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29/10/2012

Breaking news: Sandy pourrait passer en catégorie 4 ou 5, selon Weather Channel

Lundi 29 octobre 2012

Breaking news: Sandy pourrait passer en catégorie 4 ou 5 selon Weather Channel

Danger Maximum !

L'annonceur du Weather Channel vient d'annoncer sur les ondes, sans cacher son émotivité, que l'ouragan Sandy pourrait passer à la catégorie 4 ou 5  et qu'il porte le potentiel de détruire complètement les États de la Côte Est américaine.

Des bloggers rapportent à l'instant les propos du présentateur du Weather Channel.  Ils tentent de trouver et de faire un enregistrement de cette intervention en direct. 

Suivez en direct l'évolution de l'ouragan Sandy :

Ouragan Sandy: la côte est se vide

Voir la vidéo par ce lien :
http://www.lapresse.ca/international/dossiers/la-supertem...


Ouragan Sandy: la côte est se vide

Publié le 28 octobre 2012 à 13h11 | Mis à jour le 28 octobre 2012 à 21h00

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Daphné Cameron, Envoyée spéciale
La Presse

(New Jersey) Il ne reste plus qu'à attendre le passage de Sandy sur la côte est américaine, où des centaines de milliers d'Américains vivant en zones inondables ont été forcés d'abandonner leur domicile. Le passage de l'ouragan a déclenché l'état d'urgence dans une dizaine d'états américains, du Connecticut à la Caroline du Sud, en prévision de la tempête qui devrait frapper dans la nuit de lundi à mardi.

>> Voyez nos photos: La côte est américaine se prépare pour Sandy

Au New Jersey, où l'oeil de l'ouragan semble se diriger, toutes les îles comprises entre Sandy Beach et Cape May, soit une zone de près de 200 kilomètres, ont fait l'objet d'évacuations obligatoires. À partir de 16h00 dimanche, les autorités policières ont prévenu qu'elles ne pourraient plus promettre de porter secours aux habitants qui décidaient de rester.

L'île de Long Beach avait des allures de ville fantôme, dimanche soir, alors que l'eau commençait à inonder les rues des hameaux plantés le long d'une bande de sable de plusieurs kilomètres. Le long des rues désertes, des maisons cossues se succèdaient, fenêtres et portes placardées.

Au bout de l'une d'elles, Rick Simpson fixait son bateau à l'arrière de son camion alors que la pluie frappait son visage de plein fouet. «Le niveau de l'eau n'a jamais été aussi élevé à marée basse. Habituellement, j'ai besoin de grimper une échelle de cinq pieds pour sortir de mon bateau, alors qu'aujourd'hui, il flottait pile à la hauteur du quai», a-t-il illustré.

M. Simpson, un coach de natation qui entraîne des athlètes de calibre olympique ne se laisse généralement pas intimider par l'eau. Mais la force de la tempête l'a convaincu de respecter l'avis d'évacuation. «En 1972, l'eau de l'océan et de la baie ont convergé et ont engouffré la partie de l'île où nous nous trouvons présentement, emportant plusieurs maisons. Sandy s'annonce encore plus violente. À un moment donné, il faut accepter que la nature est plus forte que nous!»

Quelques maisons plus loin, Stanley et Ann, un couple dans la soixantaine, a choisi de faire fi de l'état d'urgence. «On vit ici, les tempêtes, c'est notre destin», a laissé tomber l'homme au milieu de son sous-sol jonché de pompes et meubles pêle-mêle en équilibre sur des caisses de lait. «On en a vu tellement d'autres! Nous avons tout le nécessaire pour survivre plus d'une semaine coupés du reste du monde.»

Les prochaines heures laissent présager le pire alors que la tempête s'intensifiera. Les météorologues prévoient que les ponts qui donnent accès aux îles risquent d'être submergés cette nuit, les coupant du reste du monde.

Des écoles ont été ouvertes pour accueillir les sinistrés des îles, mais aussi de la côte, qui menace d'être frappée par des pannes d'électricité et des inondations historiques en raison de la pleine lune lundi soir. Les zones évacuées comprennent aussi Atlantic City qui a été forcée de fermer tous ses casinos ainsi que des quartiers inondables sur a côte. Des villes du Delaware, état qui devrait aussi être fortement affecté, ont connu le même sort.

À la tombée de la nuit, environ 160 personnes avaient trouvé refuge à l'école secondaire de Manahawkin au New Jersey. Environ 500 lits de camps de la Croix-Rouge étaient bien cordés dans un gymnase prêt à accueillir les sinistrés.

Ce sont les pompiers qui ont demandé à Sandra Baker et ses enfants Billy, 9 ans, et Hannah, 12 ans, de quitter leur maison, située sur la côte, en zone inondable. «J'ai décidé de partir parce qu'en 38 ans de vie à Jersey, je n'ai jamais vu l'eau monter aussi rapidement.»

