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18/01/2011

Suède : morts des oiseaux. Kent-Ove Hvass,Ornithologue : depuis 50 ans "Je n'ai jamais vu rien de tel" !

http://www.lepouvoirmondial.com/media/01/00/475181576.jpg 

Kent-Ove Hvass a travaillé avec les oiseaux depuis 50 ans. "faut-il qu'il y ait de la merde dans le système pour qu'elle soit vue plus rapidement chez les oiseaux que chez les humains.», dit-il.

"Je n'ai jamais vu rien de tel" !  

 

L'Ornithologue Kent-Ove Hvass est préoccupé par la mort d'oiseaux à Falkirk.

 - Il est important de mener une enquête approfondie. Ce pourrait être un premier indicateur de quelque chose de grave », dit-il.

  

«Ce n'est pas bon signe»

  

Il croit que les oiseaux sont un indicateur intéressant de la façon dont la société se sent.

  

- "J'ai étudié les oiseaux depuis 50 ans et je n'ai jamais rien vu de tel. Il est important de mener une enquête approfondie. Cela pourrait être un premier indicateur que quelque chose est vraiment grave", [...] "faut-il qu'il y ait de la merde dans le système pour qu'elle soit vue plus rapidement chez les oiseaux que chez les humains.", a-t-il dit.

 

 

http://www.aftonbladet.se/nyheter/article8370746.ab

  

  

 

L'OCDE prévoit de plus en plus d'escarmouches dans le cyber-espace

Le 17 janvier 2011 (11:42) - par Reynald Fléchaux
 

Un rapport de l'OCDE publié ce lundi (et intitulé Future Global Shocks) explique que très peu de cyber-attaques sont susceptibles de créer un choc global mettant en danger l'équilibre de la planète. Même si le rapport note qu'une attaque sur les protocoles d'Internet ou une éruption solaire bloquant les communications satellites seraient capables de produire une crise de cette ampleur.

Toutefois, à la lueur des derniers incidents touchant le cyber-espace, les auteurs relèvent qu'une attaque électronique coordonnée ou qu'une action de destabilisation se produisant au cours d'un autre événement doivent être un sujet de préoccupation pour les autorités. Le rapport conclut toutefois qu'une cyber-guerre, menée entièrement avec des moyens électroniques, reste une hypothèse improbable.

Un des auteurs, Ian Brown, de l'université anglaise d'Oxford, estime également qu'une approche purement militaire de la sécurisation du cyber-espace serait une erreur, car un grand nombre de cibles potentielles - communications, énergie, finance, transports, etc. - relève du secteur privé.

Un grand nombre d'états ont débloqué des budgets pour renforcer leurs capacités d'action sur les réseaux électroniques. Selon le New York Times de ce week-end, le ver Stuxnet, qui ciblait les équipements industriels, est un développement conjoint des Etats-Unis et d'Israël afin de ralentir la course à l'atome de l'Iran.

http://www.lemagit.fr/article/securite-etats-unis-cyberguerre-iran-ocde-cyberdefense/7910/1/l-ocde-prevoit-plus-plus-escarmouches-dans-cyber-espace/

 

14/01/2011

L'astrologie s'emmêle les signes

L'astrologie s'emmêle les signes

Vous vous pensiez balance, vous êtes scorpion. La faute à l'interaction gravitationnelle des astres qui a provoqué un mois de décalage dans l'alignement des étoiles. Et Madame Soleil n'avait rien vu venir. 

En 3.000 ans, les mouvements célestes ont modifié la position relative du Soleil, de la Terre et des constellations. (AFP)


En 3.000 ans, les mouvements célestes ont modifié la position relative du Soleil, de la Terre et des constellations. (AFP)

Les mouvements célestes ont modifié la position relative du Soleil, de la Terre et des constellations explique un chercheur américain au journal  StarTribune.com. La nouvelle a semé la pagaille vendredi 14 janvier dans le petit monde de l'astrologie mis au point par les Babyloniens : en quelque 3.000 ans, un décalage d'environ un mois s'est opéré entre la position d'une constellation et le signe du zodiaque qui lui correspond. Les diseuses de bonne aventure ne savent plus à quelle étoile se vouer.

Le nouveau calendrier

L'organisation The Minnesota Planetarium propose donc ce nouveau calendrier, avec un nouveau signe : Capricorne: du 20 janvier au 16 février. Verseau: du 16 février au 11 Mars. Poissons: du 11 mars au 18 avril. Bélier: du 18 avril au 13 mai. Taureau: du 13 mai au 21 juin, Gémeaux: du 21 juin au 20 juillet; Cancer: du 20 juillet au 10 août. Lion: du 10août au 16 septembre Vierge: du 16 septembre au 30 octobre. Balance: 30 octobre au 23 novembre. Scorpion: 23 novembre au 29 novembre. Serpentaire (nouveau signe): 29 novembre au 17 décembre. Sagittaire: du 17 décembre 20 janvier. 
Si vous êtes né un 21 juin, The Minnesota Planetarium ne précise pas si vous êtes Taureau ou Gémeaux. Allez-vous pouvoir choisir ?

