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20/11/2015

Jean-Claude Juncker propose de renforcer les liens économiques entre l'UE et la Russie

La Russie isolée disaient-ils ?

Voilà que maintenant ils se mettent tous à ramper devant Poutine pour le prier d'accepter de renforcer les liens économiques entre l'UE et la Russie.

Après le Hollande qui pactise avec les criminels, qui s'est rapproché de Poutine, dans l'objectif sûrement de le voir participer à leur escroquerie de la COP 21,  voici, Jean-Claude Juncker président de l'UE qui se met à ramper devant Poutine !

La Russie n'a pas besoin de l'UE pour vivre et se développer, et il serait étonnant de la part de Poutine, qu'il décide à présent de pénaliser les entreprises russes pour faire plaisir à l'UE.

La levée des sanctions, l'annulation de la vente des mistrals, tous les mensonges et calomnies dirigés  à l'encontre de Poutine, bien sûr, nous n'en parlons pas !

Jean-Claude Juncker propose de renforcer les liens économiques entre l'UE et la Russie

Dans un courrier officiel adressé à Vladimir Poutine, Jean-Claude Juncker suggère que des liens commerciaux plus étroits soient créés entre les 28 pays de l'Union européenne et l'Union économique eurasiatique, où la Russie joue un grand rôle.

La lettre écrite après le sommet du G20 en Turquie indique l'importance accordée par Jean-Claude Juncker dans l'entretien de bonnes relations entre l'Union européenne et Moscou, lesquelles selon lui «à [son] grand regret n'ont pas été en mesure de se développer au cours de l'année écoulée». Il a lié cette offre au progrès de la mise en oeuvre d'un cessez-le-feu en Ukraine.

Le président de la Commission européenne a également indiqué qu'il avait mandaté des fonctionnaires européens afin qu'ils étudient les options offertes à l'Union européenne de se rapprocher de l'Union économique eurasiatique.

En savoir plus : L'Union Economique Eurasiatique s'étend jusqu'au Kirghizistan

Le ministre lituanien des Affaires étrangères Linas Linkevicius s'est dit surpris par la lettre, qui ne reflète pas une vision commune des Etats membres de l'UE et ne fait aucune référence aux sanctions de l'UE contre la Russie «suite à son annexion de la Crimée» et la «détribalisation» de l'Est de l'Ukraine. Une porte-parole de la Commission a confirmé que Juncker avait écrit à Poutine après avoir eu une brève conversation avec lui au sommet du G20, mais a dit qu'il n'a pas fait de nouveaux engagements dans la lettre.

L’UE a imposé des sanctions contre la Russie au printemps 2014 après le rattachement de la Crimée à la Fédération de Russie et le début de la guerre civile dans l’est de l’Ukraine. L’Union européenne entendait ainsi protester contre le soutien présumé de la Russie aux milices rebelles qui combattaient contre le pouvoir de Kiev, issu du coup d’Etat du 22 février. Moscou a toujours démenti être impliqué dans ce conflit et a imposé en retour un embargo sur les produits agricoles venant non seulement de l’Union européenne mais aussi des Etats-Unis, du Canada, de l’Australie et de la Norvège, faisant perdre plusieurs dizaines de millions d’euros aux producteurs agricoles européens.

 

 

L'Aipac, (American Israel Public Affairs Committee) le lobby pro-israélien des États-Unis

Et en France nous avons le CRIF, plus le Parlement Juif Européen !

L'Aipac, le lobby pro-israélien des États-Unis

Par Laure Mandeville, correspondante à Washington
Mis à jour Publié

Le président israélien, Shimon Pérès, a prononcé un discours lors de la soirée d'ouverture de la conférence annuelle de l'Aipac, à Washington, le lundi 4 mai 2009.

Fort de 100 000 membre, il a pour but de veiller à maintenir intacte l'alliance stratégique qui lie, depuis 1948, l'État hébreu aux États-Unis.

