Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

19/11/2009

Réseaux pharmaceutiques criminels (11)

Voilà comment on créé de toutes pièces le génocide financier de la France et de l'Europe !
Tous les présidents de la République qui sont passés au pouvoir, ont tout fait pour nous mettre entre les mains de leurs amis banquiers internationaux : Les Illuminati-reptiliens !
Ils auront travaillé ainsi durant des décennies pour les Illuminati-Reptiliens et leur Nouvel Ordre Mondial au lieu dr travailler pour les peuples sur le dos desquels ils se sont enrichis !


Les liens entre Sarkozy et les Rothschild

L'irresistible ascension du «Roi David»

Le Rothschild de Sarkozy


Il dirige l'un des fleurons de la finance française. Mais dans les milieux bancaires secoués par la crise, on crie au favoritisme : David de Rothschild, ami du président, se taille la part du lion. Odile Benyahia-Kouider raconte comment cet homme bien né a reconstruit sa fortune, tissé ses réseaux d'influence et pris la tête d'une dynastie légendaire mais ô combien compliquée


Edouard de Rothschild

Edouard de Rothschild, 51 ans, le demi-frère. Après avoir travaillé durant dix ans avec David comme associé-gérant de Rothschild & Cie, il poursuit la vocation hippique de son père Guy. En 2004, il succède à Jean-Luc Lagardère à la tête du PMU.

Alexandre de Rothschild

Le fils, Alexandre de Rothschild, 28 ans, vient d'entrer à la banque à Londres, dans le secteur du private equity (investissement dans les sociétés), après avoir travaillé cinq ans dans deux banques américaines.

Eric de Rothschild

Le cousin français.Eric de Rothschild, 67 ans, est l'homme de l'ombre sans lequel le groupe bancaire n'aurait jamais pu grandir. Artisan du rapprochement des branches française et anglaise, il est aujourd'hui le président de Paris- Orléans, la holding familiale qui contrôle toutes les affaires du groupe. Il a aussi développé le vignoble familial Château- Lafite.

Sir Evelyn de Rothschild

Le cousin anglais.Sir Evelyn de Rothschild, 77 ans, ex-président de NM Rothschild & Sons, homme au caractère très difficile, plus passionné par l'Inde que par le métier de banquier. Il a épousé en troisièmes noces une jeune femme d'affaires américaine un brin dépensière, Lynn Forester, 54 ans.

Nathaniel Rothschild

Le petit-cousin anglais. Nathaniel Rothschild, 37 ans, fils unique de lord Jacob Rothschild, appartient à la catégorie des Rothschild bavards. En octobre, il a provoqué un scandale en racontant comment le numéro deux des tories était allé quémander de l'argent pour son

parti auprès de l'oligarque russe Oleg Deripaska.

De notre envoyée spéciale à Londres


David de Rothschild se demande comment il doit prendre la phrase de bienvenue dont l'a gratifié le président de la République. «Ah ! Voilà le Rothschild que j'aime», vient de lui lancer Nicolas Sarkozy qui l'accueille à l'Elysée ce 5 mai 2008. Est- ce un compliment ou la marque d'un léger agacement ? Ce jour de printemps, le grand banquier assiste à l'une des cérémonies les plus sélectes de l'année : le président de la République remet la cravate de commandeur de la Légion d'honneur à son conseiller et ami Alain Mnc. Les invités ont été triés sur le volet. Seuls sept happy few ont été conviés, parmi lesquels le président de la banque franco-britannique Rothschild & Cie. «Le Rothschild» que Nicolas Sarkozy «aime» et à qui il vient de manifester publiquement son affection. Car pour le président de la République il y a le «bon» et le «mauvais» Rothschild. Le premier, David, 65 ans, fait tranquillement son business à l'abri des regards. Le second, Edouard, demi-frère du précédent et propriétaire insolent de «Libération», éprouve le besoin de se rebeller bruyamment.


David est parfaitement conforme à l'image que l'on se fait d'un «bon» Rothschild, bien né et bien élevé. Costumes taillés sur mesure chez Feruch, chemises bleues à col blanc très vieille France, petit sourire british, et regard bleu translucide à la Brett Sinclair... Ses concurrents le surnomment «le roi David». Un monarque très secret, qui a fait de la discrétion une règle absolue. Ses conseils, toujours très recherchés, il ne les dispense qu'en tête à tête. Rien ou presque ne filtre jamais de ses conversations. Une «vraie tombe», semble regretter l'un de ses associés. Depuis la chute des grandes banques d'affaires américaines, sa réussite apparaît encore plus éclatante. En 1982, la banque familiale avait en effet été nationalisée. Le père de David, Guy de Rothschild, s'exclamait alors à la une du «Monde» : «Juif sous Pétain, paria sous Mitterrand.» Reparti de zéro avec une toute petite boutique de trois personnes, son fils se retrouve vingt- cinq ans plus tard à la tête de la puissante banque d'affaires Rothschild & Cie, spécialisée dans le conseil (fusions-acquisitions, gestion de fortune, restructuration de dette). Et il est désormais le chef de la légendaire dynastie.


