premier tour, mais fut éliminée au second par François Hollande.

À la mort d’Olivier Ferrand, le secrétaire général de la CFDT, François Chérèque, lui succéda à la présidence de Terra Nova.

 

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Mieux que Bill Clinton et Tony Blair : Emmanuel Macron, le gendre idéal.

 

2016 : l’opération Emmanuel Macron

Ce long préambule permet de comprendre le lancement de l’opération Emmanuel Macron.

À sa sortie de l’ENA, Emmanuel Macron a débuté, en 2004, au sein du cabinet de Jean-Pierre Jouyet. Ce dernier est un ancien collaborateur de Roger Fauroux (le président de la Fondation Saint-Simon) et de Jacques Delors (le candidat présidentiel de la Fondation). Par la suite Jouyet est devenu ministre de Nicolas Sarkozy (droite) puis secrétaire général de l’Élysée de François Hollande (gauche).

Emmanuel Macron fait alors un détour par la banque Rothschild & Cie. Puis entre à l’Élysée comme adjoint de Jean-Pierre Jouyet. À cette fonction, il remplace un autre associé-gérant de Rothschild & Cie, François Pérol.

En 2006, Emmanuel Macron rejoint le Parti socialiste et la Fondation Jean-Jaurès, dont une partie du financement est assurée par les trotskistes néo-conservateurs de la National Endowment for Democracy (NED). En 2007, il rejoint Les Gracques, un groupe d’anciens patrons et de hauts fonctionnaires, dont Jean-Pierre Jouyet est l’animateur. Cette association tente d’organiser une alliance entre le Parti socialiste et les centristes.

En 2012, Emmanuel Macron devient Young leader de la French-American Foundation [2], dont Philippe Manière (le directeur de l’Institut Montaigne) et Alain Minc (le trésorier de la Fondation Saint-Simon) sont administrateurs. C’est sur recommandation du même Alain Minc, qu’Emmanuel Macron devient Research Fellow à la London School of Economics, lorsqu’il quitte l’Élysée, en 2014.

En mai-juin 2014, Emmanuel Macron est invité à la réunion annuelle du Groupe de Bilderberg. L’ordre du jour prévoyait aussi bien la question de l’échange interétatique de Renseignement que l’architecture du Moyen-Orient post-Printemps arabes. Cette institution a été crée en marge de l’Otan qui en assure directement la sécurité, quel que soit le pays où elle se réunit. Son président actuel est le Français Henri de Castries, Pdg d’AXA et président de l’Institut Montaigne.

En 2016, dans les locaux de l’Institut Montaigne, Emmanuel Macron créé son propre parti, En Marche !, avec l’aide d’Henry Hermand (un des principaux mécènes de la Fondation Saint-Simon, puis de Terra Nova) [3]. Après s’être largement expliqué sur les plateaux de télévision, l’homme décède en novembre 2016, à 92 ans. L’originalité de ce parti est que, durant ses huit premiers mois, il n’aura pas ni programme, ni proposition, juste un candidat à la présidentielle. Cela ne l’empêchera pas d’être rejoint par toutes sortes de personnalités politiques qui n’eurent pas besoin qu’on leur précise ce qu’elles savaient déjà : le programme de Macron, c’est celui de Delors et de Strauss-Kahn.

Si la candidature de Jacques Delors visait à faire de la France le pilier de l’Union européenne, celle d’Emmanuel Macron comme celle de Dominique Strauss-Kahn entend faire entrer les électeurs (on n’ose plus dire les « Français ») dans la globalisation. Le soutien apporté par les médias est beaucoup plus facile que deux décennies auparavant car ils se sont concentrés et que les six principaux patrons de presse sont favorables à la globalisation.

Macron étant candidat à la présidentielle, Aubry renonce cette fois à se présenter à la primaire socialiste. En février 2017, François Bayrou, qui n’avait pu emmener les Démocrates-sociaux à soutenir Jacques Delors, apporte son soutien à Emmanuel Macron.

