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07/04/2013

Offshore Leaks : comment "Le Monde" a remonté la piste d'Elie de Rothschild

Voici qui vient compléter la liste des 50 Banksters, les plus gros détenteurs de la dette française qui s'enrichissent sur le dos du Peuple.

La dynastie des Rothschild qui manquait dans la liste dont nous nous étions étonnés qu'elle n'apparaissait pas et pour cause.

Elle bénéficie de 18 sociétés écrans dont les sièges sont dans des paradis fiscaux, dont le Vatican, nous imaginons !

Banksters : Les 50 plus gros détenteurs de la dette française qui s'enrichissent sur le dos du Peuple !
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2013/04/03/bankst...

Et qui est un grand ami de Edouard de Rothschild de la branche Française ? Devinons ?
Global Asset Management, est-ce que cela vous dit quelque chose ?

La Saga des 4 frères Sarkozy

http://www.mecanopolis.org/?p=20384
http://www.mecanopolis.org/wp-content/uploads/2010/10/Les...


Edouard de Rothschild,
l'apolitique - Président de France Galop, associé-gérant de Rothschild & Cie Banque, administrateur de Libération et de Global Asset Management



Edouard de Rothschild. Photo © France Galop / Thierry Orban

Edouard de Rothschild est ami avec Nicolas Sarkozy et son épouse Cécilia "depuis longtemps". Il est même arrivé au président de France Galop, où il a succédé à Jean-Luc Lagardère, de passer ses vacances avec le couple à La Baule. Le descendant des célèbres banquiers rappelle quoi qu'il en soit au journal Le Monde qu'il "ne fait pas de politique" et qu'il a autant d'amis à gauche qu'à droite. Son entrée au capital de Libération à l'automne 2004 l'y a peut-être aidé.
http://www.journaldunet.com/economie/dirigeants/patrons-sarkozy/3.shtml 

 

David de Rothschild est un banquier français, né le 15 décembre 1942 à New York (États-Unis). Il est le fils du baron Guy de Rothschild (1909-2007), et d'Alix Schey de Koromla. Il est le demi-frère de Édouard de Rothschild.

David de Rothschild dirige actuellement les banques Rothschild & Cie et NM Rothschild & Sons depuis leur réunion en 2003 au sein de l'entité Groupe Rothschild.
Il est aussi membre du conseil d'administration du groupe Casino
.
http://fr.wikipedia.org/wiki/David_de_Rothschild


Le Monde | 05.04.2013 à 14h26 • Mis à jour le 05.04.2013 à 17h49
 
Offshore Leaks : comment "Le Monde" a remonté la piste d'Elie de Rothschild
 
L'enquête Offshore Leaks a mis au jour un empilement de sociétés écrans dont le bénéficiaire réel était le baron Elie de Rothschild, mort en 2007.

L'exemple Rothschild est intéressant dans la mesure où son nom n'apparaissait pas à l'origine dans la liste de noms dont "Le Monde" a eu connaissance.

Anne Michel, auteure de l'enquête, explique comment elle a remonté la piste menant à
ces dix-huit sociétés écrans.

L'enquête complète sur Elie de Rothschild est à lire en
Edition abonnés.
 
Offshore Leaks :
comment "Le Monde" a remonté la piste d'Elie de Rothschild
 
 



25/03/2013

Zbigniew brzezinski : inquiétude sur l'éveil des masses

Voilà ce que craignent les Illuminati ! Que l'humanité se réveille !

Allez-vous vous réveiller pour les chasser de notre planète ?

 


Zbigniew Brzezinski et l'inquiétude sur le Réveil Politique Mondial

http://www.dailymotion.com/video/xwp17u_zbigniew-brzezinski-et-le-reveil-politique-mondial-septembre-2012_news?ralg=player.ext.behavior-meta2#from=embediframe-playreloff-7





03/12/2012

Qui gouverne la France et l'Europe ?

