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24/12/2011

CERN : La "particule de Dieu" en voie d’être identifiée ?

Franchement, tout cela ne vous fait-il pas rire quand ils prétendent trouver la particule Divine et nous expliquer soi-disant le Big Bang et comment l'Univers s'est construit, quand ils ne connaissent que 4 % de la matière dite noire de l'Univers ?

Au passage quand ils parlent du Big bang et de la création de l'Univers, ils nous donnent l'impression d'appeler notre toute petite galaxie, l'Univers.

C'est comme il faut s'émerveiller pour toutes les nouvelles planètes qui sont soi-disant découvertes et qui existent depuis des milliards d'années. L'Univers étant constitué de milliards de galaxies et de milliards de milliards de planètes comme la nôtre ou pas, et où est le scoop quand ils en découvrent une ?

Ils nous prennent pour des gamins de la maternelle qui s'émerveillent quand on leur raconte une belle histoire.  Pendant qu'ils détournent notre attention sur ces soi-disant nouvelles découvertes, les élites font avanczer leurs plans machaibléiques derrière notre dos.

Ils feraient mieux de nous parler des secrets du Vatican, de lever le secret maçonnique, de lever le secret défense qui plombe le dossier ET et OVNIS dans le monde et de nous parler des énergies libres qu'ils nous cachent depuis plus de 60 ans et qui leur servent à fabriquer des armes contre l'humanité.

Là nous serions vraiment informés sur l'histoire du monde et sur l'élite qui tient le monde sous sa coupe depuis des millénaires.

 

La "particule de Dieu" en voie d’être identifiée ?

Publié le 13 décembre 2011

L’avancée scientifique n’est pas encore établie, mais elle pourrait être en bonne voie. Les scientifiques de l'Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN) "ont réduit la fenêtre dans laquelle ils pensent pouvoir trouvé le boson de Higgs", selon le physicien français Bruno Mansoulié, un chercheur du CERN.

Le boson de Higgs (du nom du physicien qui en a postulé l’existence en 1964) est une particule capitale, car elle est la pièce manquante du Modèle standard, c’est-à-dire la théorie fondamentale de la matière qui décrit toutes les particules de l’univers. Le boson de Higgs pourrait expliquer pourquoi certaines particules ont une masse et d’autres pas, car il voyagerait entre ces différents types de particules.

Le CERN mène deux expériences pour identifier ce fameux boson. L’une d’elle consiste à faire s’entrechoquer des protons dans un immense anneau souterrain de 27 kilomètres de diamètre pour chercher des traces du boson de Higgs dans les débris faisant suite au choc. Le but n’est ni plus ni moins de tenter de recréer les conditions qui ont prévalues juste après le big bang.  En 2011, 400 milliards de collisions ont été faites par le CERN, afin d’accumuler un maximum de données pour identifier le boson de Higgs. Sa masse pourrait, selon le CERN, être comprise entre 115 et 130 gigaélectronvolts (GeV).

Le boson de Higgs est connu sous le nom de particule de Dieu, ou "The God particle", ainsi que l’avait nommé le physicien lauréat du prix Nobel Leon Lederman. Car comme Dieu, il serait partout mais de façon très élusive.

L’interaction entre les particules ayant une masse et celles n’en ayant pas crée trois forces, la force forte, la force faible et force électromagnétique. Une quatrième force existe, la gravité, qui pourrait être expliquée par un boson qui doit être encore découvert, le graviton.

http://www.atlantico.fr/pepites/particule-dieu-voie-etre-...


23/12/2011

Boson de Higgs ou particule Divine : la tension monte au Cern !

Comme si nous avions besoin que la science sans conscience et parfois criminelle, vienne nous démontrer l'existence de la particule Divine quand nous n'avons qu'à nous regarder et à regarder la nature tout autour de nous, pour voir qu'elle existe bien depuis la nuit des temps et qu'elle est éternelle, tout comme notre âme Divine qui est en nous.
 
La science comme la religion : deux inventions diaboliques pour nous détourner de nous-mêmes et de Dieu lui-même.

 Boson de Higgs : la tension monte au Cern !

Le 12 décembre 2011 à 13h47
 

Suspens autour du Higgs : le 13 décembre 2011, en début d'après-midi, un séminaire du Cern sera retransmis sur la Toile. On est certain que la découverte de la fameuse particule... ne sera pas révélée. Mais il sera probablement question d'indices de son existence dans deux détecteurs du LHC. Avant cette annonce, révisons un peu ce sujet pour mieux comprendre ce qui se dira demain au Cern.