«Monsieur David» (c'est ainsi qu'on l'appelle dans le groupe pour le différencier des autres Rothschild) est devenu totalement incontournable. Il passe la moitié de la semaine à Londres depuis qu'il a réussi, en 2003, à mettre la main sur la NM Rothschild & Sons, la branche britannique jusqu'alors totalement autonome. A Paris, il est le banquier «qui compte». Il a ses entrées auprès de tous les grands patrons et surtout à l'Elysée. Non seulement il connaît intimement Nicolas Sarkozy, qu'il tutoie, mais en plus c'est une des anciennes têtes d'affiche de sa banque, François Pérol, qui occupe un poste clé auprès du président de la République et qui règne sur les principaux dossiers économiques et financiers. Pérol avait été «embauché» par Rothschild en 2005 à la demande de Nicolas Sarkozy lui-même. En 2005, en effet, quand ce ? dernier quitte le ministère de l'Economie, il demande à son ami David de prendre son ex-directeur adjoint de cabinet à Bercy. Puis une fois élu en 2007, il appelle à nouveau auprès de lui son ancien collaborateur et le nomme secrétaire général adjoint de l'Elysée. «On l'a prêté au président, dit-on chez Rothschild. Et on espère bien le récupérer plus tard.»


Aujourd'hui, en témoignage de sa gratitude envers le banquier si accueillant, François Pérol conserve sur une étagère de son bureau une photo de «Monsieur David» entouré des personnels du prestigieux établissement.
«Connivence», «opportunisme politique», accusent les concurrents. Ces derniers mois, ils osent même lâcher le grand mot : «favoritisme». Ils affirment que «les associés de David sont tout le temps fourrés chez Pérol». De fait, depuis que ce dernier est devenu l'un des conseillers les plus influents de Sarkozy, la maison Rothschild se taille la part belle dans tous les nouveaux deals qui impliquent l'Etat : la privatisation de La Poste, l'ouverture de capital de la

Française des Jeux, la quasi-nationalisation de Dexia, la cession du pôle assurance de Natixis, l'entrée de la Caisse des Dépôts dans Eiffage... «Je n'y peux rien si cette banque est une bonne banque !», ré pond simplement François Pérol. Toujours d'une exquise courtoisie, et sans se départir d'un sourire aussi angélique qu'énigmatique, David de Rothschild laisse dire. Tout cela est «tellement exagéré». Tout cela ne mérite pas qu'on s'y attarde. Un «bon» Rothschild sait préserver ses relations avec l'Etat sans jamais s'en vanter et sans coup d'éclat intempestif.


Edouard, le turbulent demi- frère, n'a pas ce talent. Il est le «mauvais» Rothschild, que Nicolas Sarkozy n'aime pas, ou plutôt n'aime plus. Fils, comme David, du baron Guy de Rothschild et de sa seconde épouse, Marie-Hélène van Zuylen, il a travaillé pendant dix ans à reconstruire la banque. Aujourd'hui, beaucoup d'associés reconnaissent que cet homme au caractère aussi difficile que peu conventionnel a été l'un des artisans de la réussite du groupe. Mais Edouard est aussi impétueux que David est patient. En 2003, lassé d'attendre que son demi- frère veuille bien lui céder plus de responsabilités au sein de la banque, il a brusquement décidé de tout quitter pour se consacrer aux courses hippiques et au rachat d'un quotidien de gauche, «Libération» !


Ce 21 novembre, alors qu'il vient d'enchaîner, comme tous les matins, ses quatre heures d'entraînement à cheval, il a donné rendez-vous... au restaurant-buffet de l'hôtel Disneyland à Marne-la-Vallée. «Parce que c'est accessible en RER et proche de mon haras». Là, en tenue de cavalier, il raconte, avec cette inimitable diction à la Valéry Giscard d'Estaing, les raisons de sa disgrâce auprès du président de la République. Le 1er mars 2007, la France est en pleine campagne électorale, et «Libération» fait une manchette, intitulée «Le soupçon», sur la déclaration ISF
(impôt sur la fortune) de Nicolas Sarkozy. Celui-ci manque de s'étrangler de rage. «Ce jour-là, à midi, je venais de terminer mes entraînements, et je reçois un appel de Nicolas sur mon portable, qui me dit que ce n'est pas du combat politique, que l'actionnaire est responsable», raconte Edouard de Rothschild. «Tu aurais mieux fait de donner de l'argent à Ségolène Royal», s'énerve le candidat UMP «En m'appelant, il a commis une erreur, et depuis il m'en veut», tranche l'actionnaire majoritaire de «Libération».

Les deux hommes étaient pourtant si proches. Ils sont même partis en vacances ensemble, du temps où Nicolas était encore avec Cécilia. Ils se sont connus à l'époque où la banque Rothschild servait de refuge aux balladuriens, après la débâcle de la présidentielle de 1995. Comme en 2005 quand il s'est agi de trouver un point de chute à Pérol, c'est encore David qui a été sollicité. Par Balladur cette fois, qui laisse son fauteuil de Premier ministre et qui cherche à caser son ministre du Budget. Un dénommé Nicolas Sarkozy ! La banque accueillera dans la foulée le directeur de cabinet de Balladur, Nicolas Bazire, qui deviendra associé-gérant de la banque jusqu'en 1999. Nicolas Sarkozy, lui, après avoir songé à devenir banquier d'affaires, choisit finalement de reprendre ses activités d'avocat. Mais après tant d'années d'absence, il a besoin d'un sérieux coup de pouce. «Monsieur David» est là. Il délègue à son petit frère le soin de lui trouver des mandats. «Nous lui avons proposé de nous aider quand Jean-Claude Darmon a vendu son affaire à Canal+, se souvient Edouard de Rothschild. Et il nous a rendu la pareille sur plusieurs affaires avec Martin Bouygues.» Somme toute, David de Rothschild ne fait qu'entretenir une vieille tradition familiale. Ainsi, avant de devenir président de la République, Georges Pompidou a été directeur général de la banque Rothschild à deux reprises entre 1954 et 1962. Il a passé de nombreux week-ends avec Guy (le père de David et d'Edouard) au château de Ferrières et a présenté à la famille son brillant secrétaire général adjoint, Edouard Balladur. Pompidou-Balladur-Sarkozy-Pérol... Il y a une certaine logique dans ces recyclages très politiques. «A l'époque, David avait été très courageux. Ils n'étaient pas nombreux ceux qui nous ont tendu la main en plein triomphalisme chiraquien !», s'écrie Nicolas Bazire. Qui ajoute aussitôt : «Pendant la campagne, il a soutenu Edouard Balladur, mais a su rester en bons termes avec Jacques Chirac.» Un exploit ? «David de Rothschild ne se fâche jamais avec personne !», souligne l'un de ses proches. C'est ce que ses associés appellent la «David's touch».