C’est ainsi que l’on fait du neuf avec du vieux. Chaque année les Français célèbrent dans la fête le « beaujolais nouveau », puis ils retournent à leurs occupations. Car, à la différence de la « France éternelle » de De Gaulle, cette aimable piquette ne se conserve pas.

Durant une dizaine d’années, l’auteur a participé à de nombreux séminaires de la Fondation Saint-Simon.

 

[1] « La face cachée de la Fondation Saint-Simon », par Denis Boneau, Réseau Voltaire, 10 février 2004.

[2] « Un relais des États-Unis en France : la French American Foundation », par Pierre Hillard, Réseau Voltaire, 19 avril 2007.

[3] « Henry Hermand : "Mon soutien à Macron ne doit pas faire plaisir à Hollande" », Mathilde Siraud, Le Figaro, 18 septembre 2016.

 

 

 

24/10/2016

Syrie: fin de l'alliance Russie/Israël?

 

Voir aussi :

Le plan diabolique du « Grand Israël » s’ensable en Syrie

Le Nouvel Ordre Mondial passe par Damas ou l'obligation de résultat de réussite pour Poutine en Syrie !

Qui approvisionne l’Etat Islamique?

 

Syrie: fin de l'alliance Russie/Israël?

 

Le porte-avions russe déployé en Méditerranée contre les opérations israéliennes

Le porte-avions Amiral Kuznetsov. ©AFP #russie #porte-avions

 

La Russie a-t-elle décidé de ne plus se soucier des états d'âme de son allié israélien? 

Toujours est-il que les hauts responsables militaires du régime israélien se disent inquiets du déploiement du porte-avions russe en Méditerranée et demandent à ce que le champ d'action de ce mastodonte soit bien réduit.

"Le déploiement du porte-avions Amiral Kuznetsov dans l'est de la Méditerranée limiterait la puissance militaire israélienne dans les opérations à la fois secrètes et manifestes qu'Israël mènent en Syrie et au Liban.", affirme le site israélien Walla, citant les hauts responsables israéliens.

 

Vladimir Poutine et Benjamin Netanyahu à Jérusalem, le 25 juin 2012. ©AFP #Israël

 

"Israël a mené, ces derniers années, des raids aériens contre la Syrie pour empêcher l'acheminement des armes via l'Iran à destination du Hezbollah et le fait que le porte-avions Amiral Kuznetsov opère aux portes d'Israël n'arrange pas les choses. Surtout que le navire a à son bord des avions de chasse MiG-29, des hélicoptères de combat et quelques 2000 fusiliers marins et qu'il arrivera dans une semaine en Syrie", font remarquer ces responsables se référant aux informations communiquées par la flotte russe.

Le website israélien Walla relève aussi un autre point : "l'affaiblissement, ces derniers mois, du mécanisme de coordination entre Moscou et Tel-Aviv au sujet de la Syrie" : " Les contacts entre la Russie et Israël se sont réduits à tel point  qu'un drone russe a pu récemment pénétrer l'espace aérien israélien au risque d'être abattu par la DCA israélienne. L'appareil a réussi toutefois à quitter le ciel israélien et à regagner la Syrie avant d'être visé".  

"Au moment où la Russie projette des programmes militaires pour une présence stratégique de longue durée au Moyen-Orient, en équipant l'armée syrienne de systèmes défensifs les plus modernes, Israël n'a d'autre choix que de revoir sa stratégie sur ses frontières nord." conclut Walla.

 

 

28/11/2015

Crise migratoire: le grand remplacement n'est pas une vue de l'esprit mais un plan de l'ONU !

Ce document provient du département des affaires sociales et économiques de l'ONU.

Après nous avoir tannés sur le fait que nous serions trop nombreux sur terre pour ouvrir largement les vannes des guerres génocidaires tous azimuts dans le monde, sous couvert de l'escroquerie universelle du "réchauffement climatique", voilà que désormais nous ne sommes finalement pas assez nombreux en Europe notamment et la solution mondialiste au problème de natalité de la vieille Europe est toute trouvée: une immigration massive qui favorisera le métissage, la perte d'identité des peuples, la montée du racisme afin de provoquer des guerres civiles qui doivent servir les plans des promoteurs du Nouvel Ordre Mondial, les Illuminati !

