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16/09/2009

France 24: Le Docteur Marc Girard déclare que le vaccin contre la grippe causera la mort de 60.000 personnes !

Du mercure dans les vaccins !

Ne vous faites pas vacciner !!!!!

France 24: Le Docteur Marc Girard déclare que le vaccin contre la grippe causera la mort de 60.000 personnes !

http://www.youtube.com/watch?v=dXAK_6iZbH0

22/08/2009

Les traités de l'espace et utilisation des armes nucléaires ou chimiques

Traité de l'espace (1)
http://fr.wikisource.org/wiki/Trait%C3%A9_de_l%E2%80%99es...

Traité de l'espace (2)
http://www.mcgill.ca/files/iasl/outerspace.fr.pdf

La série des traités (1)
http://untreaty.un.org/unts/1_60000/18/29/00035436.pdf

La série des traités (2)
http://untreaty.un.org/unts/1_60000/22/3/00042103.pdf

Les armes nucléaires
http://www.unidir.org/pdf/articles/pdf-art2618.pdf

Les armes Chimiques
http://www.unidir.ch/pdf/articles/pdf-art2617.pdf

United Nations treaties and principles on outer space and related General Assembly resolutions
http://www.unoosa.org/pdf/publications/ST_SPACE_11_Rev2_A...

 

 

06/08/2009

Vaccin ou arme de destruction massive ? Communiqué de presse

COMMUNIQUE DE PRESSE DE SOS JUSTICE & DROITS DE L'HOMME
LOGO BLOG DOSSIERS.jpg

COMMUNIQUE DE PRESSE

Grippe A/Virus H1N1
VACCIN OU ARME DE DESTRUCTION MASSIVE ?

OUVERTURE D’UNE ENQUÊTE CRIMINELLE
POUR PREPARATION D’UN CRIME DE GENOCIDE
PARQUET DE NICE DU 31 JUILLET 2009

DEMANDE A LA PRESSE DE S’ABSTENIR DE FAIRE DE LA PUBLICITE
POUR LES VACCINS TUEURS !

CESSATION IMMEDIATE DE TOUTE CAMPAGNE DE VACCINATION !

Mirella CARBONATTO
Présidente
contact@sos-justice.com
http://www.sos-justice.com

Mmes et Mrs les Journalistes
A tous les citoyens français, européens et du Monde

ENVOI DE MAILS EN NOMBRE

Nice, le 5 août 2009

Dossier : Pandémie Grippe A – Virus H1N1
Vaccin ou arme de destruction massive ?
Objet
: Ouverture d’une enquête criminelle au Parquet de Nice
Motif de l’enquête criminelle :
programmation d’un crime de génocide
Nos demandes :
prévention d’une crise sanitaire grave
et campagne de vaccination de masse à faire stopper
immédiatement en France et dans le monde

Mesdames et Messieurs,

Nous tenions par la présente à vous informer que l’Association SOS JUSTICE & DROITS DE L’HOMME a saisi le Parquet de Nice en la personne de son Procureur de la République, Monsieur Eric de Montgolfier, en date du 31 juillet 2009, d’une demande d’ouverture d’enquête criminelle au motif de : Préparation de Génocide.

Cette demande fait suite à une plainte que nous avons découvert, il y a quelques jours sur Internet qui a été déposée en avril 2009 auprès du FBI par Mme Jane Burgermeister, autrichienne, journaliste scientifique d’investigation.

Cette plainte a été déposée au motif de : "Programmation d’un crime de génocide" qui incrimine le vaccin contre la grippe H1N1 fabriqué actuellement dans les laboratoires pharmaceutiques US notamment, pour être une arme de destruction massive et de dépopulation de la planète. Ce plan s'inscrivant selon la plaignante dans les plans de réduction de la population mondiale par les élites : Illuminati qui prévoient de nous instaurer leur Nouvel Ordre Mondial.

