Notre capacité à changer le monde réside en nous ! (10/09/2010)

et dans notre volonté à vouloir le changer.

Les élites et les religieux l'ont bien compris. Les uns pour pratiquer la division entre les familles et les peuples, pour nous empêcher de nous rassembler et de rassembler nos énergies, et les religions en inventant le baptême des masses, afin de créer une égrégore d'énergies qui est favorable à leur développement. Surtout lorsque certaines religions demandent à leurs fidèles de prier pour leurs chapelles et qu'elles s'octroient le titre de sainte église universelle.


Voilà ce que nous sommes réellement. Des antennes ou capteurs d'énergies que nous pouvons transformer et transmettre autour de nous. Ces énergies libres, renouvelables et durables sont  en nous. Ces énergies inépuisables nous les puisons directement dans l'Univers qui les tient gratuitement à notre disposition et il suffit d'apprendre à les demander.


Quand allons-nous nous rassembler pour demander ces énergies afin de créer une égrégore mondiale de lumière pour changer le monde et le recréer nouveau ?

 

Projet Conscience Globale : des liens avec des évènements planétaires majeurs existent

Le Projet Conscience Globale (Global Consciousness Project ou GCP) est un programme scientifique hors du commun. Depuis douze ans, une équipe installée dans un laboratoire de l’université de Princeton recueille et traite les données qui lui parviennent d’un réseau de générateurs de nombres aléatoires (Gnfl) répartis sur la planète. Qu’observent-ils? Des déviations en lien avec des événements planétaires majeurs!


 
Les générateurs de nombres aléatoires (GNA) sont des dispositifs électroniques couplés à des ordinateurs qui simulent la production de hasard, en utilisant un processus quantique qui équivaut à quatre cents lancers à pile ou face par seconde. Un GNA « produit » donc du hasard en générant autant de piles (ou 0) que de faces (ou l) pendant une période donnée. En temps normal, on obtient autant de 0 que de 1 et cela se traduit par une ligne de base qui sépare les données en deux parties égales. Dans les années 1970, des chercheurs du laboratoire PEAR (Princeton Engineering Anomalies Research) ont utilisé ces dispositifs pour savoir si un individu était capable de les influencer, en déviant la ligne du hasard. À leur grande surprise, ils ont réalisé que c’était bien le cas. Ils ont alors émis l’hypothèse qu’un groupe se concentrant aurait    ^ une influence encore plus forte - ce qui fut également confirmé -, puis que l’effet devrait être d’autant plus fort que les membres seraient nombreux. Placés dans des stades lors de rencontres sportives, ou dans des salles de concert, les GNA ont montré une déviation plus marquée. Mais cette fois, l’effet se produisait à l’insu des participants !

Lady Di
C’est ce même principe qu’utilise le GCP, sauf qu’au lieu d’avoir un GNA, il y en a aujourd’hui soixante-cinq répartis dans le monde entier. À la suite de ces résultats préliminaires, l’équipe du GCP a émis l’hypothèse que des événements importants dans le monde pouvaient générer une conscience  de  groupe  capable d’interférer avec les GNA.

Aussi farfelu que cela puisse sembler, ils ont fait la prédiction que les funérailles de Lady Di en 1997 allaient générer un tel effet en mobilisant l’attention, et l’émotion, d’un grand nombre de personnes. Et ce fut le cas! Compte tenu des remarques et des critiques reçues, l’équipe du GCP n’a cessé d’affiner sa méthode et en particulier le traitement statistique des données. « Nous faisons cela depuis plus de douze ans, a expliqué Roger Nelson lors de sa présentation à la journée IMI-PA. Donc il est clair que nous nous assurons qu’il s’agit bien de science, en particulier en matière de traitement des données. »

11 -Septembre
Le principe consiste à faire la prédiction qu’un événement choisi produira une déviation dans la moyenne des données issues du réseau de GNA, au cours d’une période dont on détermine précisément le début et la fin. En effet, il ne s’agit pas de piocher dans les données et de relier toute déviation observée à un événement car - et c’est la critique la plus fréquente - il se produit à chaque instant dans le monde des événements qui mobilisent l’attention de nombreuses personnes. « Cette remarque est justifiée, estime Roger Nelson. Mais ce que nous faisons consiste en fait à prêever des échantillons parmi ces événements et à les tester, » Comme on pourrait s’y attendre, l’événement qui a généré la déviation la plus importante s’est produit le 11 septembre 2001*. Une forme de conscience collective se serait-elle manifestée ce jour-là? Pour ceux qui sont ouverts à une telle idée, cela n’aurait rien d’étonnant tant les événements de cette journée ont marner les « esprits » et ont généré non seulement une atte-massive, mais aussi une émotion considérable.

Tsunami de 2004
Car l’équipe de Roger Nelson a constaté que le degré d’implication émotionnelle était un facteur clé. Ainsi les événements qui produisent les résultats les plus significatifs ont une composante émotionnelle forte: le tsunami de l’océan Indien en 2004, les tremblements de terre, les attentats, mais aussi l’élection d’Obama.
En cherchant plus en détail, Nelson et son équipe remarquent que la nature de l’émotion en jeu conduit à une différence significative. Ainsi, les émotions impliquées lors des Jeux olympiques ou la Coupe du monde de football ne sont pas les mêmes que lors d’une méditation mondiale par exemple… S’agit-il de joie, de peur, de colère ? Eh bien c’est lorsque l’événement entraîne un sentiment partagé de compassion que l’effet est le plus marqué, explique Roger Nelson. « Ce résultat est emblématique de tout ce que le programme semble montrer, poursuit-il. À savoir qu’il existe une connexion forte entre les individus. »
Le hasard hors de cause
La synthèse des résultats de douze ans de mesures est parlante : trois cent vingt-quatre tests formels ont été réalisés sur des événements de plus ou moins grande importance à l’échelle mondiale. La déviation par rapport à la moyenne des données, donc par rapport à la ligne du hasard, est statistiquement significative au point qu’il y a une chance sur un milliard pour que le résultat global soit dû au hasard ! Bien sûr, il est à ce jour impossible d’expliquer ces observations en l’absence d’un modèle scientifique qui inclurait la conscience comme ayant une réalité, ou en tout cas une influence, au plan physique.

Modifier notre évolution ?
Plusieurs chercheurs réfléchissent aujourd’hui à un tel modèle, comme nous le verrons dans les pages suivantes. « De mon point de vue, ces résultats sont une extension des observations faites lors des expériences de parapsychologie, conclut Roger Nelson. Tout d’abord, ils amènent à penser que la conscience est une réalité et qu’elle peut affecter le cours des choses. En second lieu, on peut penser qu’elle n’est pas localisée dans le cerveau, et même que son influence est non locale, c’est-à-dire indépendante de la distance. Un dernier point, plus spéculatif, est que la conscience serait créative, dans le sens où elle pourrait influencer le cours de la réalité. On pourrait alors modifier ce que nous sommes et notre propre évolution par la conscience que nous avons de la réalité. »

*Le plus étonnant est peut-être que la déviation commence à se manifester juste avant le premier crash !

Source NEXUS Octobre 2010


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