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04/02/2010

Planète 51 : Le film

Décidémment entre l'année 2009 et 2010, nous avons eu droit à de nombreux films qui ont mis en scène les ET et les OVNIS.


Quelques titres : Prédictions, District 9, Avatar, 2012, etc., et maintenant Planète 51.

Si ce n'est pas préparer l'opinion publique à la révélation ET et Ovnis, on peut se demander de quoi il pourrait bien s'agir ?

 

planete_51,0.jpg

 

Le site officiel du Film :

http://www.planete51-lefilm.com/

 

Quelques personnages du film

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Le fichier Zip coloriages pour les enfants

planete51_coloriage.zip

 

Le scénario

Oh, la bonne idée ! Imaginez une planète lointaine, à l’ambiance et à la calquées sur celles de l’Amérique des années 1950 et peuplée de monstres sympathiques. Ils s’ennuieraient presque, alors pour jouer à se faire peur, leurs et leurs James Cameron à eux produisent des films de science-fiction où de terribles créatures des humains viennent les envahir ! Sauf que le jour où Chuck, un astronaute yankee égaré dans la galaxie, débarque sur cette Planète 51, c’est la panique.

Sur la toile
La bande-annonce
Les séances

Dans cet ingénieux film d’animation, tout est donc inversé : des monstres « normaux », un humain horrible et repoussant.
Ce scénario épatant n’est pas la seule bonne trouvaille de cette coproduction européenne réalisée par un Espagnol et scénarisée par le coauteur de « Shrek ». Il y a aussi le traitement des gags : là, le réalisateur a clairement choisi de scinder le public en deux camps, celui des enfants (pas avant 7 ans, tout de même) et celui des adultes. Il faut voir les gosses s’esclaffer lors des chutes et autres gamelles monumentales que se prend le héros lorsqu’il tente de s’enfuir, ou aux blagues pipi-caca qui émaillent le film.


Les parents, eux, rigolent sur un tout autre registre : celui de la parodie. « Planète 51 » fourmille en effet de références pour le coup incompréhensibles des plus jeunes aux grands films de science-fiction. Les chiens des habitants de la Planète 51 ressemblent au monstre d’« Alien », produisent des déjections toxiques qui rongent le métal et ont le chic pour se coller à ceux qu’ils aiment grâce à leur langue-ventouse rétractable ! Bref, cette planète est vraiment ouverte à tous, petits et grands, qui auront passé un excellent moment.

 

Les bandes annonce

http://www.youtube.com/watch?v=7dXTLpSamBQ

http://www.youtube.com/watch?v=-jWsnOd_SLA

00:45 Publié dans Film, Ovnis et Extraterrestres | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

12/01/2010

L'Histoire secrète de l'Amérique

« On ne peut pas, a-t-il résumé, juger les gens en terme de bons ou mauvais. Hitler est le produit d'un enchaînement d'actions. La cause et l'effet. Les Américains ne connaissent pas le lien entre la Première et la Seconde Guerre mondiale. » Stone, éducateur des masses ? Sans doute, car il ne détesterait pas que son film au long cours soit présenté aux gamins des écoles. Son objectif ? « Replacer les événements dans leur contexte. » « Regardez les financements du parti nazi. Combien d'entreprises américaines apparaissent, de General Motors à IBM. Hitler aurait pu être assassiné. », assurait encore Oliver Stone face aux journalistes.

 

 

On ne parle que de ça |

Oliver Stone revisite l'histoire de l'Amérique

Le cinéaste à pieds joints dans la polémique
Le cinéaste à pieds joints dans la polémique

«J’ai réussi à me mettre à la place de Staline et à celle d’Hitler, pour comprendre leurs positions.» Le point de vue choque? Normal, c’est celui d’Oliver Stone: «On ne peut pas faire de l’histoire sans empathie pour ceux que l’on déteste.» En même temps, la controverse, c’est un peu le credo de celui qui a derrière lui 40 ans de carrière et presque autant de films sur l’histoire des Etats-Unis. Il revient cette année avec un documentaire de 10 heures dont il est le narrateur. Il promet de bousculer les idées reçues et de ne laisser personne indifférent.

Attention, scandale en vue. Oliver Stone revient, et c’est pour jeter un pavé dans la mare –l’océan?- de l’histoire des Etats-Unis, avec un film télévisé de 10 heures intitulé L’Histoire Secrète de l’Amérique d’Oliver Stone.



Un parti pris, donc, celui d’un cinéaste passé maître dans l’art de la polémique. «Hitler est un bouc-émissaire facile, a-t-il osé devant un parterre de journalistes télé venus échanger avec lui à Pasadena (Californie), et l’histoire l’a utilisé à peu de frais.» Et de renchérir sur Staline: «C’est une toute autre histoire. Non pas qu’il faille le décrire en héros, mais peut-être le représenter de façon plus pragmatique. Il a combattu comme personne la machine de guerre allemande.»
«On ne peut pas, a-t-il résumé, juger les gens en termes de bons ou mauvais. Hitler est le produit d’un enchaînement d’actions. La cause et l’effet. Les Américains ne connaissent pas le lien entre la première et la seconde guerre mondiale.»



