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12/09/2010

Energie libre

Mercredi 11 janvier 2006 3 11 /01 /2006 19:37

Energie libre


Le moteur fonctionnant à l'énergie libre (énergie gratuite) de John Bedini existe depuis quinze ans. Il fonctionne selon les principes de l'électromagnétisme découverts par Nikola Tesla avant 1900 au cours de ses essais à Colorado Springs.(voir le site Internet www.keelynet.com)
{Magazine, Nexus, No 11, 11-12/2000}

Le 13/02/1998, l'Allemagne a accordé un brevet mondial aux fabricants d'une machine productrice d'énergie libre basée sur le carbone, une feuille mince de ce matériau étant capable de produire à perpétuité 400 watts d'électricité.
{Magazine, Horizons virtuels, No 1, 05/2002, Pile éternelle}

La pile de Joe est naturelle puisqu'elle fonctionne grâce à une force vitale (l'orgone). C'est le seul appareil producteur d'énergie conçu par l'homme et naturel qui permute directement la source d'énergie initiale et l'alimentation finale. Elle semble donc fournir une "énergie libre". (Livre "Experimenter's guide to the Joe Cell" (anglais), nutech@arc-net.au)
{Magazine, Nexus, No 7, 03-04/2000}

"De tous, d'entre les morts et les vivants, c'est Crookes qui s'en est approché le plus [NDLR: de la machine à énergie libre]. Son radiomètre fonctionnera à la lumière du jour ou dans l'obscurité nocturne. Il fonctionnera partout où il y a de la chaleur, et il y a de la chaleur partout." (Nikola Tesla, conférence de 1892)
...
Radiomètre de Crookes :
Crookes (sir William), Londres 1832 - 1919. Physicien britannique, il a isolé le thallium (1861) et montré que les rayons cathodiques sont des particules électrisées. Pour étudier les rayonnements, il construit le radiomètre (1875) puis "le tube de Crookes", source de rayons X inventé en 1879.
Constitué d'une sphère de verre dans laquelle on a fait un vide partiel, et d'un croisillon monté sur un axe. Ce croisillon est composé de 4 ailettes en mica, avec une face naturelle réfléchissante et une face noircie absorbante.
Utilisé dans des conditions habituelles, le radiomètre est éclairé en lumière blanche. Les ailettes tournent dans le sens tel que les faces noires "poussent".
...
L'appareil de Tesla destiné à capter l'énergie radiante du milieu naturel est décrit dans les brevets US N°685.957 et 685.958. Un condensateur est connecté à la terre via un conducteur métallique enfoncé dans le sol. L'autre borne du condensateur est connectée à une plaque de métal de grande surface élevée assez haut au-dessus du sol. Comme la plaque est sans cesse bombardée par de l'énergie radiante, elle se charge électriquement. Cette charge est emmagasinée dans le condensateur et cherche à s'échapper vers le sol. Couplés au condensateur se trouvent un commutateur et la charge qu'il faut actionner. Le commutateur envoie par pulsations l'énergie du condensateur vers la charge, transformant l'énergie radiante en courant électrique continu utilisable.
...
Ce sont les rayons qui arrivent la nuit que Tesla voulait domestiquer à l'aide de son récepteur à énergie libre. Mais ce fut un autre pionnier qui découvrit le secret permettant de capter cette énergie cosmique : le Docteur Thomas Moray (1892 - 1972).
{Magazine, Nexus, No 17, 11-12/2001, L'énergie libre}


-Vitesse de la lumière

Le Dr J.H. Sutton (NASA) s'aperçut que si les équations d'Einstein interdisaient de trouver suffisamment d'énergie pour accélérer une particule de masse finie à une vitesse supérieure à c, rien n'empêchait en revanche une particule "née avec une vitesse supérieure à c" de continuer tranquillement son chemin.
{Livre, Age cosmique aux USA (L'), Schiff J.M., Ed. Albin Michel}

En 1970, deux chercheurs britanniques (Allen et Endean) découvraient un champ électromagnétique dans lequel les particules se déplacent à une vitesse double de c.
{Livre, Age cosmique aux USA (L'), Schiff J.M., Ed. Albin Michel}

Marco Todeschini, scientifique italien : "les derniers résultats expérimentaux détruisent les postulats de la vitesse constante de la lumière qui sont depuis 1905 la base de toute théorie, la vitesse de la lumière dépend du système de référence, tout comme la vitesse de tout ce qui est en mouvement. Le rétrécissement des corps et du temps, établis par l'équation de Lorenz et qui est la base de la relativité de Einstein, n'existe pas en réalité !"
{Livre, Livre Jaune N° 5 (Le), Collectif d'auteurs, Ed. Félix}

