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01/02/2010

Davos 2010 : une belle querelle entre les présidents et les banquiers

Bien sûr nous allons croire qu'il s'agit d'une belle querelle entre les présidents et les banquiers !
Les campagnes des politiques sont financées par les banquiers qui choisissent leurs meilleurs VRP et ils voudraient nous faire croire qu'ils se disputent !

Si les politiques étaient honnêtes cela ferait belle lurette qu'ils auraient déchu les banquiers de leur monopole sur la finance !

Débats

Davos 2010 : une belle querelle entre les présidents et les banquiers

Dossier: Forum économique mondial de Davos

Davos 2010 : une belle querelle entre les présidents et les banquiers
Davos 2010 : une belle querelle entre les présidents et les banquiers
20:09 01/02/2010
© REUTERS/ Michael Buholzer
Par Vlad Grinkevitch, RIA Novosti

La principale intrigue du forum économique actuel de Davos réside dans la proposition du président américain Barack Obama d’interdire officiellement aux banques de se livrer à la spéculation et de financer des fonds spéculatifs. En réponse, les banquiers prédisent de grands troubles dans l’économie mondiale et brandissent la menace de fuites de capitaux.

Le président américain et son équipe ont l’intention d’obtenir du Congrès l’interdiction aux banques d’investir dans les "hedge funds" et les fonds d’investissement privés dans les opérations sur des titres n’ayant rien à voir avec les services aux clients. Cette idée a été appréciée par les dirigeants de plusieurs États. « Nous continuerons à faire courir des risques insoutenables à l’économie, à encourager la spéculation, si nous ne changeons pas la réglementation bancaire » a déclaré le président français Nicolas Sarkozy. Alexeï Koudrine, premier vice-premier ministre russe, a également invité à soutenir la politique des États-Unis en affirmant : « Il faut soutenir les mesures annoncées par les Etats-Unis, car l’administration Obama est dans la situation la plus délicate ».

Dans l’ensemble, les arguments des hommes politiques sont clairs : la surchauffe spéculative de l’économie a été la cause de la crise économique. La situation se répète puisqu’une bonne partie des sommes affectées par les États à la lutte contre la crise (les Etats-Unis, à eux seuls, ont alloué plus de 10 000 milliards de dollars) a servi à gonfler de nouvelles bulles sur les marchés des valeurs et des hydrocarbures. Citons un exemple : au milieu de l’année dernière, la CFTC (la Commodity Futures Commission) est arrivée à la conclusion qu’environ 70% des ventes de pétrole de la marque Texas Sweet à la Bourse de New York étaient d’ordre spéculatif. A peu près en même temps, les autorités américaines ont parlé de la nécessité de restreindre les possibilités des opérations spéculatives, mais rien de concret n’est sorti de ces déclarations. Naturellement, toutes ces initiatives provoquent une résistance farouche de la part du lobby financier.

Inutile de dire que les banquiers ont fort mal accueilli cette initiative du président américain et les représentants des milieux financiers n’ont pas tardé à avancer comme argument que l’intention de contraindre les banques à réduire leurs activités provoquera une récession du commerce mondial et les conséquences négatives pour l’économie mondiale seront imprévisibles. Selon le Times britannique, les responsables des grandes banques britanniques (HSBC, Barclays Standard Chartered) et américaines (JPMorgan et Morgan Stanley) préparent une rencontre secrète avec le ministre britannique des Finances Alistair Darling. Les banquiers ont probablement l’intention d’avancer des griefs à l’encontre de la politique américaine et de parler, par la même occasion, des conséquences négatives globales que pourraient avoir les initiatives de Barack Obama.

Les banquiers assurent qu’ils n’ont pas besoin de régulateurs extérieurs et que le marché remettrait, disent-ils, tout à sa place. Pourquoi donc, au plus fort de la crise, presque toutes les institutions financières s’en sont-elles alors remises non pas à la "main invisible du marché", mais à l’aide que leur apportaient leurs gouvernements ? Comme l’a souligné à juste raison Nicolas Sarkozy, sans l’intervention des États, tout se serait effondré.

La position des banquiers est compréhensible : ils s’inquiètent avant tout pour leurs propres profits. Quant aux hommes politiques qui soutiennent Obama, on peut leur reprocher leur manque d’esprit de suite. Malgré toutes les belles paroles sur la nécessité de réformer le système économique mondial, la majeure partie des mesures anticrise de tous les États développés sans exception s’est réduite à injecter de l’argent dans le secteur financier. Autrement dit, les États ont soutenu la superstructure financière que M. Sarkozy a qualifiée, en inaugurant le forum, de principal responsable de la crise.

