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05/09/2009

Procédure pénale : un texte de loi "début 2010"

Pour quelles raisons parle-t-on d'Eric de Montgolfier dans cette affaire ?
Pressions ?

La demande d'ouverture d'enquête criminelle par SOS JUSTICE & DROITS DE L'HOMME ?
Grippe A/H1N1 : Vaccin ou arme de destruction massive ?

Eric de Montgolfier serait-il le seul Procureur de la République de France à s'exprimer sur ce projet de Loi visant à supprimer le Juge d'Instruction ?

Michèle Alliot-Marie (Sipa)

Michèle Alliot-Marie (Sipa)

NOUVELOBS.COM | 03.09.2009 | 15:52
 
La chancellerie indique la création de deux groupes de travail chargés de se pencher sur les propositions du rapport Léger pour réformer la procédure pénale. "l'idéal" serait d'aboutir à un texte de loi pour "début 2010".
 
La garde des Sceaux, Michèle Alliot Marie, a défendu mercredi 2 septembre la mesure de suppression du juge d'instruction prônée par le comité Léger pour réformer la procédure pénale, et jugé "insultant" pour les procureurs qu'on puisse y voir la fin d'une justice indépendante.

A la Chancellerie, deux groupes de travail vont désormais se pencher sur ses propositions, et "l'idéal" serait d'aboutir à un texte de loi pour "début 2010", a-t-on indiqué dans l'entourage de la ministre.
Le flot de critiques, émanant du monde politique ou des professionnels de la justice, ne tarissait pas au lendemain de la remise à Nicolas Sarkozy du travail du comité présidé par le haut magistrat Philippe Léger.

"Faire une réforme complète"


Michèle Alliot-Marie a par ailleurs tonné contre les critiques focalisées sur la fin présumée des investigations indépendantes, si le procureur, hiérarchiquement subordonné à la Chancellerie, est effectivement appelé à devenir l'unique directeur de l'enquête.
 

"C'est totalement faux et je dirais que c'est insultant pour les magistrats (...) c'est faire peu de cas à la fois de leur honneur et de leur indépendance", a-t-elle lancé sur Europe 1.

Elle a assuré qu'en tant que garde des Sceaux elle n'avait "nullement la possibilité de donner une instruction de classer une affaire ou de ne pas poursuivre". "Je ne peux donner d'instruction que de poursuivre au contraire".
 
Le procureur de Nice Eric de Montgolfier a estimé que ce problème de l'indépendance de la justice était actuellement "mal posé" car il laissait complètement de côté l'indépendance de la police et de la gendarmerie, "véritables acteurs de la procédure pénale".

"Croyez-vous que dans une affaire délicate, ces services, qui ne dépendent pas de l'autorité judiciaire mais du pouvoir exécutif, vont agir en toute indépendance, sans en informer leur hiérarchie? (...) Si l'on souhaite vraiment une réforme de la procédure pénale, il est temps d'en faire une complète", a-t-il dit.

Perte d'indépendance


Côté politique, le Front national et le NPA d'Olivier Besancenot, une fois n'est pas coutume, ont tenu un discours proche, fustigeant la disparition du juge d'instruction.

"C'est de la folie (...) L'instruction doit continuer à être confiée à des juges du siège, inamovibles, donc indépendants", a fait valoir le FN.
"Le transfert au parquet des affaires pénales, qu'elles soient criminelles, politico-financières, de corruption, environnementales ou mettant en cause l'Etat, aujourd'hui instruites par le juge d'instruction, signifie la fin du peu d'indépendance qu'il restait à la justice", a dénoncé le NPA.

Une association de défense des victimes, l'Institut pour la Justice, s'est dite "déçue" par le rapport Léger, contestant notamment l'introduction du "plaider coupable" en cour d'assises pour réduire la durée du procès. (Nouvelobs.com)
Source : NouvelObs

03/09/2009

Belgique : Des citoyens interpellent le gouvernement sur la grippe A

03.09.09 - 15:24

Un groupe de citoyens, préoccupé par la problématique actuelle de "pandémie" mondiale de la grippe AH1N1, a adressé dix questions au gouvernement belge sur les différents aspects de la vaccination prévue pour contrer le virus.

Le "double discours" adopté, selon eux, par les autorités et médias pose en effet de nombreuses questions. "Les messages envoyés à la population sont plus qu'alarmants. Un jour on nous dit de ne pas s'inquiéter, qu'il n'y a rien de grave et, le lendemain, on nous dit de faire de la place dans les cimetières pour prévenir les ravages du virus! Les messages sont tellement contradictoires que les citoyens sont perdus et paniquent", explique le Docteur Gaublomme, membre de l'initiative citoyenne.

Les interrogations du groupe de citoyens portent notamment sur l'efficacité du vaccin en cas de mutation du virus, sur la nocivité de ses composants, ainsi que sur sa nécessité et son coût. "Quelle sera la composition exacte des vaccins choisis? Il apparaît en effet que certains vaccins risquent de contenir des adjuvants et conservateurs reconnus comme toxiques. Et pourquoi vouloir mettre en place une loi d'exception sur la vaccination, alors que la pratique médicale est généralement bien acceptée par la population? Pourquoi cette idée de vouloir contraindre la population à se faire vacciner? ", interroge Marie-Rose Cavalier, ex-députée wallonne.

Fiable, un vaccin si rapidemment créé?

"La rapidité avec laquelle le vaccin a été mis au point pose également question. Comment être sûr que des effets secondaires graves ne se manifesteront pas à long terme? Le vaccin est-il fiable? Pourquoi inclure dans la vaccination les groupes à risques, comme les femmes enceintes, alors qu'ils ont été exclus lors de la recherche? Serviront-ils de cobayes? ", demande le Dr. Gaublomme.

Le coût que représente la vaccination suscite par ailleurs d'autres incertitudes. "Plus de 12 millions de doses du vaccin ont été commandées par le gouvernement. Si le vaccin se révélait finalement être inutilisable, qu'adviendra-t-il de l'argent public dépensé? Le gouvernement sera-t-il remboursé? Le gouvernement prévoit-il une indemnisation pour les victimes du vaccin? Parce que, dans tous les cas, il y en aura", indique Sophie Meulemans, victime de vaccins. Et le Dr. Gaublomme de rappeler l'épisode de la vaccination massive de 46 millions d'Américains contre la grippe porcine en 1976, pour une pandémie qui n'a jamais eu lieu; une vaccination qui a généré 500 cas de paralysie de type Guillain-Barré et des milliers de plaintes introduites pour dommages à la santé.

"Nous estimons qu'il est du devoir des autorités d'apporter la preuve à l'ensemble de la population qu'elles ont réellement évalué de façon rigoureuse et contradictoire le rapport bénéfice risque de ces futurs vaccins", estime Marie-Rose Cavalier.

Voie judiciaire

Les membres de l'initiative citoyenne attendent des réponses claires du gouvernement dans les dix jours, faute de quoi, il sera probablement fait appel à la voie judiciaire. "Si d'ici le 15 septembre, nous n'avons pas eu de réponses à nos questions, certains citoyens décideront peut-être de se tourner vers les tribunaux. Le gouvernement n'ayant pas répondu à notre mise en demeure et n'ayant donc pas rempli sa mission d'information, nous le contraindrons alors à y répondre par la voie d'autres organes", a expliqué Me Georges-Henri Beauthier.

Les personnes souhaitant prendre connaissance des textes et questions envoyés au gouvernement peuvent demander des informations via l'adresse mail initiative.citoyenne@live.be.

(Belga)

Source :  RTBF.be

La Peste au Mexique ? Oui bien sûr...


J’ai été témoin de l’épidémie de grippe de 1918

Eleanor McBean




Tous les médecins et les gens qui ont vécu à l’époque de l’épidémie de grippe espagnole de 1918 disent que ce fut la maladie la plus terrible que le monde ait jamais connue. Des hommes vigoureux et robustes pouvaient ainsi mourir du jour au lendemain. La maladie présentait les aspects de la peste noire, comme aussi de la fièvre typhoïde, de la diphtérie, de la pneumonie, de la variole, des maladies paralytiques, comme d’autres maladies contre lesquelles les populations avaient été vaccinées juste après la première guerre mondiale. On avait administré quantité de vaccins et de sérums toxiques à pratiquement toute la population. La situation devint réellement tragique quand éclatèrent tout d’un coup ces maladies engendrées par la médecine.