Les tachyons sont de fines particules virtuelles, véhiculant de l'énergie réelle mais de masse imaginaire, qui se déplacent à une vitesse supérieure à celle de la lumière.
{Livre, Coucou, c'est Tesla, l'énergie libre, Collectif d'auteurs, Ed. Félix}

Tesla déclara en 1900 qu'il avait réussi expérimentalement à parvenir à la vitesse de 475000 km/seconde et à prouver qu'il y avait dans le cosmos des vitesses allant 50 fois plus vite que la lumière.
{Magazine, Nexus, No 12, 01-02/2001}

Mac Coll des laboratoires Bell de New Jersey écrivit dés 1932 qu'une particule traverse une barrière sans délai mesurable. Eugène Wigner de l'université de Princeton arriva à la conclusion en 1955 que dans certains cas des particules vont plus vite que la lumière dans un tunnel.
T.C. Hatmann avait émis l'hypothèse et prouvé dés 1962 que certains photons pouvaient atteindre une vitesse supraluminique.
Des expériences effectuées en 1992 par le physicien Günter Nimtz de l'université de Cologne en Allemagne, ont abouti à la multiplication de la vitesse de la lumière par 4,7.
En 1993, l'équipe de Raymond Chiao, Aephraïm Steinberg et Paul Kwiat, ont réussi à multiplier la vitesse de "c" par 1,7 fois à l'université de Berkeley en Californie.
{Livre, Armes de l'ombre (Les), Marc Filterman, Ed. Carnot, Collection Ciceron}

"Deux nouvelles expériences semblent suggérer que multiplier par trois cents la vitesse de la lumière est aujourd'hui possible. Rien ne peut excéder la vitesse de la lumière, selon les manuels de classe de tout étudiant. Si cela était possible, alors la théorie de la relativité d'Einstein s'écroulerait et les lois de la physique théorique sombrerait en pleine confusion. Cependant, en utilisant une combinaison d'effets atomiques et électromagnétiques, des chercheurs ont produits en laboratoire des rayons lumineux qui semblent se déplacer plus rapidement que la vitesse de la lumière. Il s'agit là d'une telle vitesse que dans ces conditions particulières, l'essentiel de l'impulsion électrique quitte la chambre d'expérimentation avant même d'y entrer. (The New York Times, par James Glanz, 30 mai 2000)
{Livre, Franchir le seuil du millénaire, Kryeon, Ed. Ariane}

L'hypothèse selon laquelle la vitesse réelle de l'électron doit toujours être la même, quelque soit sa distance, est erronée ! La vitesse et le taux vibratoire ne sont pas la même chose, et cette différence est en rapport avec la définition physique du nuage d'électron.
{Livre, Franchir le seuil du millénaire, Kryeon, Ed. Ariane}

La limitation de la vitesse de la lumière n'est que locale.
{Livre, Origine du monde (L'), Collectif d'auteurs, Ed. Félix}

 

http://gerald.over-blog.org/article-1578687.html...

 

Energie tachyon ou énergie libre que nous possédons en nous

On se demande parfois à quoi servent les scientifiques qui doutent que l'homme soit une centrale électrique ou magnétique liée à son environnement naturel, terrestre et cosmique. Il suffit de voir comment fonctionne les cellules où tout n'est que réaction schimiques et énergétiques  pour le comprendre. Si ce n'était pas le cas, comment pourraient-ils pratiquer les IRMN (Imagerie par Résonance Magnétique Nucléaire) ? Dans quels intérêts doivent-ils fabriquer des ignorants ?


"Nous pensons que l’Univers est extravagant,
mais il l’est encore plus que nous ne pouvons le concevoir. "


Richard Burdon Haldane dans un article de Wirtschafts Blatt

L’espace est certainement rempli par un champ d’énergie dont la concentration est extrêmement élevée.

Dans son discours d’ouverture du congrès de Hanovre, en 1980, le Pr. Eberhard Hamer dit que des scientifiques Japonais, Américains et Européens estiment sa tension à plus de 800 millions de volts par cm3. Ce champ n’appartient pas au spectre des ondes électromagnétiques, on le nomme champ de tachyon ou mer de neutrinos. Les tachyons sont de très petits éléments qui se déplacent plus vite que la lumière, mais pas obligatoirement.

Il est assez évident que la plupart des tachyons sont emmagasinés dans la structure atomique de la matière. Selon Koppitz, la vitesse du centre géométrique (V 50) de tout tachyon est identique à la vitesse de la lumière, c. La vitesse de la lumière est donc déterminée par la vitesse du champ de tachyon respectif. Des expériences expliquent aussi la perte de constance de la vitesse de la lumière. Si la vitesse de la lumière correspond à la moyenne géométrique de la somme des vitesses de tachyon, cela veut dire qu’elle change aussi en fonction des caractéristiques des modifications de ce champ.