Le soutien à la position de Barack Obama annoncé par la Russie n’est pas tout à fait clair, car la mise en œuvre des initiatives de l’administration américaine menace de créer de graves problèmes pour l’économie russe. Rappelons que les 70 dollars le baril sur lesquels se fonde l’espoir d’assurer l’essor de l’économie russe cette année sont le résultat direct de l’afflux du capital spéculatif sur le marché des hydrocarbures. Crever les bulles spéculatives provoquerait de nouveaux ébranlements économiques dans le pays.

Il y a là un cercle vicieux : la reprise de l’économie mondiale (russe, entre autres) a été rendue possible grâce aux investissements dans le secteur financier dont le gonflement démesuré a été la cause de la crise. La réforme du système économique dont parlent beaucoup les hommes politiques n'est probablement pas impossible sans banqueroutes ou, au moins, sans réforme de nombreuses institutions financières, mais les actions entreprises par les gouvernements au plus profond de la crise montrent bien qu’ils n’y sont pas prêts.

Il se peut que cette "main du marché" le fasse pour eux. Ce n’est pas par hasard que de nombreux économistes préviennent que les causes fondamentales de la crise ne sont pas éliminées, et donc que la fameuse "seconde vague" n’est qu’une question de temps.

Ce texte n’engage que la responsabilité de l’auteur.

http://fr.rian.ru/discussion/20100201/185973774.html


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Davos : celui qui en savait trop !

Nous revenons sur l'article que nous avons publié le 29 janvier 2010 concernant le supposé suicide du Directeur de la Sécurité du forum de Davos.

Davos : le suicide du Chef de la Sécurité.

http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2010/01/29/davos-...

ça c'est pour la version officielle, celle que nous devons connaître.
Celle officieuse qui circule est celle que le Chef de la Sécurité aurait été assassiné de deux balles dans la tête, par derrière.


Il en savait trop sur la préparation des élites de provoquer à la mi-février la deuxième vague de crise financière qui serait l'opportunité de déclencher la troisième guerre mondiale en attaquant l'Iran. Tout semble se préparer en conséquence, y compris contre la Chine, point sur lequel nous reviendrons.

Ici l'article en Anglais concernant les circonstances supposées du "suicide" du Chef de la Sécurité de Davos.
Tous ses rapports sur les écoutes auraient disparus ainsi que son matériel d'écoute avant son supposé suicide.

Traduction Google : ICI

Head Of Davos Security “Suicided” As Global Banking Collapse Nears

By: Sorcha Faal, and as reported to her Western Subscribers

FSB reports circulating in the Kremlin today are stating that the Swiss Police Commander heading security at the World Economic Forum in Switzerland, Markus Reinhardt, was “suicided” after his discovering that the Davos summit was planning for the “final collapse” of the Global Banking system in preparation for Total War.

Markus Reinhardt, 61, had headed the police force in the Swiss canton of Graubünden and protected the Davos summit since 1984 before his death on Tuesday.

The World Economic Forum (WEF) is a Geneva-based non-profit foundation founded in 1971 by the German economist Dr. Klaus M. Schwab [photo top left] who is best known for establishing the annual meeting in Davos which brings together top business leaders, International political leaders, selected intellectuals and journalists to discuss the most pressing issues facing the World including health and the environment.

Important to know about Dr. Schwab is that according to his FSB (current Russian) and KGB (former Soviet) files (which have codenamed him “The Czar Maker”) he is one of the most powerful men in the Western World who has been “primed” for Global leadership since his birth in 1938 in the strategic German city of Ravensburg, which was one of the first of the Holy Roman Empires Free Imperial Cities.

In Dr. Schwab’s “training” for Global leadership he has obtained a Doctorate in Economics (summa cum laude) from the University of Fribourg, a Doctorate in Engineering from the Swiss Federal Institute of Technology, a Master of Public Administration from the John F. Kennedy School of Government at Harvard University, has been the recipient of seven honorary doctorates, is an honorary professor of the Ben-Gurion University of Israel and the China Foreign Affairs University in Beijing.

Important to note about Ravensburg, Germany is its central role in being the model upon which the other “modern” Free Imperial Cities of Amsterdam, London, New York and Hong Kong have been built to control human society through the use and manipulation of what are called fiat currencies and financial markets which today are being used to plunge our World towards the abyss of Total War.