(Article publié dans Le Figaro du 18 mai 2009)

Il est 19 heures ce lundi 4 mai, et une soirée exceptionnelle commence à Washington. Dans l'immense salle bleu nuit du centre de conférences de la capitale américaine, sont réunis près de 6 500 convives de marque en tenue de soirée, venus de tous les coins du pays et du monde. Des lumières laser glissent sur les visages, donnant à l'événement une atmosphère festive de gala. Des dizaines de serveurs vont et viennent entre les tables, déposant des assiettes où trônent des volailles farcies. «C'est le plus grand dîner casher du monde», sourit Caroline Chetrit, une Juive espagnole de Madrid qui a constitué une veille de l'antisémitisme en Espagne et vient chaque année depuis cinq ans. «On se croirait à Hollywood», ajoute Ofer Bronstein, conseiller du premier ministre Zapatero pour les relations avec Israël, en observant avec amusement la mer de convives qui s'étale à perte de vue.

Pourtant, cette soirée qui se tient à grands frais à Washington n'a rien à voir avec le show-biz. La puissance invitante n'est autre que l'Aipac (American Israel Public Affairs Committee), un lobby pro-israélien américain dont le but est de veiller à maintenir intacte l'alliance stratégique qui lie, depuis 1948, l'État hébreu aux États-Unis. Ce comité tient sa conférence annuelle durant trois jours intenses de tables rondes animées par des experts et des personnalités politiques de haut niveau. Le président israélien, Shimon Pérès a ouvert les travaux. Le vice-président Joe Biden les a clôturés. «Il s'agit du plus important rassemblement de l'année pour la communauté pro-israélienne, note le président de l'Aipac, David Victor. Alors que le Moyen-Orient traverse une période de défis et d'opportunités sans précédent, c'est le moment de venir à Washington et de rejoindre tous les autres Américains qui partagent notre passion pour la relation israélo-américaine, pour faire en sorte que nos voix soient entendues au Congrès.»

100 000 membres

L'Aipac naît en 1951, trois ans après la naissance d'Israël, surgi des cendres de l'effroyable génocide juif. Les Juifs d'Amérique, dont beaucoup sont des survivants de la Shoah, en viennent à penser que si Israël avait existé, l'Holocauste n'aurait pu avoir lieu. Garantir la survie du nouvel État, en travaillant au renforcement de la relation États-Unis-Israël, devient alors la priorité des priorités d'une large partie de la communauté juive américaine. Cet objectif n'est remis en question par personne au sein de l'establishment politique américain, qui voit dans la défense d'Israël une priorité de sa diplomatie. L'Aipac, qui ne finance aucune campagne électorale, se concentrant sur ses objectifs d'éducation et d'influence, ratisse large, comptant dans ses rangs de nombreux membres non juifs. Elle n'est nullement une organisation occulte, mais un lobby qui a pignon sur rue, agissant en toute transparence conformément au système en vigueur aux États-Unis. Contrairement à ce qui prévaut en France, où les lobbies sont associés à une théorie du complot, ils sont, là-bas, institutionnalisés et officiels, partie intégrante du processus démocratique.

Mais l'Aipac, qui réunit 100 000 membres, n'en reste pas moins exceptionnel par sa capacité de ralliement, qui le situe, selon les experts, au côté du lobby des retraités ou du lobby des armes (National Rifle Association). «C'est l'organisation de lobbying la plus influente en matière de politique étrangère», affirme son site Internet, qui dit employer 165 personnes à plein-temps à travers la plupart des États américains et disposer d'un budget de 45 millions de dollars. Outre ses solides soutiens politiques, l'Aipac mobilise des fonds importants. Beaucoup de personnalités font des dons pouvant aller jusqu'à des centaines de milliers de dollars. Les invités arborent sans complexes des badges sur lesquels apparaît l'importance de leurs donations en fonction des couleurs inscrites. Plus on affiche de couleurs, plus on compte au sein de l'organisation, explique une généreuse donatrice venue de Floride, et membre du Board.