W. Smith, physicien canadien disparu, écrivait que l’on supposait que la vitesse de la lumière était assez constante dans notre univers. On la définit comme étant le niveau auquel l’espace se déplace à l’intérieur du temps. Elle dépend des caractéristiques de temps du champ de tachyons. C’est seulement lorsque celles-ci demeurent constantes que la vitesse de la lumière reste elle aussi, constante. Mesurée à la surface de la terre, cette vitesse est loin d’être uniforme.

Il n’y a probablement qu’une petite partie des tachyons qui voyagent à une vitesse supérieure à celle de la lumière. La majorité d’entre eux reste relativement stationnaire, on les appelle bradyons. En raison de leur comportement oscillatoire (tremblotement comme dit Seike), ils ont une énergie énorme. Toute matière baigne dans un champ d’énergie extrêmement dense que nous ne pouvons percevoir. Voilà qui peut expliquer les apparitions de " fantôme " étayé par de nombreux résultats qui se produisent si souvent dans les expériences de photos Kirlian.

La photo Kirlian permet d’obtenir une image sur plaque sensible de toute matière biologique vivante, selon l'exemple suivant. On expose en général pendant huit heures une feuille fraîchement cueillie. Si l’on coupe un petit morceau de feuille avant de prendre la photo, l’image de la feuille demeure complète, partie manquante comprise. L’espace doit donc posséder des caractéristiques qui lui permettent de retenir l’impression de la matière qui y était précédemment contenue (au moins pendant plusieurs heures). C’est le concept de champ de bradyons au repos, mais doté d’une importante énergie qui peut expliquer ce phénomène Kirlian.

Mais, l’accélération gravitationnelle peut être expliquée seulement par des tachyons s’entrecroisant dans l’espace. L’effet de bouclier produit par la proximité d’une masse a pour résultat l’accélération d’une seconde masse vers une précédente, et vice versa. L’accélération gravitationnelle est un phénomène de pression, la compréhension de sa force d’impulsion résidant dans son caractère d’absorption (Magyari, Nieper, Kooy etc.)

Selon les connaissances actuelles, il est évident que l'on on peut transformer l’énergie tachyon en d’autres formes d’énergie. Voici diverses voies.

1.-Le champ de tachyon qui détermine la vitesse de la lumière et l’accélération gravitationnelle est capable de traverser n’importe quelle masse, mais cède à celle-ci par l’effet de freinage, une partie de son énergie. En traversant la Terre, les champs de tachyons perdraient à peu près 4 % de leur énergie, ce qui entraînerait un échauffement de la masse terrestre (géothermie). Il s’agit d’une estimation basée sur des comparaisons avec Jupiter (comme l'explique le Dr Nieper) et sur les exemples fournis par les recherches sur la Lune et Vénus qui donnent maintenant des bases expérimentales assez bonnes pour comprendre la production d’énergie, d’origine externe, dans le cœur des masses. Si l’on considère les besoins en énergie des humains, il ne fait cependant aucun doute que ce champ de tachyons est extrêmement riche.

2.-Towsend Brown a eu une place très importante dans le domaine des champs magnétiques et électromagnétiques qui sont en mesure d’intercepter l’énergie tachyonique. Ce pouvoir semble croître exponentiellement à la tension du condensateur utilisé à cet effet. Des masses dont le degré d’induction magnétique est très élevé doivent être à même d’intercepter une importante quantité d’énergie tachyon (cas de la lune de Jupiter Io ?)

3.- Des variations de tension (voltage) extrêmement rapides arracheraient également de l’énergie au champ de tachyons. Un moteur se base sur ce principe : celui de Gray. (voir aussi Kromrey)

4.- La marge qui sépare les ondes électromagnétiques des champs de tachyons semble réduite par les ondes stationnaires et certains types de modulations. Cet effet permettrait de convertir l’énergie de l’espace en énergie utilisable. C’est sur ce principe que Nikola Tesla a fait ses recherches, il y a plus de 100 ans. C’est ce que les spécialistes appellent aujourd’hui, l’Interféromètre de Tesla. Dès cette époque Tesla avait pu extraire une énergie électrique utile et il avait dit qu’il croyait que l’humanité capterait partout, la puissance illimitée, et ce, bien avant que de nombreuses générations ne soient passées. Récemment, son principe a été développé sous forme de canon Tesla, où les ondes électromagnétiques prennent la forme de faisceau laser, captant ainsi une énergie supplémentaire provenant du champ de tachyons. Ce rayon peut être ainsi une arme puissante à longue portée. En 1889, Tesla avait dirigé son canon sur une plaque éloignée, allumant plus de lampes que ne l’aurait fait l’énergie entrant dans son canon. Le physicien américain Moray, en 1929, n’a pas tiré avec ces ondes modifiées dans l’espace. Au lieu de cela, il les a dirigées dans un câble isolé de 15 mètres de long, produisant un courant continu de 70 kW !