Et surtout que l'ONU continue à faire la promotion de l'avortement et à financer ses guerres génocidaires, et ses mercenaires terroristes pour permettre de n'instaurer en finalité qu'UNE UNIQUE POPULATION MONDIALE au profil de son Nouvel Ordre Mondial et de ses vaillants promoteurs, Illuminati  !

Voir aussi :

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Extrait:

"La Migration de remplacement:
Est-elle une solution au déclin et au vieillissement des populations?

Les projections des Nations Unies indiquent qu'au cours des 50 prochaines années, les populations de presque tous les pays d'Europe ainsi que le Japon devront faire face à un déclin démographique et au vieillissement de la population. Les nouveaux défis que constituent le déclin et le vieillissement des populations vont nécessiter de nouvelles évaluations de nombreuses politiques et programmes mis en place, y compris celles relatives à la migration internationale.


Mettant l'accent sur ces deux tendances démographiques frappantes et critiques, le rapport considère une migration de remplacement pour les huit pays à basse fécondité (l'Allemagne, la France, l'Italie, le Japon, la République de Corée, la Fédération de Russie, le Royaume-Uni et les États-Unis) et deux régions (Europe et l'Union européenne). La migration de remplacement se réfère à la migration internationale qu'un pays aurait besoin pour compenser le déclin démographique et le vieillissement de la population résultant de taux de fécondité et de mortalité faibles."


En plus de cette introduction, le rapport indique que de façon a éviter d'avoir à élever l'age de départ en retraite entre 71 et 76 ans (sans rire) dû au manque de dynamisme démographique en se projetant en 2050, l'objectif serait...de tripler au minimum les d'habitants en Europe. Le trois-quart de la population européenne serait alors composée d'immigrés. 


Extrait:


"Le nombre annuel d'immigrés nécessaires pour maintenir le ratio de soutien potentiel constant par rapport à celui de 1995 serait 15 fois plus élevé que le niveau de migration nette des années 1990. Vers la fin de la période, c'est à dire vers l'horizon 2040-2050, le nombre annuel net de migrants requis par l'Union européenne serait l'équivalent de la moitié de la croissance annuelle de la population de la planète.


 Ainsi, si la migration de remplacement devait être utilisée en tant que mécanisme pour consolider le potentiel rapport de soutien au sein de l'Union européenne à son niveau actuel, d'ici 2050, la population totale de l'Union Européenne augmenterait à plus de trois fois son niveau actuel. Dans ce processus, la part de la population mondiale de l'Union européenne aurait plus que doublé, passant de 6,6 pour cent en 1995 à 13,8 pour cent en 2050. En outre, les trois-quarts de la population totale en 2050 seraient constitués de migrants post-1995 en provenance de l'extérieure des frontières actuelles de l'Union et de leurs descendants.

 

Immigrationnisme : Une Europe sans Européens selon la recette Coudenhove-Kalergi, un Plan vieux de 90 ans (Vidéos)

Les buts des Illuminati étant ceux de faire perdre leur identité, non seulement aux européens, mais aussi aux populations émigrées notamment par le métissage pour "les soumettre tous ensemble" aux dictats des Illuminati qui prônent le racisme qui peut générer des guerres civiles en Europe !

Ce qui fait partie du plan des Illuminati promoteurs du Nouvel Ordre Mondial !

Nouvel Ordre Mondial = 1 UNIQUE GOUVERNEMENT MONDIAL
(ONU avec siège déplacé à Jérusalem)
= 1 UNIQUE RELIGION MONDIALE (VATICAN)
= 1 UNIQUE POPULATION MONDIALE

 

Une Europe sans Européens selon la recette Coudenhove-Kalergi

Tatiana Filiatcheva
 
25 octobre 2014, 00:41
 Une Europe sans Européens selon la recette Coudenhove-Kalergi
 

On s’accorde à dire que les Pères Fondateurs de l’Europe d’aujourd’hui, celle de Maastricht, sont Robert Schumann et Jean Monet. Ce n’est pas faux mais c’est inexact. Bien qu’il ait donné son nom à un Prix extrêmement prestigieux dont Herman Van Rompuy est entre autres le détenteur, Richard Coudenhove-Kalergi est curieusement resté dans l’ombre. Or, ce dernier conçut l’idée même du paneuropéisme en décrivant avec une précision troublante ses principes civilisationnels.