En cherchant à construire des équations décrivant des champs de forces entre particules de matière et respectant les lois de la mécanique quantique et de la théorie de la relativité, on a la surprise de constater que la forme générale de ces équations est très contrainte. Il faut que ces équations ressemblent à celles de l'électromagnétisme avec l'équivalent des photons. On voit aussi apparaître des sortes de généralisations de la charge électrique.

Avec ces équations, on s'aperçoit rapidement que si nous pouvons voir la lumière des plus lointaines régions de l'univers observable, en particulier celle des quasars et du rayonnement fossile, c'est parce que la masse du photon est nulle, ou tellement faible que nous n'avons toujours pas été capables de la mesurer.

Le Higgs, la solution à un problème des divergences infinies du modèle standard

Si nous ne sentons pas à notre échelle les « photons nucléaires forts » que sont les pions de Yukawa liant les protons et les neutrons dans les noyaux, ou les « photons nucléaires faibles » que sont les bosons W et Z qui interviennent dans la radioactivité et la physique des neutrinos, c'est parce qu'ils sont massifs et ne transmettent donc que des forces à courtes portées.

Malheureusement, si l'on essaie de construire l'analogue des équations de Maxwell pour ces « photons nucléaires faibles » (ce qu'on appelle des équations de Yang-Mills), le fait qu'ils doivent être massifs conduit à des problèmes mathématiques caractérisés par l'apparition de quantités infinies en théorie quantique des champs relativistes.

On peut se débarrasser de ces problèmes en introduisant un nouveau champ dont les quanta d'énergie sont, tout comme les photons, des bosons. Ce champ qui donne une masse aux photons nucléaires est décrit par ce qu'on appelle le mécanisme de Higgs. Son « photon » associé est donc le boson de Higgs et, au passage, rappelons qu'il n'a rien à voir, ni de près ni de loin avec la Force de Star Wars, comme certains le prétendent dans les médias actuellement...

De gauche à droite Chen Ning Yang et Robert Mills en pleine discussion à la fin des années 1990
De gauche à droite Chen Ning Yang et Robert Mills en pleine discussion à la fin des années 1990. © Nu Xu

Indirectement, cette particule apparaît dans plusieurs des calculs décrivant les interactions entre quarks et leptons dans le cadre du modèle standard des particules (MS), c'est-à-dire la chromodynamique quantique et la théorie électrofaible de Glashow-Weinberg-Salam. Le champ de Higgs joue également un rôle dans la détermination des masses des quarks et des leptons, c'est-à-dire, cette fois, les particules de matière du modèle standard.

Un mécanisme général pour doter les particules de masse

D'une façon ou d'une autre, il doit effectivement exister quelque chose qui ressemble au mécanisme de Higgs donnant une masse aux particules du modèle standard. En effet, sa présence a déjà été plus ou moins testée indirectement avec le succès des calculs décrivant des réactions dans les collisions du LEP et du Tevatron.

Le boson de Higgs lui-même doit être massif, mais l'un des problèmes du modèle standard est que nous ignorons la valeur de sa masse et la façon dont il influence précisément les diverses réactions entre particules.

Plusieurs paramètres libres du modèle standard (19 pour être précis) proviennent, pour le moment, des expériences seules. C'est le cas notamment de la masse des électrons et des quarks. Si le Higgs existe bien, il devrait être possible de mieux comprendre (mais pas complètement) pourquoi ces paramètres ont ces valeurs. Avant la découverte des protons, électrons et noyaux, on ne savait pas d'où provenaient les masses et la diversité des éléments ni les énergies des réactions chimiques. Cette ignorance pointait vers une physique plus fondamentale. Pour la même raison, on peut penser qu'une théorie plus vaste se cache derrière les impressionnants succès du modèle standard.

De plus, bien que l'on ait rassemblé les forces électromagnétiques et nucléaires faibles en un seul système d'équations grâce au boson de Higgs, il reste à faire la même chose avec les forces nucléaires fortes et finalement la gravitation. Tout naturellement, on s'attend à ce que d'autres bosons de Higgs interviennent dans ces équations de Grande Unification (GUT et supergravité notamment).

Plusieurs bosons de Higgs possibles et plusieurs fenêtres d'observation

Si on cherche à plonger le modèle standard dans une théorie plus vaste (comme la supersymétrie), la masse de son boson de Higgs et la façon dont elle influence les réactions entre les particules peuvent être mieux comprises. Dans certains cas, cela nécessite de changer un peu ce à quoi on doit s'attendre dans le cadre du modèle standard.