Cette plainte est actuellement en cours d'instruction et les personnes mises en cause dans cette plainte sont :

1 - l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), qui dirige les opérations mondiales,  des campagnes de vaccination, et qui nous abreuve de ses déclarations criminelles.
2 - l’ONU,
3 - Barack Obama (Président des Etats-Unis),
4 - David de Rothschild (banquier),
5  - David Rockefeller (banquier),
6 - George Soros (banquier),
7 - Werner Faymann (Chancelier d’Autriche) entre autres, les accusant de vouloir commettre un génocide de masse.

Cette plainte fait suite à une autre procédure judiciaire que la journaliste avait intentée en avril 2009 contre les sociétés pharmaceutiques Baxter et Avir Green Hills Technology, qu’elle juge responsables d’avoir produit un vaccin contre la grippe aviaire, pour délibérément provoquer une pandémie et s’enrichir par la même occasion.

 

Jane Burgermeister présente les preuves d’actes de bioterrorisme dans lesquels ces personnes et organismes précités sont impliqués. Elle les accuse de faire partie d’un syndicat international d’entreprises criminelles qui a mis au point, fabriqué, stocké et utilisé des armes biologiques en vue d'éliminer la population des États-Unis et celle d'autres pays, à des fins de gains politiques et financiers.

 

Utilisant la «grippe porcine» comme prétexte, elle les accuse d’avoir planifié le meurtre de masse de la population américaine par le biais de la vaccination forcée.

 

Elle a les preuves que ces vaccins seront volontairement contaminés pour provoquer à dessein des maladies mortelles. Ces exactions s’inscrivent en violation directe de la Loi antiterroriste concernant l’emploi d’armes biotechnologiques. Elles constituent des actes de terrorisme et de haute trahison.

 

Jane Burgermeister vise notamment dans sa plainte, les promoteurs et instigateurs du Nouvel Ordre Mondial, soit la société secrète Illuminati (l’élite de la Franc-maçonnerie) et leurs organisations mondiales dont l’ONU, l’OMS et les Banques Mondiales.

 

Cette catastrophe sanitaire et ce crime de génocide programmé et de crimes contre l’humanité, s’il devait être exécuté ou s’avérer, serait la résultante d’un plan ourdi et programmé de longue date, par les instigateurs et fervents défenseurs de l’instauration du Nouvel Ordre Mondial.

Compte tenu du contexte criminel de cette affaire, nous vous prions de bien vouloir faire cesser immédiatement toute communication sur la campagne de vaccination, qui pourrait s’avérer relever d’une campagne publicitaire mensongère et criminelle.

Toute campagne de vaccination doit être immédiatement suspendue, jusqu'à ce que nous connaissions l’issue de l’enquête criminelle.

En revanche et selon les textes de Loi, du Code Pénal :

ENTRAVE AUX MESURES D ASSISTANCE OU OMISSION DE PORTER SECOURS

Article 223-1

Le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement est puni d'un an d'emprisonnement et de 100.000 F d'amende.

 

Article 223-3

Le délaissement, en un lieu quelconque, d'une personne qui n'est pas en mesure de se protéger en raison de son âge ou de son état physique ou psychique est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 500.000 F d'amende.

 

Article 223-5

Le fait d'entraver volontairement l'arrivée de secours destinés à faire échapper une personne à un péril imminent ou à combattre un sinistre présentant un danger pour la sécurité des personnes est puni de sept. ans d'emprisonnement et de 700.000 F d'amende.

 

Article 223-6

Quiconque pouvant empêcher par son action immédiate, sans risque pour lui ou pour les tiers, soit un crime, soit un délit contre l'intégrité corporelle de la personne s'abstient volontairement de le faire est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 500.000 F d'amende.

Sera puni des mêmes peines quiconque s'abstient volontairement de porter à une personne en péril l'assistance que, sans risque pour lui ou pour les tiers, il pouvait lui prêter soit par son action personnelle, soit en provoquant un secours.

