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12/11/2014

Rosetta. En direct : la première photo prise par Philae vers 18 h !

La comète Tchourioumov-Guérassimenko se trouve à 500 millions de Kms de la Terre. Il aura fallu à la sonde Européenne, Rosetta, 10 ans de voyage dans le cosmos pour faire atterrir sur la comète,  le robot atterrisseur Philae. 
 
Ce qui revient à dire qu'ils ont la technologie pour suivre et télécommander durant 10 ans, une sonde, mais qu'ils sont incapables d'intercepter les drones qui cartographient les centrales nucléaires françaises depuis le 5 octobre dernier.
 
Nous ne pouvons que soulever que depuis  1969, la NASA a été incapable de nous donner des images réelles de ses missions dans l'espace, de l'environnement céleste qu'ils traversent lors de leurs missions spatiales.
 
Quelques questions se posent néanmoins quant à savoir quels sont les moyens et les énergies  utilisés pour propulser cette sonde dans l'espace durant 10 ans et lui faire parcourir 500 millions de KMS ?
 
Le but de la mission est celui de trouver des minerais sur la comète qui pourrait sauver l'humanité en cas de carence de ces minerais ou minéraux sur Terre. Ainsi ils valident la théorie que ce sont les comètes qui nourrissent le cosmos et la Terre lors de leur passage, avec tous les éléments nourriciers contenus dans leur queue. 
 

Vivez ici les derniers instants de l'atterrissage de Philae jusqu'au contact avec la surface de la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko le 12 novembre 2014. Après plus de dix ans de voyage interplanétaire, la sonde européenne Rosetta tentera aujourd'hui, lors d'une mission périlleuse (*), de faire se poser en douceur son petit robot atterrisseur, Philae, à la surface - bien peu hospitalière - de la comète Tchourioumov-Guérassimenko. Du jamais-vu ! Le direct peut mettre quelques secondes à apparaître.


Philea s'est posé !
Le Cnes confirme que le robot Philae s'est posé sur la comète. Ou en tout cas a établi un contact. Le robot est-il en bon état ? A-t-il rebondi ? S'est-il enfoncé ? Trop tôt pour le dire. Les scientifiques attendent de recevoir des informations. Minutes d'extrême tension !

il y a 19 minutes

Francis Rocard précise que "le sol est plus meuble que prévu", ce qui pourrait également entraîner "un risque d'enfoncement"


 

Rosetta. En direct : la première photo prise par Philae !

 

http://www.letelegramme.fr/monde/comete-le-grand-saut-de-...

http://www.cnes.fr/web/CNES-fr/6919-cnes-tout-sur-l-espac...

 

10/11/2014

Activité solaire au plus fort...Le champ magnétique terrestre menacé!

Le soleil avec lequel nous sommes liés électriquement répond à l'excitation et aux souffrances infligées et produites sur Terre par les monstres qui nous gouvernent, sans compter que les changements cosmiques qui continuent de se produire et de s'accélérer dans la Galaxie doivent aussi le solliciter. 

 

Activité solaire au plus fort...Le champ magnétique terrestre menacé!

Publié le 10 Novembre 2014

Le groupe de tâche AR2205 a une énergie pour des éruptions de classe X face à la Terre

Le groupe de tâche AR2205 a une énergie pour des éruptions de classe X face à la Terre

Le groupe de tâches solaire AR2205 qui est resté calme au cours du week-end, continue de poser une menace pour les éruptions puissantes.

Les prévisionnistes de la NOAA estiment une probabilité de 70 % pour des éruptions de classe M et 30 % de chance pour des éruptions classées X le 10 novembre.

Les éruptions devraient nous affecter comme la tache solaire est directement en face de la terre.

Le 7 novembre, une éruption classée X a produit une CME dans l'espace qui dans un premier temps devait manquer la Terre.

Cependant LES ORDINATEURS DE MODELISATION suivis par les analystes de la NOAA suggèrent aujourd'hui que la CME pourrait livrer obliquement un coup au champ magnétique de notre planète après tout.

Une prévision complète sur ce film de l'éruption enregistrée par le Solar and Heliospheric Observatory :

Activité solaire au plus fort...Le champ magnétique terrestre menacé!

La CME en provenance du soleil voyage à environ 600 km/s (1,3 millions mi/h) mais pas directement le long de la ligne terre-soleil.

Si les modèles d'ordinateur sont corrects, la périphérie du nuage devrait nous atteindre en milieu de journée le 10 novembre (temps universel).

Le Premier contact pourrait susciter un orage géomagnétique de force G2 ce 10 novembre, diminuant de force G1 le 11 novembre.

Les prévisionnistes de la NOAA estiment le risque élevé à 75 % de probabilités.

 

 

 

07/11/2014

Comètes : des corps "chevelus" de mieux en mieux compris et contribuant à l'apparition de la vie sur la planète bleue.

Une preuve de plus que notre vie sur terre est d'origine extraterrestre. Les comètes, l'un des éléments nourriciers de notre planète.