Ce lundi soir, la «force de frappe» politique de l'Aipac apparaît avec éclat quand commence le roll call, l'appel de toutes les personnalités de marque présentes au gala. Sur fond de musique de film destinée à garantir l'émotion de la salle, deux organisateurs lisent avec emphase la liste des invités. À chaque fois, la salle applaudit, enthousiaste. On a l'impression d'assister à une cérémonie des Oscars. Près de la moitié des élus du Congrès sont là, républicains comme démocrates, car l'Aipac est bipartisan. On aperçoit de nombreux membres en vue de l'Administration Obama ainsi que la plupart des ambassadeurs accrédités à Washington. Puis apparaît le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, depuis Jérusalem, pour une adresse retransmise par télé-satellite. Il se garde bien de prononcer le terme «d'État palestinien», se contentant de formules vagues sur l'économie et la paix. Mais il est très applaudi quand il parle de la menace nucléaire iranienne, le cœur de son discours. «C'est impressionnant», confie un homme venu de Californie. Il explique qu'il a réactivé récemment sa souscription car il a «l'impression de faire quelque chose d'important en étant ici». Il y a croisé tant de personnalités de premier plan : le président de la commission des affaires étrangères du Sénat, John Kerry Cohen, l'ancien speaker conservateur Newt Gingrich…

La conférence de l'Aipac est un must pour les politiques. Selon une tradition ancrée, tous les candidats à la présidentielle y étaient venus l'an dernier exposer leur vision du Moyen-Orient et exprimer leur attachement à la relation avec Israël. Hillary Clinton avait parlé d'une «réunion géante de famille» ; McCain, loué «une organisation magnifique» ; et Barack Obama, évoqué «le lien indissoluble hier, aujourd'hui et pour toujours» entre Israël et les États-Unis. Dès le lendemain du gala, des milliers de participants montent sur la colline du Capitole pour quelque 515 rencontres avec des parlementaires. Inquiets des ouvertures de l'Administration Obama vers le régime des mollahs, les lobbyistes de l'Aipac veulent convaincre les députés de voter en faveur d'une panoplie de sanctions très dures en cas d'échec de la négociation. Leur projet de loi propose d'imposer des sanctions aux entreprises qui fournissent du carburant aux Iraniens, ceux-ci dépendant à 40 % de l'étranger pour l'essence et le diesel.

Mais un vrai suspense entoure désormais cette stratégie, vu la volonté très affirmée d'Obama de privilégier une nouvelle approche, plus équilibrée, du règlement du conflit israélo-palestinien. Dans les dernières semaines, le président a clairement prôné une solution à deux États. Son vice-président a plaidé devant l'Aipac contre la poursuite de la colonisation israélienne dans les Territoires occupés. Rahm Emanuel, chef de l'Administration présidentielle et personnage influent de la communauté juive américaine, aurait même invité ses amis de l'Aipac à changer de ligne lors d'une table ronde fermée à la presse. Selon nombre de sources, l'Administration souhaiterait mettre Nétanyahou sous pression et nuancer le caractère inconditionnel du soutien américain à la politique de la droite israélienne, qui avait prévalu sous Bush.

La concurrence d'une nouvelle organisation

Ce soutien inconditionnel avait été mis en évidence en 2006 dans un livre fracassant (*) par deux professeurs d'université, John Mearsheimer et Stephen Walt, pourtant connus pour leur orientation centriste et pro-israélienne. Les deux chercheurs, dont l'ouvrage a suscité une vaste polémique et même des accusations d'antisémitisme, voulaient révéler ce qu'ils voient comme une forme d'OPA de la droite israélienne likoudnik sur la politique étrangère américaine, via l'Aipac. «Je suis pro-israélien, mais j'estime qu'une politique aussi déséquilibrée ne sert pas les intérêts des États-Unis ni d'Israël», a confié, en février dernier, Stephen Walt à une radio française. «Je suis impressionné par l'engagement civique de l'Aipac, mais pas d'accord avec sa définition de l'intérêt israélien. Il faudra bien en venir à une solution de deux États séparés, et Nétanyahou le sait», avance le Franco-Israélien Ofer Bronstein.