Pour ne pas mourir idiots :

François Mitterrand a dit avant sa mort :

« La France ne le sait pas mais nous sommes en guerre avec l’Amérique, oui une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort apparemment, oui ils sont très dur les américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le Monde, c’est une guerre inconnue, une guerre permanente sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort ! »

Qui gouverne réellement la France ?
http://upr-djamelito.blogspot.fr/2011/09/qui-gouverne-reellement-la-france.html

Pour la France : LE SIECLE et la FRENCH AMERICAN FOUNDATION et autres clubs occultes avec leurs agents infiltrés au gouvernement.


Fichier à télécharger : ICI

Qui Gouverne La France

Pour l'Europe :

Brussels Business - Qui dirige vraiment l'Union Européenne  ?
http://www.dailymotion.com/video/xvf8vm_brussels-business...



16/02/2010

Le décodeur du Nouvel Ordre Mondial

« Les Derniers Humains vous présentent une webémission intitulée LE DÉCODEUR.

Le sujet de notre première webémission: la gouvernance mondiale.

Depuis deux ans, l'idée d'une gouvernance mondiale est de plus en plus diffusée dans les médias de masse. LE DÉCODEUR a scruté les médias de masse pour voir ce qu'il en est exactement.

Cette webémission est une introduction sur le concept de gouvernement mondial et est la première d'une série consacrée à l'idée d'un nouvel ordre mondial en action.

Le journaliste citoyen, Eric Granger, vous présente humblement les enjeux liés à la gouvernance mondiale.

Dans cette première mouture vous pouvez voir que :

Nicolas Sarkozy (Prés. de la France) et Gordon Brown (PM britannique), entre autres, annoncent ouvertement dans leurs discours la venue du nouvel ordre mondial.

Le Québec joue également dans les rangs du nouvel ordre mondial à travers l'influente Power Corporation et la très puissante famille Desmarais. La Conférence de Montréal ou Forum économique des Amériques (organisé par les Desmarais eux-mêmes) en est une preuve solide.

Des individus comme Al Gore, Henri Kissinger et le président États-Uniens Barack Obama promouvoient ouvertement la gouvernance mondiale pour créer un nouvel ordre international. »

 

Le décodeur de la Gouvernance Mondiale

02/02/2010

Davos : la Chine, l'Inde et la Corée exhibent leur puissance

Jean-Pierre Robin
01/02/2010 | Mise à jour : 16:06
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Li Keqiang au forum économique mondial (WEF) de Davos.
Li Keqiang au forum économique mondial (WEF) de Davos. Crédits photo : ASSOCIATED PRESS

Le Forum économique mondial de Davos, qui s'est tenu du 27 au 31 janvier, a été marqué par une inversion des rôles entre les émergents et les pays avancés.

Le président d'Afrique du Sud défendant la polygamie devant un millier de patrons et de hauts responsables politiques… Le spectacle offert par Jacob Zuma, qui a trois épouses, n'était pas banal. «C'est une part de ma culture, et il n'y a pas de culture supérieure aux autres», s'est-il justifié.

Le temps est loin où les dirigeants des pays émergents venaient à Davos pour solliciter les investisseurs en se soumettant aux normes occidentales du capitalisme. Forts de leurs succès et de leur résistance à la crise, il leur suffit désormais de se présenter sans complexe. Li Keqiang, pressenti pour devenir premier ministre chinois en 2012, a expliqué comment son pays avait pu contenir à moins de 3% du PIB le déficit public, malgré un plan de relance quasi soviétique très supérieur à ce chiffre. Voilà qui montre de facto que les déficits budgétaires sont solubles dans la croissance économique (de 8,7% en 2009). «La Chine va-t-elle être perçue comme le modèle de développement sans libéralisme politique ?», s'inquiète Kenneth Roth, directeur de l'ONG Human Rights Watch.

L'Inde, dont le système bancaire reste peu développé, a été peu touchée par le tsunami financier. «Nous allons assez vite retrouver notre norme de croissance de 9% l'an, après être tombé à 7% en 2008 et 2009», prévoit Montek Ahluwalia, responsable de la commission de Planification. Il compte pour cela sur une relance des investissements d'infrastructure, dont son pays a cruellement besoin, indépendamment de la conjoncture mondiale.