 

Article 223-7

Quiconque s'abstient volontairement de prendre ou de provoquer les mesures permettant, sans risque pour lui ou pour les tiers, de combattre un sinistre de nature à créer un danger pour la sécurité des personnes est puni de deux ans d'emprisonnement et de 200.000 F d'amende.

Nous vous demandons de prévenir le Peuple Français de s’abstenir de se faire vacciner et de consommer un quelconque antiviral.

 

Vous trouverez en pièces jointes :

1 – la demande d’ouverture de l’enquête criminelle adressée au Parquet de Nice, le 31 juillet 2009, et
2 – la demande complétée adressée au Parquet de Nice, le 4 août 2009.

Le dossier en ligne sur le site de SOS JUSTICE : http://www.sos-justice.com

 

Nous comptons sur votre concours pour rassurer nos concitoyens sur le fait :

 

« QUE PERSONNE, NOUS DISONS BIEN PERSONNE !»,

 

Ne touchera à un cheveu de nos nourrissons, de nos enfants, de nos jeunes, de nos femmes enceintes et de nos personnels de santé, tant que nous ne connaîtrons pas l’issue de cette enquête criminelle.

 

Il arrive en effet un moment ou la dictature Européenne et Mondiale, doivent cesser et où le secret savamment entretenu depuis des siècles autour de la secte secrète Illuminati-Reptiliens et sur ses organisations mondiales dont la FED, les Banques Mondiales, le Bildenberg Group, l’OMS, L’ONU et consorts, qui mènent notre monde à la guerre et à la ruine, doit être levé pour que les Peuples du Monde vivent enfin en Paix !

 

Nous sommes Français et nous n’avons pas à subir la dictature des USA, de l’Europe et ni de quiconque lorsqu’il s’agit de notre santé et de notre intégrité physique et morale.

 

QUE VIVE L’HUMANITE  DANS LA JOIE ET LA PAIX !

 

Nous vous remercions par avance pour votre attention et pour votre soutien.

Bien cordialement

Mirella CARBONATTO

Présidente de l’association SOS JUSTICE & JUSTICE

 

P.J. : Demande d’ouverture d’enquête criminelle adressée au Parquet de Nice le 31 juillet 2009
Demande d’ouverture d’enquête criminelle complétée le 4 août 2009
Communiqué de presse du 4 août 2009
Fichier annexe sur les Illuminati

 

PIED DE PAGE LOGO -SOS JUSTICE.jpg

 

24/01/2009

Gaza et le droit international ?

Qu’est-ce que le droit international ?

Il est bien difficile de répondre à cette question quand on sait que finalement le droit est celui du plus fort. L’ONU est supposé faire appliquer le droit humanitaire dans les règles des conflits armés afin que les droits de l’homme soient appliqués à l’encontre des populations du territoire de Gaza, ainsi que dans tous les conflits armés ou des civils sont massacrés.

Pour légitimer son action militaire à Gaza au regard du droit international, Israël a invoqué son droit à la légitime défense. Ce droit naturel des Etats constitue l'une des deux exceptions à la prohibition du recours à la force conformément à la Charte des Nations Unies. L'autre étant l'utilisation de la force, suite à une autorisation du Conseil de sécurité de l'ONU.

En effet, dans une lettre adressée au président du Conseil de sécurité, l'ambassadeur Croate Neven Jurica, le 27 décembre 2008, la représentante d'Israël auprès de l'ONU, Mme Gabriela Shalev, a explicitement fait référence au droit de son pays à la légitime défense. En plaçant son action dans le cadre de la Charte, donc du droit international, on s'attend donc à ce que ce pays respecte toute la légalité internationale et surtout les règles pertinentes qui organisent et structurent un tel recours à la force. Parmi les principes qui s'appliquent à tout recours à la force en droit international, les deux plus importants dans ce contexte sont celui de la proportionnalité et celui dit de distinction.