La morale de tout cela est qu'il peut exister plusieurs bosons de Higgs et que la plus simple description du mécanisme expliquant les masses du MS à l'aide d'un boson de Higgs standard, n'est peut-être pas la voie que la nature a choisie. Mais surtout, la découverte du Higgs peut ouvrir la porte à une compréhension plus profonde de la physique, à la racine de tout ce qui existe, des particules de nos neurones à la naissance même de l'univers.

Plusieurs réactions entre particules peuvent produire un boson de Higgs et celui-ci peut se désintégrer en plusieurs autres particules. Comme il est de règle en mécanique quantique, elles sont gouvernées par des lois de probabilités. En fonction de l'énergie des particules entrant en collisions et de la masse du Higgs, ses taux de production et de désintégrations selon divers « canaux », comme disent les physiciens des particules, sont différents (voir le schéma ci-dessous). Il a donc fallu réfléchir aux stratégies les plus efficaces pour produire et détecter le boson de Higgs.

Sur ce schéma sont montrées les importances relatives de certains canaux de désintégration du Higgs en fonction de sa masse. On voit ainsi qu'entre 100 GeV et 150 GeV il y a une bosse pour le canal de désintégration avec deux photons gamma. Au-delà de 200 GeV le canal avec la production d'un quark b et d'un antiquark b devient complètement négligeable devant ceux avec bosons Z ou W. Bien que ces derniers soient des canaux fortement favorisés par rapport à celui avec deux photons vers 130 GeV, le signal en gamma est moins bruité que le signal en ZZ ou WW, c'est pourquoi, si le Higgs standard  existe et a bien une masse entre 115 GeV et 140 GeV, les premiers indices de son existence seront ces photons gamma.
Sur ce schéma sont montrées les importances relatives de certains canaux de désintégration du Higgs en fonction de sa masse éventuelle. On voit ainsi qu'entre 100 GeV et 150 GeV apparaît une bosse au niveau du le canal de désintégration à deux photons gamma (pointillé rouge). Au-delà de 200 GeV le canal caractérisé par la production d'un quark b et d'un antiquark b (courbe rouge) devient complètement négligeable devant ceux avec bosons Z ou W. Bien que ces deux canaux soient fortement favorisés par rapport à celui à deux photons vers 130 GeV, le signal en gamma est moins bruité que le signal en ZZ ou WW. C'est pourquoi, si le Higgs standard existe et a bien une masse entre 115 GeV et 140 GeV, les premiers indices de son existence seront ces photons gamma. © Cern-Konrad Jende

On en a ainsi déduit que les réactions les plus efficaces pour produire le boson de Higgs sont les collisions de protons ou d'antiprotons. Malheureusement, dans ce cas, plusieurs autres réactions se produisent, générant un bruit de fond noyant la délicate musique des désintégrations du boson de Higgs.

Toutefois, si l'on prend une analogie issue des transmissions de radio, il existe des bandes de fréquence où le bruit de fond est plus faible et où la musique du Higgs se fait plus forte. Selon sa masse, la bande où le chercher le plus efficacement ne sera donc pas la même.

Le "Large Hadron Collider" (français)

http://www.youtube.com/watch?v=txEekZcgl4s&feature=pl...

Une belle vidéo expliquant l'aventure de la physique des hautes énergies au LHC. © Cern/YouTube

La fenêtre des photons gamma et des bosons Z

On a joué à ce jeu au LEP au début des années 1990 à partir de collisions entre électrons et positrons. Le Tevatron a pris la suite en collisionnant des protons et des antiprotons. C'est maintenant au tour du LHC, où CMS et Atlas étudient les particules issues des collisions de protons. Lentement mais inexorablement, les bandes où chercher des signaux du boson de Higgs standard se sont réduites.

Si l'on devait prendre une analogie issue de l'astronomie, le boson de Higgs serait une étoile dont on ne connaîtrait pas très bien la courbe donnant l'intensité du rayonnement en fonction de la longueur d'onde. Même si la forme générale de la courbe est connue et que la physique de l'étoile l'est aussi dans les grandes lignes, on ne sait pas très bien si l'astre est le plus brillant dans l'ultraviolet ou l'infrarouge.

De plus, pour l'identifier, il faut disposer d'une bonne photographie, c'est-à-dire enregistrer le maximum de photons avec la meilleure résolution et donc faire une pose la plus longue possible. En physique des particules, cela revient à « augmenter la statistique », c'est-à-dire enregistrer un nombre suffisamment élevé d'événements avec un grand nombre de collisions.