Il faut les entendre parler de leur grand homme. Tous veulent y aller de leur compliment. Tous défilent pour louer son «aura», son «charisme», son «autorité naturelle», son «charme», son «intelligence», sa «vista». Et bien sûr sa «capacité à s'entourer de ?
talents» ! Tels les chevaliers de la Table ronde dévoués corps et âme à leur roi, ils sont tous égaux et solidaires dans la quête d'un Graal qui n'a rien de symbolique :
c'est David de Rothschild qui répartit en fin d'année les fameux fees (commissions). C'est lui aussi qui est appelé à trancher les conflits entre associés quand d'aventure il faut choisir entre deux clients. Ses décisions ne sont jamais remises en question. Dans la banque, David est considéré «comme un demi-dieu», assure un associé. Une figure mythique, toujours auréolée de son glorieux passé : «Gentleman en chapeau haut-de-forme aux champs de courses à Chantilly. Ou play-boy pendu au bras de l'actrice Marisa Berenson», extraordinaire épouse de Barry Lyndon dans le film de Stanley Kubrick. On se souvient encore avec admiration de son mariage, en 1974, avec la belle princesse italienne Olimpia Aldobrandini de treize ans sa cadette, avec qui il a eu quatre enfants (trois filles qui ont choisi la religion catholique comme leur mère et un fils qui a choisi la religion juive de son père). Mais derrière le cliché people, il y a un financier sans états d'âme à qui personne ne résiste : «Il a un côté statue du Commandeur, souligne un concurrent. Il suffit qu'il participe à un déjeuner arrosé d'un château-Lafite do maine Rothschild : les clients, arabes, russes ou français, sont tellement impressionnés que le deal est dans la poche.»


David de Rothschild n'a pourtant rien d'un mondain. Il préfère de loin passer ses soirées devant «le Commissaire Moulin» ou «Julie Lescaut» que dans les pince-fesses. Mais il est aussi un homme de devoir. De la même façon qu'il est prêt à aider ses associés à «remporter» un deal, il vous convie en toute simplicité à dîner à Londres, chez Wiltons, un établissement de 1742 tenu par une famille de banquiers. Corseté dans son armure Rothschild, «Baron David» (prononcez à l'anglaise) sait tourner les compliments comme personne. Et même faire dans l'autocritique. «C'est vrai, j'ai horreur des conflits, confesse-t-il. Je recherche en permanence le consensus. C'est sans doute une façon de vouloir se faire aimer de tous.» On pourrait aussi appeler cela un solide sens des affaires. Car si une question lui déplaît, il sait très bien vous transpercer d'un regard glacial.


«Il faut être indulgent, il a traversé beaucoup d'épreuves», souligne l'un de ses amis. La naissance de sa première fille, handicapée - qui vit dans la demeure familiale de Reux, en Normandie -, survenue quasiment en même temps que la nationalisation de la banque, a été un choc terrible. David de Rothschild ne le cache pas - il a participé à la fondation de l'Institut du Cerveau et de la Moelle épinière - mais en parle peu. Par pudeur. Parce qu'il ne veut pas qu'on s'imagine qu'il utilise sa fille pour se faire plaindre. Le chef de la dynastie Rothschild a également fort à faire avec les complexités de la généalogie familiale. A la fin de sa vie, son père, Guy, décédé en 2007, a souhaité remettre un peu d'ordre dans sa descendance : Philippe de Nicolay, le fils de sa seconde épouse, Marie-Hélène van Zuylen, devait désormais avoir une vraie place dans le «clan». Une fois de plus, c'est David, le diplomate, qui a dû gérer la chose et faire accepter au reste de la famille que Philippe de Nicolay - qui dirige l'activité gestion de fortune chez Rothschild - installe son bureau dans le saint des saints au septième étage du siège de la banque, réservé aux «vrais» Rothschild.


Il n'est jamais de tout repos d'être roi. Un autre sujet d'inquiétude mine en permanence le superbanquier : que son autre demi-frère, celui de «Libération», parle trop et nuise à l'image d'une famille unie. Alors, sans qu'on demande rien, le «patriarche» revient sans cesse sur ses relations avec Edouard, sur le départ d'Edouard, sur l'éventuel retour d'Edouard... qui
ne serait possible que si les associés l'acceptaient. «Dans la prochaine génération, il se peut très bien que les Rothschild soient actionnaires et managers ou actionnaires sans être managers, explique-t-il. Peut-être que la famille décidera qu'il faut fusionner avec un autre établissement. Ou bien qu'il vaut mieux qu'un professionnel de la maison devienne président de transition.» En filigrane, on sent bien qu'il rêve de voir son fils Alexandre prendre sa succession. Les Rothschild, comme les familles royales, ont vécu sous le régime de la loi salique : «Ce n'était pas parce que nos aînés pensaient que les filles de la famille étaient moins intelligentes, précise David de Rothschild. Mais par méfiance des gendres. Ce n'est naturellement plus vrai aujourd'hui !»