C'est ce que la Haut Commissaire aux droits de l'homme, Mme Navi Pillay, a d'ailleurs rappelé à Israël dans une note en date du 28 décembre 2008, dans laquelle elle lui demandait de respecter le principe de proportionnalité, de ne pas se livrer au châtiment collectif et de protéger les civils. Le premier principe fait obligation à Israël de ne pas entreprendre des actions militaires disproportionnées par rapport aux faits invoqués comme constituant l'attaque contre laquelle il se défend légitimement. En substance, ce principe interdit de riposter, sous le couvert de légitime défense, sur une échelle et avec des moyens n'ayant aucune commune mesure avec l'attaque ayant déclenché cette riposte militaire

Le fait que l'action israélienne soit dirigée contre une entité non étatique peut ouvrir la voie à certains débats concernant les critères pour évaluer sa proportionnalité. Il n'en demeure pas moins que celle-ci doit nécessairement se circonscrire, notamment en termes de moyens de guerre utilisés et de durée de l'opération, dans un cadre qui soit raisonnable

Le principe de distinction fait fondamentalement obligation aux responsables militaires de protéger les vies et les biens civils. C'est un principe cardinal du droit international humanitaire qui s'impose à Israël. Tenant compte du constat qu'on peut faire du nombre et du statut des victimes de l'opération Israélienne à Gaza, il semble difficile pour Israël de soutenir de manière convaincante qu'il respecte scrupuleusement ce dernier principe.

Chaque belligérant a ses propres arguments pour justifier telle ou telle action militaire, par exemple pour Israël le droit à se défendre contre toute attaque sur son territoire, mais aussi le droit de tuer, qu’il s’octroie, des civils, enfants, femmes sous le prétexte que, dans un conflit, il est difficile d’éviter des morts civils quand ils sont imbriqués aux combattants dans une ville, mais aussi le droit de tuer cette même population sous le prétexte  qu’ils seraient des boucliers humains sans que de plus, il n’en apporte la preuve puisque la presse internationale indépendante n’avait pas accès.

Seulement, le Hamas, dans la bande de Gaza n’a pas le droit de se défendre à une occupation constante depuis 40 ans par ce qu’il n’est pas reconnu comme une entité Etatique légale puisque qualifié de terroriste par la Communauté internationale et par Israël. Seulement, il gère la bande de Gaza d’une façon démocratique puisqu’il a remporté les élections libres et surveillées et en tant que tel, il représente des vies et des biens quoique que l’on puisse dire.

L’agence Nationale des Nations Unies pour les Réfugiés dénonce de ce fait que Gaza, est le seul conflit au monde ou les personnes n’ont même pas eu le droit de fuir, a déclaré Antonio Guterres haut commissaire dans une déclaration appelant au strict respect des principes humanitaires dans le conflit en cours à Gaza, y compris le respect des droits universels pour ceux qui fuient la guerre et cherchent la sécurité dans d’autres Etats.

Quels points d’histoire,

En 1800, la population de la Palestine était juive à 6% environ. En 1947, en tenant compte de la vague d'émigration juive après la Deuxième Guerre mondiale, les Juifs composaient 33% de la population totale, mais n'étaient propriétaires que d'environ 6% du territoire, en dépit de leurs efforts pour acquérir le plus possible de terres des Palestiniens.

En 1947, des leaders nationalistes juifs (sionistes) réussissent à convaincre les puissances occidentales de créer un État juif au Moyen-Orient et les Nations Unies de séparer la Palestine historique entre les juifs et les non juifs. La Résolution 181, votée le 29 novembre 1949, stipule que l'État juif, qui représente 33% de la population, se verrait attribuer 53% du territoire. Quant à l'État palestinien qui compte 67% de la population, il devrait se contenter de 47% du territoire de la Palestine historique. Les Palestiniens rejettent ce plan si manifestement injuste et, pour une fois, Israël respecte une résolution des Nations Unies.