Stone, éducateur des masses? Sans doute, car il ne détesterait pas que son film au long cours soit présenté aux gamins des écoles. Son objectif? "Replacer les événements dans leur contexte". "Regardez les financements du parti Nazi. Combien d’entreprises américaines apparaissent, de General Motors à IBM. Hitler aurait pu être assassiné" assurait encore Oliver Stone face aux journalistes.


L'ex-élève de Scorcese ne craint pas de ruer dans les brancards et de dé-diaboliser quant il le faut les pires ennemis de l’Amérique: il l’a déjà prouvé dans Comandante, son film consacré à Fidel Castro, qu’il avait même dû remonter sous la pression des anticastristes. Plus récemment, après s’être offert Bush dans W., il a choisi de rendre un hommage appuyé à Hugo Chavez bras dessus bras dessous avec le héros de son film. dans South the Border: au festival de Venise, il est même venu



Sur internet, la polémique fait rage, et les blogueurs y vont de leurs commentaires sur les outrances du réalisateur de Platoon et Né un 4 Juillet: «Un autre adepte du ‘l’Amérique est la première responsable’, cite le quaotidien britannique The Guardian, Ils n’ont qu’à s’en aller. On fera une grande fête et on les aidera à faire leurs bagages.» L’Amérique, on l’aime ou on la quitte?


Juliette Serfati

Lundi 11 janvier 2010


http://www.gala.fr/l_actu/on_ne_parle_que_de_ca/oliver_st...

 

 

09:47 Publié dans Film, Sionisme, Oligarchie, LDJ, USA, Israël | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

07/11/2009

L'Apocalypse selon Roland Emmerich

ARNAUD BORDAS

06/11/2009 | Mise à jour : 15:20

Les Mayas avaient raison ! La fin du monde, c'est pour 2012. La preuve par l'image avec le nouveau film de Roland Emmerich (Independence Day, Le Jour d'après), dans lequel des éruptions solaires gigantesques déclenchent un cataclysme planétaire sur la Terre : montée des eaux, tremblements de terre, tsunamis, explosions de la croûte terrestre, etc. Avec sa légendaire subtilité, Emmerich sort la grosse artillerie afin de livrer le plus gros film catastrophe de tous les temps. Comme d'habitude, les effets spéciaux numériques offrent quelques scènes de destruction massive impressionnantes. Et comme d'habitude, ses personnages sont tous des clichés sur pattes, drapés dans leur bonne conscience et leurs bons sentiments. Au menu cette fois : un président noir qui suinte la compassion et le sacrifice désintéressé, un doux dingue ancien hippie et militant écolo, une fille à papa qui s'inquiète pour la misère dans le monde, un écrivain populaire méprisé par la critique, des enfants surdoués et débrouillards, un jeune scientifique qui s'inquiète pour la misère dans le monde, un moine bouddhiste qui cherche la sagesse et même un chien qui sera sauvé de la catastrophe. Parce que les chiens ne meurent JAMAIS chez Roland Emmerich.

http://www.lefigaro.fr/lefigaromagazine/2009/11/07/01006-...

12/07/2009

District 9 : le film

Le site officiel du Film District 9

Date de sortie : 26 Août 2009 Réalisé par Neill Blomkamp Avec Sharlto Copley, William Allen Young, Robert Hobbs Genre : Science fiction Année de production : 2009 Distribué par Metropolitan Fil...
Pour ceux qui n'ont pas entendu parler de ce film, sachez qu'il a été développé et produit par Peter Jackson et que certains annonce comme un "nouveau" Cloverfield. Il marque les premiers pas sur grand écran du réalisateur sud-africain Neill Blomkamp qui s'était fait remarquer avec ses courts-métrages notamment inspirés de Halo.

Tourné au printemps 2008 en Afrique du Sud sous l'égide de Peter Jackson et Wingnut Films, District 9 est directement inspiré du court-métrage de Neill Blomkamp, Alive in Joburg (visible ici). Il raconte la survie de quelques extra-terrestres qui ont trouvé refuge à Johannesburg et sont traités comme des immigrés clandestins obligés de travailler pour le MNU (Multi National United). Un agent du gouvernement les prendra davantage en considération en s’intéressant à leurs biotechnologies.

Au casting de District 9, peu de noms connus (à la manière de Cloverfield): William Allen Young, Robert Hobbs, Sharlto Copley, Jason Cope, Kenneth Nkosi.

Neill Blomkamp fera donc ses premières armes avec District 9, lui qui fut un temps tout proche de réaliser l'adaptation de Halo (cf news) pour Microsoft avant que le projet rencontre des problèmes financiers.

District 9 sortira en France et aux USA ehtre le 14 août et le 26 août 2009. En attendant voici la bande-annonce
http://www.cinemovies.fr/bande-annonce-16219-29246.html




 

03:43 Publié dans Film, Ovnis et Extraterrestres, Vidéos | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

30/06/2009

2012 : Le film - Bande d'annonce

2012 - Le film

Bande d'annonce en français

Le fim sortira le 11 novembre 2009