Also important to note about Ravensburg is that during World War II the Allied Powers were under “strict orders” not to bomb or attack this most important of cities which enabled it to survive with no destruction whatsoever as it had been the “main conduit” for Western moneycatastrophic hyperinflation imposed on them after their surrender to the Allies at the ending of World War I. from which the Nazi Leaders of Germany were able to rebuild their Nation from the

Note: There can no be no understanding whatsoever of any World event without you knowing what war is, and, perhaps, best articulated by the United States Marine Corps Major General Smedley Darlington Butler who saved President Franklin D. Roosevelt from being overthrown in the 1933 Business Plot Coup (intended to “unite” the right wing American forces with those of Nazi Germany) and in his book “War Is A Racket” stated:

“War is a racket. It always has been. It is possibly the oldest, easily the most profitable, surely the most vicious. It is the only one international in scope. It is the only one in which the profits are reckoned in dollars and the losses in lives. A racket is best described, I believe, as something that is not what it seems to the majority of the people. Only a small 'inside' group knows what it is about. It is conducted for the benefit of the very few, at the expense of the very many. Out of war a few people make huge fortunes.”

For the reason(s) behind the suiciding of Reinhardt, these reports continue, was his deployment of what is called a “passive acoustical defense system” to protect those attending Davos by monitoring sounds that may be associated with pending, or actual, attacks (gun shots, ticking bombs, footsteps in unauthorized areas, etc.) but which (mistakenly?) recorded “highly sensitive”“Global policy makers” planning the total collapse of the World’s banking system. conversations of

Upon Reinhardt’s retrieval of the “sensitive conversations” picked up his new listening system, and his presumed listening to them, he was then “suicided” by two bullets to the back of his head and all of the recordings he had made were “disappeared”.

To the coming collapse of the Global Banking system it appears to be in acceleration as the giant ratings agency Standard & Poor's “warned Tuesday that it might downgrade its credit rating for Japan's sovereign debt, saying efforts to put the public finances in order were slowing under the new government.” And not for Japan’s sovereign debt alone are the Americans alarmed at Japan, but also for their new Prime Minister, Yukio Hatoyama, continued threats to throw out US Military forces from his Nation entirely as being the “will of the people”.

Even worse for the Global Banking System are new reports showing that the United States, being unable to unload its surging debt on the World, has during this past year bought over 80% of it themselves through its Federal Reserve, a situation warned to get much worse after President Obama defied the Americans largest holder of debt, China, yesterday by announcing new arms sales to Taiwan.

And in, perhaps, the most cynical move against any peoples by their leaders, President Obama, and in his knowing of the coming collapse of the Global Banking System, this past week slammed his own American Banking System which (coincidentally?) caused the already obscene bonuses paid to Goldman Sachs employees to rise even further.

Important to note is that Goldman Sachs has been accused of engineering “every major market manipulation since the Great Depression”, were President Obama’s top contributor for his election and have paid Obama’s top aides hundreds of thousands of dollars for speeches and “consulting” services, not to mention that nearly all of Obama’s top economic advisors, including US Treasury Secretary Timothy Geithner, are all former Goldman Sachs executives.

Equally important to note about Goldman Sachs is that it stands to be a major financial gainer, along with former President Bush’s Homeland Security Director Michael Chertoff, by Obama’s ordering into American airports of body scanners, who are made (coincidentally?) by a company called the Chertoff Group owned by “8 members including 3 former senior executives from Homeland Security, 2 from the CIA, 3 from the NSA, 1 from FEMA, and 1 from Goldman Sachs.”

Woodrow Wilson, the 28th President of the United States, once warned his people by saying: “Since I entered politics, I have chiefly had men's views confided to me privately. Some of the biggest men in the U.S., in the field of commerce and manufacturing, are afraid of somebody, are afraid of something. They know that there is a power somewhere so organized, so subtle, so watchful, so interlocked, so complete, so pervasive, that they had better not speak above their breath when they speak in condemnation of it.”

Dr. Klaus Schwab is one of these “powers” Wilson warned about and whose words should always be listened to with the utmost attention, including those he wrote this past week for London’s Guardian News Service, and as we can read:

“There is a real danger that the financial and economic crisis will develop into a social crisis. Difficult times lie ahead. If we want to keep society together, a sense of community and solidarity are more important now than ever before. This communitarian spirit is the basis of the stakeholder principle. We need to embrace that stakeholder principle, not just within the narrow confines of companies, but at a national and global level as well.”