Un diagramme montrant la désintégration du boson de Higgs dans le canal avec deux photons gamma. Il semble qu'Atlas et CMS voient tous les deux des signes de ce mode de désintégration du boson de Higgs avec une masse similaire de l'ordre de 126 GeV.Il semble bien plus incertain que l'on annonce voir aussi une signature du boson de Higgs dans un autre canal de désintégration, celui des bosons Z. Voici un exemple d'un tel canal de désintégration des bosons Z.
En haut : Diagramme montrant la désintégration du boson de Higgs dans le canal avec deux photons gamma. Il semble qu'Atlas et CMS voient tous les deux des signes de ce mode de désintégration du boson de Higgs avec une masse similaire de l'ordre de 126 GeV.
En bas : Désintégration selon le canal des bosons Z. Il semble bien moins sûr que l'annonce de demain mentionne une telle signature du boson de Higgs. © Matthew Strassler

Bilan actuel :

 

  • si le boson de Higgs standard existe, il doit avoir une masse comprise entre 115 GeV et 140 GeV ;
  • les canaux de désintégrations où il est le plus facilement mis en évidence sont ceux où il produit deux photons gamma, deux bosons W ou encore deux bosons Z qui se désintègrent à leur tour en leptons, comme l'électron, le muon ou le neutrino (et bien sûr leur antiparticules).

Pour être sûr qu'une découverte a vraiment été faite, il faut que le signal obtenu soit très différent de simples fluctuations statistiques. On peut faire l'analogie avec les formes qu'on se plaît à voir dans les nuages : aucune cause particulière autre que le hasard n'est alors à l'oeuvre mais si on découvrait un nuage portant tous les détails d'une fresque de Raphael, on ne pourrait plus croire à un phénomène aléatoire. Pour éliminer le risque d'enregistrer un faux signal à cause d'une erreur de construction ou de conception d'un appareil (ce que les scientifiques appellent un biais systématique), on utilise deux instruments de mesure différents. Ce qui explique en partie pourquoi Atlas et CMS ont été construits. Voir deux signaux similaires dans deux détecteurs est donc bien plus convaincant, même en l'absence d'une statistique suffisante, pour confirmer une découverte.

Tout ceci explique l'importance du séminaire du 13 décembre 2011 au Cern, qui devrait annoncer non pas la découverte de la musique du boson de Higgs mais d'une mélodie faible noyée dans un brouhaha, dans la même bande de fréquence par deux « postes de radio » différents, à savoir Atlas et CMS. Un séminaire donc attendu impatiemment par toute la communauté de la physique des hautes énergies.

Pour suivre la retransmission du Cern, rendez-vous sur la page dédiée.

Peter Higgs devant les équations décrivant sa théorie de la brisure de symétrie donnant une masse à des bosons de jauge. © Peter Tuffy/<em>The University of Edinburgh</em>

Peter Higgs devant les équations décrivant sa théorie de la brisure de symétrie donnant une masse à des bosons de jauge. © Peter Tuffy/The University of Edinburgh
 

21/11/2011

Neutrinos supraluminiques: les premiers résultats confortés

Ces scientifques sans conscience sont impayables et ils nous font bien rire !

Bien sûr comme vous l'aurez compris l'Univers se limiterait au Soleil et au photon dans un Univers fermé et non pas ouvert ! Heureusement que certains nous parlent de 12 dimensions donc de niveaux énergétiques différents et de particules différentes en dehors du photon, la particule lumineuse.

Ils nous parlent de progrès de la science soi-disant et si nous les écoutons il faut nous limiter à la théorie de la relativité de Jules-Henri Poincarré qui a été plagiée par Einstein, dans le cas où cela ébranlerait leurs fausses croyances sur l'Univers Supralumineux dont nous sommes tous issus et dans lequel nous baignons en permanence.

De plus, ils se comportent comme Tarzan qui découvre pour la première le phonographe, alors que d'autres scientifiques ont démontré depuis quelques décennies, déjà, l'existence d'autres particules supralumineuses tel le Tachyon sur lequel le Pr Régis Dutheil a basé ses travaux et particule qui serait à nos côtés au temps présent, sans limitation de temps. Le temps n'existant pas dans l'espace supralumineux dont elle est issue.

Une preuve de plus que les scientifiques ne confrontent pas leurs travaux et qu'ils nous promènent dans leurs délires ! Les énergies libres n'existent pas sans doute pour eux ni Nickolas Tesla non plus  !

Tachyons et énergie libre : références et bibliographie
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2010/09/12/tachyons-et-energie-libre-es.html

L'homme superlumineux et la médecine superlumineuse par le Pr Régis Dutheil
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2010/09/11/l-homm...