Finalement, seules ses relations avec son cousin Eric, un autre «bon» Rothschild, lui auront apporté quelques joies durant toutes ces années. Peu connu du grand public, il est pourtant l'une des têtes pensantes du groupe et travaille en duo avec David. Dans sa folle jeunesse pourtant, Eric préférait fréquenter les peintres - Francis Bacon, Lucian Freud ou Andy Warhol. Mais quand son cousin lui a proposé de réinvestir dans une nouvelle banque une partie des indemnités offertes aux Rothschild après la nationalisation, il n'a pas hésité. Depuis, ils ne se sont jamais quittés. Eric a épousé lui aussi une princesse italienne, Maria Beatrice Caracciolo di Foniro, cousine... de l'épouse de David. Les deux cousins, amis dans la vie et frères en affaires, ont fait les quatre cents coups ensemble. Le plus spectaculaire remonte à cinq ans : David et Eric ont «pris» la banque NM Rothschild & Sons, présidée par un autre cousin, anglais celui-là, et qui répond au doux prénom d'Evelyn. Un homme au tempérament pourtant bien trempé, qui a longtemps regardé David le «petit frenchy» avec condescendance. Jusqu'au jour où il a essuyé de grosses pertes avec son fonds d'investissement personnel. Encore un de ces «mauvais» Rothschild qui ne sait pas se tenir... Heureusement «Monsieur David» était là.

Guy de Rothschild

Le père, Guy de Rothschild - décédé en 2007 -, et ses frères Alain et Elie dans l'ancienne salle du conseil de la banque, rue Laffitte. Avant la nationalisation, c'est une banque de dépôt peu florissante. David en fera une grande banque d'affaires, concurrente de Lazard.

Odile Benyahia-Kouider
Le Nouvel Observateur

http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p2302/articles/...


Les Rothschild, une brillante énigme

Par scolapalatina

le 18/02/2009 à 23:22, vu 4629 fois,


L'histoire des Rothschild http://fr.wikipedia.org/wiki/Famille_Rothschild se confond avec leur


exceptionnel essor bancaire. Outre d'innombrables activités financières, ils ont été à l'origine ou à la tête de plusieurs banques nationales européennes et leurs multiples tentatives aux USA avaient finalement abouti en 1913 avec la création de la Federal Reserve.

Certaines de leurs activités avaient été totalement pillées et spoliées par les nazis (Allemagne, Autriche, France de Vichy), alors qu'ailleurs, elles avaient pu continuer à se développer, comme en Angleterre aux USA ou en Suisse. La branche française avait connu de nouveaux déboires en 1981 avec la nationalisation par Mitterrand. Contrairement à son père, David de Rothschild ne s'était pas laissé abattre. Il avait réussi en peu d'années, à partir de trois employés et un capital de seulement un million, à brillamment recréer une des premières banques de France et d'Europe. David de Rothschild a été décoré de la légion d'honneur par le président Sarkozy le 1er janvier 2009.

Il y a des liens entre Sarkozy et les Rothschild. Edouard de Rothschild, le demi-frère de David est un ami de Sarkozy, selon le média LePoint. Il est le principal actionnaire du média de gauche français « Libération » qui avait failli à sa vocation de gauche en œuvrant très souvent contre Ségolène Royal et encore récemment pour le congrès de Reims où Libération avait poussé Delanoë contre Royal. D'autres liens se retrouvent par Nicolas Bazire, le PDG du groupe LVMH et témoin du récent mariage de Sarkozy, http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Bazire#column-one c'est un ancien administrateur de la banque Rothschild. De même le fils de l'actionnaire-propriétaire du Figaro, Laurent Dassault, administrateur du groupe, est aussi administrateur d'une banque Rothschild http://www.lcf-rothschild.lu/fr/luxembourg/overview/keyfi...


« The City of London is not that ancient city on the Thames River.
La City de Londres n'est pas seulement une ancienne ville sur la rivière Thames. It is not only separate, it once controlled the whole British Empire. Elle est non seulement distincte, mais elle avait jadis contrôlé l'ensemble de l'Empire britannique. It is generally considered to be a Rothschild entity. Elle est généralement considérée comme une entité Rothschild »

Voir : http://www.americanfreepress.net/html/london_banking_cent...


La banque centrale  des USA, la Federal Reserve, est en fait une association de banquiers privés qui contrôle l'ensemble du système monétaire US. Les Rothschild, très discrets, avaient été la pièce maîtresse de sa création, en coopération avec John D. Rockefeller et J.P. Morgan, les plus puissants capitalistes américains de 1913. Ils avaient réussi à rendre la création de la monnaie américaine indépendante de l'étalon-or et largement libre de toute autre régulation que leur volonté. En un siècle, il est devenu très difficile de voir clair dans l'extraordinaire complexité de sociétés dont les actionnaires se cachent dans l'anonymat, mais des tentatives de ces dernières décennies avaient conclu que les dynasties Rothschild et Rockefeller y sont toujours leaders, même à la fin du 20e siècle, soit très longtemps après la création de la Federal Reserve :

http://www.save-a-patriot.org/files/view/whofed.html

http://www.acsa2000.net/interlocks.htm

Si la fortune des établissements financiers qui portent le nom de Rothschild ne font « guère » apparaître que 45 milliards d'avoirs, certains pensent que les avoirs investis dans l'extraordinaire complexité de sociétés apparentées se situe dans une fourchette entre 100 et 300 billions de dollars (cent mille à 300 mille milliards de dollars) A titre de comparaison, la dette abyssale de l'état américain se situe aux environ de 11 mille milliards de dollars, soit aussi le montant estimé de l'ensemble des avoirs des Rockefeller en 1999... Ils seraient donc, et de loin, les plus riches de toute la Terre. Voir : http://www.prlog.org/10058722-morgan-chase-buyout-of-bear...

