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23/10/2016

Fin de la trêve à Alep: ni les civils, ni les combattants n’ont pu quitter la ville

Et surtout, que les criminels de la coalition internationale US viennent encore la ramener lorsque les bombardements reprendront pour éliminer leurs mercenaires !!

Voir aussi:

La vérité sur les couloirs humanitaires à Alep

 
 
Ville d'Alep

La trêve humanitaire longue de trois jours a pris fin à Alep. Au cours de la journée de samedi, ni les civils, ni les groupes armés n’ont quitté les quartiers assiégés.
 
La dernière journée de la trêve humanitaire a expiré sans que les civils ou les djihadistes n'empruntent les couloirs humanitaires mis à leur disposition.

Comme lors des deux journées précédentes, tous les services nécessaires à l'évacuation étaient déployés près des couloirs humanitaires. Tout au long de la journée, les véhicules de propagande ont appelé les civils et les djihadistes à revenir à la vie civile et à profiter de la pause humanitaire pour quitter la zone en proie à des combats, mais en vain. Rappelons que la trêve a duré à Alep du 20 au 22 octobre. Neuf couloirs humanitaires avaient été mis en place, dont six réservés aux résidents civils et deux aux combattants bloqués dans la partie est de la ville.
 
Mardi 18 octobre, les forces aériennes russes et syriennes ont suspendu leurs frappes à Alep, en Syrie, soit avant la date prévue, pour assurer la préparation d'une pause humanitaire.

Or, les terroristes du Front Al-Nosra ont tiré sur les habitants d'Alep rassemblés près de l'entrée d'un couloir humanitaire dans le quartier de Bustan al-Qasr. En outre, les extrémistes ont exécuté publiquement 14 représentants des autorités locales, ceci comme punition pour avoir appelé à quitter les quartiers contrôlés par les groupes armés. Selon différentes estimations, jusqu'à 7 000 djihadistes de différents groupes armés sont retranchés dans l'est d'Alep.
 
 
 

Liste de francs-maçons du Parti Socialiste

Liste de francs-maçons du Parti Socialiste

La vérité sur les couloirs humanitaires à Alep

Bien, une trêve c'est bien pour les civils et les aides humanitaires, mais nous pouvons constater encore une fois que les mercenaires financés par les USA et l'UE, ont refusé de se rendre tout en empêchant les civils de sortir par les couloirs humanitaires.
 
Ensuite lorsque les armées syriennes et russes reprendront leurs bombardements, nous aurons la soi-disant communauté internationale qui se mettra encore à pleurnicher parce qu'il ne faut pas atteindre leurs mercenaires et protéger "leurs rebelles modérés".
 

Diyab : Les terroristes interdisent toujours aux habitants des quartiers est d’en sortir via les corridors humanitaires

Jaafari : Les groupes armés ont interdit aux habitants de l’est d’Alep d’en sortir

 
Maintenant, il va falloir que la France, les pays de l'UE et les USA qui passent leur temps à hurler qu'il ne faut pas tirer sur "les rebelles modérés", nous disent puisqu'ils les connaissent pour les armer et les financer, pour quelles raisons, ils ne demandent pas à leurs chefs de se rendre ? Hein ?  Puisque Fabius disait lui-même que le Front Al-Nosra faisait du bon boulot ?

Fabius : «Le front al-Nosra fait du bon boulot»

Au passage le nabot s'était vanté d'avoir fait pression sur Poutine pour instaurer la trêve, comme s'il en avait les moyens, cet agent de la CIA, franc-maçon de surcroît .

La réponse de Poutine :

Quelle pression de Hollande sur Poutine? Le Kremlin explique François Hollande a affirmé avoir «fait pression» sur Vladimir Poutine pour qu’il donne son aval à l’instauration d’une pause humanitaire à Alep. Pourtant, le Kremlin voit les choses autrement. Qui a raison?

La vérité sur les couloirs humanitaires à Alep

La Russie a prolongé la pause humanitaire à Alep afin que civils et combattants puissent quitter la zone de conflit. Le ministère russe de la Défense diffuse la vidéo en direct.
 