(Nouvelobs.com) 

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/societe/20110114...

 


Les astres seraient plus proches qu’on ne le croit

Info rédaction, publiée le 14 janvier 2011
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Les astres seraient plus proches qu’on ne le croit

Si les astronomes ont pour habitude de calculer les phénoménales distances qu’il y a entre les astres, ils se basent pour cela sur des standards qui ne sont pas remis en question. Or, des scientifiques viennent de découvrir que certains de ces standards étaient largement sous-évalués, ce qui a pour conséquence de donner des distances bien plus importantes qu’elles ne le sont en réalité.

Les nouvelles observations qui viennent d’être présentées au 217e meeting de la société d’astronomie américaine (American Astronomical Society) ont réservé quelques surprises de taille… ou de distance plus exactement, rapporte Sciences et Avenir.

En effet, Delta Cephei, une étoile du nord visible à l’œil nu, donne son nom à toutes les étoiles de même classe : les céphéides. Ces étoiles géantes ont été prises comme référence pour déterminer les distances interstellaires en fonction de la variation de leur luminosité, plus ou moins importante en fonction de la distance. Mais les observations du Spitzer Space Telescope de la Nasa remettent cette classification en question car des propriétés totalement inattendues concernant ces étoiles viennent d’être découvertes.

La caméra infrarouge du télescope a permis aux astronomes de découvrir une nébuleuse de gaz et de poussière jusqu’ici inconnue. Entourant Delta Cephei, elle créée une onde identique à celle d’un navire fendant les eaux. D’après la vitesse connue de l’étoile et sa taille, les astronomes ont pu calculer que Delta Cephei devait perdre la quantité phénoménale de 2.000 tonnes de matière par seconde, soit un million de fois plus que le Soleil. Or le télescope semble montrer que 25% de toutes les autres céphéides sont elles aussi entourés de semblables nébuleuses, faussant tous les calculs effectués jusqu’ici.

Cette perte de matière explique pourquoi les cépéhéides sont beaucoup moins massives qu’elles ne devraient l’être selon les théories des modèles stellaires. Mais d’autre part, les nébuleuses absorbent une importante quantité de lumière, ce qui fait donc paraître ces étoiles beaucoup plus lointaines qu’elles ne le sont en réalité.

Les instruments des astronomes devront donc être recalibrés pour tenir compte de ces nouveaux éléments, à moins d’être équipés, comme le James Webb Space Telescope, d’instruments infrarouges qui permettent de fournir des informations beaucoup plus précises.


http://www.maxisciences.com/astre/les-astres-seraient-plu...


NASA Fermi Gamma-ray Space Telescope : découvre de l'antimatière dans les orages !

Des scientifiques utilisant le télescope Fermi de la Nasa ont détecté des faisceaux d'anti-matière produit au-dessus des orages sur la terre, un phénomène jamais vu avant.


Bizarre encore cette découverte...cela pourrait expliquer les étranges ORBS qui sont aperçus aux  sommets des orages et filmés par la Navette... l'Anti-Matière étant des plus énergétiques (100% de transformation en énergie pure.)

Les orages terrestres projettent de l'antimatière dans l'espace

Info rédaction, publiée le 12 janvier 2011
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Les orages terrestres projettent de l'antimatière dans l'espace

Une sonde de la Nasa a observé des projections d'antimatière dans l'espace lors d'orages se produisant sur Terre.

Nul besoin de regarder des films de science-fiction ou de chercher des phénomènes éloignés de plusieurs milliers d'années-lumière de notre système solaire pour trouver de l'antimatière. La Terre en produit également toute seule. En effet, une sonde de la Nasa, le Fermi Gamma-ray Space Telescope, a pu observer la formation d'un phénomène, appelé rayon gamma, au dessus des orages terrestres. Ce rayon gamma est la résultante d'une grande quantité d'électrons qui se déplacent au-dessus du nuage orageux et qui rencontrent des molécules dans l'air qui les transforment donc en rayon gamma.  

Lorsque ce rayon gamma est projeté vers le vide intersidéral, s'il rencontre un noyau atomique dans la haute atmosphère, il se forme alors un électron et son antimatière, un positron. Cette nuée d'électrons et de positrons va ensuite se perdre dans l'espace en suivant le champ magnétique terrestre. Micheal Briggs, membre de l’équipe du Fermi Gamma-ray Burst Monitor à l’Université de l’Alabama, a ainsi présenté cette étude lors de la réunion du 10 janvier de l’American Astronomical Society à Seattle. Selon lui, "ces signaux sont la première preuve directe que les orages créent des faisceaux de particules d’antimatière" et pourraient surtout éclairer la vieille théorie selon laquelle il existe un univers d'antimatière tout à côté du notre...

http://www.maxisciences.com/orage/les-orages-terrestres-p...