Cela ouvre la porte à tous les appétits et toutes les imaginations pour une prétendue volonté de prendre le contrôle de l'ensemble de la finance mondiale. A ce point de vue, on cite souvent la phrase du fondateur de la dynastie bancaire, Amschel Rothschild, au 18e : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d'une nation et je ne me soucie pas de qui  fait les lois » Troublante, est aussi le sigle d'une mystérieuse association, les Illuminati, http://www.syti.net/Organisations.html#cfr qui œuvrent pour un nouvel ordre mondial et que l'on a toujours actuellement sur les billets de 1 dollar émis par la Federal Reserve US (symbole de la pyramide, avec un œil en guise de sommet)

Symbole des Illuminati

 

Logo des Illimunati.jpg


Billet de 1$ émis par la Federal Reserve US :

 

Dollar.jpg

 



Dans ce contexte, la phrase de Sarkozy prononcée à mi-janvier « ensemble nous irons vers un nouvel ordre mondial et personne, je dis bien personne, ne pourra s'y opposer » alimente des spéculations de cet ordre.


Quoiqu'il en soit, on peut considérer les Rothschild comme des banquiers d'exception qui ne semblent guère avoir été touchés par la crise actuelle, continuant à participer à de belles fusions : http://www.prlog.org/10058722-morgan-chase-buyout-of-bear... qui consacre par la fondation en 2008 d'une des plus puissantes

banques de la planète, la JP Morgan Chase, l'ancienne alliance fondatrice de la FED, avec les Rockefeller et Morgan. De même, au cœur de la crise du siècle, la banque Edmond de Rothschild repart déjà de l'avant en rachetant des parts de Microsoft et de BMW (!) Voir : http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=20601100&sid=a...

Crédits image : Sity.net


Edouard de Rothschild, l'apolitique

 

Edouard de Rothschild. Photo © France Galop / Thierry Orban

Edouard de Rothschild est ami avec Nicolas Sarkozy et son épouse Cécilia "depuis longtemps". Il est même arrivé au président de France Galop, où il a succédé à Jean-Luc Lagardère, de passer ses vacances avec le couple à La Baule. Le descendant des célèbres banquiers rappelle quoi qu'il en soit au journal Le Monde qu'il "ne fait pas de politique" et qu'il a autant d'amis à gauche qu'à droite. Son entrée au capital de Libération à l'automne 2004 l'y a peut-être aidé.


Président de France Galop, associé-gérant de Rothschild & Cie Banque, administrateur de Libération et de Global Asset Management

http://www.journaldunet.com/economie/dirigeants/patrons-s...

 

 

 

 

 

13/11/2009

GrippeA/H1N1 : Marc Girard, les mensonges de Bachelot !

Ecoutez bien les mensonges de Bachelot !

Démission !

 

 

Grippe A : Les vaccinés pourraient devenir vecteurs de la mutation du virus

« L’histoire du virus H1N1 lié à la pandémie 2009 continue et c’est un descendant de quatrième génération du virus 1918 ». La généalogie du virus porcin n’a jamais été rompue depuis la pandémie de 1918 : c’est ce qui ressort d’une étude du « New England Journal of Medecine », étude pour laquelle la pandémie actuelle est issue de la combinaison de deux virus dont l’un (Source : Science Mai 2009) est un descendant de la souche H1N1 de 1918, tristement célèbre pour avoir fait plus de mort que la première guerre mondiale.

 
Cette étude dit la chose suivante : « Une fois que les nouveaux virus de grippe humains apparaissent et causent des pandémies, l’immunité des populations contre leurs protéines d’ha et de Na augmente rapidement. La contre performance offensive de l’immunité des populations est contrée par la capacité remarquable du virus de grippe, d’évoluer au moyen de mutation ou par l’acquisition de réassortiment de différents sous-types […] Ce processus dirigent des descendants “causé par le virus de 1918 […] ils ont également causé “la pandémie-comme l’events”, lié au réassortiment intra subtypiques en 1947 (H1N1), 1951 (H1N1) … ».
 
 
Or que s’est-il passé en 1947 ? Une pandémie H1N1 : « D’abord détectée dans les bases militaires américaines (ndlr : tiens donc !?) au Japon en 1946, elle s’est rapidement propagée dans le monde entier [….] Alors qu’il s’agissait encore du H1N1, il y a eu un changement antigénique soudain et significatif, créant un échec complet du vaccin cette année-là ».
 
Que s’est-il donc passé ? Une mutation du virus H1N1 est apparue après une campagne de vaccination.
 
 
En 1951, une autre pandémie, plus virulente encore, s’étend de l’Angleterre au Canada, puis aux Etats-Unis, pour laquelle on constate que le « taux de mortalité hebdomadaire a même surpassé celui de la pandémie de grippe de 1918 ». Le vaccin est-il là-aussi en cause ? Selon une étude, ces deux proches parents H1N1, celui de 1947 et celui de 1951, auraient pu procéder à un échange de matériel génétique.
 
L’auteur de l’étude pointe du doigt les vaccins en insistant sur la vigilance à apporter aux observations pour prévenir toute mutation : « Si nous voulons vacciner tous les ans, notre surveillance ne doit pas seulement se focaliser sur l’évolution d’une seule lignée de virus […] Il y a de multiples chaînes co-circulant et échangeant du matériel génétique. Par exemple les chaînes H1N1 et H3N2 génèrent occasionnellement des hybrides H1N2 ».
 