 
Le cessez-le-feu à Alep a débuté jeudi 20 octobre à 08h00 (05h00 GMT) visant à permettre à la population civile ainsi qu'aux rebelles de quitter la zone en proie à des combats. Les blessés et malades seront également évacués d'Alep.

Il existe six couloirs humanitaires que les résidents civils d'Alep peuvent emprunter pour quitter la ville. Deux autres couloirs sont destinés aux combattants bloqués dans la partie est de la ville.
 
Mardi 18 octobre, les forces aériennes russes et syriennes ont suspendu leurs frappes à Alep, en Syrie, soit avant la date prévue, pour assurer la préparation d'une pause humanitaire.

Lors d'une rencontre à Berlin avec François Hollande et Angela Merkel, Vladimir Poutine a déclaré que la Russie était prête à maintenir le cessez-le-feu à Alep en Syrie aussi longtemps que nécessaire.
 
 
 
 

La plupart des Américains veulent qu'Hillary Clinton soit traduite en justice

 
 
Hillary Clinton
 
 
La majorité des Américains estiment que l'ancienne secrétaire d'État américaine et actuelle candidate démocrate à la présidentielle Hillary Clinton devrait être poursuivie pénalement en raison du scandale de son courrier électronique.
 
a majorité des personnes interrogées par l'organisation sociologique Rasmussen reports ne sont pas d'accord avec la décision du FBI de ne pas traduire en justice la candidate démocrate à la présidentielle Hillary Clinton.

Il leur a été demandé par téléphone et en ligne si elles étaient ou n'étaient pas d'accord avec la décision du FBI de ne pas poursuivre la procédure pénale contre Hillary Clinton. 53 % ont déclaré ne pas être d'accord avec la décision du FBI, notant que Mme Clinton devait être traduite en justice, alors que 39 % ont dit qu'ils étaient satisfaits de cette décision. Auparavant, les médias américains avaient dévoilé le complot organisé par le Département d'État et le FBI en faveur d'Hillary Clinton lors d'une enquête sur sa correspondance électronique. Il s'agirait d'un « échange de services » impliquant le vice-secrétaire d'État Patrick Kennedy et des représentants du FBI.
 
L'enquête menée par le FBI cette année n'a pas trouvé d'infraction dans les actions de Mme Clinton, bien que le chef du FBI ait évoqué l'indiscrétion de l'ex-secrétaire d'État.

Rappelons qu'Hillary Clinton, qui a dirigé le département d'État américain de 2009 à 2013, avait utilisé sa messagerie privée, hébergée sur un serveur non protégé, à des fins professionnelles. Elle a par ailleurs nié avoir envoyé des informations secrètes. Au moins deux messages reçus par Hillary Clinton dans sa messagerie privée étaient classés « top secret » alors que plus de 1 300 d'entre eux portaient la griffe « secret ».
 
 

Les policiers et les pompiers strasbourgeois rejoignent le mouvement de protestation

Strasbourg : les pompiers rejoignent les manifestations des policiers qui décident de poursuivre leur mouvement

© France 3 Alsace 

Une centaine de policiers se sont réunis pour manifester leur mécontentement à Strasbourg, dans la soirée du vendredi 21 octobre 2016. Pour la première fois, ils ont été rejoints par un petit groupe de pompiers. Les policiers vont à nouveau défiler ce soir, à 21h15, place Kléber.

 


 

Les policiers strasbourgeois rejoignent le mouvement de protestation

Publié le 20/10/2016 à 08:38, mis à jour le 20/10/2016 à 08:51

Manifestation policiers

 

Claire Peyrot

Une centaine de policiers, dont la moitié en service (donc hors cadre légal) s'est rassemblée mercredi soir vers 21h30 devant l'hôtel de police de Strasbourg. Un mouvement spontané en soutien à leurs collègues blessés le 8 octobre dans l'Essonne et pour dénoncer le manque de moyens.

De nouvelles manifestations de policiers, jusque sur les Champs-Elysées, ont montré dans la nuit de mercredi à jeudi que leur colère restait forte, malgré la mobilisation du gouvernement et sa promesse de "concertations" sur leurs revendications.