La pandémie s’éternisa deux ans, nourrie par les médicaments toxiques que les médecins prescrivaient pour supprimer les symptômes. Pour autant que j’aie pu l’observer, la grippe atteignait essentiellement les vaccinés. Ceux qui avaient refusé la vaccination échappaient à la maladie. Ma famille avait refusé toutes les vaccinations. C’est ainsi que nous sommes restés tout le temps en excellente santé. Nous savions de par les enseignements de Graham, Trail, Tilden et d’autres qu’on ne peut contaminer le corps avec des poisons sans que celui-ci ne devienne malade.

Quand l’épidémie atteignit son paroxysme, tous les magasins, les écoles, les entreprises étaient fermés et même jusqu’à l’hôpital. Les infirmières et les médecins qui s’étaient fait vacciner étaient terrassés par la maladie. On ne voyait plus personne dans les rues. La ville était devenue une ville fantôme. Comme notre famille (qui n’avait pas accepté les vaccinations) semblait être une des rares familles à ne pas avoir attrapé la grippe, mes parents couraient de maison en maison pour s’occuper des malades, vu qu’il était impossible de trouver un médecin. Si c’étaient les germes, les bactéries, les virus ou les bacilles qui devaient en fait provoquer la maladie, ils auraient eu cent fois l’occasion de s’attaquer à mes parents qui passaient plusieurs heures par jour dans les chambres de malades. Pourtant mes parents ne contractèrent jamais la grippe et ne rapportèrent à la maison aucun germe qui aurait pu s’attaquer aux enfants. Aucun membre de notre famille ne fut atteint par la grippe. Il n’y eut même pas le moindre rhume alors que l’hiver était rude et la neige épaisse.

On a dit que l’épidémie de grippe de 1918 avait tué 20 000 000 de personnes dans le monde. Mais en fait ce furent les médecins qui occasionnèrent cette hécatombe avec leurs traitements grossiers et meurtriers. C’est une terrible accusation, mais elle n’en demeure pas moins vraie, s’il faut en juger par les succès obtenus par les médecins n’utilisant pas les médicaments.

Alors que pour les médecins et les hôpitaux traditionnels, les décès s’élevaient à 33 %, les autres hôpitaux (non traditionnels) comme Battle Creek, Kellogg, Macfadden's Health Restorium obtenaient pratiquement 100 % de guérisons avec des méthodes naturelles simples comme les cures d’eau, les bains, les lavements, le jeûne, des régimes alimentaires très bien étudiés comprenant essentiellement de la nourriture naturelle. Un médecin que nous avons connu n’a pas perdu un seul patient de la grippe en huit ans...

Si les médecins classiques avaient été aussi éclairés que les thérapeutes utilisant les méthodes naturelles, on n’aurait sûrement jamais parlé de 20 000 000 morts suite au traitement médical officiel de la grippe.

Chez les militaires vaccinés, la maladie a frappé sept fois plus que chez les civils non vaccinés. Ces soldats souffraient en fait des maladies contre lesquelles ils avaient été vaccinés. Un soldat qui, en 1912, était rentré des territoires d’outre mer m’avait confié que les hôpitaux militaires étaient remplis de cas de paralysie infantile et il se demandait comment il était possible que des adultes puissent contracter une maladie d’enfance. Nous savons maintenant que la paralysie est une suite classique d’un empoisonnement vaccinal. Chez nous la paralysie n’est apparue qu’après la campagne de vaccination massive de 1918.



Les vaccins : protection ou illusion ?
Marjolaine Jolicoeur
AHIMSA

La médecine officielle est obsédée par la vaccination. Cette vaccinomanie est, pour elle, la solution incontournable pour prévenir les maladies, une protection contre presque tous les maux. Cette course effrénée pour trouver un vaccin contre toutes les calamités pesant sur l’humanité nous apportera peut-être un vaccin contre les accidents d’autos... Refuser de faire vacciner nos enfants ou nous-mêmes, on nous taxe, le plus souvent, d’irresponsables, de mal renseignés ou d’un manque de civisme. Un médecin m’a déjà dit que mon fils non vacciné était une menace pour les autres enfants... Les parents des nouveau-nés subissent eux aussi une pression médicale et sociale. On prophétise, à intervalles réguliers, une épidémie de rougeole ou de méningite et les écoles se transforment en « piqueries. »

Avant de partir pour l’étranger, les cliniques de vaccination conseillent parfois plus de sept vaccins ou rappels, de quoi bousiller complètement le système immunitaire, avant même de partir en vacances. Le succès, auprès du public, d’un livre comme "La mafia médicale", de Guylaine Lanctôt, plonge certains médecins dans une crise d’hystérie, proche de la transe fanatique. On s’étonne presque que des bûchers ne soient pas encore prêts pour tous ces hérétiques qui osent remettre en question la validité des vaccins.

L’histoire se répète, puisqu’au début des années 70, le Dr. Paul-Émile Chevrefils, fut radié des cadres de sa profession par le Collège des médecins suite à son opposition aux vaccins. Il n’hésitait pas à dire en 1965 : "Les vaccins donnent les maladies, en créent de nouvelles et propagent la mort. La preuve scientifique qu’une provocation artificielle d’une maladie empêche l’apparition d’une maladie naturelle n’a jamais été établie. Comme médecin, je m’élève contre ces vaccinations et proteste contre le mythe de Pasteur".

Depuis 1885, année où on appliqua à l’humain le premier vaccin vivant atténué contre la rage, nombre de médecins et de chercheurs s’opposèrent à cette pratique. À la fin du XIXe siècle, la "Ligue universelle des anti-vaccineurs" dénonça avec force les théories de Pasteur, pour qui les microbes (germes, virus, etc.) sont entièrement responsables de la presque majorité des affections de l’humain et des animaux.

Le monopole de la médecine officielle les fit taire et encore de nos jours, le silence est imposé aux infidèles, des thérapeutes de médecines douces, mais aussi de nombreux médecins, pédiatres, biologistes et chercheurs scientifiques. Depuis les cent dernières années, cette médecine, avec l’aide des multinationales pharmaceutiques, ignore les thérapies naturelles, écologiques ou holistiques pour faire la "guerre" aux maladies par le biais des vaccins. Les analogies pour se "battre" contre les microbes et les virus sont nombreuses dans le vocabulaire médical : l’agent, l’ennemi, l’identification de l’agent, sa neutralisation ou sa destruction, offensive, contre-offensive. Notre corps est un immense champ de bataille.

Avec sa vision mécaniste de l’humain, la médecine guerrière a provoqué une augmentation alarmante de maladies auto-immunes, telles que le Sida, les otites, l’asthme, l’herpès, les tumeurs, etc. Les infections bactériennes résistent de plus en plus aux antibiotiques et les scientifiques, depuis ces vingt dernières années, ont été confrontés à un nombre grandissant de maladies inconnues. De nouvelles formes d’hépatite ainsi que des virus entraînant la leucémie et d’autres virus hémorragiques du type Ebola ont fait leur apparition.

René Dubos dans son livre "Mirage of Health" remarque, à juste titre, que : "Le monde est obsédé par le fait que la poliomyélite peut tuer d’infortunées victimes chaque année. Mais ce qu’il y a d’extraordinaire c’est que des millions et des millions de jeunes enfants sont infectés par le virus de la poliomyélite sans souffrir de la maladie. Les virus et les bactéries ne sont pas les causes des maladies, il s’agit d’autre chose."

