Allez préparons-nous à payer et à être endettés pour payer le gaz russe au profit des nazisionistes de Kiev !
Non seulement ils doivent des sommes colossales à la Russie, ils provoquent un coup d'état pour prendre en force la place à KIEV, sans élections préalables, la Russie est obligée de faire avec les milliers de réfugiés qui sont arrivés sur son sol depuis le coup d'état, mais en prime ils se permettent encore de la ramener et de revendiquer des cadeaux de la part de la Russie qui devrait leur obéir au doit et à l'oeil, quand nous savons que les anciens contrats gaziers ont été signés avec la Russie par l'ancien président légitime, ceux-ci non plus lieu de tenir depuis son éviction en force, en février 2014. Les nouveaux contrats doivent être signés par les soi-disant nouvelles autorités que ça leur plaise ou pas.
La Russie a le droit de choisir ses clients et de pratiquer les prix du gaz et autre énergie aux prix qui leur convient, et n'a pas à devoir subir tous ces préjudices depuis de longs mois.
Qu'ils paient et qu'ils se taisent puisque leur régime nazi est financé par leurs alliés US/UE/Sionistes, France comprise dans le lot !
Kiev doit trouver cinq milliards de dollars pour payer Gazprom
Dossier: Conflit gazier russo-ukrainien
© REUTERS/ Thomas Peter
11:40 29/09/2014
MOSCOU, 29 septembre - RIA Novosti
Les résultats intermédiaires des négociations trilatérales UE-Ukraine-Russie sur le gaz ont été accueillis par Moscou avec beaucoup d'optimisme: Kiev aurait accepté de verser à Gazprom plus de 3 milliards de dollars pour rembourser la dette et payer ses futures livraisons, écrit lundi 29 septembre le quotidien Nezavissimaïa Gazeta.
Il est encore trop tôt pour crier victoire car ces conditions doivent encore être approuvées au niveau des gouvernements, et il n'y a aucune garantie que Kiev soit prêt à accepter la désescalade du conflit gazier.
Le ministre russe de l’Énergie Alexandre Novak a annoncé qu'il était, dans l'ensemble, "satisfait par l'issue des négociations". Selon lui, la position de la Russie reste inchangée: elle demande le remboursement de la dette pour le gaz déjà fourni, un paiement à l'avance pour les futurs approvisionnements et une restructuration de la dette.
Le ministre a déclaré que l'Ukraine s'était engagée à rembourser 2 milliards de dollars avant la fin du mois d'octobre, et 1,1 milliard de dollars de dette seront restructurés et versés à Gazprom d'ici la fin de l'année.
Pour sa part, Gazprom fournira à l'Ukraine 5 milliards de mètres cubes de gaz selon le principe du take-or-pay et réservera une option pour livrer des quantités supplémentaires si besoin. Tous ces approvisionnements ne seront effectués que par prépaiement. Les conditions mentionnées resteront en vigueur pour la saison automne-hiver 2014/2015. Les décisions définitives seront prises après les consultations entre les gouvernements russe et ukrainien. Une nouvelle réunion est déjà prévue cette semaine, le 2 ou le 3 octobre.
Le calcul est simple: pour la livraison de 5 milliards de mètres cubes de gaz Kiev devra débourser 1,915 milliards de dollars. Autrement dit, en ajoutant le remboursement de la dette de 3,1 milliards de dollars l'Ukraine devra trouver dans les mois à venir près de 5 milliards de dollars pour les reverser à Gazprom.
Les conditions du compromis évoquées par le ministre Alexandre Novak ne correspondent pas aux conditions préalables avancées par le groupe ukrainien Naftogaz début septembre pour solder le litige gazier avec la Russie. Mais aujourd'hui, les exigences initiales de Kiev semblent être oubliées.
Les observateurs russes admettent toutefois que ces progrès des négociations pourraient être suivis de nouvelles complications, sous l'influence des conseillers américains du premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk.
"Washington pourrait ne pas apprécier le compromis gazier entre Kiev et Moscou, même si objectivement l'Ukraine a besoin de gaz russe, notamment à cause de la réduction de la production locale de charbon", explique Sergueï Pravossoudov, directeur de l'Institut d'énergie nationale. Selon lui, il serait plus raisonnable pour le Fonds monétaire international (FMI) et l'Union européenne d'envoyer l'argent directement à Gazprom à titre d'aide financière au profit de Kiev. Dans ce cas, les hauts fonctionnaires ukrainiens n'auraient aucune raison de repousser les paiements pour le gaz russe.
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http://fr.ria.ru/presse_russe/20140929/202555601.html