Ce n'était que le début de ce que le peuple Palestinien appelle «le désastre». L'année suivante, commence, avec l'appui de la Grande-Bretagne et des États-Unis, une série de guerres visant à élargir le territoire d'Israël, laissant les Palestiniens avec 22% du territoire et l'exode d'un nombre croissant de réfugiés. Toutefois, en 1967, après la guerre de 6 jours, le Conseil de sécurité des Nations Unies, conscient de la politique d'expansion d'Israël, condamne l'annexion de Jérusalem ainsi que la colonisation de la Cisjordanie et de la bande de Gaza. Israël, pour sa part, ignore la résolution des Nations Unies dont la mission, faut-il le rappeler, consiste à sauvegarder la paix et à empêcher que des génocides soient commis. En 2008, avec la construction par Israël d'un mur encerclant la Cisjordanie, l'État hébreu réussit à annexer 10% de plus du territoire, ne laissant que 12% au peuple palestinien, le contexte historique.

Mensonges par omission.

Vingt jours après l'invasion de Gaza, le 27 décembre, par l'armée israélienne, les médias et les politiciens continuent à occulter systématiquement le fait que c'est Israël qui a brisé le cessez-le-feu, le 4 novembre, lorsque ses forces armées ont mené plusieurs attaques qui ont causé la mort de six Palestiniens. Le Hamas n'avait pas tiré de roquettes à partir de Gaza depuis le 19 juin (date du cessez-le-feu), et a seulement recommencé ses tirs lors de l'attaque Israélienne. On feint également d'ignorer que la population de Gaza, d'environ 1,5 million de personnes, vit sous un blocus et dépend du bon vouloir d'Israël qui contrôle l'accès à Gaza et son infrastructure ?

«l'eau, la nourriture, les médicaments, les carburants, les fournitures industrielles, l'électricité, la radio et les fréquences de télévision».

En plus, depuis le début de novembre 2008, l'État hébreu censure l'information et empêche les journalistes de se rendre à Gaza. Il se réserve le droit d'intervenir militairement et continue de violer le droit international.

Comment ne pas voir que le but véritable d'Israël n'est manifestement pas d'empêcher les tirs de roquette du Hamas, mais de couper totalement Gaza de la Cisjordanie, afin de rendre à jamais impossible la création d'un État Palestinien indépendant ?

Quel nom donne-t-on à une telle politique ? Nettoyage ethnique ? Génocide ? Guerre d'extermination ?

L'existence du Hamas a, pour un temps, fait l'affaire d'Israël parce qu'il affaiblissait le Fatah d'Arafat et divisait la résistance Palestinienne. Israël n'a jamais reconnu les élections remportées par le Hamas démocratiquement, aux dires même de tous les observateurs étrangers.

Des chiffres truqués, Jérusalem Post le 23/01/09.

Le nombre de Palestiniens tués lors de l’opération Israélienne «Plomb durci» n’a pas excédé cinq ou six cents personnes, selon Lorenzo Cremonesi, correspondant du quotidien italien Corriere della sera. Cremonesi a basé son reportage sur des visites dans les hôpitaux de la bande de Gaza, ainsi que des entretiens avec les familles des victimes.

Il estime également le nombre de blessés à beaucoup moins de 5000 personnes, comme annoncé par le Hamas et répété par les Nations unies et la Croix rouge à Gaza.

«Il suffit de se rendre dans différents hôpitaux de la bande de Gaza pour comprendre que les nombres ne s’additionnent pas».

A l’hôpital européen de Rafah, l’une des installations qui devait être utilisées pour les blessés de la «guerre des tunnels», de nombreux lits étaient vides, selon Cremonesi. Une situation similaire est observée à l’Hôpital Nasser de Khan Younis, et à l’hôpital privé d’Amal où, toujours selon Cremonesi, 5 lits étaient occupés sur 150 disponibles.

Cremonesi a interviewé des Gazaouis faisant écho de l’accent mis par Israël pour expliquer que le Hamas utilisait des civils comme bouclier humain. Un des habitants se souvient avoir vu des civils à Gaza tirant sur des hommes du Hamas et du Djihad islamique en criant,

«partez, dégagez d’ici ! Vous voulez que les Israéliens nous tuent tous ? Vous voulez que nos enfants meurent sous les bombes ? Prenez vos armes et vos missiles avec vous».