On peut refuser les vaccins pour d’évidentes raisons de santé, mais aussi pour des raisons philosophiques, religieuses ou pour ses liens étroits avec la cruauté de l’expérimentation animale. Après avoir été confrontée à la vaccination en tant que mère et voyageuse, suite à mes lectures de nombreux livres et rapports de différents points de vue, je ne vois aucun avantage réel aux vaccinations et je les refuse pour toutes les raisons évoquées. Nous avons tous la capacité et la responsabilité de nous poser des questions sur les vaccins. Nous n’avons pas à remettre à d’autres notre pouvoir. La santé de notre corps et celles de nos enfants nous appartient, totalement.

La vaccination, ou l’immunisation, selon les termes de la médecine officielle, est basée sur le concept que l’inoculation de bactéries. De fragments de capsules bactériennes, de toxines bactériennes, de virus ou de fragments de virus, permet de procurer au corps humain les moyens pour se défendre contre une agression biologique avant qu’elle ne survienne. Il s’agit de stimuler le système immunitaire et de provoquer une réponse par un antigène (le vaccin) qui s’exprime par la production d’anticorps (une protéine) spécifiques.




Cette vaccination=immunisation, donc protection. Cette formule ignore la variation des réactions biologiques, variations dans les réponses immunitaires. Personne ne se donne la peine de contrôler les effets immunitaires après la vaccination, pas d’examens après les vaccins pour trouver les titrages d’anticorps. Pour pallier ces variations immunitaires, on fera des rappels, on revaccinera une deuxième fois, comme ce fut le cas pour la rougeole au Québec, au printemps 1996.

Avant la vaccination, on ne s’informe pas vraiment pour savoir si elle sera bien supportée par le vacciné. Mais même si celui-ci est apparemment en bonne santé, des problèmes peuvent survenir :"Un enfant peut être en bonne santé et cependant, un dérèglement récent ou ancien, discret ou évident, souvent même non apparent, de ses systèmes neurovégétatif et hormonal est susceptible de déclencher des accidents de gravité variable" (Dr. Kalmar) Dès que quelques cas de rougeole ou de méningite pourraient faire croire à une menace d’épidémie, on vaccine massivement sans contrôle préalable sur la santé du vacciné. Chaque automne, au Canada, 4 millions d’individus se font vacciner contre la grippe, en très grande majorité des personnes âgées, parfois de peu de résistance. Après la vaccination, si on détectait la présence d’anticorps, cela indiquerait-il vraiment une protection contre la maladie ? Dans un article de "l’Australian Journal of Medical Technology", le virologue B. Allen rapporte le cas d’un groupe de soldats vaccinés contre la rubéole qui, bien qu’ils démontraient une production d’anticorps, contractèrent tout de même la maladie, dans une proportion de 80 %.

Notre système immunitaire a-t-il vraiment besoin d’agents extérieurs, d’une immunisation artificielle pour bien fonctionner ? Cette immunisation artificielle renforce-t-elle notre système immunitaire ? Des substances associées à la maladie et à la mort peuvent-elles vraiment apporter la santé ?

Les virus ou protéines étrangères des vaccins ne sont pas filtrés par le système digestif ou le foie, mais directement injectés dans le sang et le système lymphatique, leur donnant un accès direct immédiat aux organes. Les vaccins court-circuitent donc totalement nos systèmes de défense naturelle.

Pour la médecine, c’est parce que le système immunitaire du bébé est immature qu’il doit être vacciné. Mais ce bébé n’est-il pas plus vulnérable aux effets toxiques et allergènes des vaccins, justement parce que son système immunitaire est en formation ? H. Buttram et J. Hoffman, à la fois médecin et chercheur en biologie moléculaire affirme : " Les vaccinations en bas âge ne peuvent pas aider, car elles ont des effets dangereux sur le système immunitaire de l’enfant laissant peut-être ce système tellement atteint qu’il ne peut plus protéger l’enfant durant sa vie, ouvrant la voie à d’autres maladies suite à une dysfonction immunitaire".

Même son de cloche chez le professeur Pariente : "Stimuler sans cesse l’immunité n’est pas sans danger". Introduire dans un organisme des protéines étrangères à son code génétique viole l’intégrité biologique et amène l’épuisement du système immunitaire et non l’immunité. Il s’ensuit un déséquilibre écologique. Nous avons tous en nous des millions de germes microbiens plus ou moins actifs et de virus à l’état latent, qui sont en équilibre entre eux et le système immunitaire. Modifier cet équilibre peut avoir des conséquences graves : des microbes jusqu’à là non pathogènes peuvent alors devenir redoutables.

De plus, les virus des vaccins ont des propriétés tout à fait particulières de résistance et des pouvoirs de mutation. Deux virus peuvent se combiner et donner naissance à un hybride bien plus dangereux. Ces virus peuvent rester à l’état latent dans l’organisme pendant des années et ne devenir pathogènes qu’en présence d’un autre virus, d’un agent physique ou chimique ou tout simplement d’une déficience des défenses immunitaires. En 1969, la revue suisse "Médecine et Hygiène" constatait que depuis la généralisation de la vaccination contre la poliomyélite, certains virus qui jusque-là ne provoquaient que des "infections asymptomatiques" devenaient de plus en plus souvent pathogènes. En 1974, le professeur Bastin déclarait que "le vaccin contre la rougeole exalte le pouvoir pathogène des adénovirus."

Les vaccins, tel que vu précédemment, sont composés de virus ou de bactéries. Par exemple, celui pour la coqueluche provenait à l’origine, du mucus de la gorge d’enfants atteints et celui de la typhoïde, de matière fécale décomposée de patients malades. On retrouve aussi dans les vaccins différents produits chimiques, des antibiotiques, des stabilisateurs et des agents de conservation. D’autres additifs : de la gélatine hydrolysée à titre d’agent stabilisant, du phosphate d’aluminium, du phénol, du sorbitol, du formalin et du thimerosal. Tous des ingrédients toxiques, cancérigènes et allergènes.

Le thimerosal, un dérivé mercuriel est utilisé comme préservateur. En 2001, on retrouve du mercure dans les vaccins contre la méningite, l’hépatite B et la grippe. S’élimine difficilement de l’organisme. Dans une étude publiée en 1979, dans le "British Medical Journal", 26 patients reçurent un sérum d’immunoglobulines contenant du thimerosal. 19 d’entre eux (soit 73 %) virent leur taux de mercure augmenter, fait prouvé par des analyses d’urines. Le mercure est un métal toxique, s’accumule dans le cerveau et peut causer des dommages importants au système nerveux. Il traverse le placenta pour atteindre le cerveau du fœtus et contamine les nourrissons par le lait maternel. L’aluminium se retrouve dans la majorité des vaccins.

Le formalin (solution contenant 37 % de formaldéhyde) inactive le virus dans les vaccins antipoliomyélitiques, de la fièvre jaune et de la grippe. Il se retrouve aussi dans ceux de la diphtérie, du tétanos et du DCT (diphtérie, coqueluche, tétanos). La toxicité du formaldéhyde, du thimerosal et de l’aluminium est reconnue et dûment prouvée par nombre d’études scientifiques.

Les fabricants de vaccins argumenteront que ces produits chimiques se retrouvent en petites quantités dans les vaccins et que leur innocuité fut testée sur des animaux de laboratoire, ce qui n’est pas pour nous rassurer. Leurs effets toxiques, cumulatifs, leurs interactions entre eux et les virus ou microbes forment un imprévisible cocktail pour un bébé de petite taille, ou même pour un adulte.

En outre, on peut se demander si ces produits chimiques réussissent vraiment à atténuer le pouvoir pathogène des virus et des bactéries ou à les tuer. Pour justifier les vaccinations massives, certains membres de la médecine scientifique tendent à démontrer que la baisse de l’incidence des maladies est due à l’introduction des vaccins qui firent disparaître, entre autre, la variole.

La peste, qui faisait des millions de morts autrefois n’existe presque plus et ce, sans qu’un vaccin n’y soit pour quelque chose. La diphtérie a disparu en même temps dans les pays qui vaccinaient et dans ceux qui ne vaccinaient pas. En Suède, cette maladie a disparu sans aucune vaccination de masse. Selon certaines données épidémiologiques, la poliomyélite a disparu en Europe pendant les années 40 et 50 et ce, sans vaccination de masse.