Comètes : des corps "chevelus" de mieux en mieux compris

AFP le 07/11/2014 à 11:44

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La comète 67P/Churyumov-Gerasimenko prise en photo quand Rosetta était à 28,6 km d'elle ( ESA/ROSETTA/NAVCAM/AFP/Archives / )

Les comètes ont longtemps fait peur: on les pensait annonciatrices de catastrophes (éruptions volcaniques, épidémies, guerres, famines). Mais elles suscitent désormais un véritable engouement populaire à mesure que les sondes spatiales leur donnent un visage.

Le mot comète vient du grec Komê qui signifie chevelure.

Une comète est un petit corps du système solaire constitué d'un noyau fait de glace, de matériaux organiques et de roches, et entouré de poussières et de gaz. On dit souvent que la comète ressemble à une "boule de neige sale".

Sa trajectoire souvent fortement elliptique passe périodiquement à proximité du Soleil, comme c'est le cas de Tchourioumov-Guérassimenko actuellement.

Lorsque la comète approche de l'astre, les glaces se transforment en gaz et les molécules gazeuses s’échappent du noyau sous forme de jets, explique à l'AFP l'astrophysicien Francis Rocard, responsable du programme Rosetta au CNES (Centre national d'études spatiales), l'agence spatiale française.

Ces jets puissants entraînent des grains de poussières conduisant à la formation d'un nuage de poussières et de gaz (la fameuse "chevelure" ou "coma").

Les molécules sont ensuite cassées et ionisées et sont alors entraînées par le vent solaire produisant une traînée lumineuse, la "queue d’ions".

"La pression de radiation induite par les photons du Soleil, pousse les petits grains de poussière, produisant une deuxième queue constituée de poussières", poursuit M. Rocard.

Les comètes captivent les scientifiques parce qu'ils pensent qu'elles ont pu apporter de l'eau et des molécules carbonées sur la Terre, contribuant ainsi à l'apparition de la vie sur la planète bleue.

En’86, six sondes spatiales ont survolé la célèbre comète de Halley. La sonde européenne Giotto a révélé que sa surface était plus noire que le charbon.

Depuis, d'autres comètes ont été survolées et "cartographiées": Borrely (2001), Wild 2 (2004), Tempel 1 (2005 et 2011) et enfin Hartley 2 (2010).

La comète 67P Tchourioumov-Guérassimenko est la sixième à livrer une partie de ses secrets.

 

 

06/11/2014

Vivons-nous dans un Univers ou un multivers ?

Comme nos Zélites/reptiliennes cherchent à nous ramener perpétuellement vers le plancher des vaches pour entraver notre expansion de conscience vers notre être supérieur, notre évolution neurologique et spirituelle, voyons ce qui passe dans les Univers dont celui de l'Homme qui est un Univers dans un grand Univers, comme pour tout ce qui nait et vit dans l'UNI-VERS où tout est lié, revenons à nos sources cosmiques avec Aurélien Barrau qui nous fait un brillant exposé sur les Multivers.

 

Aurélien BARRAU

Enseignant-chercheur
Professeur à l'UJF, membre de l'IUF

Laboratoire de Physique Subatomique et de Cosmologie (CNRS-IN2P3)

53, avenue des Martyrs
F-38026 Grenoble cedex

Vivons-nous dans un Univers ou un multivers ?


 

 

28/10/2014

La Voie lactée se situe dans un «continent céleste» bien plus vaste que prévu !

Ben voyons, Tarzan qui découvre pour la première fois, le phonographe !

Tout à coup, ils découvrent que La Voie lactée se situe dans un «continent céleste» bien plus vaste que prévu ! Comme si notre voie lactée était séparée du Grand Univers = Univers Global = UNI-TE qui contient des milliards de Galaxies qui le constitue et qui évoluent en spirales (comme l'ADN) vers le centre des Galaxies et du Grand Univers créateur de toute vie dans le Grand Univers.

On se marre et vous ?

L'UNIVERS  est un "grand élément ou un ADN primal créateur de toute vie dans l'UNI-VERS = DIEU CREATEUR" constitué de "multiples éléments" dont des galaxies, des systèmes solaires, des comètes, des planètes, des fluides circulants, des énergies lumineuses hiérarchisées en fonction des diverses dimensions lumineuses, des êtres vivants dont les hommes qui constituent des cellules vivantes de ce grand UNI-VERS, et qui sont reliées entre elles par l'eau, l'électricité, tous les nutriments quantiques et toutes les énergies quantiques qui les animent dans l'UNI-VERS connecté et Unifié. Voir la théorie en physique quantique de l'Univers Unifié de Nassim Haramein.




Des chercheurs ont identifié les frontières du superamas contenant notre galaxie. Baptisé «Laniakea», il est cent fois plus volumineux qu'on ne le pensait

L'Univers est un jeu de poupées russes cosmiques. Les planètes tournent autour d'étoiles, les étoiles sont rassemblées en galaxies, les galaxies en groupes ou en amas, les groupes et les amas en superamas. Seul petit problème: il n'existait jusqu'à aujourd'hui aucune définition précise de ces dernières structures, les plus grandes de l'Univers. Cela fait plus de cinquante ans que la communauté scientifique bute sur ce problème.