5.- En culbutant brutalement le plan d’un système giratoire, il est possible aussi d’extraire de l’énergie du champ de tachyons. L’accélération qui en résulterait conduirait soit à des effets antigravitationnels soit à l’obtention de courant électrique, ou bien aux deux à la fois. Ces systèmes sont connus sous le nom de disque de Faraday (un aimant en rotation) et un " pivot  " de Laithwaite (gyroscope mécanique tournant à la périphérie d’un gyroscope central). (Voir N-Machine de De Palma et le disque flottant de l’anglais Searl).

6.- Les bobines conçues selon le principe de la bande de Moebius (ruban continu avec une seule face obtenu en collant bout à bout les deux extrémités d'une bande de papier après une demi rotation autour de son axe longitudinal) ou de la bouteille de Klein (corps fermé sur lui-même qui ne possède qu'une seule face et ne présente aucune délimitation tranchée) auraient pour effet d’enfermer les énergies de champ électrique que l’on y envoie. Du fait de la forme particulière, fermée sur elle-même, il serait possible, en faisant passer de l’énergie dans les noyaux de fer des bobines de produire une induction électromagnétique supérieure à celle que l’on obtient avec des électro-aimants ordinaires. Les solénoïdes émettraient alors, dans la direction axiale un faisceau de tachyons assez puissant pour fondre des pierres ou des métaux.

7.- Il est évident que, selon l’axiome de Nieper, toutes les accélérations naturelles sont basées sur un principe simple, à savoir, l’interception de tachyons non isotropiques. C’est vrai dans le cas de l’accélération gravitationnelle, magnétique, électromagnétique, électrostatique et radiesthésique. Cela signifie au fond que toutes ces accélérations pourraient être échangeables par des manipulations expérimentales. (voir Howard Johnson)

8.- Il existe une sorte de conversion d’énergie tachyon en chaleur qui affecte particulièrement les organismes biologiques, y compris ceux des humains. C’est le cas d’ espaces entourés de membranes conductrices. (Voir W. Reich et F. A. Popp, biophysicien allemand et le " Condensateur humain " du Dr Nieper). Pour ce dernier, il n’y a aucun doute : on peut réaliser la conversion de l’énergie tachyon, sans recourir à de lourdes infrastructures centralisées coûteuses nécessitant des câbles ni au pétrole : de petites entreprises peuvent construire des générateurs bon marché, aux principes simples.

Le Dr Nieper écrit :

" Imaginez-vous dans le dôme de Saint-Pierre, ou mieux, à l’Astrodôme à Houston. Au centre est suspendue une balle de golf, et sur le pourtour extérieur de ce grand espace, une hirondelle tourne en rond. C’est là une image approximative de l’atome d’hydrogène qui montre à la fois la petite masse et l’espace existant dans un atome. Imaginez maintenant que cet espace est rempli d’une nuée de moustiques, dont la plupart restent sur place. Certains, moins nombreux, traversent l’espace ; ils viennent de toutes parts et vont dans toutes les directions, leur vrombissement montrant leur énergie. Si on peut appeler tachyon chaque moustique de la nuée errante, ceux des nuées stationnaires s’appellent bradyons. Sans aucun doute, les tachyons ne sont pas reliés à la vitesse de la lumière. Mais celle-ci est plutôt définie par la vitesse moyenne du champ de tachyons. C’est pour cette raison que contrairement aux suppositions antérieures, la vitesse de la lumière n’est pas une constante. Quelques moustiques "  tachyons " frapperont le noyau, c’est à dire la balle de golf. Si l’impact est plus fort d’un côté que de l’autre, la balle sera poussée dans la direction du plus faible impact. C’est ce qu’on appelle l’accélération gravitationnelle en physique."

L’expérience de Michelson Morley





En 1881 et 1887, Michelson et Morley ont construit un interféromètre consistant en deux bras perpendiculaires pivotant sur un bain de mercure. Une modification des franges d’interférences entre les rayons parcourant les deux bras, réfléchis par des miroirs, devait révéler une différence de vitesse selon que le chemin parcouru était parallèle ou perpendiculaire au mouvement de la terre. Mais on ne put déceler la présence d’aucun vent d’éther. Fitzgerald et Lorentz émirent alors une hypothèse radicale : les bras de l’interféromètre se contracteraient au cours du mouvement de manière à compenser le vent d’éther. Plus tard, Poincaré reprit cette hypothèse.