It goes without saying, of course and as always, that the American people will continue to ignore warnings such as these, but then again who can blame them as their own propaganda media won’t even let them know anything…such as one of their top Generals admitting this week that their war in Afghanistan was all but lost, and as we can read as reported by the BBC News Service:

“US Gen Stanley McChrystal told the UK's Financial Times newspaper that there had been “enough fighting”. He said a political solution in all conflicts was “inevitable”. His remarks came as the top UN envoy in Kabul said it was time to talk to the militants.”

Sadly for General McChrystal, and the American people too, the fighting has just begun….they just don’t realize it yet.

© January 27, 2010 EU and US all rights reserved

[Ed. Note: Western governments and their intelligence services actively campaign against the information found in these reports so as not to alarm their citizens about the many catastrophic Earth changes and events to come, a stance that the Sisters of Sorcha Faal strongly disagrees with in believing that it is every human beings right to know the truth.  Due to our missions conflicts with that of those governments, the responses of their ‘agents’ against us has been a longstanding misinformation/misdirection campaign designed to discredit and which is addressed in the report “Who Is Sorcha Faal?.]

http://www.whatdoesitmean.com/index1328.htm


31/01/2010

Consensus à Davos sur le besoin de régulation bancaire cohérente

Et bien sûr quoi qu'il en soit, ce sont les contribuables qui paieront malgré leurs belles paroles !

Aucun dirigeant ne se décide à placer le pouvoir bancaire sous le contrôle des états, à déposséder les banquiers privés de leur pouvoir monétaire sur le monde et à demander des sanctions adaptées contre ces escrocs internationaux !


Economie

Consensus à Davos sur le besoin de régulation bancaire cohérente

REUTERS | 30.01.2010 | 21:53

Par Krista Hughes et Martin Howell

DAVOS, Suisse (Reuters) - De hauts responsables du secteur bancaire, soucieux d'éviter un contrecoup politique concernant leur rôle dans la crise financière, sont convenus samedi à Davos, au Forum économique mondial, de la nécessité d'inventer de nouvelles réglementations bancaires qui soient cohérentes au plan mondial.

Lors d'une réunion à huis clos en marge du Forum, plusieurs dizaines de "gros bonnets" de la finance et de grands argentiers ont avancé quelque peu sur les questions des capitaux bancaires et du cadre juridique d'un renforcement de la régulation, ont indiqué des participants.

Les banquiers et représentants des instances de régulation n'ont toutefois pas abordé la question d'un prélèvement, sous forme d'assurance, au plan mondial, destiné à faire en sorte que ce soit les banques et non pas les contribuables qui paient pour les erreurs futures. Aucun accord ferme et définitif n'a non plus été trouvé sur les autres questions.

Mario Draghi, gouverneur de la Banque centrale d'Italie mais aussi président du Conseil de stabilité financière (FSB), a déclaré que les tenants d'une régulation de l'industrie financière planchaient actuellement sur l'idée d'une agence centrale qui serait chargée de gérer les faillites bancaires, et réfléchissaient à des idées concernant un contingent de capitaux pour les institutions financières jugées "too big to fail" - dont l'importance fait qu'elles ne doivent absolument pas faire banqueroute.

"UNE RÉCESSION POUR LES HUMAINS"

"Nous souhaitons disposer d'une autorité ou d'une agence qui ait le pouvoir, les fonds, le budget et la compétence pour gérer correctement une faillite", a dit Draghi à Reuters télévision.

D'autres participants se sont montrés sceptiques quant à un organisme transnational qui empièterait sur la souveraineté des différents pays. (Le Nouvel Ordre Mondial monétaire).

Barney Frank, président de la commission finances à la Chambre des représentants, qui est chargé de piloter un projet de loi pour imposer des contrôles à Wall Street, a déclaré après cette réunion à huis clos: "Nul ne s'est levé pour dire 'ne nous imposez aucun contrôle'. Ils perdraient leur temps à le faire. Ils comprennent tous que le temps de la régulation arrive."

Larry Summers, principal conseiller de Barack Obama pour les questions économiques, et Dominique Strauss-Kahn, patron du FMI, ont tous deux estimé que la croissance revenait plus vite qu'on ne s'y attendait, mais qu'il importait de trouver un rééquilibrage entre pays exportateurs et pays importateurs.