Lorsque Kalergi est cité, il est surtout cité comme l’auteur d’un essai monumental intitulé « Pan Europe » et paru en 1923. Il y décrit le continent européen comme un ensemble sans frontières appelé à s’affranchir de ses limites culturelles et à communier dans un esprit mondialiste et notamment anti-nationiste (enfin, il emploie le terme nationaliste pour sous-entendre nationiste). Le continent eurasiatique, la Russie en premier lieu, a vocation à être absorbée par les Etats-Unis d’Europe en s’adaptant au modèle étatique qui les unit et à leur conception des mœurs. La Grande-Bretagne est appelée à faire partie intégrante de cette structure homogène mais en tant qu’Etat-observateur doué d’une plus grande autonomie politique que les autres Etats de la Pan Europa. Jusqu’ici, rien de nouveau. On croirait lire un bref descriptif de ce qu’est l’Europe sous l’égide bruxelloise.

Ce qui en revanche mériterait qu’on s’y attarde, c’est la conception assez particulière qu’à Kalergi du nationisme. Selon lui, Erasme de Rotterdam, Goethe, Dante, Giordano Bruno et les Lumières étaient des antinationistes convaincus dans la mesure où ils étaient instruits. L’attachement à la nation est le propre de la plèbe obscurantiste obsédée par son sentiment d’exclusivité culturelle. Ce raisonnement, irréprochable à la surface, ne tient aucunement la route. De un, bien qu’universaliste, Dante était un poète parfaitement ancré dans la civilisation romano-chrétienne dont il chantait l’excellence. De deux, la question du nationisme en tant que tel (ou nationalisme, par extension) n’était pas d’actualité à l’époque. Enfin, s’il faut un contrexemple, pensons à Machiavel, un nationiste assumé, aussi instruit que les personnalités précitées.

La critique que fait Kalergi du sentiment national à son tour connectée à la question identitaire et à la notion, bien plus récente, de préférence nationale, introduit un autre essai faisant véritablement office de mode d’emploi. Très peu connu ou du moins très peu cité, il s’intitule Praktisher Idealismus, littéralement, idéalisme pratique. Paru en 1925, ce livre au titre aussi charmeur qu’abstrait renverrait presque l’image d’une utopie sociale semblable à celle d’un Thomas More.

Or, si arrière-goût d’utopie il y a, celui-ci ne s’adresse qu’à une seule caste. Celle de la « noble race » ou des élites supranationales appelées à régir un monde homogénéisé, abêti et métissé. Selon Kalergi, s’il est une « race » susceptible de faire concurrence aux USA, c’est bien la race européenne ou … « Blanche ». Le politiquement correct n’était pas encore de mise à l’époque, surtout de la part d’un philosophe revendiquant une approche purement et durement raciste. Raciste, pas raciale, puisque le système hiérarchique qu’elle préconise sous-entend la supériorité fort aberrante de la race blanche (européenne) sur les « Noirs » pour ne citer qu’un exemple.

S’il faut donc neutraliser la puissance européenne en fracturant son identité et ses valeurs, le métissage forcé est une solution efficace et radicale. Il sera à ce moment-là question d’un génocide ethnique et civilisationnel progressif, indolore et surtout définitif. Dans un premier temps, Kalergi appelle à la destruction de la famille en tant qu’institut caduc et donc bon à croupir dans les oubliettes de l’Histoire. Les déviations sexuelles les plus osées seront banalisées. D’une manière générale, le strict contrôle des naissances devra devenir une priorité pour l’ensemble des pays membres de la Pan Europe, cela dans une optique purement malthusienne mettant en garde contre les effets catastrophiques de la surpopulation. Faudrait-il préciser que ce problème n’a jamais été celui de l’Europe ?