Une explication de cette preuve expérimentale qui est devenue un dogme a été la négation de l’existence de l’éther. D’autres explications consistent à dire que l’éther est entraîné avec la Terre, et que les instruments de mesure sont faussés dans le sens du déplacement de la Terre, lorsqu’ils montrent que la vitesse de la lumière est apparemment la même dans les deux directions.

En Mai 1978, R. A. Muller a publié un article expliquant le nouveau mouvement de l’éther. Ses mesures montrent que le rayonnement de fond venant de l’espace aurait une légère déviation, par rapport à celle qui est partout hors du système solaire. L’interprétation de cette non uniformité dans les radiations est que le système solaire se déplace dans une direction à environ 600 km / seconde. Le mouvement peut comprendre plus que le seul système solaire. Muller suggère qu’un immense volume d’espace dont le diamètre se compte en années lumière, se déplace en rapport avec l’univers lointain. Muller estime donc que la mesure directe d’une partie des émanations électromagnétiques de notre univers montre qu’il y a là une sorte d’éther, et que la Terre se déplace en relation avec lui. Cette découverte vient en contradiction des mesures optiques faites par Michelson et Morley et qui sont devenues improprement la base de la négation de l’énergie de l’espace.

Texte intégral de la conférence donnée à Leyde en 1920 par Albert Einstein intitulée
" L'éther et la théorie de la relativité "

L'éther

La force qui vient de nulle part.

" L’énergie du vide exerce une pression sur toute chose. Normalement cette pression n’a qu’un effet faible puisqu’elle provient de toutes les directions à la fois et s’annule presque. Mais si 2 atomes sont proches, chacun fera office d’écran à cette pression vis à vis de l’autre. Il y aura un tout petit peu moins de pression du côté de l’atome voisin que dans une autre direction, ce qui fait que les atomes vont avoir tendance à se déplacer ensemble : c’est la force de Van der Waals. Bien que faible, elle a suffisamment de force pour que les atomes et les molécules se tiennent ensemble dans les gaz et les liquides. " (The Economist Juillet 1989)


Nous reviendrons sur la relation entre tachyon et gravitation dans notre prochain dossier.

QUELQUES MOTS SUR LES AIMANTS

Le concept des domaines pour les aimants avait été défini par le chercheur français Pierre Weiss, en 1907. Les domaines (normalement présents dans les dispositions aléatoires) désignent de petites unités, constituées peut-être seulement de quelques atomes de fer, qui sont en eux-mêmes des champs magnétiques. C’est seulement lorsque les axes magnétiques de la plupart de ces domaines sont parallèles qu’un morceau de fer montre ses propriétés magnétiques. Cela peut être sous l’influence d’un champ électrique (magnétisation électromagnétique), ou bien les domaines peuvent être en parallèle en raison de quelque entrecroisement interne. Ce sont alors des aimants statiques.

Dans quelques alliages au samarium (sm) (la Chine qui possède les plus importants gisements de samarium du monde est devenue un leader dans cette recherche) et au cobalt (co), on peut améliorer énormément cette disposition des domaines en parallèle. On soumet ces alliages fondus à un champ magnétique puissant, leur orientation magnétique persiste après refroidissement. Des influences électromagnétiques ultérieures et même des essais d’inversion des pôles modifient très peu le comportement statique de tels super-aimants. On a ainsi découvert, en 1959, qu’un alliage sm1co5convenait bien pour fabriquer des super-aimants, plusieurs centaines de fois plus puissants que des aimants en fer. En 1977, des expériences ont été menées en Suisse et au Japon avec des super-aimants en alliage sm2co17, que l’on appelle aujourd’hui super-superaimants. Selon B.E. Wallace, ces super super-aimants sont 30 millions de fois plus puissants que des aimants de fer statiques.

B. E. Wallace, Professeur à l’Institut de chimie de l’Université de Pittsburgh, un des scientifiques de pointe dans le domaine des superaimants dont il a découvert en 1959, la manière de les fabriquer. Il a fait paraître dans Sciences, publication de l'Académie des Sciences de New York (dont faisait partie le Dr Nieper), en mai - juin 1981, un article intitulé " Domaines éminents." Son article avait pour sous titre " Comment les super-aimants captent une force élémentaire " ce qui renvoie implicitement à l'énergie de gravitation.

Takahashi (dont il sera très bientôt question) utilise, lui de l’yttrium dans ses aimants encore plus puissants que ceux au samarium.