 

Neutrinos supraluminiques: les premiers résultats confortés

18-11-11 à 15:55 22 réactions

Les nouvelles mesures réalisées sur la vitesse des neutrinos par le groupe de recherche OPERA confortent leurs observations. Ces particules iraient plus vite que la lumière.

Le détecteur OPERA, au laboratoire du Gran Sasso (Italie), dont l'objectif initial est d'étudier les oscillations des neutrinos. (OPERA/Gran Sasso Laboratory)

Le détecteur OPERA, au laboratoire du Gran Sasso (Italie), dont l'objectif initial est d'étudier les oscillations des neutrinos. (OPERA/Gran Sasso Laboratory)

Les nouvelles mesures menées par les chercheurs de l’expérience OPERA confirment leurs précédents résultats sur la vitesse de déplacement des neutrinos : ces particules fantômes voyageraient plus vite que la lumière. Annoncés fin septembre, les résultats de cette expérience menée au laboratoire du Gran Sasso, en Italie, ont provoqué étonnement, stupeur et agitation dans la communauté des physiciens. La vitesse de la lumière est en théorie une limite infranchissable, sauf à remettre en question les piliers de la physique, principalement la théorie de la relativité restreinte d’Einstein.

Au sein même du groupe OPERA, une collaboration internationale qui regroupe quelque 160 chercheurs, tout le monde n’était pas d’accord pour rendre publiques des conclusions aussi révolutionnaires. Des sources d’erreurs faussant les calculs auraient pu échapper à l’analyse. Et donner une explication à ces 60 nanosecondes d’avance des neutrinos sur le temps de parcours théorique des photons sur la même distance.

Parmi les critiques méthodologiques émises à l’égard des travaux présentés le 23 septembre par Dario Auterio (Institut de physique nucléaire de Lyon/ CNRS), une concerne l’imprécision sur «l’heure de départ» des neutrinos. Ces particules sont en effet fabriquées au Cern, à la frontière franco-suisse, en bombardant une cible de graphite avec un faisceau de protons, et voyagent jusqu’au détecteur OPERA, à 730 km de là, dans la croûte terrestre.

Pour réduire l’incertitude liée au top départ des neutrinos, de nouvelles mesures ont été réalisées fin octobre début novembre avec des bouffées de protons plus courtes (environ 3 nanosecondes) et séparés de 500 nanosecondes. 20 passages de neutrinos (on dit événement en physique) ont pu être observés. Les résultats sont comparables aux précédents, affirme Dario Autiero. Les neutrinos ont toujours 60 nanosecondes d’avance.

Ces nouveaux résultats viennent compléter les travaux déjà publiés sur le site de partage arXiv.org (qui permet à l’ensemble de la communauté de les examiner). La soumission d’un article à un journal scientifique à comité de lecture (comme Nature ou Science) ne fait toujours pas l’unanimité au sein du groupe OPERA.

Ces mesures supplémentaires ne mettent pas fin aux recherches et au débat. Certains tentent toujours de trouver la faille dans l'analyse qui aboutit à ce dépassement de la vitesse de la lumière. D'autres cherchent des explications au phénomène, d'autres enfin inventent une nouvelle physique..

C.D.
Sciences et Avenir.fr
18/11/11

http://www.sciencesetavenir.fr//fondamental/20111118.OBS4832/neutrinos-supraluminiques-les-premiers-resultats-confortes.html

02/02/2011

Le CERN annonce que le LHC fonctionnera en 2012

Voilà comment on bousille l'équilibre électro-magnétique de la Terre, et tout cela parce que ces messieurs les scientifiques ont décidé de rechercher la particule Divine, dénommée scientifiquement, le boson de Higgs. Bien sûr, ils vont chercher Dieu à l'extérieur d'eux-mêmes au lieu de le rechercher en eux. Ce qui signe en l'occurence la faillite des religions qui bien qu'elles prétendent être proches de Dieu n'ont pas été capables d'expliquer aux peuples et aux scientifiques notamment, où il se trouvait. 

Nous vous rappelons qu'un scientifique qui avait été évincé du CERN avec son équipe de chercheurs avait fait une vidéo pour nous prévenir que des groupes occultes avaient pris possession du LHC pour faire des expériences pour voir le futur et qu'à cette occasion, ils avaient vu l'homme doté de nouvelles capacités neurologiques qu'il ne saurait pas maîtriser et qu'il allait se révolter, et mettre la planète à feu et à sang.