Les vaccins interfèrent-ils dans la possible mutation d’un virus, voire même la favorisent-ils ? C’est ce qu’il ressort d’une étude de l’université japonaise de Shizuoka : « Bien que la vaccination puisse être un outil utile pour le contrôle des épidémies de grippe aviaire, cela peut entraîner l’émergence d’une chaîne résistante au vaccin. Des études expérimentales et de terrain démontrent que des chaînes de grippes aviaires acquièrent une capacité de résistance contre la vaccination ».
 
Les auteurs poursuivent : « Le vaccin peut faciliter le fait que la maladie se répande : Une diffusion considérable de la résistance de la chaîne peut partiellement compromettre les bénéfices du programme de vaccination. Par exemple, même si on exécute complètement le programme de vaccination, la taille finale de la pandémie peut devenir plus importante qu’avant la pandémie. Cela implique que la vaccination, au lieu d’enrayer la diffusion de la pandémie, aide à sa propagation ».
 
Les auteurs insistent sur le fait que la vaccination ne doit pas être le seul facteur de soin, mais être cumulé à d’autres mesures, comme la quarantaine et une « biosécurité » accrue. Selon leurs conclusions, la course à la résistance doit se suivre sur une période de 500 jours, l’apparition de la résistance pouvant commencer à apparaître entre 250 et 300 jours après vaccination, pour culminer et rester stable à partir de 400 jours.
 
Malheureusement, peu d’études scientifiques ont été entreprises sur le sujet, et on peut s’étonner du peu de voix, issues du « milieu médical autorisé », qui évoquent l’éventualité qu’un vaccin pouvant favoriser les mutations. Mais dans la dictature médicale qui est la nôtre, on sait qu’il ne faut rien attendre des laboratoires, rien des gouvernements qui sont leurs suppôts, rien des médecins libéraux qui sont leurs pions, médecins avec, au-dessus de leurs têtes, l’épée de Damoclès de l’ordre qui a droit de vie et de mort sur leur cabinet s’il advenait que l’un d’eux dévie sa trajectoire d’un seul degré par rapport aux attendus conventionnels.
 
Et Dieu sait si la vaccination est une source de jouvence financière, aussi bien pour l’industrie pharmaceutique que pour les médecins eux-mêmes. Ceux-ci, mêmes réquisitionnés, toucheront quand-même 66€ de l’heure et n’hésiteront pas injecter un vaccin très suspect, qu’eux-mêmes, en majorité, n’ont pas pris. L’obéissance et la servitude avant l’éthique et la recherche objective, comment attendre de qui que ce soit du milieu médical qu’il mette en doute la mécanique de la poule aux œufs d’or ?
 
La séquence vaccination-mutation est une chaîne sans fin que l’on constate dans la grippe saisonnière depuis l’invention du vaccin correspondant en 1944 suite au financement de l’armée américaine (encore elle). La grippe saisonnière n’a jamais été guérie par la vaccination, au contraire elle s’est adaptée par mutations successives depuis 60 ans : « Pour tenir compte des glissements antigéniques, les vaccins grippaux sont donc préparés chaque année à partir des souches virales ayant circulé l’année précédente. En février de chaque nouvelle année, l’Organisation mondiale de la santé fixe les souches virales qui composeront le vaccin antigrippal de l’année suivante, en fonction des données épidémiologiques résultant de la surveillance des virus influenza circulants » (source Wikipedia). Quelle manne astronomique pour toute la chaîne médicale, médecins compris !
 
Pourquoi devrait-il en être autrement pour le virus H1N1 qui nous hante depuis 91 ans, et pour lequel la première vaccination de 1947 a été un fiasco la même année, et est suspectée d’avoir muté par échange de matériel génétique pour mener au désastre de la pandémie de 1951 ? L’histoire ne va-t-elle pas se répéter, dans un intervalle de temps beaucoup plus court, vue la masse vaccinée ?
 
Personne ne doit attendre une étude diligentée par le milieu médical, qui se tirerait une balle dans le pied. Ne restent que les médecins mis au banc pour oser mettre en cause le Graal. Comme Vercoutère ou d’autres initiatives, comme Crèvecoeur, pour qui la vaccination pourrait générer une souche mutante :
 
« dès l’injection du vaccin, le cocktail préparé soigneusement par les laboratoires entraîne la mutation et la combinaison des différentes souches dans le corps du patient, rendant les virus extrêmement mortels »
 
 Si cette éventualité s’avérait exacte, les vaccinés pourraient devenir les bouillons de culture vivants permettant l’essor d’une nouvelle souche mutante. Ce qui expliquerait la démesure du plan actuel de vaccination massive pour une ridicule grippette : une mutation attendue avec une infrastructure déjà en place.

Grippe A/H1N1 : un cas de troubles neurologiques lié au vaccin ?

Boycottons la vaccination et le Gouvernement par la même occasion !

Démission Sarkozy !

Ne vous faites pas vacciner et gardez vos enfants à la maison !

Quant à la Bachelot qui se serait faite soi-disant vacciner !
Faudrait peut-être lui demander si c'est avec du sérum physiologique !
On se moque de qui ? 
On ne voit pas où mène cette manipulation mentale des français, pour nécessiter le besoin de nous montrer soi-disant qu'elle s'est faite vacciner en public !
Nous ne sommes plus à la maternelle Mme BACHELOT !
Démission !

Par TF1 News, le 12 novembre 2009 à 23h17, mis à jour le le 12 novembre 2009 à 23:40

Un cas "probable" de syndrome Guillain-Barré, une maladie rare du système nerveux périphérique, a été signalé mardi après vaccination contre la grippe H1N1.

grippe A/H1N1

En pleine campagne gouvernementale de promotion de la vaccination contre la grippe A/H1N1, la nouvelle tombe mal. Un cas "probable" de syndrome Guillain-Barré, une maladie rare du système nerveux périphérique, a été signalé mardi après vaccination contre la grippe H1N1, sous une forme modérée qui a "évolué favorablement", a indiqué jeudi le ministère de la Santé dans un communiqué.