Ces recherches sont très importantes pour la conversion de l’énergie du champ de gravité, les technologies des N-Machines, ainsi que pour les convertisseurs basés sur le principe Tesla-Moray-Seike. Ceux-ci pourraient atteindre des dimensions totalement nouvelles avec l’invention de super-aimants, on pourrait avoir des moteurs électriques très petits, avec une sortie de courant élevée.

Autre exemple : le convertisseur de Johnson. En 1981, un scientifique américain écrivait : "Un petit groupe de l’état de Washington (probablement proche de Boeing, mais pas vraiment dans la Compagnie, cherche en ce moment des partenaires Européens car il possède un moteur de Johnson de construction simplifiée. Comptant sur la baisse du prix des aimants, il projette de sortir, à titre d’essai, des convertisseurs utilisant des aimants Sm Co au prix de $30.000 pour un modèle de 50 kW. " Le programme serait limité aux modèles convenant au marché domestique de 10 à 50 kW (13,5 à 67 CV).

Sommes-nous magnétiques ?

Les biologistes sont restés longtemps perplexes au sujet du lien entre l’électromagnétisme et les maladies telles que les leucémies, les cancers, et aussi le stress. Joseph Kirchvink, directeur de recherche à Caltech (California Institute of Technology) apporte une réponse. Il a découvert au printemps 1993 des cristaux de magnétite dans le cerveau humain.

Il dit :" La magnétite est le premier aimant permanent découvert dans les tissus humains, et elle possède de nouvelles et originales propriétés physiques. La découverte s’est faite d’une façon tout à fait simple. Dans une chambre stérile, sans poussière, et protégée du magnétisme, on a placé un aimant et, dans une ampoule scellée, du tissu cérébral humain. Au bout d’une semaine, les cristaux de magnétite de l’échantillon ont migré vers l’aimant. Un dé à coudre de tissu contient environ 5 millions de cristaux. Le cerveau peut les utiliser pour s’orienter vers le haut ou le bas ou pour une fonction biologique. On peut supposer qu’ils sont associés aux canaux utilisés par les ions pour régulariser le débit des substances à l’intérieur et à l’extérieur des cellules. Lorsqu’ils sont exposés à des champs électriques, les minuscules aimants peuvent se réorienter et aussi bien ouvrir les canaux que les fermer. Voilà qui peut affecter la santé et le fonctionnement cellulaire. Si des lignes électriques éloignées sont sans effets, des champs plus forts, comme ceux des fils dans les murs, des couvertures chauffantes, des cuisinières ou des sèche-cheveux peuvent augmenter les risques."

Rappelons que le Pr Rocard, en France, scientifique de renom, avait déjà publié d’importants résultats de recherche relatifs à la radiesthésie et à la présence de cristaux magnétiques dans le corps humain.

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Chercheurs, théoriciens, personnes qui oeuvrent pour faire connaître l'énergie libre

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11/09/2010

L'homme superlumineux et la médecine superlumineuse par le Pr Régis Dutheil

Quand vous aurez lu ces livres, comme ceux que nous vous  avons proposés dans des articles précédents, vous n'aurez plus aucun doute sur le fait que nous soyons tous des êtres de Lumière en incarnation, venus vivre des expériences terrestres et toujours en évolution.

La théorie du Pr Régis DUTHEIL repose notamment sur l'existence de particules supralumineuses appelées les tachyons, qui nous arrivent à partir d'un espace supralumineux, parallèle à celui que nous connaissons, là où l'espace temps n'existe pas, et où tout est inscrit au temps présent: le passé, le présent, l'avenir. Ce qui correspond aux grandes mémoires akachiques de l'Univers.

Cette théorie a été reprise et complétée par le Pr Jean-Pierre Garnier Mallet qui a développé sa théorie sur le dédoublement du temps, et qui a écrit notamment, le livre : Le Double comment ça marche ? Ce qui revient à dire que la séparation d'avec notre source lumineuse créatrice n'est qu'une illusion.

 

Présentation de l'éditeur

L’hypothèse ? Il existe un univers complémentaire et symétrique au nôtre, où les vitesses sont toujours supérieures à celle de la lumière. Une hypothèse qui rejoint les intuitions de certains philosophes de l’Antiquité et bouleverse les notions de naissance et de mort. Pour la première fois sont réunies les approches philosophiques les plus anciennes et les dernières découvertes de la physique moderne.