C'est à la suite de ces expériences avec le LHC que les Gouvernements avaient décidé de lancer la campagne mondiale de vaccination criminelle contre le virus imaginaire de la GrippeA/H1N1, selon les dires de ce scientifique.

Est-ce que cela ne vous rappelle rien avec les révoltes des peuples dans le monde que nous vivons actuellement ?

Ce scientifique avait-il raison et l'homme est-il en train de se doter de nouvelles capacités neurologiques, comme prévu et grâce aux nouvelles énergies que nous traversons ?

Nous vous remettons la vidéo ci-dessous pour mémoire et nous vous laissons vous interroger par vous-mêmes.

GrippeA /H1N1 : La vérité cachée - Un secret d'Etat 


Posté par Michel le Mardi 1er Février 2011 à 00:00:52
Le CERN annonce que le LHC fonctionnera en 2012

Le CERN a fait savoir hier que le LHC fonctionnera jusqu’à la fin de 2012, avec un bref arrêt technique fin 2011. L’énergie de faisceau sera de 3,5 TeV en 2011. Cette décision a été prise par la Direction du CERN suite à l’atelier de Chamonix, organisé chaque année pour établir le calendrier d'exploitation du LHC, et à un rapport du Comité consultatif du CERN pour les machines, rendu public aujourd’hui. Elle donne aux expériences LHC de bonnes chances de découvrir une nouvelle physique dans les deux années à venir, avant le long arrêt prévu pour préparer une exploitation de la machine à de plus hautes énergies à compter de 2014.


"Si le LHC continue sur sa lancée et est aussi performant en 2011 qu’en 2010, l’année à venir s’annonce passionnante, a estimé Steve Myers, directeur des accélérateurs et de la technologie au CERN. Tout porte à croire que nous devrions pouvoir augmenter le taux de collecte de données d’au moins un facteur trois dans le courant de l’année."

Il était prévu initialement de faire fonctionner le LHC jusqu’à la fin de 2011, puis de procéder à un long arrêt technique afin de préparer la machine pour une exploitation à sa pleine énergie nominale, soit 7 TeV par faisceau. Toutefois, l’excellente performance du LHC au cours de sa première année (Une année est une unité de temps exprimant la durée entre deux occurrences d'un évènement lié à la révolution de la Terre autour du Soleil.) complète d’exploitation a conduit à repenser ce calendrier (Un calendrier est un système de repérage des dates en fonction du temps. Ces systèmes ont été inventés par les hommes pour mesurer, diviser et organiser le temps sur de longues durées. Initialement conçus pour être en accord avec les phénomènes astronomiques et le cycle des saisons, ils étaient, en retour, également indispensables à l'observation...). Les améliorations attendues en 2011 sur le plan de la performance devraient augmenter le taux de collecte de données (Dans les technologies de l'information (TI), une donnée est une description élémentaire, souvent codée, d'une chose, d'une transaction d'affaire, d'un événement, etc.) par les expériences d’au moins un facteur trois par rapport à 2010. On obtiendrait ainsi suffisamment de données cette année pour disposer d’indices intéressants d’une nouvelle physique (La physique (du grec φυσικη) est étymologiquement la science de la nature. Son champ d'application actuel est néanmoins plus...), pour autant que celle-ci existe dans la gamme d’énergies à laquelle le LHC est exploité actuellement. Cependant, pour que ces indices se transforment en découverte, il faudrait davantage de données que ce qu’il est possible de collecter en une année, d’où la décision de repousser le long arrêt technique. S’il n’existe pas de nouvelle physique dans la gamme d’énergies actuellement sondée par le LHC, l’exploitation durant toute l’année 2012 apportera aux expériences LHC les données requises pour explorer complètement cette gamme d’énergies avant le passage au niveau supérieur.

"Le LHC a extrêmement bien fonctionné en 2010 et de nouvelles améliorations sont prévues en ce qui concerne la performance ; nous avons donc de grandes chances d’arriver à des résultats intéressants d’ici à la fin de cette année, a indiqué Sergio Bertolucci, directeur de la recherche au CERN. Si la nature nous fait le cadeau d’avoir placé la plus légère des particules supersymétriques ou le boson de Higgs dans la gamme d’énergies actuelle du LHC, les données que nous comptons recueillir d'ici à la fin de 2012 devraient nous permettre de mettre la main dessus."

Selon le calendrier annoncé aujourd’hui, les faisceaux feront leur retour dans le LHC le mois prochain et la machine fonctionnera jusqu’à la mi-décembre. L’exploitation sera ensuite stoppée pour un bref arrêt technique, puis reprendra début 2012.