Nombre de graphiques démontrent à l’évidence que le nombre de décès causés par les maladies infectieuses avait déjà commencé à diminuer avant que les vaccinations ne deviennent disponibles. Quand elles ont été implantées, le niveau était déjà rendu très bas grâce à une alimentation plus saine, des logements plus salubres, une meilleure hygiène, un statut social plus valorisant, etc.

Certains médecins préfèrent ignorer ces solutions de bon sens pour mettre en avant les vaccinations de masse. Ils affirmeront, par exemple, qu’au Mali, là où les vaccins sont pratiquement inexistants, un nouveau-né à seulement une chance sur cinq de vivre jusqu'à à cinq ans. En Afrique, la rougeole tue deux enfants sur cinq au même âge. Mais ces enfants ne meurent-ils pas plutôt à cause des conditions de vie difficiles que les vaccins ne peuvent améliorer ?

Dans les années 80, l’objectif conjoint de l’Unicef et de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) était qu’en 1990, tous les enfants du monde soient vaccinés contre ces 6 maladies : rougeole, poliomyélite, diphtérie, tétanos, coqueluche et tuberculose. Pourtant, des enfants affamés ou mal nourris supportent mal les vaccinations. L’objectif de ces organismes devrait plutôt être de l’eau potable et une alimentation équilibrée pour tous les enfants. Voilà un objectif plus humanitaire, pour sauver ces 15 millions d’enfants de moins de cinq ans qui meurent chaque année sur notre planète. Notons que 4 millions d’entre eux meurent à cause de la diarrhée. Il est vrai que ces mesures ne rapporteraient pas grand chose aux compagnies pharmaceutiques...

La vaccination ne protège pas et, fait encore plus terrible, elle donne la maladie qu’elle est supposée enrayer. En Angleterre, en mai 1871, les autorités médicales affirmaient que 87.5 % de toute la population avait été vaccinée. L’année suivante, le pays expérimenta la pire épidémie de variole de toute son histoire, ce qui tua 44 840 personnes. En Ecosse, entre 1855-1875, plus de 9 000 enfants de moins de cinq ans moururent de la variole en dépit du fait que le pays était à cette époque l’un des plus vacciné du monde. En Allemagne, dans les années 1870-71, 100 000 personnes eurent la variole, dont 120 000 succombèrent à la maladie. 96 % d’entre elles avaient été vaccinées.

En fait, la variole sembla cinq fois plus fatale parmi ceux qui étaient vaccinés que parmi ceux qui ne l’étaient pas. Dans son livre "The Vaccination Superstition", le Dr. J.W. Hodge note : "Après une soigneuse considération de l’histoire de la vaccination ramassée à même une étude impartiale et compréhensible de statistiques vivantes et de données pertinentes provenant de source sûre, et à la suite d’une expérience à partir du fait d’avoir vacciné 3 000 sujets, je suis fermement convaincu que la vaccination ne peut être montrée comme ayant quelque relation logique avec la diminution des cas de variole. La plupart des personnes sont mortes de la variole qu’ils contractèrent après avoir été vaccinées."

Le professeur George Dic, en 1973, abonde dans le même sens en disant que lors des décennies précédentes en Grande-Bretagne, 75 % de ceux ayant contracté la variole avait été vaccinés. Des cas de poliomyélite se déclarèrent au Gabon, au Brésil et à Taiwan dans des populations à grande majorité vaccinées.

En 1987, à l’Université d’Alberta, une épidémie d’oreillons ravagea le campus malgré un taux de vaccination de 98 %. Entre janvier et mai 1989, au Québec, sur 1 600 cas de rougeole, plus de 58 % des enfants avaient été vaccinés. D.M. Johnson dans le "Journal of the American Medical Association" (1969) rapporte des cas de mort par tétanos chez des individus dûment vaccinés. En 1941, la majorité des enfants de France étaient vaccinés contre la diphtérie, ce qui n’empêcha pas les cas de diphtérie de tripler en 1943.

Les docteurs Dettman et Kalokerinos trouvèrent dans les annales du Ministère de la Santé de l’Ecosse que, durant la période allant de 1941 à 1944, 23 000 cas de diphtérie furent déclarés sur des enfants déjà vaccinés, entraînant la mort de 180 d’entre eux. Dans un essai majeur réalisé en Inde auprès de 260 000 personnes, le BCG s’avéra plus qu’inefficace : il est survenu plus de cas de tuberculose chez les vaccinés que dans le groupe placebo.

À court et à long terme, tous les vaccins présentent des effets secondaires, effets rapportés par les fabricants de vaccins eux-mêmes et décrits dans nombre de revues médicales. Convulsions, fièvre, urticaire, gonflement des ganglions, œdèmes, troubles gastro-intestinaux, apparaissent suite à l’injection du vaccin.

Les médecins conscients de ces effets secondaires ne les réfuteront pas mais concluront que "de deux maux, nous devons choisir le moindre mal". Les vaccins sont-ils vraiment le moindre mal ? Chez plusieurs enfants vaccinés (particulièrement avec le DCT- diphtérie, coqueluche, tétanos), on dénote des atteintes au système nerveux central, des cas de paralysie et d’inflammation du cerveau.



Selon une étude de Allan Hinman et Jeffrey Copelan, publiée en 1984 dans le "Journal of the American Medical Association", sur les 3,3 millions d’enfants vaccinés annuellement aux États-Unis avec le DCT, 16 038 démontrèrent des crises aiguës et des pleurs persistants - ce qui est considéré par plusieurs neurologistes comme l’indication d’une irritation du système nerveux central ; 8 484 eurent des convulsions ; 8 484 furent en état de choc dans les 48 heures suivant l’injection du DCT (Notons que des séquelles neurologiques peuvent survenir après la vaccination même en l’absence de réactions extrêmes). À long terme, les vaccins, en stimulant artificiellement le système immunitaire, ouvrent la porte aux maladies dégénératives, chroniques ou auto-immunes. G. Dettman dans "l’Australian Nurses Journal" (1977) rapporte que "certaines souches de vaccins peuvent être impliquées dans des maladies dégénératives telles que l’arthrite rhumatoïde, la leucémie, le diabète et la sclérose en plaques".

Un article dans le "British Medical Journal" (1967) par Miller abonde dans le même sens :"Plusieurs auteurs allemands ont décrit la relation entre la sclérose en plaques et les vaccinations contre la variole, la typhoïde, le tétanos, la poliomyélite et la tuberculose". R. Maskowitz, médecin et gradué de Harvard, est convaincu que les vaccins peuvent, à long terme, mener à une déficience du système immunitaire et causer : "des maladies considérablement plus graves que la maladie originale, impliquant des structures plus profondes, plus d’organes vitaux et ayant moins la possibilité de se résorber spontanément".

Le pédiatre Mendelsohn a raison de se demander : "Allons-nous échanger la rougeole contre le cancer et la leucémie ?" Les vaccins découlent directement de l’expérimentation animale, puisqu’en plus de contenir des sous-produits de l’abattoir, ils sont par la suite systématiquement tester sur des animaux. Des milliers de singes, par exemple, souffrent pour l’élaboration des vaccins contre le Sida et l’hépatite.

Les vaccins de la rougeole, de la fièvre jaune et des oreillons se cultivent sur des embryons de poulets. Celui contre l’encéphalite japonaise dans des cerveaux de souris ; ceux contre la polio, la rage, la varicelle et l’hépatite A baignent dans le sérum bovin.

Un virus a besoin de matière vivante pour se multiplier. L’embryon de poulet semble pour les multinationales de vaccins un foyer de culture idéal. Après onze jours d’incubation sous une température constante, un technicien injecte un virus dans l’embryon. On laisse le virus se multiplier à l’intérieur de l’œuf embryonnaire pendant deux ou trois jours. Le liquide dans lequel baigne l’embryon ou l’embryon lui-même est traité avec différents produits chimiques. Cette macération permet, selon les fabricants, de "digérer l’embryon". La dernière étape consiste à filtrer le liquide, opération permettant de ne conserver que le virus.