La deuxième partie du Plan Kalergi prévoie la suppression tout aussi progressive du principe de démocratie et d’égalité devant la loi. On continuera bien entendu à sacraliser ces deux notions mais dans le seul but d’en faire des instruments de pression sur les masses. La démocratie sans le peuple et l’égalité de type orwellien, si l’on veut une analogie plus moderne, seront complétés par la suppression du principe d’autodétermination des peuples. N’est-ce pas ce que l’on constate aujourd’hui ?

Pour ce qui est du métissage, on s’aperçoit que cette idée obsessionnelle s’appuie sur une thèse aussi raciste qu’infondée. S’appuyant sur des observations dont nul ne semble connaitre l’origine, Kalergi affirme que la cruauté des métisses n’a d’égal que leur servilité. Par conséquent, cette nouvelle « race » serait facile à manipuler. Elle ne se révoltera jamais, en tout cas tant que les mangeoires seront pleines.

Les bizarreries de la politique immigrationniste que l’on relève ces dernières décennies, les atteintes portées à la famille, notamment à la famille nombreuse, l’introduction absurde de la théorie du genre, l’allègement sélectif des programmes d’Histoire et la diabolisation systématique de tout ce qui a trait au sentiment patriotique sont autant de faits démontrant la réalisation, point par point, de l’alpha à l’omega, d’un Plan vieux de 90 ans. Alors avant de crier au racisme comme les Inquisiteurs aimaient en leur temps crier au diable, les technocrates de Bruxelles devraient d’abord relire le Praktisher Idealismus du Père de l’UE.

Un peu de cohérence, voyons !


 

Croyez-vous encore que cet afflux massif de migrants soit le fruit du hasard?




17/04/2015

L’empire invisible : qu’est-ce que le Nouvel Ordre Mondial ?

Tout n'est pas exact mais cela donne une bonne idée quand même !

Jason Bermas, réalisateur du film « L’empire invisible », analyse l’évolution des Etats-Unis, pays qui transite peu à peu d’une démocratie républicaine à un empire autoritaire, voire même totalitaire, sous le contrôle total d’une « oligarchie financière mondialisée ». Le CFR, le Groupe Bilderberg, la Commission Trilatérale, Obama, Bush, JFK, Roosevelt, Gordon Brown, Barroso, Kissinger, Brezinski, Sarkozy et bien plus encore, sont évoqués durant ce documentaire.

Jason Bermas se base sur l’histoire, le discours et les actes de ces hommes affamés de pouvoir qui semblent n’avoir aucun scrupule, ni aucune limite pour forger le monde selon leurs visions et celles des élites. Il est évident qu’aucunes chaînes de télévision telles que TF1, CANAL+, M6, n’aborderont ce point de vue pourtant fondamental pour comprendre le système dans le lequel nous nous noyons.


L’empire invisible démontre sans aucun doute possible, la façon dont les élites ont ouvertement conspiré, pour insidieusement modeler le monde à leur convenance via d’influents groupes tel que le CFR, l’Organisation des Nations Unies, la Commission Trilatérale, et le groupe Bilderberg.


L’empire invisible dévoile plusieurs aberrations et manipulations au niveau étatique dans un but d’asservissement de la population mondiale telles que : la gestion des finances, la drogue, le terrorisme sous fausse bannière, les escroqueries bancaires, les assassinats commandités, l’hostilité totale à la notion de vraie liberté, le mouvement écologiste bidon qui est entraîné par la fraude du réchauffement climatique, les populations micropucées, les réseaux de prostitution dirigés par et pour l’élite, les pratiques occultes, etc.

L’empire invisible est plus qu’un film, il est l’aboutissement de nombreuses années de recherche par Jason Bermas sur le fonctionnement interne de cette mise en place du nouvel ordre mondial à travers de nombreuses déclarations et révélations publiques faites par ses sombres promoteurs. Invisible Empire dévoile l’ordre de ce programme de contrôle du monde.