 

http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=8687

01/02/2011

Des anomalies électromagnétiques témoignent-elles d'expériences concernant des vortex dimensionnels, d es "stargates"?

Nous avons une autre vision de Notre Père Eternel et de l'entité que l'on appelle SATAN.

Notre Père Eternel n'a jamais créé que 2 énergies, antagonistes et complémentaires, celles du Ciel et de la Terre ou l'énergie masculine et féminine qui engendrent la dualité sur Terre, jusqu'à ce que l'humanité ait réussi à équilibrer ces 2 énergies et à intégrer comme les Anges son Androgynie. Nous ne voyons pas ce que vient faire Satan dans ce processus naturel d'évolution, les notions de bien et de mal ayant été inventées par les religions.

De même, dans le plus respect du Libre-arbitre, qui est une Loi Universelle, nous ne croyons pas que Notre Père Eternel qui est tout amour, aurait pris la décision de déchoir des Anges sur Terre. Ce que nous croyons en revanche, c'est que d'autres races extraterrestres plus évoluées au niveau de la techonologie, mais moins évoluées sur le plan spirituel sont venues envahir la Terre. Il est plus arrangeant pour elles de nous faire croire, notamment par le biais des écrits "dits sacrés" que c'est Dieu qui a déchu ces Anges sur Terre.

Du reste et si c'était le cas, nous ne voyons pas pour quelles raisons universelles légitimes, nous aurions à les subir ou à les supporter, selon la même règle du Libre-Arbitre ? Nul ne peut, en effet, payer pour les erreurs ou les soi-disant péchés commis par les autres.

En conséquence, les conclusions bibliques de cet article n'engagent que leur auteur.

 

  
 31 janvier 2011


* Plus on s'intéresse aux avancées technologiques d'une certaine communauté "discrète" de scientifiques militaires, plus il est possible d'envisager que les séries de science-fiction comme "Stargate" (La porte des étoiles), "Primeval" (Primitif), "X-Files", pourraient être des documentaires!

L'information contenue dans cet article est évidemment laissée à votre jugement.  Il est très difficile, voire impossible, de prouver ou de démontrer que de telles expériences puissent avoir lieu.  Cependant, les publications scientifiques démontrent la capacité technologique actuelle qui rend possible ce genre de projets "starwars".   Le programme
"CERN", à lui seul, en fait une démonstration exhaustive!

Un rapport des Forces spatiales russes (VKS) circulant au Kremlin, le 27 janvier 2011, dit que l'un de leurs satellites Kosmos-2469, actuellement en orbite au-dessus de l'Amérique du Nord, a détecté un excès de rayons gamma de proportions sans précédent émanant de la principale base d'armes chimiques et biologiques de l'armée américaine, située dans l'Utah. 
Un réseau de nouvelles aux États-Unis rapporte d'ailleurs l'interruption étrange et soudaine des activités de la base.

Selon ce rapport, depuis la formation de ce qui est décrit comme étant un "vortex magnétique" apparu dans le Golfe d'Aden (
voir le rapport concernant cet incident du 1 décembre 2010), un nombre croissant de rayons gamma émanent de sous la Terre, des mers, et ces rayons semblent dirigés vers Sirius (l'étoile la plus brillante dans le ciel).

Une des plus grandes concentrations de rayons gamma a été détectée en provenance de la mer au large des Côtes de la Floride dans une zone connue comme étant le "Continent perdu de l'Atlantide" selon le philosophe et mathématicien grec Platon, une puissance navale située "en face des "Colonnes d'Hercule" qui a conquis de nombreuses régions d'Europe occidentale et d'Afrique, environ 9000 ans avant l'époque de Solon, soit environ 9600 B.C.

Contrairement à d'autres endroits autour de notre Terre où des concentrations de rayons gamma ont été détectées, l'anomalie qui les génèrent au large de la Côte de la Floride est située dans les eaux relativement peu profondes, à 500 mètres sous la mer.   La semaine dernière, la Marine américaine a commencé une de ses plus importantes opérations dans ce secteur.

D'après ce rapport, l'Administration Fédérale de l'Aviation américaine (FAA) a émis un avertissement sans précédent à tous les pilotes survolant cette zone entre le 20 janvier et le 22 février 2011, puisque le Département de la Défense réaliserait des essais qui pourraient rendre le système de guidage par satellite (GPS) peu fiable ou même, non-disponible.