Dans une publication faisant ce jeudi la une de la revue Nature, une équipe franco-israélo-américaine pense avoir identifié la nature profonde de ces «continents célestes». À partir d'un catalogue recensant la vitesse de 8 000 galaxies proches, ils en donnent la première description physique et définissent ainsi les contours du superamas contenant notre galaxie, la Voie lactée. Ils l'ont baptisé «Laniakea», un terme hawaïen signifiant «incommensurable paradis».

La couverture de Nature du 4 septembre 2014. <i>(Crédits: Nature, Illustration: Mark A. Garlick; Source: Daniel Pomarède)</i>

La couverture de Nature du 4 septembre 2014.
(Crédits: Nature, Illustration: Mark A. Garlick; Source: Daniel Pomarède)

«En fait, les superamas sont l'équivalent astronomique des bassins-versants sur Terre, à cette différence que ce n'est pas de l'eau qui s'écoule, mais des galaxies», explique Hélène Courtois, professeur à l'université de Lyon et deuxième auteur de ces travaux d'une importance fondamentale. La frontière entre deux superamas est la ligne de démarcation qui sépare deux bassins gravitationnels. Suivant qu'une galaxie se situe d'un côté ou de l'autre, elle s'écoulera dans un sens ou dans l'autre.

Sur la représentation graphique du superamas(voir ci-dessus), les grandes lignes représentent les trajectoires de galaxies obtenues à partir de leur vitesse propre, c'est-à-dire la manière dont elles se déplaceraient si l'Univers n'était pas en expansion continue. «Nous n'avons pas affiché les 8 000 trajectoires que nous avons calculées pour ne pas encombrer la représentation», explique Daniel Pomarède, informaticien au CEA à Saclay, qui a développé le logiciel de visualisation 3D.

La pelote de cheveux jaunes correspond ainsi à notre superamas. Tous les fils convergent vers une même «vallée gravitationnelle» en forme d'ange. Laniakea est 100 fois plus volumineux que le précédent «Superamas local» (aussi appelé «Superamas de la Vierge»). Il contient 100 000 grosses galaxies (100 milliards d'étoiles chacune) et un million de galaxies naines (de 1 à 10 milliards d'étoiles chacune). Et comme le Soleil dans notre galaxie, le groupe de la Voie lactée n'est qu'un élément périphérique de ce superamas.

« Les superamas sont l'équivalent astronomique des bassins-versants sur Terre, à cette différence que ce n'est pas de l'eau qui s'écoule, mais des galaxies. »

Hélène Courtois, astrophysicienne.

La découverte de Laniakea permet d'éclaircir un des grands mystères de l'astrophysique: pourquoi notre Voie lactée se dirige-t-elle à 630 kilomètres par seconde dans une direction donnée? Les astrophysiciens ont longtemps travaillé, en vain, sur un hypothétique objet au titre ronflant: «le Grand Attracteur». Celui-ci n'existe pas. Il s'avère en fait que notre galaxie se déplace comme les autres sous la seule influence gravitationnelle de ses voisines et de la matière noire environnante. Il fallait simplement avoir une vue d'ensemble plus large pour le constater.

Les quelques mille-pattes blancs qui entourent Laniakea sur l'image ci-dessous sont probablement des superamas voisins. «Nous manquons toutefois de données pour connaître leurs frontières précises, note Hélène Courtois. Peut-être que certains appartiennent à un même bassin plus vaste que nous ne parvenons pas encore à discerner.» Il y aurait la place pour six millions de superamas de la taille de Laniakea dans l'Univers. De quoi donner le vertige.

Un télescope spatial en 2020

La chercheuse travaille justement en ce moment à étoffer la base de données Cosmicflows-2 sur les vitesses des galaxies afin d'explorer un volume plus grand d'Univers. Le premier objectif pour sa troisième édition serait de doubler le nombre de galaxies dans les deux années à venir.

Seule la vitesse des galaxies spirales peut être connue avec une relative précision (10 à 20 % près), car elles contiennent encore les nuages d'hydrogène dont se servent les astrophysiciens pour effectuer cette mesure. «Les radiotélescopes suffisamment puissants pour effectuer ces mesures ne sont apparus que dans les années 2000, rappelle l'astrophysicienne lyonnaise. Cela explique en partie pourquoi la découverte de Laniakea est si tardive. Pour franchir un nouvel ordre de grandeur et étudier un volume d'Univers deux fois plus gros, il faudra probablement attendre la nouvelle génération d'instruments qui arrive.»

Le télescope spatial européen Euclid, dont le lancement est prévu en 2020, pourrait constituer une autre révolution dans l'étude des superamas et de la distribution de matière noire dans l'Univers.