Les embryons de poulet se forment entièrement après 35 heures d’incubation et on peut voir leur cœur battre dès le cinquième jour. Ces futurs poussins proviennent de poulaillers contenant plus de 10 000 poules et près de 700 coqs. Pendant la période de production de ses vaccins contre la grippe, la compagnie pharmaceutique Bio-Vac consomme 160 000 œufs par semaines.



Les vaccins cultivés sur des cellules animales peuvent contenir des contaminants non décelés par les fabricants. Aucun laboratoire ne peut garantir l’asepsie des cellules animales servant à la culture vaccinale. Le virus de la leucose aviaire contamina la plupart des vaccins contre la fièvre jaune et la rougeole jusqu’à 1962. Dans la revue américaine "Science" (1972) le dr. Leonard Hayflick, professeur de microbiologie à l’Université de Stanford en Californie, déclarait : "Un nombre important de reins de singes (25 à 80 %) traités pour la fabrication des vaccins, doivent être écartés à cause d’une contamination étendue par un ou plusieurs de 20 virus connus. Il y a au moins plusieurs centaines de milliers de personnes aux États-Unis qui ont été inoculées avec les virus vivants SV-40 qu’on a trouvés dans des vaccins antipolios produits sur des cellules de reins de singes. Ce virus SV-40 provoque des tumeurs chez les hamsters et convertit in vitro les cellules humaines normales, en cellules cancéreuses".

Le 11 mai 1987 le "London Times" rapportait des informations concernant un représentant de l’OMS. Ce dernier affirmait avoir des preuves démontrant que l’origine et la prolifération du virus du Sida provenaient du vaccin antivariolique administré pendant les 13 années dans les pays du Tiers-Monde par l’OSM. Pour Jeremy Rifking du groupe environnemental The Fondation of Economics Trands : "Il est possible que certaines contaminations de virus animaux dans les vaccins, comme celui de la variole, ont joué un rôle dans l’émergence du sida et d’autres maladies". Cette fondation croit que le vaccin de la variole et d’autres vaccins contenant du sérum de bœuf/vache peuvent être l’hôte du "virus bovin de déficience immunitaire" et se transmettre à l’humain. Ce virus est semblable au VIH humain.

Un virus voisin, le "virus bovin de la leucémie" (VBL) se retrouve aussi chez les bovins et ressemble à un virus humain, le HTLV-I qui cause une forme rare de leucémie. Le département américain de l’Agriculture a décelé le VBL dans plus de 60 % du bétail américain.

L’antagonisme biologique entre les espèces est si puissant que les virus d’une espèce, inoffensifs pour elle (par exemple, le SV-40 est inoffensif pour les singes) peuvent devenir dangereux lorsque transférés à une espèce différente, comme l’espèce humaine, au point de devenir cancérigènes. Le Dr. Leonard Hayflick, déjà cité, fait la remarque suivante : "Les virus animaux cancérigènes les plus importants - ceux qui peuvent être isolés chez les primates, le SV-40 et les adénovirus cancérigènes - ne sont cancérigènes que quand ils passent à une autre espèce. Aucun virus cancérigène de primate ne produit des tumeurs dans l’espèce animale dont le virus est originaire, mais de tels virus peuvent produire des tumeurs dans des espèces animales hétérogènes". Bien sûr, il s’agit ici de virus connus mais il en existe une multitude, qui non décelés peuvent contaminer les vaccins.

En 1966, sept chercheurs allemands du laboratoire Behring trouvèrent la mort en travaillant sur des singes utilisés pour la fabrication des vaccins contre la poliomyélite et le typhus. Trente autres chercheurs ont été malades sans qu’on puisse identifier le virus responsable.

Comme nous venons de le voir, les vaccins ne semblent pas un signe évident de protection contre les maladies. Par-delà le côté strictement de santé, certains évoquent pour les refuser des raisons philosophiques ou religieuses. Dans les années 80, des groupes opposés à l’avortement voulaient mettre fin à l’usage d’un vaccin contre la rougeole provenant des tissus prélevés sur un fœtus obtenu lors d’un avortement. Le vaccin, nommé WI-38, avait été fabriqué en 1962, à partir de tissus de poumon prélevés sur un fœtus suédois. Les tissus originaux furent congelés pour servir à produire le vaccin partout dans le monde par culture cellulaire, Des porte-parole de ces divers groupes trouvèrent l’usage de ce vaccin offensant et répugnant, du point de vue moral. En 1984, ils affirmaient qu’au Canada, c’était le seul vaccin contre la rougeole disponible depuis 1979.

En Inde, on vaccine massivement des disciples de l’hindouisme ou du jaïnisme avec des vaccins provenant de reins de singes, ou contenant du sérum bovin. Cette population ayant une révérence religieuse pour ces animaux, ignore probablement ce fait et se soumet à la technologie de l’Occident, une autre forme de colonialisme.

Les vaccins perturbent l’écologie de notre corps, de ceux qui nous entourent et de la planète. Les laboratoires rejettent nombre de produits chimiques servant à l’élaboration des vaccins. En outre, le virus vivant de la poliomyélite, par exemple, en se répliquant dans l’intestin du sujet vacciné, est ensuite excrété en grande quantité dans le milieu extérieur. Les virus deviennent source de pollution.

Après une campagne de vaccination contre la poliomyélite au Costa Rica en 1959, les mouches véhiculaient du virus vaccinal. Tout vacciné est potentiellement capable de contaminer son entourage. La menace ne vient pas des non vaccinés mais des vaccinés ! Il peut aussi y avoir le danger qu’un virus s’échappe lors des recherches. En 1978, une femme travaillant dans un laboratoire de l’Université de Birmingham est morte après la "fuite" d’un virus porteur de la variole.

Conclusion : Le respect de maladies le plus souvent bénignes doit être envisagé. Les maladies et les dites épidémies apparaissent par cycles et disparaissent d’elles-mêmes. Nous devons fortifier notre système immunitaire - par une alimentation biologique, une bonne hygiène de vie, etc. - et non l’agresser avec des produits chimiques, des virus d’animaux malades, des substances toxiques et des débris d’abattoir.

En matière de microbiologie, il arrive que ce qu’on croit mort soit vivant. Même constitués de microbes ou de virus atténués ou tués, ces éléments que l’on tient pour inactifs peuvent se réactiver. Les vitamines A et C se révèlent très utiles contre les maladies infectieuses. Plusieurs chercheurs démontrèrent que la vitamine C par exemple, inactive le virus de l’herpès, de la poliomyélite et de la rage.




En 1937, le "Canadian Medical Association Journal", décrivait cette expérience : on administra 1 gramme de vitamine C pendant plusieurs jours à 29 patients souffrant de coqueluche. Les chercheurs trouvèrent que le "traitement abaissa l’intensité, le nombre et la durée des symptômes".

On retrouve dans la littérature médicale d’autres études semblables sur la vitamine C et ses effets thérapeutiques contre la lèpre, la fièvre typhoïde et la dysenterie. Au Québec, aucun vaccin n’est obligatoire. Tout individu peut refuser un vaccin et l’obliger à le faire contrevient aux droits reconnus à l’article 1 de la Charte québécoise et à l’article 7 de la Charte canadienne. Lors d’un jugement rendu en mars 1990, le juge Trudeau a reconnu que lors d’une "épidémie" de rougeole, les parents ne sont pas tenus de faire vacciner leurs enfants mais doivent les retirer de l’école jusqu’à ce que se résorbe la dite "épidémie".

Aucun vaccin n’est obligatoire pour voyager à l’étranger, excepté celui de la fièvre jaune que certains pays (d’Afrique ou d’Amérique du sud) peuvent demander si vous venez d’une zone d’endémie.

En Suède, la diphtérie a disparu sans aucune vaccination de masse. Dans les années 50, aux Etats-Unis, après une année de vaccination massive contre la poliomyélite, les cas de cette maladie augmentèrent de 300 % dans les états qui vaccinaient. Les cas de poliomyélite en Angleterre entre 1923 et 1953 diminuèrent de 53 % avant même l’introduction des vaccinations de masse.