L'île de Seaside, située un peu plus au nord, s'est aussi vidée rapidement. L'endroit, qui attire généralement des foules pour ses parcs d'attractions, ses mignonnes maisonnettes à l'ombre des dunes de sable et ses vedettes de la célèbre émission de téléréalité Jersey Shore, était presque désert. Seuls quelques curieux ont risqué de s'aventurer sur la plage, en matinée, alors que des vagues de plus en plus hautes se fracassaient sur les quais perchés sur des pilotis d'au moins 20 mètres de haut.

«Je suis stupéfait», s'est exclamé Darin Petro, 45 ans, en fixant la scène. «Je me baigne sur cette plage depuis l'âge de 5 ans et je n'ai jamais vu de vagues aussi hautes! C'est extraordinaire de voir ça, mais ça fait vraiment craindre les dommages.»

Ed Verna, un homme trapu de 76 ans, a vécu à Seaside toute sa vie. Le retraité, qui a notamment travaillé comme sauveteur sur la plage de 1953 à 1963, a été témoin de cinq ouragans et tempêtes depuis son enfance, mais c'est la première fois qu'il se résigne à quitter sa maison.

«J'en ai vu d'autres, mais les médias disent que ce sera la tempête du siècle, donc ma femme panique, elle veut partir», a-t-il laissé tomber, pelle à la main, alors qu'il remplissait lui-même ses sacs de sable. «Les ouragans que j'ai vécus ont été assez violents. Les routes se transforment en rivières et ça fait un vacarme comparable à un train de marchandises qui passe au-dessus de nos têtes. Le vent est si fort que des clôtures de métal et des toitures s'envolent. J'ai vu des maisons de trois étages s'affaisser», a-t-il décrit.

Une vingtaine de mètres plus loin, Jim s'affairait à placarder les maisons d'un cottage. Sa famille respectera l'avis d'évacuation, a-t-il affirmé, même s'il est difficile d'abandonner sa maison. «On sait qu'il y aura des gens qui vont rester, mais les ponts qui nous relient à la terre ferme risquent d'être submergés, alors rendu là, ce sera chacun pour soi et Dieu sait ce qu'il peut vraiment arriver.»

 

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Les sismogrammes s'emballent partout sur la planète!

Pour le vérifier, le lien ci-dessous :

http://earthquake.usgs.gov/monitoring/operations/heliplot...

Pour vérifier les cataclysmes et les désastre en cours, voici un autre lien :

http://hisz.rsoe.hu/alertmap/index2.php

 

 

 

27/10/2012

Uranus se métamorphose

Est-ce un hasard si Uranus se transforme aussi ?

Est-ce que ce sont les hommes aussi et le Co2 qui pertubent Uranus ou les cycles cosmiques qui sont en cours ?

Uranus se métamorphose

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La planète géante Uranus, vue en infrarouge par le télescope américain Keck II. Crédit : NASA/ESA/L.A. Sromovsky

La lointaine planète gazeuse, observée avec le télescope de 10 m Keck II, à Hawaï, se révèle bien plus agitée que les astronomes ne le pensaient.

Pendant longtemps, les scientifiques n'ont eu comme image d'Uranus que celle transmise par Voyager 2 en 1986 : celle d'une planète bleue à l'atmosphère presque totalement uniforme. Il en résultait l'idée qu'Uranus, contrairement aux autres géantes gazeuses comme Jupiter, Saturne ou même Neptune (qui est plus éloignée du Soleil), était inerte.

Accumulation de tempêtes
L'astronome américain Lawrence Sromovsky a régulièrement observé Uranus avec le Keck II, au cours de ces dernières années. Sur les images les plus récentes, prises en infrarouge et rendues publiques lors d'une conférence à Reno (Californie) le 17 octobre 2012, on découvre une planète secouée par des vents de 900 km/h et des tempêtes aussi vastes que des continents terrestres, le tout à -220°C. Bref, tout le contraire que ce qu'avait révélé la sonde Voyager 2.

Une affaire de saisons ?
La différence tient vraisemblablement à la saison. Voyager 2 avait abordé l'autre planète bleue (mais qui affiche une masse de 14,5 fois celle de la Terre) en plein cœur de son été austral. Entre temps, elle s'est lentement déplacée sur son orbite, qu'elle boucle en 84 ans (durée de l'année sur Uranus). Et après un équinoxe survenu en 2007, c'est maintenant le printemps boréal.

Uranus par Voyager 2. Crédit : Nasa

Uranus, photographiée par Voyager 2 en 1986. Crédit : Nasa.

 

Dès 2004, plusieurs gros nuages sont apparus, lui donnant un faux air de Neptune. En août 2006, une tache sombre s'est développée. En 2011, les perturbations climatiques de la planète étaient même visibles depuis la Terre avec le télescope de 1 m du Pic du Midi. Aujourd'hui, les tempêtes se multiplient.

Ces changements radicaux sont attribués aux saisons. Les astronomes considèrent en effet que l'énergie venant de l'intérieur de la planète n'est pas suffisante pour engendrer de tels mécanismes atmosphériques. L'origine semble donc à chercher du côté du rayonnement reçu du Soleil. Même si Uranus reçoit 1/900 de l'énergie solaire de la Terre, l'extrême inclinaison de son axe polaire (98°) engendre des saisons très marquées.