Dans le rapport des Forces spatiales russes (VKS), on indique que cette opération consistait à supprimer de la "structure en forme de pyramide", trouvée au large des Côtes de la Floride, une "pierre angulaire" qui semble être une des sources de la mystérieuse concentration de rayons gamma.  Elle aurait été enlevée pour être amenée vers la base américaine "Dugway Proving Ground"", située à environ 149 km au sud-ouest de Salt Lake City dans l'Utah, pour des tests supplémentaires.

* Notez que la pyramide sur le "Grand Sceau des États-Unis", que l'on voit sur le 1$ américain, est un symbole très important pour les loges occultes.  La "pierre de l'angle" selon les Écritures est Jésus, la "pierre  l'angle" pour l'élite occulte est le "Grand Architecte de l'Univers" ou Satan...

Une fois que cette mystérieuse "pierre angulaire" ait été amenée sur la base militaire en Utah, le 26 janvier 2011, où des tests ont probablement été menés, le Kosmos-2469 a détecté une série intensive de rayons gamma émanant de la base militaire et des nouvelles en provenance des États-Unis ont déclaré, de la bouche du colonel William E. King, que la base avait été fermée parce qu'ils essayaient de résoudre de "graves préoccupations".
(Lire cette nouvelle dans le Washington Post, dont l'explication de cette fermeture de la base militaire diffère évidemment des faits exposés dans le présent article...)


Le Ministère de la Défense a désigné la base "Dugway Proving Ground" comme étant un centre majeur pour des essais de produits chimiques et biologiques dans le cadre du "programme Reliance".  Selon des chercheurs indépendants, la taille énorme de la base et sa situation géographique en milieu isolé sert à des opérations secrètes, dont des essais pour la US Air Force et même, pour des activités reliées aux ovnis.   D'ailleurs, certains croient que les secrets de la "zone 51" auraient été envoyés dans cette base, la "zone 52"...

Steve Quayle, un chercheurs indépendant des États-Unis, a écrit au sujet de cette mystérieuse "anomalie de l'Atlantique".  On peut lire son article intitulé: 
"L'anomalie de l'Atlantide", l'étrange "Triangle des Bermudes", ouverture d'une ancienne porte dimensionnelle ou la montée de "l'Atlantide"?


Selon Quayle, vendredi le 22 janvier 2011, ils (la Marine) sont revenus avec de nombreuses unités essayant d'établir des communications avec Porto Rico et des discussions ont été entendues à propos d'une "anomalie" qui causait beaucoup de difficultés au niveau des communications qui n'avaient rien à voir avec des problèmes habituels.  Les unités qui étaient dans l'Atlantique au large de la Floride et dans les Caraïbes ont eu à changer de fréquences à plusieurs reprises pour pouvoir échanger des messages compréhensibles avec la station de communication de Puerto Rico.  Il semble que "l'anomalie" aurait été détectée vendredi soir par un opérateur HAM.

Au départ, "l'anomalie" a été décrite comme un signal à amplitude modulée d'une puissance extrême en mégawatts.  Il était constant et non pulsé, dans la gamme des VLF.  Des données ont été enregistrées sur l'analyseur de spectre et sur l'équipement de détection des éclairs et de la foudre et il semble qu'il n'y avait pas d'orages dans ce secteur.  L'emplacement de l'anomalie était tout près de la zone du "Triangle des Bermudes"...

* Est-ce que d'anciennes légendes pourraient ressurgir  "dans notre monde" grâce aux technologies que nous avons aujourd'hui?  Des ouvertures de portes dimensionnelles, vortex magnétiques, d'où sortiraient les dieux des mythologies? 

La prophétie des sauterelles qui ont comme chef Apollyon (le destructeur), dans Apocalypse 9, pourrait-elle avoir un lien avec ces vortex magnétiques et l'ouverture de "stargates"? 

Est-ce que ces activités électriques et électromagnétiques émanant des "anomalies" pourraient avoir causé les morts mystérieuses et subites des oiseaux et poissons?  Les dates concordent...

Est-ce que le livre "New Atlantis" de Sir Francis Bacon, publié en 1627, pourrait être l'inspiration de l'élite occulte dont l'ambition est la résurrection d'un "ancien monde mythologique" destiné à devenir le "nouveau monde", le "Royaume de la bête" prophétisé par les Écritures?

Sources:
http://www.eutimes.net/2011/01/atlantis-anomaly-causes-shutdown-of-us-army-weapons-base/
http://www.stevequayle.com/News.alert/11_Global/110124.alert.Hawk.html
http://en.wikipedia.org/wiki/File:Bermuda_Triangle.png

http://consciencedupeuple2007.blog.mongenie.com/