En écho à ces préoccupations sur l'alignement jugé excessif de l'Aipac sur la droite israélienne, un lobby pro-israélien concurrent, J Street, destiné à mobiliser la rue juive libérale en faveur d'une approche plus équilibrée du conflit, s'est mis en orbite au Congrès depuis l'année dernière. Cette nouvelle organisation serait encouragée en sous-main par l'équipe Obama, qui cherche des appuis pour affiner son changement de cap de politique étrangère. «L'Aipac a l'oreille de l'establishment politique, dit un responsable de J Street en privé. Mais de nombreux juifs ne sont pas d'accord avec le Likoud. C'est à eux que nous nous adressons. N'oublions pas que la communauté juive a voté à plus 78 % pour Obama. Elle ne soutient plus une politique qui échoue depuis si longtemps.»

Peu convaincu, l'Israélien Avi Beker, professeur à l'université de Georgetown, explique que «la communauté juive américaine est un monde complexe», mais qu'une «solide» majorité d'Américains adhère à la vision de l'Aipac et son scepticisme sur les perspectives actuelles d'un État palestinien. «Vu la menace iranienne et le comportement du Hamas, ce n'est pas près de changer», conclut-il.

(*) John Mearsheimer et Stephen Walt, «Le Lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine», La Découverte 2007.

» Obama veut imposer à Israël un Etat palestinien

Par Laure Mandeville, correspondante à Washington

 

 

Prorogation de l'état d'urgence : la Quadrature du Net «documente le désastre»

Prorogation de l'état d'urgence : la Quadrature du Net «documente le désastre»

Résultat du vote à l'Assemblée Nationale © Capture d'écran Twitter
Résultat du vote à l'Assemblée Nationale

Alors que l’Assemblée nationale a quasiment à l’unanimité voté le projet de loi sur la refonte de l’état d’urgence, la Quadrature du Net s’inquiète de la portée de ce texte qui, selon elle, menace les libertés fondamentales des Français.

L’association, qui s’est déjà distinguée par sa farouche opposition à la loi dite «de renseignement» votée après les attentats de janvier, estime que «la classe politique dans son ensemble se désavoue elle-même en répondant par la restriction générale des libertés publiques à une attaque sans précédent contre nos libertés».

Pour la Quadrature du Net, la prorogation de l’état d’urgence vise à «s'affranchir du principe de séparation des pouvoirs », affirmant que nombre de perquisitions administratives depuis sa mise en place n’avaient pas de lien avec le terrorisme, rejoignant par là le scepticisme du Syndicat de la magistrature, qui craint l’émergence d’un Etat policier. Ces perquisitions permettront notamment la copie des données trouvées dans les éléments informatiques, mais aussi tous les documents «accessibles à partir du système initial ou disponibles pour le système initial», soit «notamment toute information accessible via des identifiants, ou contenu stocké sur Internet».

L’association s’inquiète aussi de la reformulation des raisons pouvant mener à l’assignation à résidence. Si le texte de 1955 exigeait que l’«activité s'avère dangereuse pour la sécurité et l'ordre publics» le nouveau texte voté ne conditionne cette mesure qu’à des «raisons sérieuses de penser que son comportement constitue une menace pour la sécurité et l'ordre publics», soit une «formulation beaucoup plus large et floue».

Les personnes visées seront celles «qui ont appelé l'attention des services de police ou de renseignement par leur comportement ou leurs fréquentations, propos ou projets», une définition qui, selon la Quadrature du Net, laisse une marge d’interprétation très large, «non garantie par l’intervention d’un juge judiciaire». De plus, le lieu d’assignation n’aura pas toujours lieu «à résidence», mais dans un endroit déterminé par le Ministre de l’Intérieur. Ce qui pourrait, selon certaines propositions effectuées, être des «camps d’internement».

Le texte prévoit aussi de nouvelles prérogatives concernant la dissolution de groupes et d’association, une fois de plus régie par des principes à l’interprétation très large. Ainsi pourront être visées les organisations qui «participent à la commission d'actes portant une atteinte grave à l'ordre public, ou dont les activités facilitent cette commission ou y incitent».

La Quadrature du Net, qui, pris de cours par «ce vote en sur-urgence» ne peut plus que «documenter le désastre en espérant un sursaut proche», appelle «les citoyens à marquer leur désapprobation auprès de leurs représentants de manière très claire» afin que leurs libertés ne soient pas sacrifiées.