De l’antimatière dans les orages

Grace au satellite Fermi, les chercheurs de la Nasa ont détecté de faisceaux d'antimatière produits au-dessus des orages sur la Terre, un phénomène jamais vu auparavant.

Position de Fermi par rapport aux flashs observés Nasa
Position de Fermi par rapport aux flashs observés Nasa

« En orbite, en moins de trois ans, la mission Fermi s'est révélée être un formidable outil pour sonder l'univers. Nous apprenons maintenant qu'elle peut découvrir des mystères beaucoup, beaucoup plus proche de chez nous » s’enthousiasme Ilana Harrus, scientifique chargée du programme Fermi, au siège de la NASA à Washington.

Le satellite a été conçu pour observer les rayons gamma, la forme la plus énergétique de la lumière. Ils peuvent être produits lors de phénomènes astronomiques violents comme les supernovæ ou lors de l’annihilation d’une paire de particule/antiparticule, lorsqu’un électron rencontre un positron par exemple. Dans ce dernier cas, le rayonnement gamma a une énergie déterminée de 511 000 électronvolts, 511 Kev.

C’est exactement de tels rayonnements que le télescope Fermi a capté en provenance de la Terre. En tout depuis son lancement 130 flashes, d’une durée d’environ une milliseconde, de rayonnement gamma terrestre (TGF) ont été identifié. Les scientifiques pensent cependant qu’il  s’en produirait environ 500 par jour. La plupart du temps au-dessus des orages, en effet ce phénomène semble lié à la foudre.

Dans quatre cas pourtant les rayons gamma ont été détectés alors que le télescope ne se trouvait pas à proximité d’un orage. Au cours d'un TGF, qui a eu lieu le 14 décembre 2009, Fermi était ainsi situé au-dessus de l'Egypte tandis que la tempête était active en Zambie, à plusieurs milliers de kilomètres de là. L'orage lointain était sous l'horizon de Fermi, de sorte que les rayons gamma éventuellement produits n’auraient pas pu être détectés.

Pour les chercheurs, dont les résultats sont publiés dans la revue Geophysical research Letters, le rayonnement gamma enregistré a été produit au niveau du télescope lui-même quand un  jet d’antimatière guidé par une ligne du champ magnétique terrestre a heurté la matière de l’objet, provoquant la réaction classique d’annihilation des couples électrons/positrons et l’émission de rayons gamma. C’est la première fois que l’on prouve que des rayons d’antimatière sont émis depuis la Terre.

L’antimatière demeure un des grands mystères de la science. Lors du Big-Bang, matière et antimatière ont théoriquement été produites en quantité égale, or l’univers se compose uniquement de matière et l’antimatière semble avoir disparu. Pour découvrir ce qu’il est advenu de l’antimatière, les scientifiques mènent diverses expériences qui ont pour but de déterminer si une infime différence entre les propriétés de la matière et celles de l’antimatière pourrait apporter un début d’explication.

Tout récemment au Cern, des chercheurs sont ainsi parvenus à capturer 38 atomes d’antihydrogène, Sciences et Avenir publie d’ailleurs, dans son numéro de janvier, un reportage sur cet exploit scientifique.

Flash de rayon gamma terrestre

http://www.dailymotion.com/video/xgix8d_flash-de-rayon-gamma-terrestre_tech

 

J.I. 
Sciences et Avenir.fr

12/01/2011



Traduction Google de l'article orginal sur la NASA
De l'antimatière dans les orages

11 janvier 2011:  Les scientifiques de la NASA de Fermi Gamma-ray Space Telescope ont détecté de faisceaux d'antimatière produite au-dessus des orages sur la Terre, un phénomène jamais vu auparavant.

Les scientifiques pensent que les particules d'antimatière ont été formées à l'intérieur des orages dans un flash terrestres de rayons gamma (TGF) associés à la foudre. Il est estimé qu'environ 500 TGF se produisent quotidiennement dans le monde entier, mais la plupart passent inaperçus.

"Ces signaux sont la première preuve directe que les orages de l'antimatière faisceaux de particules", a déclaré Michael Briggs, un membre de Fermi Gamma-ray Burst Monitor (GBM) équipe de l'Université d'Alabama à Huntsville (UAH). Il a présenté les conclusions lundi, au cours d'un point de nouvelles lors de la réunion de l'American Astronomical Society à Seattle.