"Cazeneuve t'as perdu, la police est dans la rue!" : comme lundi au premier soir du mouvement de contestation, des agents ont marché dans la nuit sur la célèbre avenue parisienne. Ils étaient environ 300, en civil, formant une chaîne compacte et dissimulant souvent leurs visages, ils sont montés jusqu'à l'Arc de Triomphe, sous lequel ils ont entonné la Marseillaise, avant de se disperser.

Les manifestants avaient été auparavant empêchés de faire route vers le ministère de l'Intérieur, comme ils l'ambitionnaient.
Ils étaient partis de la très symbolique place de la République, après un détour par l'hôpital Saint-Louis tout proche, où est soigné un adjoint de sécurité de 28 ans très grièvement brûlé dans une attaque au cocktail Molotov d'un véhicule de police à Viry-Châtillon (Essonne) le 8 octobre.

C'est cette agression qui a déclenché la fronde actuelle. Une gardienne de la paix de 39 ans, qui avait été également grièvement touchée, a quitté l'hôpital mardi soir.
Après Marseille et Nice mardi, le mouvement a gagné encore d'autres villes. Une centaine d'agents se sont retrouvés mercredi soir devant l'hôtel de police à Nancy, selon une source syndicale. Et quelque 120 policiers se sont rassemblés à Toulouse pour dire leur "malaise".

A quelques mois de la présidentielle, la fronde a viré à la polémique politique.
Le patron des socialistes Jean-Christophe Cambadélis a dénoncé la "patte" du Front national dans ces actions "hors la loi". "Pas de +patte+ mais un soutien sans faille, face à un pouvoir qui a manifestement de la haine pour la police", a répliqué le vice-président du FN Florian Philippot.

Sous le feu des critiques, l'exécutif s'est employé à calmer le jeu. François Hollande a réaffirmé son "soutien" aux policiers et appelé au "dialogue". Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a reçu "en urgence" dans l'après-midi les syndicats, à leur demande, pour leur annoncer le lancement dès lundi de concertations dans les départements sur les revendications policières.

Les conclusions seront remises "en décembre pour mise en oeuvre immédiate dès 2017". Un plan "de sécurité publique" sera lancé en novembre et "complété des résultats de la concertation", a assuré Bernard Cazeneuve, promettant un "dialogue riche", sur la dotation en nouveaux matériels ou l'amélioration des conditions de travail.

'Impunité' ou 'fermeté'

Les syndicats, confrontés eux-mêmes à la colère de la base, ont ensuite été reçus longuement par le garde des Sceaux. Alors que les policiers dénoncent régulièrement "l'impunité" dont jouiraient leurs agresseurs, Jean-Jacques Urvoas a promis "la plus grande fermeté".

A la sortie, le secrétaire général adjoint du syndicat Alliance, Frédéric Lagache, s'est cependant dit "déçu" par l'absence de "réponse", notamment sur un changement des règles de la légitime défense. Le syndicat demande désormais "une audience au président de la République".

Mais Yves Lefebvre, d'Unité-Police SGP-FO, s'est félicité d'"un bon dialogue". Ce syndicat a appelé à une manifestation silencieuse, "une marche de la colère policière et citoyenne", le mercredi 26 octobre.

Partie de l'Essonne lundi soir, la contestation a pris de court les autorités. Si une enquête de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), la "police des polices", a été ouverte, Bernard Cazeneuve a là aussi voulu rassurer: "ce n'est pas pour entrer dans un cycle de
sanctions, c'est pour rappeler des principes
".

Alors que les forces de l'ordre sont très sollicitées en pleine lutte antiterroriste, les policiers exigent des renforts et des moyens, et se plaignent d'un surplus de gardes dites statiques.
Le directeur général de la police nationale (DGPN), Jean-Marc Falcone, qui avait rencontré mardi soir des policiers de l'Essonne à Évry, a dit comprendre "l'exaspération, les craintes et les angoisses" des agents, tout en déplorant que certains aient "utilisé des véhicules" et des "moyens" de la police "pendant leurs heures de service".

Le patron de la police, qui avait adressé mardi un ferme rappel à l'ordre à ses troupes, était reparti dans la soirée sous les huées de quelque 400 fonctionnaires venus soutenir leurs collègues menacés de sanctions.