 Néanmoins, selon un sondage mené par Elabe, les français interrogés soutiendraient les mesures proposées par le gouvernement. 88% des sondés ont affirmé être favorables à la prolongation de l'état d'urgence et 87% à une révision de la Constitution destinée à créer un «régime civil d'état de crise».

Lire aussi : Valls : pour garantir la sécurité de la population, certaines «libertés pourront être limitées»

 

Les révélations d’Edward Snowden : le groupe terroriste Daech est une création des Etats-Unis

Snowden : «La seule solution pour protéger l’Etat juif est de lui créer un ennemi à ses frontières.»

Comme cela nous savons pourquoi l'EI, Daesh et Cie, ne s'attaquent jamais à Israël !

De plus comme l'objectif est celui de créer le Grand Israël et le Grand Moyen Orient, il ne faut surtout pas s'attaquer à lsraël mais l'aider à détruire les pays qui doivent être intégrés à leurs projets ! 

Bien sûr la CIA a sauté sur l'occasion pour accuser Snowden d'avoir aidé les "terroristes" pour commettre les attentats à Paris !

Les révélations d’Edward Snowden : le groupe terroriste Daech est une création des Etats-Unis
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Snowden : «La seule solution pour protéger l’Etat juif est de lui créer un ennemi à ses frontières.» D. R.
 
Snowden : «La seule solution pour protéger l’Etat juif est de lui créer un ennemi à ses frontières.» D. R.

Selon le journaliste britannique Glenn Greenwald, les documents diffusés par Edward Snowden, l’ancien employé à l’Agence nationale de sécurité américaine, actuellement réfugié en Russie, révèlent que la CIA et le Mossad ont entraîné Abu Bakr Al-Baghdadi, chef de l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL) ou «Daech».

Snowden a révélé qu’Abu Bakr Al-Baghdadi a été prisonnier à Guantanamo de 2004 à 2009, période au cours de laquelle la CIA et le Mossad l’auraient recruté, dans le cadre d’une opération secrète dénommée «Nid de frelons», pour fonder un groupe en mesure de faire diversion par rapport à la lutte de libération des Palestiniens.

D’après la même source, pour Snowden, «la seule solution pour protéger l’État juif est de lui créer un ennemi à ses frontières, mais en le dirigeant contre les États islamiques qui s’opposent à sa présence».

Jeudi dernier, le président des États-Unis, Barack Obama, avait annoncé avoir autorisé «des parachutages d'aide humanitaire en Irak, ainsi que des frappes ciblées contre les djihadistes de l’EIIL». Mais y a-t-il encore quelqu’un de sérieux pour croire cette information donnée par les médias alors que les documents de Snowden font état du financement des terroristes d'Irak par les États-Unis.

On comprend pourquoi EIIL, au lieu de s’attaquer à l’entité sioniste, s’en prend à ses ennemis, Syrie, Irak, et Liban maintenant, et agit pour semer la haine entre les communautés dans ces pays.

L’ancienne secrétaire d’Etat Hillary Clinton, elle-même bien placée pour le savoir, avait expliqué qu’Al-Qaïda, présentée comme le plus grand ennemi des États-Unis, a été créée et financée par la Maison-Blanche dans les années 80. (L'aveu que ce sont la CIA et le Mossad qui ont organisé les attentats du 11/9/2001 aux USA !).

Aujourd’hui, les observateurs spécialisés soupçonnent le gouvernement américain d’avoir des liens avec Al-Qaïda, qui leur a servi à faire tomber Kadhafi, plongeant la Libye dans le chaos que le pays connaît actuellement, et à mettre la Syrie en état de guerre avec l’objectif de déstabiliser son gouvernement légitime et de le faire tomber pour, ensuite, placer ce pays dans la même situation que la Libye et l’Irak.


Houari Achour

 

19/11/2015

Bachar Al-Assad à propos des attentats de Paris et de la politique française

La vérité sort de la bouche de Bachar Al-Assad.

Voir aussi :

Bachar Al-Assad à propos des attentats de Paris et de la politique française.