En 1992 , en Grande-Bretagne, deux vaccins contre la rougeole (Pluserix, Immravax) furent bannis après avoir causé chez de nombreux enfants vaccinés la méningite, la surdité, la paralysie et des troubles de la vision.

En 1995, selon une étude publiée dans la revue médicale britannique "The Lancet", la vaccination contre la rougeole pourrait jouer un rôle dans la survenue de maladies inflammatoires des intestins comme la maladie de Croh. Le risque de maladie de Crohn est 3 fois supérieur parmi les vaccinés et 2 fois supérieur pour la rectocolite hémorragique, selon un groupe témoin.

Le "New England Journal of Medecine" (1987) dans un article de Tracy Gustafson, écrit qu’entre 1983 et 1990, des épidémies de rougeole se déclarèrent aux États-Unis chez des enfants et de jeunes adultes vaccinés et ayant démontré des anticorps contre la maladie.

Dans une épidémie de rougeole à Corpus Christie, Texas (États-Unis) en 1985, 99 % des enfants atteints avaient été vaccinés; 12% d’entre eux avaient même reçu un 2e rappel.

Le Dr. Aubrey Tingle, pédiatre et immunologiste à l’Hôpital de Vancouver a découvert que 30 % des adultes ayant été exposés au vaccin contre la rubéole, souffrirent d’arthrite allant de jointures endolories jusqu’à un handicap sévère, deux ou quatre semaines suivant la vaccination.

En 197l, à Casper, Wyoming (États-Unis) une épidémie de rubéole éclata un an après que 83 % des enfants en âge scolaire de la ville aient été vaccinés contre la maladie. À Birmingham, en Grande-Bretagne, 600 personnes âgées et vaccinées contre la grippe démontrèrent le double de problèmes respiratoires qu’un groupe similaire non vacciné. Pour diagnostiquer la tuberculose, on a recours au "test cutané à la tuberculine" (cuti-réaction). Selon le Dr. J. Pilette, ce test peut déclencher des réactions allergiques, de l’asthme, des atteintes oculaires, de la cécité et même le décès, ainsi que des tuberculoses nouvelles ou réactives (surtout en période de croissance ou en cas de tests répétés).

Un nombre impressionnant d’articles publiés dans des revues scientifiques fait état de sévères complications auto-immunes et neurologiques suite à une vaccination contre l’hépatite B : nausées, vomissements, diarrhée, fièvre, urticaire, tachycardie, palpitations cardiaques, zona, eczéma, purpura, paralysie, syndrome de Guillain-Barré, névrite optique, conjonctivite, troubles de la vision, sclérose en plaques, diabète. Aussi des cas d’arthrite, de rhumatisme, de problèmes de foie, d’asthme et même des décès.

Le vaccin contre le méningocoque groupe A, CY et W-113 (méningite) combinés comporte des effets secondaires tels que céphalées, malaises, frissons et fièvre. Celui de l’Haemophilus influenza (type B/Hib) peut induire des crises convulsives, douleurs au point d’injection, irritabilité, somnolence, diarrhée, vomissement, otite, éruption cutanée et infection des voies respiratoires supérieures. Une étude réalisée au Minnesota (États-Unis) démontre que le H.I.B augmente les risques de développer une méningite.

"Le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même." Dr. William Frosehaver

"C’est une grande insulte faite au système immunitaire d’un enfant que d’introduire dans son sang les protéines étrangères ou les virus vivants dont sont composés les vaccins d’aujourd’hui". Dr. Moskowitz

"Les vaccins viraux vivants contre la grippe et la polio paralytique, par exemple, peuvent dans chaque situation, dans chaque cas, causer la maladie qu’ils veulent justement prévenir; les vaccins viraux vivants contre la rougeole et les oreillons peuvent produire des effets secondaires, tel l’encéphalite... Le vaccin viral vivant contre la polio est maintenant la principale cause de la polio aux États-Unis et dans d’autres pays... Contrairement aux croyances antérieurement établies à propos des vaccins du virus de la polio, l’évidence existe maintenant que le vaccin viral vivant ne peut être administré sans risque de produire la paralysie... Le vaccin viral vivant de la polio transporte en lui-même le risque de produire la polio paralytique chez les individus vaccinés ou leurs contacts". Dr. Salk (il introduisit le vaccin original de la polio dans les années 50)

"Les vaccins peuvent causer l’arthrite chronique évolutive, la sclérose en plaque, le lupus systémique érythémateux, le Parkinson et le cancer." Professeur R. Simpson, de l’American Cancer Society

"La rubéole est une maladie bénigne qui ne requiert aucun traitement médical. Le traitement consiste en repos et en absorption de liquide"..."Les oreillons ne requièrent pas de traitement médical : du repos, une diète légère, beaucoup de boisson et des compresses glacées pour diminuer le gonflement. Les cas d’orchite (atteinte du testicule causant la stérilité) sont extrêmement rares"..."Votre enfant a, aujourd’hui, à peu près autant de chance d’attraper la diphtérie que d’être mordu par un cobra". Robert Mendelsohn, pédiatre

"Le déclin du tétanos en tant que maladie commença avant l’introduction de l’anatoxine dans la population" : "Medical Journal of Australia" (1978)

"L’évidence suggère que les personnes qui sont vaccinées contre la grippe ont approximativement 10 fois plus de chance de contracter le syndrome de Guillain-Barré que ceux qui n’ont pas été vaccinés" Center for Control Diseases (1977)

"C’est une véritable épidémie... Il est grotesque de prétendre qu’il n’existe aucun lien entre l’autisme et la vaccination sauf des coïncidences. La vérité est que des enfants sont blessés par les vaccinations". Dr. Bernard Rimland, directeur et fondateur du Autism Research Institute Of San Diego

"Pendant 23 ans, j’ai observé que les enfants non vaccinés étaient plus sains et plus robustes que les enfants vaccinés. Les allergies, l’asthme et des perturbations comportementales étaient clairement plus fréquents chez mes jeunes patients vaccinés. D’autre part, les premiers n’ont pas souffert plus souvent ou plus sévèrement de maladies infectieuses que les autres." Philip Incao, médecin

"Il n’y a pas de raison de croire que le vaccin de l’influenza (grippe) soit capable de prévenir ou de diminuer la maladie. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu’il ne sert à rien mais ils continuent à le vendre tout de même." Dr. Anthony Morris - anciennement chef du Contrôle des vaccins, gouvernement des États-Unis.

"J’appelle ça de la vaccinomanie. Nous sommes arrivés à un point qui n’est plus défendable sur le plan scientifique. Introduire de nouveaux vaccins dans le corps sans savoir comment ils pourront affecter dans le temps les fonctions du système immunitaire frise la criminalité." Nicholas Regush, journaliste médical

"La présence d’un œdème cérébral chez des enfants en bas âge qui meurent très peu de temps après une vaccination contre l’hépatite B est inquiétante... Les enfants an dessous de 14 ans ont plus de chance de mourir ou de souffrir de réactions négatives après avoir reçu le vaccin de l’hépatite B que d’attraper la maladie." Jane Orient, médecin, directrice de L’Association des Médecins américains et des chirurgiens.

"Les parents d’enfants autistes rapportent couramment des désordres neurologiques immédiatement après l’inoculation avec le RRO (Rougeole, rubéole, oreillons) et le DCaT (Diphtérie, Coqueluche acellulaire et tétanos)." Dr. Vijendra Singh, professeur d’immunologie

En 1992, une étude publiée dans "The American Journal of Epidemiology" a démontré qu’un enfant a 8 fois plus de chance de mourir, trois jours après avoir reçu le vaccin DCT (diphtérie, coqueluche et tétanos) qu’un enfant non vacciné.

Une étude préliminaire du Center for Disease Control, États-Unis, sur le vaccin HIB (Haemophilus influenza type b/hip) indique qu’un enfant vacciné peut 5 fois plus contracter la maladie qu’un enfant n’ayant pas reçu le vaccin.

Le "New England Journal of Medecine" (juillet 1994) a publié une recherche concluant que 80 % des enfants en bas de 5 ans qui avaient contracté la coqueluche étaient pourtant vaccinés contre la maladie.