«Traitres, collaborateurs, espions du Fatah, vous êtes des lâches! Les soldats de la guerre sainte vous puniront. Et de toute façon, vous mourrez tous, comme nous. Le paradis nous attend si nous nous battons contre les Juifs sionistes. Ne voulez vous vraiment pas mourir avec nous ? »,répondaient les fanatiques du Hamas.

D’autres Palestiniens ont dit à Cremonesi que des activistes du Hamas se déguisaient en infirmiers et conduisaient des ambulances. Une femme, Um Abdullah, 48 ans, a notamment expliqué que le Hamas utilisait des immeubles des Nations unies comme base de lancement de leurs roquettes. Cremonesi a par ailleurs rapporté qu’il avait rencontré des difficultés pour rassembler des preuves, la population locale étant «terrifiée» par le Hamas.

L’Etat hébreu interdit de publier l’identité des officiers de craintes à des poursuites judiciaires, L’Orient-Le-Jour.com du 22/01/09.

Israël interdit la publication de l'identité des chefs d'unité engagés dans l'offensive à Gaza contre le Hamas de crainte qu'ils soient poursuivis pour crimes de guerre, a-t-on appris hier de source militaire. Cette interdiction porte aussi bien sur les noms des officiers que sur leurs photos, selon cette source. Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a réclamé mardi des poursuites contre les responsables des bombardements israéliens « totalement inacceptables » ayant touché des bâtiments onusiens à Gaza. Huit organisations Israéliennes de défense des droits de l'homme ont aussi réclamé mardi au procureur général de l'État l'ouverture d'une enquête sur la conduite de l'armée à Gaza, « au vu de l'ampleur des atteintes portées aux populations civiles ».

La France avance vers un dialogue avec le Hamas, L’Orient-Le-Jour.com du 23/01/09 .

La France a avancé vers un dialogue avec le Hamas, a estimé hier un ancien haut diplomate Français, Yves Aubin de la Messuzière, qui a déjà noué des contacts avec les dirigeants islamistes. « C'est une bonne chose, un bon pas », a-t-il déclaré à l'AFP, en réaction à la déclaration du chef de la diplomatie Française, Bernard Kouchner, qui, pour la première fois, a qualifié le Hamas Palestinien d'« interlocuteur » possible. Pour lui, le sommet de Doha, organisé la semaine dernière en présence du Hamas et de l'Iran, par le Qatar contre les modérés du camp arabe, Égypte et Arabie saoudite en tête, « montre que le Hamas n'est pas isolé ».

On se trouve devant un problème d’abus de pouvoir par la force militaire d’Israël avec l’appui des Occidentaux, qui sous le prétexte que le Hamas ne représente pas un Etat souverain, se permet d’écraser par des bombardements de toutes sortes des populations civiles et de détruire les structures de Gaza tout en contrôlant l’ensemble des moyens d’existence de cette population. Quelle que soit l’affection que l’on peut porter à Israël, l’histoire de ce conflit montre bien que c’est Israël par son hégémonie qui est l’agresseur et le terroriste sur cette Palestine dont il occupe maintenant la plus grande part de territoire.

L’ONU, n’a pas cessé de rappeler à Israël cette hégémonie, mais Israël n’en a jamais tenu compte, l’ONU n’ayant pas le pouvoir de la force militaire ne peut faire respecter le droit international. Israël peut donc se permettre tout ce qu’il veut avec la bénédiction hypocrite des occidentaux qui connaissent parfaitement les provocations d’Israël, mais ferment les yeux.

Il n’y a aucun esprit partisan ni aucun intérêt dans ce conflit, seul le droit compte que ce soit dans le cadre d’un Etat ou celui d’une population à qui on refuse depuis plus de 40 ans de constituer un Etat, c’est ce que j’ai essayé de monter.  