Quatrième de couverture

Grâce aux nouveaux accélérateurs de particules, les physiciens arrivent à propulser des particules à une vitesse proche de celle de la lumière. A ces vitesses extrêmes, les lois qui régissent notre univers n'ont plus cours. Ces travaux en physique fondamentale ont conduit le Pr Régis Dutheil à construire un modèle rendant compte de la complexité de notre monde. L'hypothèse ? Il existe un second univers complémentaire et symétrique au nôtre, où les vitesses sont toujours supérieures à celle de la lumière. Dans cet univers, notre notion de temps n'existe plus puisqu'on peut se déplacer de manière instantanée dans le passé, le présent ou le futur. Cet univers, qu'il a baptisé " espace-temps superlumineux ", n'est constitué que d'informations et de conscience : toutes les informations (passé, présent, futur) et la conscience de toute l'humanité. Une hypothèse qui rejoint les intuitions de certains philosophes de l'Antiquité et bouleverse les notions même de naissance et de mort. 


10/09/2010

Pour changer le monde découvrons qui nous sommes vraiment !

Acceptons ce que nous sommes pour nous changer et changer le monde.

C'est ce que nous explique James Redfield au cours de la série de ces manuscrits passionnants.

À l'origine, un manuscrit fabuleux rédigé six cents ans avant J.-C. et une prophétie : notre société va subir un grand bouleversement. Intrigué, le héros de cette histoire s'envole pour le Pérou à la recherche du mystérieux grimoire, objet de toutes les convoitises, qui va transformer sa vie. Commence alors une aventure magique et enchanteresse, une dangereuse initiation: une quête en neuf étapes qui le mène du sommet des Andes au cœur de la forêt amazonienne sur la voie des révélations de la vie. Quand, au terme de son périple, le héros découvre le vrai sens de son existence, c'est notre propre quête qui débute. Pour James Redfield, si nous restons attentifs et savons percevoir le grand mystère de l'existence, nous nous apercevrons que nous avons été judicieusement placés, à l'endroit adéquat... pour changer quelque chose en ce monde.

Dans l'ordre chronologique de lecture.

 La prophétie des Andes
Et si les coïncidences révélaient le sens de la vie

La dixième prophétie
L'accomplissement des neuf révélations et la découverte des clés de l'après-vie

L'expérience de la dixième prophétie

La vision des Andes
Intégrez vos expériences mystiques dans la vie quotidienne

Les leçons de vie de la prophétie des Andes
Découvrez votre mission sur terre

Le secret de Shambhala
La onzième prophétie révélée

Et les hommes deviendront des dieux
Éveillez votre potentiel spirituel


 

 

 

 

Notre capacité à changer le monde réside en nous !

et dans notre volonté à vouloir le changer.

Les élites et les religieux l'ont bien compris. Les uns pour pratiquer la division entre les familles et les peuples, pour nous empêcher de nous rassembler et de rassembler nos énergies, et les religions en inventant le baptême des masses, afin de créer une égrégore d'énergies qui est favorable à leur développement. Surtout lorsque certaines religions demandent à leurs fidèles de prier pour leurs chapelles et qu'elles s'octroient le titre de sainte église universelle.


Voilà ce que nous sommes réellement. Des antennes ou capteurs d'énergies que nous pouvons transformer et transmettre autour de nous. Ces énergies libres, renouvelables et durables sont  en nous. Ces énergies inépuisables nous les puisons directement dans l'Univers qui les tient gratuitement à notre disposition et il suffit d'apprendre à les demander.


Quand allons-nous nous rassembler pour demander ces énergies afin de créer une égrégore mondiale de lumière pour changer le monde et le recréer nouveau ?

 

Projet Conscience Globale : des liens avec des évènements planétaires majeurs existent

Le Projet Conscience Globale (Global Consciousness Project ou GCP) est un programme scientifique hors du commun. Depuis douze ans, une équipe installée dans un laboratoire de l’université de Princeton recueille et traite les données qui lui parviennent d’un réseau de générateurs de nombres aléatoires (Gnfl) répartis sur la planète. Qu’observent-ils? Des déviations en lien avec des événements planétaires majeurs!


 
Les générateurs de nombres aléatoires (GNA) sont des dispositifs électroniques couplés à des ordinateurs qui simulent la production de hasard, en utilisant un processus quantique qui équivaut à quatre cents lancers à pile ou face par seconde. Un GNA « produit » donc du hasard en générant autant de piles (ou 0) que de faces (ou l) pendant une période donnée. En temps normal, on obtient autant de 0 que de 1 et cela se traduit par une ligne de base qui sépare les données en deux parties égales. Dans les années 1970, des chercheurs du laboratoire PEAR (Princeton Engineering Anomalies Research) ont utilisé ces dispositifs pour savoir si un individu était capable de les influencer, en déviant la ligne du hasard. À leur grande surprise, ils ont réalisé que c’était bien le cas. Ils ont alors émis l’hypothèse qu’un groupe se concentrant aurait    ^ une influence encore plus forte - ce qui fut également confirmé -, puis que l’effet devrait être d’autant plus fort que les membres seraient nombreux. Placés dans des stades lors de rencontres sportives, ou dans des salles de concert, les GNA ont montré une déviation plus marquée. Mais cette fois, l’effet se produisait à l’insu des participants !