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Un artiste concept d'antimatière pulvérisation-dessus d'un thunderhead

 
Fermi Sees Antimatter-Hurling Thunderstorms
  
NASA Fermi Gamma-ray Space Telescope a détecté de faisceaux d'antimatière lancé par des orages. Agissant comme des accélérateurs de particules énormes, les tempêtes peuvent émettre des bouffées de rayons gamma, appelé TGF, et d'électrons de haute énergie et des positrons. Les scientifiques pensent maintenant que la plupart des TGF produire des faisceaux de particules et de l'antimatière.

Fermi est conçu pour surveiller les rayons gamma, la forme la plus haute énergie de la lumière. Lorsque l'antimatière entre en collision suppression de Fermi avec une particule de matière normale, les deux particules sont annihilées immédiatement et se transforme en rayons gamma. Le GBM a détecté des rayons gamma d'énergies de 511.000 électron-volts, un signal indiquant un électron a rencontré son homologue de l'antimatière, un positron.

Bien que GBM Fermi est conçu pour observer les événements de haute énergie dans l'univers, c'est aussi fournir des informations précieuses sur cet étrange phénomène. Le GBM surveille en permanence l'ensemble du ciel céleste au-dessus et de la Terre ci-dessous. L'équipe GBM a identifié 130 TGF depuis le lancement de Fermi en 2008.

"En orbite à moins de trois ans, la mission Fermi s'est révélé être un formidable outil pour sonder l'univers. Nous apprenons maintenant qu'il peut découvrir des mystères beaucoup, beaucoup plus proche de la maison, dit Ilana Harrus, scientifique de programme au siège de la NASA Fermi à Washington.

 

Le vaisseau était situé immédiatement au-dessus d'un orage pour la plupart des TGF observés, mais dans quatre cas, les tempêtes ont été loin de Fermi. En outre, les signaux radio ultra-généré détecté par un réseau mondial de surveillance a indiqué que la foudre était à l'époque des centaines ou plusieurs miles. Au cours d'une TGF, qui a eu lieu le 14 décembre 2009, Fermi a été situé sur l'Egypte. Mais la tempête a été active en Zambie, quelques miles au sud 2800.L'orage lointain était sous l'horizon de Fermi, de sorte que toute les rayons gamma a produit n'aurait pas pu être détecté.

«Même si Fermi ne pouvait pas voir la tempête, le vaisseau spatial était néanmoins magnétique relié à elle», a déclaré Joseph Dwyer au Florida Institute of Technology à Melbourne, en Floride "Le TGF produit des électrons à haute vitesse et des positons, qui a ensuite roulé jusqu'à le champ magnétique terrestre à la grève le vaisseau spatial. "

Le faisceau poursuivre au-delà de Fermi, est parvenu à un endroit, connu comme point de miroir, où son mouvement a été inversé, puis cliquez sur le satellite une seconde fois à peine 23 millisecondes plus tard. Chaque fois que, dans le faisceau de positrons est entré en collision avec des électrons dans le vaisseau spatial. Les particules s'annihilent, émettant des rayons gamma détectés par GBM de Fermi.

Les scientifiques ont longtemps soupçonné TGFs découler de l'puissants champs électriques près de la cime des orages. Dans de bonnes conditions, disent-ils, le champ devient assez fort qu'il entraîne une avalanche d'électrons vers le haut. Atteindre des vitesses presque aussi rapide que la lumière, les électrons de haute énergie des rayons gamma quand ils sont déviés par les molécules d'air.Normalement, ces rayons gamma sont détectés en tant que TGF.

 

Thunderstorms Make Antimatter (Egypt, 200px)Fermi au dessus de l'Egypte le 14 décembre 2009, quand une rafale de positrons est née d'un orage en Afrique

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Voir les trois étapes orages doivent prendre afin de produire des éclats de l'anti-matière
 
Mais les électrons produisent des rayons gamma en cascade tant que les électrons et les positrons de souffle, ils clairement hors de l'atmosphère. Cela se produit lorsque l'énergie des rayons gamma se transforme en une paire de particules: un électron et un positron. Ce sont ces particules qui atteignent l'orbite de Fermi.

La détection de positrons montre de nombreuses particules de haute énergie sont éjectés dans l'atmosphère. En fait, les scientifiques pensent maintenant que tous les électrons émettent TGF / positron poutres. Un document sur les résultats a été accepté pour publication dans Geophysical Research Letters.

"Les résultats de Fermi nous mettre un peu plus près pour comprendre comment TGFs travail», a déclaré Steven Cummer à l'Université Duke. «Nous avons encore à comprendre ce qui est spécial à propos de ces orages et la foudre rôle précis joue dans le processus."


 Rédacteur en chef: Dr Tony Phillips | Crédit: Science @ NASA