 

L'agence spatiale européenne confirme que la magnétosphère est devenue une passoire

Le phénomène étant visible sur plusieurs planètes, ceci confirme que l'ensemble de notre système solaire est touché par les changements cosmiques qui se précisent.

Déjà en 2008 la Nasa avait découvert une énorme brèche dans le champ magnétique terrestre.

Magnétisme terrestre : Une importante brèche dans le champ magnétique observée par la NASA
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2009/01/04/magnet...

samedi 27 octobre 2012

L'agence spatiale européenne confirme que la magnétosphère est devenue une passoire

 

Cluster, le quatuor de satellites de l'ESA qui étudie la magnétosphère terrestre, a découvert que notre bulle protectrice magnétique laisse pénétrer le vent solaire  dans le cadre d'un éventail de conditions plus larges qu'on ne le croyait auparavant.

Le champ magnétique terrestre est la première ligne de défense de notre planète contre le bombardement du vent solaire. Ce flux de plasma est lancé par le Soleil et se déplace à travers le système solaire, emportant son propre champ magnétique avec lui.

Selon la façon dont le champ magnétique interplanétaire du vent solaire - IMF - est aligné avec le champ magnétique terrestre, différents phénomènes peuvent se produire dans l'environnement immédiat de la Terre.

Un procédé bien connu est la reconnexion magnétique, où les lignes de champ magnétique pointant dans des directions opposées se brisent spontanément et se reconnectent avec d'autres lignes de champ à proximité. Cela redirige leur charge de plasma dans la magnétosphère, ouvrant la porte au vent solaire et lui permettant d'atteindre la Terre.

Dans certaines circonstances, cela peut affecter la "météo spatiale", générant des aurores spectaculaires, interrompant les signaux GPS et affectant les systèmes électriques terrestres.
 
Le système Cluster


En 2006, Cluster a fait une découverte aussi surprenante qu'énorme, 40 000 km tourbillons de plasma situés le long de la limite de la magnétosphère - la magnétopause - pourraient permettre au vent solaire d'entrer, lorsque le champ magnétique terrestre et le champ IMF sont alignés.

Ces tourbillons ont été trouvés aux basses latitudes équatoriales, où les champs magnétiques sont le plus étroitement alignés.

Ces tourbillons géants sont entraînés par un processus connu sous le nom d'éffet Kelvin-Helmholtz (KH), ce qui peut se produire n'importe où dans la nature lorsque deux flux adjacents glissent les uns sur les autres à des vitesses différentes.

Les exemples incluent des vagues fouettées par le vent glissant sur la surface de l'océan, ou dans les nuages atmosphériques.

L'analyse des données du système Cluster a maintenant déterminé que les ondes KH peuvent également survenir dans un plus grand nombre d'emplacements de la magnétopause et quand les IMF sont disposés dans un certain nombre d'autres configurations, fournissant un mécanisme pour le transport continu du vent solaire dans la magnétosphère terrestre.

"Nous avons constaté que lorsque le champ magnétique interplanétaire est orienté vers l'ouest ou vers l'est, les couches limites de la magnétopause à des latitudes plus élevées deviennent plus sujettes à des instabilités KH, à des régions assez éloignées des observations antérieures de ces ondes», explique Kyoung-Joo Hwang du Goddard Space Flight Center de la NASA et principal auteur de l'étude publiée dans le Journal of Geophysical Research.

«En fait, il est très difficile d'imaginer une situation où le plasma du vent solaire ne pourrait pas pénétrer dans la magnétosphère, puisque ce n'est pas une bulle magnétique parfaite."

Les résultats confirment les prédictions théoriques et sont reproduites par les simulations présentées par les auteurs de la nouvelle étude.

"Le vent solaire peut entrer dans la magnétosphère à différents endroits et sous des conditions de champ magnétique que nous n'avions pas connue avant," dit le co-auteur Melvyn Goldstein, également du Goddard Space Flight Center.

"Cela suggère qu'il existe un « tamis comme «propriété de la magnétopause permettant au vent solaire de s'écouler en continu dans la magnétosphère."

L'effet KH est également observée dans les magnétosphères de Mercure et Saturne, et les nouveaux résultats suggèrent qu'il peut également  fournir un mécanisme d'entrée possible et continu de vent solaire dans les magnétosphères de ces planètes.

"Les observations de ces ondes limites par Cluster ont fourni une grande avance sur notre compréhension de vent solaire et des interactions de la magnétosphére, qui sont au cœur de la recherche météorologique de l'espace», explique Matt Taylor, scientifique de l'ESA Cluster projet.

"Dans ce cas, la séparation relativement faible des quatre satellites Cluster pendant qu'ils passaient par la magnétopause diurne à de hautes latitudes a donné un aperçu sur les processus microscopiques de brèches de la magnétopause permettant l'entrée directe de particules solaires dans l'atmosphère."

24 Octobre 2012

Earth’s magnetosphere behaves like a sieve


http://www.esa.int/esaCP/SEMOVAMFL8H_index_0.html


Traduction :
http://leschroniquesderorschach.blogspot.com/

http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2012/10/lagen...