Lire la suite : http://anidom.blog.lemonde.fr/2009/01/23/29-gaza-et-le-droit-international/.

27/09/2008

Nucléaire iranien : discussions à l'ONU mais pas de nouvelles sanctions

NEW YORK (Nations unies) (AFP) — Le Conseil de sécurité de l'ONU, réuni samedi matin sur le dossier nucléaire iranien, est parvenu à un accord sur un projet de résolution rappelant la validité des sanctions en vigueur à l'encontre de Téhéran, mais n'en ajoutant pas de nouvelles.

Le Conseil devait se réunir de nouveau à 16H00 (20H00 GMT) pour adopter ce projet, ont indiqué plusieurs diplomates.

Ce texte, très court, se contente de rappeler les précédentes résolutions du Conseil et de réitérer l'exigence que l'Iran remplisse "pleinement et sans retard" les obligations qui en découlent.

A la suite de demandes d'amendement, émanant notamment de l'Indonésie, deux paragraphes ont été ajoutés. Le premier rappelle l'engagement pris en mars par les "Six" de poursuivre une "double stratégie" (sanctions et mesures incitatives) face au problème nucléaire iranien. Le second "réaffirme l'attachement du Conseil à une prompte résolution négociée du problème dans ce contexte et salue la poursuite des efforts à cet égard".

Le projet initial avait été déposé conjointement par les six grandes puissances qui se sont chargées du dossier --les cinq membres permanents du Conseil (Chine, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie) et l'Allemagne.

Le Conseil de sécurité a déjà adopté quatre résolutions, dont trois assorties de sanctions, exigeant de l'Iran qu'il suspende son programme d'enrichissement d'uranium. Les Occidentaux soupçonnent ce programme d'être destiné à produire la bombe atomique, ce que Téhéran dément.

La dernière résolution, adoptée en mars, donnait 60 jours à l'Iran pour se plier aux injonctions de l'ONU.

Or dans un nouveau rapport publié la semaine dernière, l'Agence Internationale de l'Energie Atomique (AIEA) a dénoncé son refus de cesser ses activités d'enrichissement d'uranium et l'absence de progrès dans les discussions avec Téhéran sur la véritable nature de son programme nucléaire.

Les "Six" s'étaient efforcées vendredi à New York d'afficher leur unité face à l'Iran, en proposant, à l'issue de consultations, ce projet de résolution commun qui ne prévoit pas de nouvelles sanctions à l'encontre de Téhéran.

Après la réunion, l'ambassadeur de Russie Vitaly Tchourkine avait réitéré la position de Moscou contre l'adoption de nouvelles sanctions contre Téhéran.

"Nous estimons que ce n'est pas le moment, que davantage de discussions sont nécessaires avec les Iraniens, qu'il y a encore de la place pour la diplomatie", avait-il dit à la presse.

Le projet est le fruit d'une réunion surprise vendredi des ministres des Affaires étrangères des "Six" qui entendaient rassurer le reste du monde sur la poursuite de l'option diplomatique, et non militaire, face à l'Iran, après l'annulation, à la demande de Moscou, d'une réunion similaire prévue jeudi.

Les ministres devaient, selon Washington, "explorer" de nouvelles sanctions contre Téhéran qui refuse de suspendre son programme nucléaire, mais la Russie, montrée du doigt par les Occidentaux sur la Géorgie, avait refusé d'y participer.

Des diplomates européens s'étaient aussitôt inquiétés du risque qu'un blocage des négociations jusqu'à la fin du mandat du président américain George W. Bush fin janvier n'incite Israël à intervenir militairement en Iran.

Le chef de la diplomatie britannique David Milliband, s'exprimant à l'issue d'une réunion ministérielle sur la Birmanie, a déclaré que la résolution sera le signe clair que la détermination des Six "n'a pas faibli".

L'Iran a d'ores et déjà rejeté le nouveau projet de résolution, le qualifiant de "non constructif" et assurant qu'il ne résoudrait "aucun des problèmes" concernant le programme nucléaire de Téhéran.