 
Ce cas a été signalé dans le cadre du dispositif de pharmacovigilance de la vaccination, précise le ministère. "L'origine n'a pas été établie". Chaque année en France, 1700 à 1800 cas de syndrome de Guillain-Barré donnent lieu à une hospitalisation, soit 5 par jour, note le ministère, qui précise que "dans la plupart des cas, la survenue d'un syndrome de Guillain-Barré est liée à un épisode infectieux, bactérien ou viral, dont la grippe". Le ministère fait valoir que "l'attribution d'un syndrome de Guillain-Barré à une vaccination nécessite une expertise approfondie", qui sera conduite par l'Agence de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps).
 
La ministre de la Santé Roselyne Bachelot s'est engagée "à la transparence sur les effets secondaires de la vaccination contre la grippe A(H1N1)", souligne le ministère, qui précise que l'Afssaps publiera vendredi un bulletin de pharmacovigilance.

Vaccin H1N1 : Suède, un garcon de 4 ans dans le coma !

UN GARCON SUÉDOIS DE 4 ANS DANS LE COMA ET AUX PORTES DE LA MORT APRÈS AVOIR REÇU LE VACCIN H1N1 TOXIQUE !!!

Kevin.jpg

Chers amis,

CE QUI SUIT EST ABSOLUMENT HORRIBLE. SI VOUS ÊTES DES PARENTS ET LISEZ CECI, RÉFLÉCHISSEZ BIEN ! NOUS VOUS AVONS POSTÉ DES ARTICLES ET DES ARTICLES MONTRANT QUE LE VACCIN H1N1 CONTIENT DES POISONS VIOLENTS, A ÉTÉ TRÈS PEU TESTÉ, ET EST CAPABLE DE RENDRE GRAVEMENT MALADE, VOIRE MÊME DE TUER !

LE CAS QUI SUIT EST RÉVOLTANT. DES PARENTS NON AVERTIS, S'ÉTANT LAISSÉ SÉDUIRE PAR LES SIRÈNES DES AUTORITÉS, DE L'INDUSTRIE ET DES MASS MÉDIAS, ONT FAIT VACCINER LEUR PETIT GARÇON DE 4 ANS. CE PETIT GARÇON INNOCENT, QUI N'A PAS CHOISI ET QUI EST LA VICTIME DES DIRECTIVES DU POUVOIR ET DE LEURS ACOLYTES (L'INDUSTRIE CRIMINELLE ET LES JOURNALISTES COMPLICES) EST TOMBÉ DANS LE COMA, ET A BIEN FAILLI EN MOURIR !!!

Écoutez le cri déchirant et plein d'angoisse de ce petit garçon lors de son transport à l'hôpital : "MAMAN, JE NE VEUX PAS D'AUTRE VACCIN !"

NOUS DEVONS, PAR TOUS LES MOYENS, TENTER D'EMPÊCHER CE GÉNOCIDE VACCINAL ! VOILÀ POURQUOI NOTRE TRAVAIL D'INFORMATION EST SI IMPORTANT : EN ALERTANT SUR LES DANGERS DES VACCINS ET DE LA DICTATURE GÉNOCIDAIRE EN COURS, NOUS POUVONS PARTICIPER À CRÉER L'INSURRECTION GÉNÉRALE QUI SAUVERA DES VIES, AINSI QUE LES LIBERTÉS ET LA DÉMOCRATIE !

VOUS REMARQUEREZ DANS L’ARTICLE CI-DESSOUS LE DENI TOTAL DU CRIMINEL INCOMPÉTENT ET VENDU DE L’AGENCE SUÉDOISE DES PRODUITS MÉDICAUX. CHAROGNE ! ASSASSIN !

L'article révoltant, traduit pour vous en français, ci-dessous...

BONNE RÉVOLUTION, BON REFUS DU VACCIN... OU BONNE DICTATURE ET BONNE MORT ! Vic.

Source originale en suédois :

http://www.aftonbladet.se/nyheter/svininfluensan/vaccinguiden/article6086396.ab

Source en anglais :

http://www.theflucase.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1711%3Aswedish-boy-aged-4-close-to-death-from-qswine-fluq-vaccine&catid=41%3Ahighlighted-news&Itemid=105&lang=en

UN PETIT GARÇON SUÉDOIS DE 4 ANS, PROCHE DE LA MORT APRÈS AVOIR REÇU

LE VACCIN CONTRE LA "GRIPPE PORCINE"

L’ÉTOUFFEMENT PRESQUE COMPLET MIS EN PLACE EN SUÈDE EN CE QUI CONCERNE LES DÉCÈS ET AUTRES GRAVES "EFFETS SECONDAIRES" DU VACCIN EMPOISONNÉ PANDEMRIX, CONTRE LA GRIPPE PORCINE, EST EFFRAYANT. EN DÉPIT DE CELA, QUELQUES HISTOIRES PARVIENNENT À SORTIR, comme l'histoire de Kevin, âgé de 4 ans et vivant à Stockholm avec sa mère, Mia, qui est enceinte et dans son troisième trimestre de grossesse.

 « J'étais sûr qu'il était mort », dit-elle dans un article publié d'abord uniquement dans la version imprimée du journal Aftonbladet, et plus tard ajouté à leur site web après que ses lecteurs lui aient « rappelé » de le faire.

