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11/09/2015

Vous êtes ici : super-continent de galaxies Laniakea et le Grand Attracteur

Apprenez à découvrir notre nouvelle adresse cosmique : Laniakea et ce qui s'y passe en son sein avec le Grand Attracteur qui attire actuellement à lui, tout ce qui est contenu dans l'espace de Laniakea, soit des milliards de galaxies dont la nôtre et phénomène cosmique qui doit transformer la matière en profondeur et y compris à activer notre ADN sous l'influence des puissantes énergies que nous traversons au cours de notre ascension.

Des scientifiques ont découvert que la Terre recevait des quantités énormes d'énergies et des particules d'antimatière, dont les positons ou positrons, ce dont ils s'étonnent, n'en comprenant pas l'origine et les qualifiant d'anomalies !

Il ne s'agit pas d'anomalies mais d'une réaction électrique qui engendre la libération d'énergie ou de Lumière Cosmique !

 

Article précédent :

* - Vidéo : Oubliez le Réchauffement climatique. Ascension et déménagement de la Galaxie vers le Grand Attracteur de Laniakea !

 

Notre nouvelle adresse cosmique

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Vous êtes ici : super-continent de galaxies Laniakea

  Une tranche du Superamas Laniakea dans le plan équatorial supergalactique © Cosmic Flows

Avec une équipe internationale, l’astrophysicienne-cosmographe Hélène Courtois a découvert le super continent de galaxies dans lequel nous vivons: Laniakea.

Parmi les nombreux obstacles qu’ont rencontrés Christophe Colomb et les explorateurs de l’Amérique, dessiner des cartes précises ne fut pas le plus facile à contourner. A l’époque des grands navigateurs (XVe et XVIe siècles), la cartographie s’appuyait sur l’exploration : longer les côtes pour dessiner les contours du continent, suivre les cours d’eau pour représenter les terres.

Quelques centaines d’années plus tard, c’est avec une méthode finalement assez proche que la cosmographe Hélène Courtois, de l’Institut national de physique nucléaire et de physique des particules (Université Claude Bernard Lyon 1 / CNRS), et trois confrères d’universités internationales* ont cartographié une vaste zone de notre univers observable. Mais leurs cartes à eux sont en quatre dimensions, et cette quatrième dimension vient bouleverser notre représentation de l’Univers.

Une nouvelle image de l’Univers

Dans l’Univers tel que le font apparaître les travaux d’Hélène Courtois et ses confrères, des bateaux (les galaxies) suivent les courants d’une rivière (la matière). Les galaxies sont regroupées en amas ou en superamas et se déplacent en évitant de grandes régions appelées “vides”. Leurs déplacements, provoqués par les concentrations de matière visible ou invisible, les amènent à se séparer ou se rassembler comme en suivant l’eau de la rivière de part et d’autre d’une ligne de partage.

L’équipe internationale assemblée par Hélène Courtois (une vingtaine de chercheurs en plus des quatre co-auteurs de l’article) ont créé des cartes de l’Univers dont le “champ de vitesse” des galaxies constitue la quatrième dimension. Plutôt que produire un instantané de leur position à un instant donné, les cartes montrent la dynamique de leurs déplacements :

Leur mouvement nous fournit de précieuses indications de cosmologie, par exemple sur la localisation de la matière noire : les mouvements dépendent de sa masse, or nous savons que la matière noire est la masse la plus importante dans l’Univers. Ils nous permettent aussi de mieux comprendre les lois fondamentales de l’univers comme la gravitation.

Nos horizons célestes

Les scientifiques ont connecté patiemment la surface joignant toutes les lignes de partage des flux de galaxies qui nous entourent. Notre continent de galaxies, le superamas dans lequel nous vivons, apparaît en creux : c’est le volume englobé, qui se sépare nettement des autres continents voisins. Notre « continent » mesure 500 millions d’années-lumière de diamètre et contient une masse d’environ 100 millions de milliards de fois celle du Soleil. Les chercheurs lui ont donné le nom hawaiien Laniakea, qui signifie “horizons célestes immenses”. Accepté par l’Union Astronomique Internationale, c’est un hommage à ce pays de navigateurs aux étoiles qui abrite désormais quelques-uns des plus grands télescopes du monde, utilisés pour cette découverte et celles qui suivront.

Une tranche du Superamas Laniakea dans le plan équatorial supergalactique. Les nuances de couleur représentent des valeurs de densité de matière avec en rouge la haute densité et en bleu les vides. Les galaxies individuelles sont montrées comme des points blancs. On observe en blanc des courants de galaxies se déversant dans le bassin d’attraction du Laniakea, tandis que des courants en bleu foncé s’éloignent de ce bassin local et permettent de séparer notre continent de ceux voisins. Le contour orange inclut les limites extérieures de ces courants. Ce domaine a une mesure de 500 Millions d’années lumière de diamètre et inclut ~1017 M⊙ (100 millions de millards de masses solaires). © Cosmic Flows

Regarder à travers plusieurs lunettes

Pour arriver à ces résultats, Hélène Courtois et ses partenaires ont mis au point une nouvelle méthode pour définir les structures à grande échelle à l’aide des courants de galaxies. Ces calculs sont basés sur les observations conduites par Hélène Courtois et les méthodes de visualisation de Daniel Pomarède, chercheur à l’Institut de Recherche sur les Lois Fondamentales de l’Univers, CEA/Saclay.

Ils ont concentré leurs observations sur un cube de 1,5 milliards d’années-lumière de côté, soit environ 2% de l’Univers observable. Ils ont réussi le tour de force de cartographier intégralement 8 000 des galaxies présentes dans cette zone avec une précision de 10-15% : On mesure des vitesses de l’ordre de 1000 à 15000 kilomètres par seconde. Puis nous enlevons de cette mesure la part due à l’expansion de l’Univers : on parle de coordonnées co-mobiles. Il ne reste plus que la vitesse due uniquement à la masse de la galaxie et la gravité environnante, elle de l’ordre de 400 à 600 kilomètres par seconde ”, précise Hélène Courtois. Pour arriver à une précision aussi fine, il est indispensable de croiser les résultats obtenus par plusieurs techniques d’observation : analyse des supernovae et des “raies d’hydrogène neutre”, par exemple (voir encadré).

Hydrogène neutre : Cette méthode a été co-inventée en 1977 par R. Brent Tully, qui signe l’article avec Hélène Courtois. Elle consiste à observer les traînées d’hydrogène neutre (H pur) des galaxies à l’aide de radiotélescopes : les photons qu’elles émettent sont toujours à 21 cm de longueur d’onde. En vertu de l’effet Doppler, les raies s’élargissent en fonction de la vitesse de rotation de la galaxie. Et la vitesse de rotation est proportionnelle à la masse. Lumineux !

Et le Grand Attracteur ?

Plus important encore, les scientifiques posent les premiers jalons vers la résolution d’un des grands mystères de l’astrophysique moderne. On sait depuis 1986 que notre galaxie et ses voisines se déplacent dans la même direction à la vitesse de 630 kilomètres par seconde, 630 Km/s X 3600s/h = 22 680km/h. Mais on ignorait jusqu’à présent quelle est la nature de ce “Grand Attracteur” dont on observait les effets sans voir suffisamment de masse dans sa région. Hélène Courtois a d’ailleurs fait sa thèse de doctorat sur le sujet en 1995. Les chercheurs montrent que cette région est en réalité un large vallon où se déverse la matière, un peu comme le point le plus bas d’une baignoire plate, et qui englobe une région 100 fois plus grande qu’on ne le pensait depuis cinquante ans. Qui sait quelles surprises nous réservent à présent les prochains horizons célestes ?

* R. Brent Tully (University of Hawaii), Yehuda Hoffman (Hebrew University Jerusalem), Daniel Pomarède (CEA/Saclay)

 


Cette découverte fait la Une de la prestigieuse revue internationale Nature datée du 4 septembre 2014.

 

The Laniakea Supercluster of Galaxies, Nature, volume 513, number 7516, p.71 (4 September 2014) par R.Brent Tully, Hélène Courtois, Yehuda Hoffman and Daniel Pomarede.

 L’Institut de Physique Nucléaire de Lyon (IPNL) est une Unité Mixte de Recherche (UMR 5822) agissant sous la double tutelle de l’Université Claude Bernard Lyon 1 et de l’Institut National de Physique Nucléaire et de Physique des Particules (IN2P3) du CNRS. Les activités de l’IPNL visent à étudier les propriétés des composants subatomiques de la matière ainsi que leurs interactions. Laboratoire essentiellement de physique expérimentale, ses thématiques de recherche sont variées puisqu’elles concernent la physique des particules et des astroparticules, la matière nucléaire et les interactions ions/agrégats-matière.

http://sciencespourtous.univ-lyon1.fr/vous-etes-ici-super...

 

 

 

 

 

 

 

Vidéo : Oubliez le Réchauffement climatique. Ascension et déménagement de la Galaxie vers le Grand Attracteur de Laniakea !

Fig21.jpgSi vous aviez encore des doutes sur le fait que nous soyons en voie d’ascensionner et pas seulement la Terre ni notre système solaire, mais l’ensemble de la Galaxie et toutes les galaxies contenues dans Laniakea vers le Grand Attracteur découvert au sein de Laniakea, notre nouvelle adresse cosmique qui marque les frontières du continent de galaxies dans lequel nous vivons. Vous avez la preuve scientifique que nous sommes tous condamnés à ascensionner et à évoluer grâce aux nouvelles énergies cosmiques que nous traversons tout au long de notre parcours d’évolution et qui nous entraînent irrévocablement vers le Grand Attracteur, et ce, à une vitesse de 22 680 km/h.

 

Si nous rajoutons la vitesse à laquelle extrêmement rapide de 828 000 km/h à laquelle se déplace le soleil qui n’est pas stationnaire. L'ensemble de notre système solaire ascensionnant en spirale vers le centre de la galaxie, il se pourrait bien que nous soyons en train d’ascensionner à la vitesse de : 22 680 km/h +  828 000 km/h = 850 680 k/h.

 

Au cours de notre ascension il est donc normal que les puissants rayonnements cosmiques changent en fonction du nouvel environnement cosmique que nous traversons et plus nous nous rapprochons du Grand Attracteur, et plus les rayonnements cosmiques sont puissants et lumineux, et transforment donc la matière en profondeur, activant ainsi tout naturellement notre ADN.

 

Nous sommes donc tous en cours de Grand déménagement vers le Grand Attracteur qui se trouve au sein de Laniakae !


Quel plus beau cadeau l’Univers créateur pouvait-il nous faire ?

 

Petits rappels d’articles précédents :

* La Terre ne tourne pas autour du Soleil, elle ascensionne en spirale avec l'ensemble de notre système solaire.

* Nassim Haramein : Notre modèle du système solaire tel qu'on nous l'enseigne depuis le début est faux!

* la nature cyclique de l'univers

Ballade dans l’univers : à la découverte de Laniakea | Hélène Courtois | TEDxLyon

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Une ballade et une aventure exceptionnelles dans l'infiniment grand et ses secrets.

Astrophysicienne-cosmologue lyonnaise, Hélène Courtois a découvert les frontières du continent de galaxies dans lequel nous vivons : "Laniakea".

Ce travail de longue haleine a fait la Une de Nature. La vidéo publiée sur ce thème par la prestigieuse revue a comptabilisé plus de 2,5 millions de vues lors du premier mois de sa diffusion (novembre 2014). http://ted.com/tedx

 

 

Nouvelle adresse cosmique

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24/08/2015

Nibiru - Mondes en collision - Velikovsky Immanuel : Année - 1950

  Livres sur NIBIRU de Velikovsky Immanuel

 

1er livre : Mondes en collision - 1950

2ème livre : Les grands bouleversements terrestres - 1955

3ème livre : Le désordre des siècles - 1952

 

1er LIVRE : ANNEE 1950

 

Velikovsky Immanuel - Mondes en collision

Lien permanent VVelikovsky Immanuel

Auteur : Velikovsky Immanuel
Ouvrage : Mondes en collision
Année : 1950

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Lien de téléchargement :

Velikovsky_Immanuel_-_Mondes_en_collision.zip

 

Présentation du livre par l'éditeur

 Est-il exact que la terre a été bouleversée par des cataclysmes sans précédent ? Pourquoi les livres bouddhiques parlent-ils d'une année à 360 jours ? Pourquoi les scientifiques enregistrent-ils des inversions de polarité dans les rochers ? Pourquoi les océans se sont-ils massivement déplacés et les jungles transformées en déserts ? Comment explique-t-on la présence de mammouths en Sibérie - instantanément gelés alors qu'ils étaient en train de mâcher tranquillement - sachant que leur examen prouve qu'ils vivaient dans un climat tempéré ? Et pourquoi ont-ils tous été décimés d'un seul coup ? D'où viennent les palmiers retrouvés au pôle Nord ? Depuis quand le 13 porte-t-il malheur ? Comment expliquer que le papyrus égyptien Ipuwer ainsi que les textes aztèques, chinois et mayas confirment le texte de la Bible des dix plaies d'Egypte ? Et pourquoi ce livre est-il le plus combattu et censuré de tous les temps ? Dans ce livre, le plus controversé de l'histoire de l'édition moderne, le Dr Velikovsky, répond de manière si révolutionnaire qu'on en ressort avec un choc intellectuel. Cette édition 2003 contient la biographie de Velikovsky reconnu maintenant comme l'un des plus grands génies du XXe siècle, l'histoire du livre, des documents, la liste de ses découvertes incroyables - confirmées depuis par les sondes spatiales - et bien sûr "Mondes en collision ". Si vous ne connaissez pas encore ce livre, alors attendez-vous à le lire d'une seule traite !!!

Quatrième de couverture

Est-il exact que la Terre a été bouleversée par des cataclysmes sans précédent ? Comment explique-t-on la présence de mammouth en Sibérie alors que leur examen prouve qu'ils vivaient dans un climat tempéré ? Et pourquoi ont-ils tous été décimés d'un seul coup ? D'où viennent les palmiers retrouvés dans les pôles ? Pourquoi 2000 ans avant J-C, les astronomes ne dessinaient-ils jamais la planète Vénus? Comment expliquer le mythe grec de la « Naissance de Vénus » si merveilleusement illustré par Botticelli ? Pourquoi les romains disaient-ils qu'Athéna est née de Jupiter pour aller se battre avec Mars ? Pourquoi les océans se sont-ils massivement déplacés et les jungles transformées en désert ? Comment expliquer que le papyrus égyptien Ipuwer, en plus des textes aztèques, chinois et mayas, confirment ce que la Bible présente sous forme des dix plaies d'Egypte ? Pourquoi les scientifiques enregistrent-ils des inversions de polarité dans les rochers anciens ? Et pourquoi cet ouvrage est-il le plus combattu de tous les temps ? Cette édition 2003 contient la biographie de Velikovsky, l'histoire du livre, des documents, des listes, une liste de ses découvertes incroyables (confirmées depuis par les sondes spatiales), et bien-sûr le “Mondes en collision” lui-même, avec les sources sous forme de plus de 1000 notes bas de page.

Préface. Ce livre a pour sujet les guerres qui bouleversèrent la sphère céleste dans les temps historiques, et auxquelles notre planète participa. Il ne décrit que deux actes d'un grand drame : le premier se déroula il y a trente-quatre à trente-cinq siècles, au milieu du deuxième millénaire avant notre ère ; le second au cours du VIIIe et au début du VIIe siècle avant J. C., il y a quelque vingt-six siècles.

Cet ouvrage comporte donc deux parties, précédées d'un prologue. Le principe de l'harmonie et de la stabilité des sphères céleste et terrestre est le fondement même de notre conception présente de l'Univers, qui trouve ses expressions essentielles dans la Mécanique céleste de Newton et dans la théorie darwinienne de l'évolution. Si ces deux savants sont sacro-saints, ce livre est une hérésie. Et pourtant la physique moderne, avec sa théorie de l'atome et des quanta, constate des bouleversements dramatiques dans le microcosme - l'atome - prototype de notre système solaire ; une théorie qui envisage la possibilité de phénomènes semblables dans le macrocosme - le système solaire - ne fait qu'appliquer à la sphère céleste les concepts de la physique moderne.

Ce livre s'adresse au savant comme au profane; j'entends que nulle formule, nul hiéroglyphe ne barrera la route à qui en entreprendra la lecture. S'il arrive que des témoignages historiques ne cadrent pas avec certaines lois déjà formulées, il importera de se rappeler que la loi n'est que la consécration de l'expérience et de l'expérimentation, et qu'en conséquence les lois doivent se plier aux faits historiques, non les faits aux lois. Je n'exige pas du lecteur qu'il accepte une théorie les yeux fermés : je l'invite au contraire à se demander en toute sincérité s'il s'agit là d'un livre de fiction pure ou bien d'une oeuvre solide, fermement étayée par des faits historiques; je le prie de me faire crédit sur un seul point, au reste secondaire pour la théorie des cataclysmes cosmiques : j ai utilisé un tableau synchronique de l'histoire d'Égypte et d'Israël qui n'est pas orthodoxe.

Au printemps 1940 il m'est brusquement venu à l'idée que quelque gigantesque cataclysme avait eu lieu au temps de l'Exode : de nombreux textes des Écritures en apportaient l'éclatant témoignage. Dès lors, cet événement pouvait servir à déterminer la date de l'Exode d'Israël dans l'histoire de l'Égypte, ou à établir le tableau synchronique de l'histoire des deux peuples. C'est ainsi que j'entrepris « Ages in chaos », qui est la reconstruction de l'histoire du monde antique depuis le milieu du second millénaire avant notre ère jusqu'à Alexandre le Grand.

Dès l'automne 1940, j'eus l'impression d'avoir saisi la vraie nature de cette gigantesque catastrophe; pendant neuf ans je menai de front deux tâches, en écrivant de concert l'histoire politique et l'histoire naturelle de cette époque. « Ages in chaos » fut achevé le premier; il ne sera cependant publié qu'après « Mondes en collision ».

Dans ce dernier livre j'étudie les deux ultimes actes d'un grand drame cosmique; certains actes antérieurs, tel le Déluge, feront l'objet d'un autre volume. Le récit à la fois cosmologique et historique que contient le présent ouvrage s'appuie sur les témoignages des textes de l'histoire du monde entier, sur la littérature classique, les épopées nordiques, les livres sacrés des peuples d'Orient et d'Occident, les traditions et le folklore des tribus primitives, sur de vieilles inscriptions et d'antiques cartes astronomiques, sur les découvertes archéologiques, géologiques et paléontologiques. Mais si des bouleversements cosmiques se sont produits dans le passé historique, pourquoi la race humaine n'en a-t-elle pas conservé le souvenir? Pourquoi n'en retrouve -t-on la trace qu'au prix de recherches obstinées ? Le chapitre « l'amnésie collective » éclairera ce problème. Mon travail ressemblait assez à celui du psychanalyste qui, à partir de souvenirs et de rêves discontinus, reconstruit une expérience traumatique oubliée, qui imprima une trace profonde sur l'enfance d'un individu. En appliquant la même méthode à l'histoire de l'humanité, on se rend compte que les inscriptions ou les thèmes des légendes jouent un rôle comparable à celui des souvenirs et des rêves dans l'analyse d'une personnalité. Est-il possible, à partir de ces données polymorphes, d'établir des faits certains?

Nous comparerons, nous opposerons sans trêve un peuple à l'autre, les récits épiques aux cartes astronomiques, et la géologie aux légendes, jusqu'à obtenir enfin des faits authentiques. Dans quelques cas il est impossible d'affirmer avec certitude qu'un document ou une tradition se rapporte à telle ou telle de ces catastrophes qui se produisirent au cours des âges; il est même probable que certaines traditions ne sont qu'une synthèse d'éléments appartenant à des âges différents.

Dans l'analyse finale il n'est cependant pas capital de discriminer les éléments de chaque catastrophe individuelle. Il paraît autrement plus important, nous semble-t-il, d'établir :

1° que certains bouleversements physiques ont véritablement existé, qui affectèrent le globe entier aux époques historiques;

2° qu'ils furent provoqués par des agents extraterrestres;

3° que l'identification de ces agents est possible.

Ces conclusions entraînent de multiples conséquences. Qu'il me soit permis d'en réserver l'examen pour l'épilogue de ce livre. Quelques personnes ont lu le manuscrit de mon livre et m'ont présenté des suggestions et des remarques pleines d'intérêt. Ce sont, dans l'ordre chronologique de leur lecture :

Dr Horace M. Kallen, ancien doyen de la Graduate Faculty of the New School for Social Research, New- York ;

John J. O'Neill, rédacteur scientifique du New York Herald Tribune ;

James Putnam, co- éditeur de la Macmillan Company ;

Clifton Fadiman, critique et commentateur littéraire ;

Gordon A. Atwater, directeur du Hayden Planetarium à l'American Museum of Natural History, New-York.

Ces deux dernières personnalités ont spontanément demandé à lire cet ouvrage, après que Mr. O'Neill en eut fait la critique dans le Herald Tribune du 11 août 1946. Je leur exprime ici ma reconnaissance, mais la responsabilité des idées et du texte incombe à moi seul.

Miss Marion Kuhn a bien voulu revoir le manuscrit et m'a aidé dans la correction des épreuves. Il est courant qu'un auteur dédie un de ses ouvrages à sa femme, ou mentionne son nom dans la préface. J'ai toujours considéré que cet usage comportait une certaine part d'ostentation; mais il m'apparaît, à l'heure où ce livre va voir le jour, qu'il serait d'une rare ingratitude de ne point signaler que ma femme Elishevay a consacré presque autant de temps que moi-même. Je lui dédie ce livre. Au cours des années où je composais mes deux livres, une catastrophe mondiale, celle-ci provoquée par l'homme faisait rage : les hommes s'entre-tuaient sur la terre, sur les mers et dans l'air. C'est pendant cette guerre que l'homme a découvert le moyen de dissocier quelques-uns des éléments constitutifs de l'univers - les atomes de l'uranium. Si un jour il parvenait à résoudre le problème de la fission et de la fusion des atomes dont la croûte terrestre, son eau et son atmosphère se composent, il se pourrait qu'il déclenchât fortuitement des réactions en chaîne telles, que notre planète perdrait toute chance de survie et se verrait définitivement éliminée des membres de la sphère céleste. Immanuel Velikovsky.

 

Nibiru - Les grands bouleversements terrestres - Velikovsky Immanuel - Année : 1955

 Livres sur NIBIRU de Velikovsky Immanuel

 

1er livre : Mondes en collision - 1950

2ème livre : Les grands bouleversements terrestres - 1955

3ème livre : Le désordre des siècles - 1952

 


2ème LIVRE : ANNEE 1955

Velikovsky Immanuel - Les grands bouleversements terrestres

Auteur : Velikovsky Immanuel
Ouvrage : Les grands bouleversements terrestres
Année : 1955

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Lien de téléchargement :

Velikovsky_Immanuel_-_Les_grands_bouleversements_terrestr...


La première carte mondiale des fonds marins a été dressée par les sous-marins américains dans le cadre d'un programme top-secret mené pendant la guerre froide par l'agence de renseignements NSA. Dans les années 1970 les scientifiques ont été totalement surpris lors- que l'US Navy et la NSA ont rendu publique cette carte où la Terre semble avoir été tordue par une main géante. Cette carte n'était bien entendu pas disponible lorsque Velikovsky a écrit ce livre. En revanche, plus d'un géologue ( de l'époque ) a été étonné par l'incroyable justesse analytique de Velikovsky....

 

Nibiru - Le désordre des siècles - Velikovsky Immanuel - 1952

 

Livres sur NIBIRU de Velikovsky Immanuel

 

1er livre : Mondes en collision - 1950

2ème livre : Les grands bouleversements terrestres - 1955

3ème livre : Le désordre des siècles - 1952

 

 

3ème LIVRE : ANNEE 1952

 

Velikovsky Immanuel - Le désordre des siècles

 

 

Auteur : Velikovsky Immanuel

Ouvrage : Le désordre des siècles de l'exode à Akhenaton : une nouvelle chronologie

Année : 1952

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Lien de téléchargement :

Velikovsky_Immanuel_-_Le_desordre_des_siecles.zip



Le Désordre des Siècles fut conçu au moment où je me suis rendu compte qu'un cataclysme s'était produit à l'époque de l'Exode biblique et que cette catastrophe pourrait bien être le lien entre les histoires d'Israël et celle d'Egypte, à la seule condition que d'anciens textes égyptiens contiennent des références à un événement similaire. J'ai trouvé ces textes et élaborai en peu de temps la reconstruction de l'histoire antique depuis l'Exode jusqu'à la conquête d'Alexandre le Grand. Dès le mois d'octobre de la même année, j'avais réalisé la nature et l'étendue de ce désastre. Au cours des dix ans qui suivirent, je menai de front deux tâches en écrivant parallèlement Mondes en Collision et Le Désordre des Siècles, ce qui me réclama un effort titanesque. ...