Summers a souligné le prix fort payé par les chômeurs: "Ce à quoi nous assistons, aux Etats-Unis, c'est à une reprise sur le plan des statistiques, et à une récession pour les humains".

Pour Summers, les discussions à huis clos de samedi, "vigoureuses, constructives", ont permis d'élever le niveau de compréhension de la situation.

Version française Eric Faye

http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/economie/20100130.REU7836/consensus_a_davos_sur_le_besoin_de_regulation_bancaire_.html

 

 

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Davos : pas de précipitation à la sortie de crise !

Bien sûr, pas de précipitation à la sortie de la crise, tant que les moutons paient pour eux, l'endettement, et que les élites n'auront pas organisé le cahos planétaire pour nous imposer leur Nouvel Ordre Mondial ! Il vaut mieux laisser pourrir la situation encore longtemps !

Ils voient où la croissance repartir à part celles des dettes, du chômage et des guerres ?

A l’image de la météo, l’ambiance reste frileuse à Davos. A la veille de la clôture du Forum économique mondial, les participants au débat sur les perspectives de reprise en 2010 ont fait preuve de la plus grande prudence. Si la croissance est repartie, elle reste fragile car une grande partie des économies est toujours soutenue par des fonds publics.


Des mesures exceptionnelles auxquelles il ne faut pas renoncer trop vite, d’après le directeur général du Fonds monétaire international.


“Ce n’est pas une question de trois mois plus tôt ou trois mois plus tard, nous devrons faire face aux difficultés pendant cinq, six, sept ans suivant les pays, affirme Dominique Strauss-Kahn. C’est pourquoi il peut y avoir une grosse différence si l’on renonce aux mesures de soutien trop tôt ou trop tard. Nous recommandons de ne pas les interrompre trop tôt, souligne-t-il. Ce qui veut dire concrètement que toutes les actions prévues pour 2010 doivent être mises en place.”

 

Alors que le fort endettement des Etats pourrait les inciter à interrompre leurs mesures de soutien, très coûteuses, le patron de la Deutsche Bank a fait la même mise en garde que Dominique Strauss Kahn. “Le secteur bancaire bénéficie clairement des formidables initiatives prises par les gouvernements et les banques centrales, souligne josef Ackermann. Mais il avertit que l’“on peut s’inquiéter du choix du moment et de l’impact des stratégies pour sortir des plans de relance. C’est l’inconnu pour nous tous parce que nous n’avons jamais été confrontés à cette situation.”

Quant à la réforme bancaire, la fronde des banquiers privés contre une réglementation trop stricte semble s’apaiser : ils se seraient montrés plus compréhensifs lors d’une réunion en privé.

Copyright © 2010 euronews

http://fr.euronews.net/2010/01/30/davos-pas-de-precipitation-dans-la-sortie-de-crise/

 

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29/01/2010

Davos : le suicide du chef de la sécurité !

On élimine un témoin gênant ?


Nous serions à la veille du cataclysme, sauf si la vérité est révélée à temps
Info à prendre avec les réserves qui s'imposent...

http://www.letemps.ch/Page/Uuid/33c2de62-0a92-11df-811c-d...


Le flic en chef du Davos a été suicidé dans son hôtel avec 2 balles dans la tête...
Il paraît qu'il avait entendu parler des huiles élitistes comme quoi la phase 2 définitive du Krach systémique était imminente... pour déclencher la 3° Guerre Mondiale.


Les marchands de canons et les banquiers internationaux sont ceux qui s'enrichissent dans les guerres, qui permettent aussi de réduire la population...


Cela aurait fait jaser s'il avait cafté...
http://www.whatdoesitmean.com/index1328.htm
Extrait : FSB reports circulating in the Kremlin today are stating that the Swiss Police Commander heading security at the World Economic Forum in Switzerland , Markus Reinhardt, was “suicided” after his discovering that the Davos summit was planning for the “final collapse” of the Global Banking system in preparation for Total War.


Qui assiste au Davos ?
voir dépêche Bloomberg :
http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=20601087&sid=a...
Extrait :
More than 2,500 political, business and financial leaders are gathering in Davos, Switzerland, this week for the 40th World Economic Forum. Attendees include European Central Bank President Jean-Claude Trichet, Microsoft Corp. Chairman Bill Gates, and French President Nicolas Sarkozy.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/01/26/01011-201001...

http://www.tdg.ch/actu/suisse/chef-securite-forum-davos-s...

http://www.letemps.ch/Page/Uuid/33c2de62-0a92-11df-811c-d...



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