Au Japon, après l’introduction en 1994 d’un vaccin RRO (rougeole, rubéole, oreillons) on a vu s’accroître dans les mois suivants, une augmentation dramatique de cas de méningites chez les enfants vaccinés. Le même phénomène s’est répété en France et en Grande Bretagne. Le vaccin en cause serait celui de la rougeole.

Document source : Amessi

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Nos libertés

01/09/2009

Grippe A /H1N1 : Le plan de vaccination de la France : Mail d'information

COMMUNIQUE DE SOS JUSTICE & DROITS DE L'HOMME
Diffusé largement auprès des signataires de la pétition
le 30 août 2009
A diffuser largement. Merci.

Bonjour à toutes et à tous,
Nous vous remercions d'avoir signé la pétition, et nous nous permettons de vous adresser ce message afin de vous apporter quelques informations importantes.

Vous trouverez en pièces jointes le plan de vaccination Français et de la circulaire adressée aux Préfets le 21 août 2009 par le Ministère de l'Intérieur.

Heureusement que la vaccination n'est pas obligatoire, qu'en serait-il autrement ?

3 Ministères gèrent la pandémie à savoir : Le Ministère de la Santé, de l'Intérieur et de la Défense.

Plan de pandémie retouché curieusement par le secrétariat de la Défense, le 20 février 2009, soit quelques jours avant l'inauguration des Laboratoires SANOFI-AVENTIS le 9 mars 2009 au Mexique, curieusement spécialisé dans le virus de la Grippe Aviaire.

Vous constaterez que la vaccination devrait se faire selon le principe de la double dose et qu'il y a "la nécessité d'une traçabilité individuelle systématique", ce qui revient à dire qu'il y a un risque pour que le vaccin contienne la puce RFID : http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2009/06/24/la-puc...

France : Grippe A(H1N1) : le plan de vaccination français
http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/medecine/d/gripp...

Grippe A/H1N1 : Conférence de presse du 27 août 2009
http://www.pandemie-grippale.gouv.fr/article.php3?id_arti...

Pour ce qui concerne les enfants :

Vous remarquerez que les enfants seraient vaccinés à l'école. Soyez vigilants, dans la mesure où nous dénonçons le vaccin comme étant une arme de destruction massive qui aurait été prévu par les élites pour être mortel. Nous vous prions en conséquence de prendre attentivement connaissance des demandes formulées par SOS JUSTICE auprès du Parquet de Nice les 31 juillet et 4 août 2009, ainsi que la lettre adressée à M, SARKOZY - Président de la République le 9 août 2009 qui se trouvent en pièces jointes, le reste du dossier étant accessible par le lien suivant :

http://www.sos-justice.com/Dev2Go.web?Anchor=lesdossiers&...

Le Président n'a pas répondu à notre demande et le Gouvernement semble se diriger vers une vaccination de masse.

Dans la mesure où les enjeux sont énormes dans ce dossier et que nous ne sommes assurés de pouvoir faire arrêter la vaccination.

Nous vous demandons en conséquence, de prendre toutes vos dispositions dès à présent concernant vos enfants et petits-enfants, afin d'éviter de les scolariser durant toute la période de vaccination et des supposés risques liés à la pandémie. C'est sans doute le moment de faire jouer la solidarité familiale de manière à assurer la sécurité de nos enfants. L'absence scolaire nous en sommes persuadés ne participera pas à les rendre moins intelligents, et bien au contraire, nous préférons voir des enfants en bonne santé et vivants, que des enfants morts ou malades. Nous vous demandons de prendre dès à présent toutes vos dispositions.

Pour ce qui concerne les fonctionnaires :

Ils seront sûrement appelés à se faire vacciner, notamment ceux, qui sont en contact avec le public. Il vous appartiendra de faire vos choix en toute conscience en sachant que les personnes vaccinées seront le support et le véhicule de la diffusion de la pandémie, le vaccin et le virus s'éliminant par les voies naturelles de l'air et de l'eau, le virus pourra ainsi toucher y compris les personnes non vaccinées.

Pour ce qui concerne les personnels de santé : Médecin, infirmier, aide-soignant ou autres.

Nous avons fait des recherches juridiques concernant leur responsabilité pénale en cas d'injection vaccinale létale.
Tous les textes sont en totale contraction avec les textes qui
prévoient leur responsabilité pénale, d'avec la constitution française, la constitution européenne, et la loi sur la réserve sanitaire du 5 mars 2007 en application de laquelle ils pourraient être réquisitionnés pour assurer la campagne vaccinale sur réquisition du Préfet de leur région. Tous les textes ont été mis en ligne sur notre site afin qu'ils puissent les consulter et être informés sur leur statut et obligations. Le lien :

http://www.sos-justice.com/Dev2Go.web?Anchor=lesdossiers&...

Voir la rubrique : PANDEMIE ET PERSONNELS DE SANTE - Loi sur la réserve sanitaire et personnels de santé - Rappel des réservistes.

Pour ce qui concerne les Militaires ou les Policiers: Nous les prions de consulter notre site par le lien suivant :

http://www.sos-justice.com/Dev2Go.web?Anchor=lesdossiers&...

Voir la rubrique : PANDEMIE ET PERSONNELS MILITAIRE OU DE POLICE - Loi sur la réserve militaire du 5 octobre 2007 - Conditions de Rappel des réservistes, ainsi que la Loi sur la programmation militaire qui devrait être appliquée sur les années 2009 à 2013. Loi qui serait en cours d'approbation par le Gouvernement.

Nous assistons ainsi à la militarisation de la santé depuis les attentats perpétrés aux USA le 9/11/2001 et la signature par BUSH du décret Patriot ACT qui a été signé le 25 octobre 2001, sans que les représentants du Congrès US ne s'y soient attardés.

Depuis lors, nombre de lois liberticides ont été votées en France et en Europe, dont le Traité de Lisbonne qui a été ratifié par la France à l'encontre du vote du Peuple Français. Ce traité prévoit la possibilité d'instauration de la Loi martiale, le rétablissement de la peine de mort en cas d'insurrection du peuple, les arrestations illégales en cas de manifestations, autorise le clonage.

Une mince consolation, l'Allemagne vient de rejeter le traité le Lisbonne qui venait en contradiction de la Constitution Allemande et de la souveraineté du Peuple Allemand.

Nous vous invitons par ailleurs à prendre attentivement connaissance des accords d'adhésion de la France aux organisations mondiales auxquelles nous sommes soumises depuis 21 novembre 1947 révisées le 27 janvier 1999. A part trouver des textes accordant la totale immunité à ces organisations obscures et à leurs personnels, nous n'avons trouvé pour l'heure aucun texte protecteur pris en faveur des citoyens français qui pourraient être les victimes de ces organisations mondiales, dont l'OMS. Serions-nous américains depuis 1947 ?

La responsabilité pénale du Gouvernement  n'existe pas car il bénéficie de l'Immunité ainsi que les Organisations Mondiales dont l'OMS et les Laboratoires pharmaceutiques.

En conclusion personne ne viendra vous informer sur la nocivité du vaccin, ni ne pourra venir vous défendre contre des décès ou des maladies handicapantes ou létales, car nous avons affaire à des irresponsables pénalement et devant la Loi. Nous vous demandons en conséquence de prendre vos décisions en toute connaissance de causes et conscience dès maintenant.

Pour ce qui concerne les Canadiens :

Nous avons saisi par mail une association Canadienne et leur avocat, ainsi que le Ministre de la Justice.

Pour ceux qui souhaitent s'occuper de donner suite à nos demandes au Canada, ils pourront nous adresser un mail afin que nous leur communiquions copie de notre demande.

Pour ce qui concerne les Américains :

Il est urgent de venir en aide au Peuple américain pour lequel certains états prévoient l'établissement de la Loi martiale pour une vaccination forcée.

La pétition à signer en ligne :

http://www.mesopinions.com/Grippe-A-H1N1---Vaccin-ou-arme...

Bonne lecture et soyez conscients et vigilants.

Bien cordialement

Mirella CARBONATTO

Présidente de l'association SOS JUSTICE & DROITS DE L'HOMME



Circulaire_vaccination_090824.pdf

Courrier Parquet de Nice du 31 juillet 2009.pdf

Courrier Parquet - Eric MONTGOLFIER du 4 août 2009

Lettre adressée à Nicolas SARKOZY le 9 août 2009


Le vaccin contre la grippe porcine contient du mercure »

David Rockefeller “Le monde est désormais préparé à accepter un gouvernement mondial”

Henry Kissinger “Oui, il y aura bien un Nouvel Ordre Mondial”

Washington Post: « le vaccin contre la grippe porcine contient du mercure »

Des toxines responsables de l´autisme et des troubles neurologiques seront introduites dans le vaccin.

Le Washington Post a confirmé ce jour que le vaccin contre la grippe porcine, qui est prêt à être administré cet automne sur toute l´étendue du territoire national americain, au cours de ce qu´aucuns considèrent en définitive comme un programme de vaccination obligatoire, doit contenir du mercure, une toxine responsable de troubles neurologiques et de l´autisme.

Le CDC(Center of Disease Control) et l´Institute of Medecine, à la suite d´une étude de camouflage, ignorant les preuves précédemment vérifiées qui indiquaient que le thimérosal, un agent de conservation fabriqué à base de mercure n´avait aucune relation de cause à effet avec les cas d´autisme a été, depuis, clairement rejeté par les meilleurs médecins et les plus grands scientifiques.

L´épidémiologiste Tom Verstraeten et le Dr Richard Johnston, immunologiste et pédiatre à l´université du Colorado, ont tous deux conclu que le thimérosal était responsable de la hausse spectaculaire du nombre de cas d´autisme, mais leurs conclusions ont été écartées par le CDC.

Aux Etats-Unis, le nombre de cas d´autisme a augmenté de 1500 pourcent depuis 1991. Cette hausse correspond à la période où le nombre de vaccins administrés aux enfants a doublé, alors que le nombre d´immunisations ne fait que s´accroître.

Avant 1991, l´autisme était diagnostiqué chez seulement un enfant sur 2500, tandis que 1 enfant sur 166 de nos jours souffre de cette maladie.

Une évaluation par les pairs d´étude réalisée par le Dr Mark Geier et publiée dans le Journal of American Physicians and Surgeons a montré que la recherche de l´IOM était faussée parce qu´elle reposait sur une étude danoise menée par Anders Peter Hviid.

Cette dernière étude n´avait pas pris en compte le fait que la charge de mercure chez les enfants américains est plus importante que chez les enfants danois.

« A un niveau élevé (de l´exposition au thimérosal), il est incontestable qu´il existe une relation de cause à effet, et nous avons atteint des niveaux élevés. Par conséquent leur études manquent de pertinence, je ne dis pas qu´elles ne sont défectueuses, bien que l´on puisse lui adresser bien des critiques.

Non pas seulement par rapport à la situation des Etats-Unis, » indique Geier.

Les études de Geier concluent à une augmentation des troubles neurologiques à la suite de l´utilisation des vaccins contenant du thimérosal.

Dr Rashid Buttar, qui a mis au point un traitement permettant d´enlever le mercure du corps des enfants autistes a affirmé que les conclusions de l´Institute of Medicine, selon lesquelles le mercure n´est pas à l´origine de l´autisme, prouvent « l´absence totale du désir de découvrir la vérité scientifique aux niveaux supposés les plus hauts du milieu médicale. »

« Lorsque 31 enfants guérissent de la maladie mortelle en se soumettant à un simple traitement transdermique qui désintoxique les métaux, alors le bon sens impose de comprendre que les métaux en sont la cause, » déclare le Dr Bob Nash, président de l´American Board of Clinical Metal Toxicology (ABCMT) au sujet du traitement mis au point par le Dr Buttar.

« En 1977, une étude réalisée par les Russes a montré que les adultes exposés à l´éthylmercure, forme de mercure contenue dans le thimérosal, ont souffert de lésions cérébrales pendant des années.

Des études portant sur le poison au thimérosal décrivent également la nécrose tubulaire et les lésions du système nerveux, notamment l´obnubilation, le coma et la mort. Apres la publication de ces résultats, la Russie a interdit depuis 1980 l´administration aux enfants des vaccins contenant du thimérosal.

Le Danemark, L´Autriche, le Japon et la Grande Bretagne et tous les pays scandinaves ont également interdit cet agent de conservation, » écrit Dawn Prate sur le site internet de Natural News

Le Département de la Défense classe le mercure comme une matière dangereuse qui pourrait provoquer la mort en cas d´absorption, d´inhalation ou d´introduction dans l´organisme par voie cutanée.

L´EPA limite actuellement les émissions par les usines de mercure en raison de la capacité de cette toxine à « provoquer des lésions du cerveau et du système nerveux, et surtout de sa dangerosité pour les fœtus et les jeunes enfants, » mais selon le CDC, le mercure est parfaitement sans risque lorsqu´il est injecté dans la circulation sanguine de votre enfant.

Les inquiétudes soulevées au sujet du thimérosal et du mercure ont amené les autorités à réduire ou à supprimer la présence de ces agents de conservation dans une large portion de vaccins au cours de cinq dernières années. Malgré cela, le thimérosal sera bien un ingrédient du vaccin contre la grippe porcine dont tout laisse croire qu´il arrivera aux Etats-Unis en septembre prochain.

« Certains des vaccins seront stockés dans des flacons multidoses contenant du thimérosal, additif antibactérien dont le mercure est un ingrédient, » indique le Washington Post aujourd´hui présentant les groupes d’individus qui recevront en premier lieu le vaccin contre la grippe porcine. »

« Des seringues à dose unique seront également utilisé sans thimérosal, une substance dont certains analystes disent qu´elle nuit à la santé des enfants » ajoute l´article sans dire, si oui ou non, les gens qui recevront le vaccin doivent choisir ou s´ils seront même informés en cas de présence du mercure dans le vaccin.

Environ 12000 enfants des Etats-Unis seront utilisés comme cobayes à l´occasion de l´expérimentation du vaccin (NewsOk)contre la grippe porcine qui contient également le squalène, un ingrédient dangereux qui a été lié aux cas du syndrome de la Guerre du Golfe et à d´autres maladies débilitantes.

Le squalène a « provoqué une cascade de réactions connues sous le nom » de syndrome de la guerre du Golfe. (Les GI) ont développés l´arthrite,la fibromyalgie, la lymphadenopathie, les éruptions cutanées, les éruptions photosensibles, les éruptions malaires en ailes de papillon, la fatigue chronique, les maux de tête chroniques, perte anormale de poils, les lésions cutanées incurables les ulcères aphteuses, les vertiges l´asthénie, la perte de mémoire, les troubles neurologiques de la marche, les changements d´humeur, les problèmes neuropsychiatriques, les effets des anti-thyroïdiens, l´anémie, une vitesse de sédimentation globulaire (ESR) élevée, le lupus érythémateux systémique, la sclérose multiple, la sclérose latérale amyotrophique (SLA), le phénomène de Raynaud, le syndrome de Sjorgren, la diarrhée chronique, les transpirations nocturnes et les températures subfébriles, » selon le Dr Viera Scheibner, micropaleontologiste.

Les entreprises pharmaceutiques peuvent être assurées qu´elles ne feront l´objet d´aucune poursuite judiciaire malgré les milliers de préjudices et de dommages qui s´en suivront inévitablement en raison du contact que des millions de personnes auront avec le mercure et le squalène pendant la campagne de vaccination de masse. Car le gouvernement leur a déjà accordé une immunité qui les protège contre toute poursuite judiciaire.

« Une immunité contre les poursuites judiciaires est accordée aux producteurs du vaccins et aux responsables fédéraux , en vertu d´un document signé par Kathleen Sebelius, ministre de la Sante et à l´Action humanitaire » a indiqué par l´agence Associated Press au début de ce mois.


Traduction réalisée par l’équipe de SpreadTheTruth.fr

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