KEVIN ÉTAIT ASSIS AVEC SON PÈRE DANS UN CAFÉ, LORSQUE TOUT À COUP, IL SE MIT À TREMBLER DE FAÇON INCONTRÔLABLE. SON PETIT CORPS ÉTAIT ARQUÉ VERS L'ARRIÈRE, PRIS DE CONVULSIONS, ET SES YEUX ROULAIENT VERS L'ARRIÈRE, EXPOSANT SEULEMENT LE BLANC DE L’OEIL. Sa mère n'était pas loin, et quelqu'un est allé la chercher rapidement en disant « Mia, venez vite, Kevin va vraiment mal ! ».

Quand elle est arrivée près de Kevin, un cercle de personnes l’entourait, alors qu’il était couché à plat sur le sol. « SES LÈVRES ÉTAIENT COMPLÈTEMENT BLANCHES. JE N'AI JAMAIS VU UNE PERSONNE AUSSI BLANCHE DE MA VIE. JE L’AI PRIS DANS MES BRAS, ET IL ÉTAIT COMPLÈTEMENT FLASQUE. MA SEULE PENSÉE ÉTAIT : "IL EST MORT, IL N'EST PLUS EN VIE !", DIT SA MÈRE.

KEVIN NE RESPIRAIT PLUS. Deux infirmières se trouvaient là et elles ont expliqué à Mia comment effectuer un massage cardiaque immédiatement. Mia a commencé à faire cela alors que, dans le même temps, elle a senti qu'elle commençait à entrer dans le stade de travail de l’accouchement. Elle a donné de l’air à son fils pendant que d'autres appelaient une ambulance. « J'ai perdu la notion du temps. Mais après un certain temps, ses lèvres ont retrouvé leur couleur. Il a ouvert les yeux ».

PENDANT LE TRAJET VERS L'HÔPITAL, KEVIN N’A EXPRIMÉ QU’UNE CRAINTE : « MAMAN, JE NE VEUX PAS AVOIR D’AUTRE VACCIN... »

LES MÉDECINS QUI SE SONT OCCUPÉ DE LUI À SON ARRIVÉE À L'HÔPITAL SONT D’ACCORD SUR LE FAIT QUE LA SEULE EXPLICATION À CECI EST LE FAIT QU'IL AVAIT REÇU, DEUX JOURS AUPARAVANT, LE VACCIN EMPOISONNÉ PANDEMRIX CONTRE LA « GRIPPE PORCINE ». ILS ONT ÉGALEMENT DIT : « IL EST LE SECOND AUJOURD'HUI, CE N'EST PAS UN CAS UNIQUE ».

Le journal a contacté l'Agence des produits médicaux de Suède, et a parlé avec le professeur Jan Liliemark qui a affirmé qu'il n'avait jamais entendu parler de cas semblables. « Les enfants peuvent entrer dans des états comateux pour de multiples raisons. Cela pourrait être relié à la vaccination, mais il pourrait aussi y avoir d'autres raisons ».

Les parents de Kevin ont choisi de parler de leur épreuve de façon à ce que d'autres parents puissent être mieux informés qu’eux. Ils n'ont jamais entendu que de telles choses pouvaient se produire après une vaccination.

Mia dit : « Que se serait-il passé si cela s’était produit à la maison pendant qu’il jouait seul dans sa chambre et pendant que je faisais le ménage en bas ? ».

NOUS AVONS REÇU DES INFORMATIONS NON CONFIRMÉES SELON LESQUELLES LE NOMBRE DES "EFFETS INDÉSIRABLES" DU VACCIN EN SUÈDE EST MAINTENANT BIEN SUPÉRIEUR À 500, ET COMPREND DES « EFFETS SECONDAIRES GRAVES » QUI SIGNIFIENT DES SYMPTÔMES QUI METTENT LA VIE EN DANGER, MÊME LA MORT. LE NOMBRE DE DÉCÈS QUI NOUS A ÉTÉ SIGNALÉ EST SUPÉRIEUR À 50 JUSQU'À PRÉSENT. CETTE INFORMATION EST NON CONFIRMÉE ET LES CHIFFRES OFFICIELS SONT GARDÉS SECRETS, CONFORMÉMENT À L'ACCORD ÉGALEMENT SECRET CONCLU ENTRE LA SUÈDE ET GSK, GLAXOSMITHKLINE, QUI PRODUIT LE VACCIN TOXIQUE PANDEMRIX.

Je me suis entretenu aujourd'hui avec un fabricant de vaccins (un fournisseur de l'API, l'ingrédient actif) à son usine ici, en Suisse, et ils m’ont dit qu'ils sentaient qu'ils devaient jouer à la fois dans la production et la fourniture de ces ingrédients actifs aux plus "grosses" multinationales pharmaceutiques, puisque ces sociétés sont « si puissantes ». La personne avec laquelle j'ai parlé pensait qu’il y avait QUELQUE CHOSE DE SÉRIEUSEMENT GRAVE DANS LA FAÇON DONT TOUTE LA PEUR DE LA « GRIPPE PORCINE » S'EST DÉROULÉE, AINSI QUE LE RÔLE DE L'OMS. La même personne a également reconnu qu’énormément de recherches dans le domaine médical, et qui ne supportent pas les produits planifiés d'autres entreprises, sont cachées ou enterrées. LES DEUX PERSONNES AUXQUELLES J'AI PARLÉ NE PRENDRAIENT "ABSOLUMENT PAS" LE VACCIN CONTRE LA « GRIPPE PORCINE ». Elles ont dit que la « grippe porcine » signifiait de bonnes affaires.

Johan Niklasson

 http://trinite.1.free.fr/sante/premieres_victimes.htm