Présent au Forum avec sa double casquette de président de la République de Corée et de président du G20 pour l'année 2010, Lee Myung-bak «s'enthousiasme» pour ce nouveau rôle qui le met au centre de la gouvernance internationale. Alors que la réunion annuelle du G20 se tiendra à Séoul en novembre, il a décidé de réunir juste au même moment un «Sommet des entreprises privées». Une excellente vitrine commerciale pour son pays qui s'est lancé à corps perdu dans la croissance verte.

 

L'envolée de leurs déficits publics

Les Occidentaux se montrent, hélas, moins allants. «Il n'y a pas de quoi sabler le champagne», a lancé, chagrin, Lawrence Summers, le principal conseiller économique de Barack Obama. Les bons chiffres de croissance (5,7%) du quatrième trimestre aux États-Unis ? «Il y a une reprise statistique et une récession très humaine», regrette-t-il. «Un homme américain sur cinq, âgé de 20 à 54 ans, est sans travail. Il n'y a pas de précédent.» On s'étonnera d'une analyse aussi «sexiste». Summers serait-il un récidiviste, lui qui avait dû démissionner de la présidence de Harvard, après avoir déclaré que les filles étaient moins douées que les garçons en mathématiques ? Plus prosaïquement, le conseiller de la Maison-Blanche s'inquiète que «le chômage devienne structurel et frappe de plus en plus les classes moyennes».

Les États-Unis et l'Europe voient en outre leur croissance entravée par l'envolée de leurs déficits publics, le prix à payer pour éviter que la récession se transforme en dépression. «Tôt ou tard, il faudra traiter le problème budgétaire, et cela prendra cinq, six ou sept ans, selon les pays», avertit Dominique Strauss-Kahn, le directeur du Fonds monétaire international. Le débat est d'ores et déjà sur la table comme l'a montré le psychodrame grec, qui donne une piètre image de l'Euroland. «La vraie question est que l'Europe a été la région la plus touchée par la crise et on ne voit pas où elle pourrait créer des emplois», souligne le patron d'une multinationale suisse. «Quand le chômage touche 20% de la population, comme en Espagne, le danger est de tomber dans le populisme», ajoute-t-il.

 

«Populisme et protectionnisme»

Le populisme est l'un de ces mots clés qui ont scandé les réunions du Forum. Les banquiers stigmatisent ainsi les projets de régulation financière de Barack Obama. De leur côté, les Asiatiques assimilent «populisme et protectionnisme». Ils s'inquiètent d'autant plus de l'attitude des gouvernements occidentaux qu'ils n'ont pas eux-mêmes la conscience tranquille. Ainsi Zhu Min, le vice-gouverneur de la Banque populaire de Chine, promis à un grand avenir au FMI : «Mon inquiétude est que la Chine a accru de 30% ses investissements en 2009, que sa production des industries lourdes a augmenté de 22%. Avec des surcapacités considérables par rapport à la consommation mondiale, notamment pour l'acier.» La relance «autoritaire» obligeant les banques à prêter et les entreprises à investir trouverait-elle ses limites ?

Heureusement, il y a la «croissance verte» et à cet égard la palme de l'originalité revient à Dominique Strauss-Kahn. Il part du constat que l'échec du sommet de Copenhague s'explique fondamentalement par un manque d'argent, tant des pays «riches» qu'en développement. Il propose donc la création d'un «fonds vert» de 100 milliards de dollars, en associant le FMI aux grandes banques centrales. Il s'agirait ni plus ni moins de créer des «liquidités», comme on a déjà tellement distribué, cette fois pour lutter contre le réchauffement climatique. L'expression «pompier» de la finance, qui désigne souvent le FMI, devrait être prise au pied de la lettre.

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03:44 Publié dans Davos, Bildenberg, Word Economic Forum | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |