Source: Conscience du Peuple
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Au Québec, la majorité de la population âgée de 2 à 20 ans - l,7 millions d’individus - fut récemment vaccinée contre la méningite de type C avec le Menjugate (MC). Ce nouveau vaccin contient, entre autres , de l’aluminium. Depuis l936 , on dénombre plus d’un million de références scientifiques reconnaissant la toxicité de l’aluminium . Pourtant on continue tout de même de l’incorporer dans les vaccins.
Jack Doubleday, président de “Natural Woman/Natural Man Inc ” a offert il y a quelques mois, 20,000$US à quiconque, médecin ou représentant de compagnie pharmaceutique , osera boire publiquement une mixture des ingrédients que l’on retrouve dans les vaccins. Afin d’en prouver l’innocuité, le drink se composera de thimerosol (dérivé mercuriel) de formaldehyde , de benzethonium chloride, de phenol , d’ ethynol et d’aluminium.
Le tout devra être préparé par trois médecins choisis par Doubleday et par trois autres désignés par le participant. Jusqu’à présent , personne n’a répondu à l’appel pour déguster ce pétillant cocktail de produits chimiques et de métaux lourds.
L’ hydroxyde d’aluminium , le sulfate d’aluminium ainsi que le phosphate d’aluminium servent dans les vaccins en tant qu’adjuvants à l’immunité, c’est -à-dire qu’ils créent une réaction inflammatoire augmentant ainsi la réaction des anticorps.
Nombre de vaccins administrés au Canada renferment de l’aluminium dont: anticoquelucheux acellulaire adsorbé , anatoxines tétanique et diphtérique adsorbées , Hépatite B, Hépatite A, BCG (tuberculose), Haemophilus influenzae /type B/Hib et celui contre la méningite de type C. Se faire vacciner , par exemple, contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche et l’Hépatite B représente une accumulation de 8 mg d’hydroxyde d’aluminium .
Dans les vaccins, l’aluminium est utilisé depuis l926 et les scientifiques eux-mêmes avouent qu’il n’a pas fait l’objet d’une étude scientifique sérieuse au début du siècle. Il a été démontré, depuis, que l’aluminium reste dans les cellules et continue de stimuler artificiellement le système immunitaire entraînant ainsi l’épuisement de l’organisme.
Il a un effet nocif sur le système nerveux et pénètre dans les tissus en se combinant à la ferritine du sang, au lieu et à la place du fer. L’aluminium absorbé est en général rapidement excrété par les reins mais lorsque son taux dans le sang est élevé, les os semblent agir comme un réservoir , le fixant et le libérant lentement. Le cerveau est sensible à l’aluminium.
On le relie aussi aux troubles nerveux, à des désordres aux parathyroïdes, au psoriasis, aux allergies, aux insuffisances hepato-rénales chroniques, à l’anémie, à l’ osteomalacie (os cassants ou mous) , aux arrêts cardiaques et à certaines maladies graves du système nerveux comme la maladie de Parkinson, la sclérose latérale amyotrophique (maladie de Lou Gehrig) et l’Alzeihmer.
Le rôle possible de l’aluminium dans le développement de la maladie d’Alzeihmer a commencé à être suspecté lorsqu’on a observé des troubles neurologiques chez les dialysés exposés aux fortes teneurs en aluminium des médicaments et des solutions de dialyse. Ces personnes souffrant de maladies de reins développaient une encéphalopathie des dialysés, forme progressive de démence caractérisée par des troubles de la parole et du comportement, des tremblements, des convulsions et une forme de psychose.
La plupart des experts s’entendent pour attribuer au taux élevé d’aluminium la responsabilité de cette forme de démence et pour affirmer que sa réduction abaisse considérablement l’incidence de la maladie.
Dans la maladie d’Alzeihmer, il a pu être démontré que les personnes atteintes ont tendance a présenter des concentrations élevées d’aluminium dans certaines parties du cerveau , 10 à 30 fois plus que la normale. Par ailleurs, une récente étude comparative portant sur l’alimentation par perfusion de prématurés a révélé des altérations du développement mental chez les nourrissons âgés de l8 mois dont les perfusions contenaient de l’aluminium.
Pour l’immunogénéticien de renommée mondiale, Hugh Fudenberg m.d. , dont les articles ont été publiés dans nombre de publications scientifiques, un individu ayant reçu 5 vaccins consécutifs contre la grippe a dix fois plus de chance d’avoir la maladie d’Alzheimer, a cause , entre autres, de l’aluminium mais aussi du mercure contenue dans les vaccins. “L’accumulation graduelle de l’aluminium et du mercure dans le cerveau entrainent l’altération des fonctions cognitives” ” affirme-t-il.
Malgré des années de recherches dénonçant la toxicité de l’aluminium, on trouve encore cet adjuvant vaccinal dans des vaccins administrés presque dès la naissance . L’aluminium est éliminé par les reins, mais les nourrissons par exemple, ont une fonction rénale réduite et ne peuvent excréter l’aluminium en surplus . Leurs fonctions rénales n’atteignent un niveau optimale que vers l’âge de 2 ans. L’aluminium se concentre donc dans le cerveau et le squelette du bébé .
NOUVELLE MALADIE RELIÉE À L’ALUMINIUM
L’apparition d’une nouvelle maladie musculaire , la myofasciite à macrophages (MFM) a conduit progressivement les chercheurs sur la piste des vaccins. Cette maladie se caractérise par des douleurs musculaires et articulaires intenses, touchant particulièrement les membres inférieurs , accompagnées dans de nombreux cas d’une fatigue persistante et éventuellement de fièvre ou d’autres symptômes. Sur le plan biologique , les analyses ont démontré une stimulation chronique du système immunitaire et la présence de divers anticorps circulants. Lors d’une biopsie des cellules musculaires, on a découvert la présence d’une concentration anormale de macrophages dans l’enveloppe musculaire A la suite d’analyses plus poussées la présence d’inclusions cristallines se révélèrent être des cristaux d’hydroxyde d’aluminium .
Plus de l50 cas ont été identifiés officiellement en France seulement - dont 30% chez du personnel paramédical - chez des adultes d’âge moyen. Cette découverte d’aluminium au point d’injection parfois jusqu’à huit ans après l’administration d’un vaccin, s’accompagne très souvent d’une maladie auto-immune, le plus souvent une sclérose en plaques ( l/3 des patients).
Une équipe scientifique composée de spécialistes français des myopathies a confirmé le lien entre cette maladie et l’hydroxyde d’aluminium des vaccins. Dans la revue Brain de septembre 2001, elle a publié un article mettant en accusation l’adjuvant vaccinal: “Les lésions de myofasciite à macrophages (MMF) témoignent de la persistance dans le muscle d’hydroxyde d’aluminium provenant des vaccins”. Dans cette étude , les chercheurs affirment que dans tous les cas, des inclusions ont été détectées et “correspondaient à de l’hydroxyde d’aluminium, un immunostimulant fréquemment utilisé comme adjuvant vaccinal. 50 patients sur 50 avaient reçu des vaccins contre : l’hépatite B (86%) l’hépatite A (l9%) ou le tétanos (58%) de 3 à 96 mois - avec une moyenne de 36 mois - avant la biopsie. Nous concluons que la lésion de MMF est un effet secondaire de l’injection intramusculaire de vaccins contenant de l’hydroxyde d’aluminium contenu dans les vaccins, qu’elle démontre à la fois la persistance à long terme de l’hydroxyde d’aluminium et une réaction immunitaire locale évolutive et qu’elle est détectée chez des patients ayant des signes généraux apparaissant à la suite de la vaccination”. (Gherardi et all.)
Les agences de sécurité sanitaire française et américaine ainsi que le Comité Consultatif sur la sécurité des vaccins de l ’Organisation Mondiale de la Santé ont conclu elles aussi “à un lien de causalité très probable entre l’administration d’un vaccin contenant de l’hydroxyde d’aluminium et la présence de la lésion histologique caractérisant la myofasciite à macrophage” et conseillaient d’entreprendre des recherches afin d’évaluer tous les aspects de cette pathologie. Ces recherches ne semblent pas vraiment démarrer en partie à cause du lobbying des laboratoires pharmaceutiques qui n’ont pas intérêt à ce que la toxicité de l’hydroxyde d’aluminium soit officiellement reconnue. Une interdiction signifierait des milliards en pertes pour les grandes firmes pharmaceutiques obligées de trouver un nouvel adjuvant vaccinal et de faire face à des poursuites judiciaires de la part des vacciné/es.
Chez les animaux domestiques, on a aussi observé une fréquence croissante des cancers, en général au point d’injection des vaccins faisant appel à l’hydroxyde d’aluminium. Les tumeurs décrites dans plus de quarante publications scientifiques sont des sarcomes félins , sarcomes dus aux vaccins, ou sarcomes à l’emplacement de la vaccination. Par la suite , l’augmentation de la fréquence des néoplasies a été démontrée aux points d’injection vaccinale ainsi qu’une relation épidémiologique entre les dates de vaccination, les points d’injection , l’occurrence des tumeurs et la présence de granulations comportant de l’aluminium.
PSYCHOSE DE LA MÉNINGITE
Au Québec, dans la récente psychose de la méningite où des parents apeurés et mal informés réclamaient au gouvernement des doses de poisons pour inoculer leurs enfants contre la maladie, une vaste campagne de vaccination s’est mise en branle pour l,7 millions de personnes âgées entre 2 et 20 ans . Pourtant , ce vaccin ( le Menjugate contre les méningocoques du groupe C, incluant la méningite) causa en Angleterre des milliers de réactions négatives dûment rapportées par le fabriquant Chiron: rougeur au point d’injection, fièvre, irritabilité, maux de tête, pleurs, anorexie, diarrhée, vomissements, myalgie . On le relia même à quelques morts. De plus, il contient de l’hydroxyde d’aluminium.
Notons qu’au Québec, entre l940 et l990, il n’y eut pratiquement aucun cas de méningite et ce même sans vaccination.
La fabrication des premiers vaccins date de presqu’un siècle, une époque où la complexité du système immunitaire était inconnu. Toute la théorie vaccinale est basée sur la production d’anticorps. Mais le fait qu’un vaccin produise des anticorps ne prouve nullement son efficacité. Dans de nombreux cas , des vaccins ont produit des anticorps mais les vaccinés ont tout de même contracté la maladie. Par exemple, un important groupe de soldats en Australie fut vaccinés dans les années 70 contre la rubéole . Tous produisirent des anticorps, pourtant plus de 80% des vaccinés eurent la maladie (cité dans Australian Journal of Medical Technology par le virologiste B. Allan ) . L’immunité ne se résume donc pas à une production forcée d’anticorps.
Ces cocktails de virus, de produits chimiques et de métaux lourds injectées pour stimuler artificiellement l’immunité font partie d’une vision de la santé et des maladies devenue obsolète. D’innombrables études scientifiques de spécialistes en allergie, en immunologie, en neurologie démontrent sans équivoque que les substances des vaccins affaiblissent le système immunitaire et provoquent des effets secondaires imprévisibles . Il n’est peut-être pas étonnant de constater que les enfants ayant le système immunitaire bombardé dès la naissance par des dizaines de vaccins fabriqués avec des substances toxiques contractent à l’adolescence des maladies virulentes comme la méningite . Et que les allergies, l’asthme, le diabète, l’autisme et les troubles de comportement les assaillent de plus en plus.
En 1950, avant les vaccinations massives, les États-Unis étaient en troisième position mondiale concernant la mortalité infantile. En 2001, le pays a reculé jusqu’en 24e position. Et ce, même si les enfants américains sont les plus vaccinés du monde et que les États-Unis est un des plus grand utilisateur d’animaux de laboratoire. En effet, pour nous assurer l’efficacité des vaccins les fabricants les testent sur des singes, des rats , des lapins et toute une panoplie d’animaux . Cette pratique jugée indispensable pour garantir l’innocuité des vaccins n’empêchent pas ces derniers d’être dangereux. Là encore, tout comme dans d’autres domaines de la recherche utilisant des animaux, il apparaît évident que l’organisme d’un rat diffère grandement de celui d’un humain . Ces expériences barbares et archaïques sur les animaux ne peuvent garantir en aucun cas la sécurité d’un vaccin destiné aux humains.
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Pour renforcer nos défenses immunitaires ou pour drainer les toxines et métaux lourds de notre organisme, quelques pistes à expérimenter.
L’homéopathie peut être d’un grand secours , tout comme l’acupuncture.
Pour stimuler les défenses immunitaires, apports de vitamine A et E. Prendre de la vitamine C , 2 à 3 grammes par jour, pendant quelques jours. ( On peut aussi donner aux chiens ces doses de vitamine C.) Des médecins tels que Claus Junbeblut, Boissevain, Spilane, Archie Kalokerinos et Frederic Klenner ont traité des cas de polyomyélite, de tétanos, de diphtérie, d’hépatite, de méningite , de grippe ou d’asthme par des doses massives de vitamine C. L’extrait de pépin de pamplemousse, 30 gouttes dans de l’eau , 3 fois par jour pendant 2 à 3 jours stimule les défenses immunitaires.
Drainer les organes où s’accumulent les poisons par des plantes comme le pissenlit, l’artichaut ou la bardane. Se nettoyer aussi par des jeûnes de quelques jours au jus de fruits, de légumes ou à l’eau; par une alimentation végétalienne crue.
Le chardon-marie régénère les cellules du foie et prévient les réactions inflammatoires.
Encourager l’allaitement maternel qui protège et construit un bon système immunitaire aux bébés.
L’efficacité du chlorure de magnésium a été prouvé dans le traitement de la diphtérie, de la poliomyélite, du tétanos et de la méningite. Il possède des vertus curatives et préventives. Mettre 20 g de chlorure de magnésium dans un litre d’eau et en boire un verre à l’heure pour les adultes , pour les enfants demi-dose, pour les bébés l/4 de la dose. Diminuer progressivement. Peut aussi être utilisé avec succès lors de grippes et affections respiratoires, pleurésies, bronchites, coqueluche, asthme, bronchite chronique, emphysème et rhume des foins.
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DE L’ALUMINIUM PARTOUT….
En plus des vaccins, on retrouve du phosphate et silicate l’aluminium en tant que colorant, anticoagulant, émulsifiant dans une foule de produits tels les produits laitiers, le fromage fondu, le lait en poudre, le lait maternisé industriel, le lait de soya et la poudre à pâte.
Le sel blanc de table est traité au silicate d’aluminium et cet ingrédient sert d’agent de blanchiment pour la farine.
Le thé accumule de grandes quantités d’aluminium.
L’aspirine enrobée contient 44mg d’aluminium. Pour soulager des maux dus à l’acidité gastrique , une foule de médicaments en contient dont les antiacides ou Maalox (200 mg d’aluminium) . On peut en retrouver dans les dentifrices, les déodorants anti- transpirants, cosmétiques , crèmes pour la peau, fond de teint, etc.
Ainsi que dans des ustensiles de cuisine, des assiettes, du papier d’emballage, des casseroles.
On traite l’eau potable avec du sulfate d’aluminium afin d’éliminer les microorganismes.
L’aluminium qui tapisse les canettes de boissons gazeuses et de bière peut provoquer à la fois des intoxications et des carences; l’aluminium est en effet un chelateur, il a la capacité de capturer et d’empêcher l’assimilation d’éléments essentiels et de perturber la bonne utilisation de plusieurs minéraux essentiels comme le calcium, le zinc ou le cuivre.
CHERS AMIS, REVEILLONS-NOUS !!!!!!!!!!!Source : http://www.spreadthetruth.fr/wordpress27/?p=1883#comment-...