Lady Di
C’est ce même principe qu’utilise le GCP, sauf qu’au lieu d’avoir un GNA, il y en a aujourd’hui soixante-cinq répartis dans le monde entier. À la suite de ces résultats préliminaires, l’équipe du GCP a émis l’hypothèse que des événements importants dans le monde pouvaient générer une conscience  de  groupe  capable d’interférer avec les GNA.

Aussi farfelu que cela puisse sembler, ils ont fait la prédiction que les funérailles de Lady Di en 1997 allaient générer un tel effet en mobilisant l’attention, et l’émotion, d’un grand nombre de personnes. Et ce fut le cas! Compte tenu des remarques et des critiques reçues, l’équipe du GCP n’a cessé d’affiner sa méthode et en particulier le traitement statistique des données. « Nous faisons cela depuis plus de douze ans, a expliqué Roger Nelson lors de sa présentation à la journée IMI-PA. Donc il est clair que nous nous assurons qu’il s’agit bien de science, en particulier en matière de traitement des données. »

11 -Septembre
Le principe consiste à faire la prédiction qu’un événement choisi produira une déviation dans la moyenne des données issues du réseau de GNA, au cours d’une période dont on détermine précisément le début et la fin. En effet, il ne s’agit pas de piocher dans les données et de relier toute déviation observée à un événement car - et c’est la critique la plus fréquente - il se produit à chaque instant dans le monde des événements qui mobilisent l’attention de nombreuses personnes. « Cette remarque est justifiée, estime Roger Nelson. Mais ce que nous faisons consiste en fait à prêever des échantillons parmi ces événements et à les tester, » Comme on pourrait s’y attendre, l’événement qui a généré la déviation la plus importante s’est produit le 11 septembre 2001*. Une forme de conscience collective se serait-elle manifestée ce jour-là? Pour ceux qui sont ouverts à une telle idée, cela n’aurait rien d’étonnant tant les événements de cette journée ont marner les « esprits » et ont généré non seulement une atte-massive, mais aussi une émotion considérable.

Tsunami de 2004
Car l’équipe de Roger Nelson a constaté que le degré d’implication émotionnelle était un facteur clé. Ainsi les événements qui produisent les résultats les plus significatifs ont une composante émotionnelle forte: le tsunami de l’océan Indien en 2004, les tremblements de terre, les attentats, mais aussi l’élection d’Obama.
En cherchant plus en détail, Nelson et son équipe remarquent que la nature de l’émotion en jeu conduit à une différence significative. Ainsi, les émotions impliquées lors des Jeux olympiques ou la Coupe du monde de football ne sont pas les mêmes que lors d’une méditation mondiale par exemple… S’agit-il de joie, de peur, de colère ? Eh bien c’est lorsque l’événement entraîne un sentiment partagé de compassion que l’effet est le plus marqué, explique Roger Nelson. « Ce résultat est emblématique de tout ce que le programme semble montrer, poursuit-il. À savoir qu’il existe une connexion forte entre les individus. »
Le hasard hors de cause
La synthèse des résultats de douze ans de mesures est parlante : trois cent vingt-quatre tests formels ont été réalisés sur des événements de plus ou moins grande importance à l’échelle mondiale. La déviation par rapport à la moyenne des données, donc par rapport à la ligne du hasard, est statistiquement significative au point qu’il y a une chance sur un milliard pour que le résultat global soit dû au hasard ! Bien sûr, il est à ce jour impossible d’expliquer ces observations en l’absence d’un modèle scientifique qui inclurait la conscience comme ayant une réalité, ou en tout cas une influence, au plan physique.

Modifier notre évolution ?
Plusieurs chercheurs réfléchissent aujourd’hui à un tel modèle, comme nous le verrons dans les pages suivantes. « De mon point de vue, ces résultats sont une extension des observations faites lors des expériences de parapsychologie, conclut Roger Nelson. Tout d’abord, ils amènent à penser que la conscience est une réalité et qu’elle peut affecter le cours des choses. En second lieu, on peut penser qu’elle n’est pas localisée dans le cerveau, et même que son influence est non locale, c’est-à-dire indépendante de la distance. Un dernier point, plus spéculatif, est que la conscience serait créative, dans le sens où elle pourrait influencer le cours de la réalité. On pourrait alors modifier ce que nous sommes et notre propre évolution par la conscience que nous avons de la réalité. »

*Le plus étonnant est peut-être que la déviation commence à se manifester juste avant le premier crash !

Source NEXUS Octobre 2010